De quel impôt ou taxe parle t'on ? A force de multiplications de l'impôt et d'éxonérations en tous genres, l"impôt se niche partout et est devenu totalement illisible. Tout est soumis à impôts, tout est multiplement taxé.,L'information sur l'impôt tel qu'il est actuellement est illusoire si une réelle simplification et rationalisation n'est pas opérée. L'exemple le plus marquant de l'illisibilité de l'impôt est la CSG sur les revenus non perçus...
En finir avec toutes les fiscalités locales, sources d'injustices entre régions, départements, intercommunalités et communes. Seul l'impôt sur le revenu permet aujourd'hui de développer l'appartenance à une communauté nationale. Seul l'Etat a la capacité de réguler les disparités territoriales en redistribuant localement l'impôt prélevé nationalement par des mécanismes de péréquation justes et transparent avec le local. L'impôt doit, quand à lui, être appliqué à tous, dès le premier euro perçu. Il doit prendre en compte l'ensemble des revenus en s'étalant sur un nombre important de tranches, les plus élevées pouvant atteindre les 70%.
Toutes les taxes à taux fixe sur les produits de première nécessité et principalement alimentaires car elles pénalisent lourdement les foyers à bas revenus. La TVA sur ces produits devrait être fortement réduite, en veillant à ce que les grands groupes n'en profitent pas pour augmenter les prix sous des prétextes fallatieux...
Augmenter les impôts|Ne pas faire peser les solutions sur les publics fragiles mais s'attaquer aux très hauts revenus et aux revenus de la finance. Taxer lourdement l'argent dormant. Faire une vrai chasse à la fraude et à l'évasion fiscale. Revoir les niches fiscales.
Le RSA sans contrepartie, sauf cas exceptionnel.
La dépendance, l'assurance maladie, les retraites.
L'impôt ne devrait pas être affecté à une dépense. Ce n'est pas au citoyen individuellement à répondre à cette question.
Hormis son caractère redistributif indispensable au fonctionnement global de la collectivité, l'impôt est un indispensable outil de cohésion nationale, de sentiment d'appartenance à un projet commun. Pour être accepté, il doit apparaître comme juste par chaque contributeur. Aujourd'hui, il cristallise les griefs et les rancoeurs car il ne répond plus aux attentes et est ressenti comme profondément injuste par une majorité de français.
Aux élus locaux, maires, adjoints et conseillers municipaux. ce sont les élus les plus proches dans tous les sens du terme. Ils sont les plus accessibles de nos élus et partagent généralement les difficultés de leurs administrés.
Oui
Les grandes associations reconnues en matière d'environnement et de questions sociales. Les différentes associations de maires (maires de France, communes rurales, villes moyennes...)
Celà va être très difficile tant la défiance est importante. Il convient de faire disparaître les passe-droits et le sentiment d'impunité dont bénéficient certains. Finalement peu de condamnations réelles pour des faits semblant avérés. Inutile de citer des noms, les exemples sont nombreux, et ce quelle que soit l'appartenance politique. Ce sentiment profond rejaillit sur l'ensemble des élus alors que le nombre d'escrocs et de corrompus est ultra minoritaire.
Une mauvaise chose
Le non-cumul entre mandat local et mandat national a conduit à un éloignement des parlementaires des réalités de terrain. Ce non cumul aurait pu se limiter aux élus locaux de grandes collectivités (Présidents et Vice-Présidents de Région, de Départements, de Communautés Urbaines et de maires de grandes villes).
Instaurer plus de proportionnalité dans l'ensemble des scrutins. Ne maintenir le scrutin uninominal que sur la Présidence de la République.
Oui
En supprimant des échelons de décentralisation trop nombreux. Il est plus que temps de supprimer une fois pour toutes un échelon sur deux dans le millefeuille territorial. La loi Notre et la réforme des régions sont totalement inabouties.
La faible participation des citoyens est d'une part le reflet de la défiance des électeurs envers les élus et d'autre part une méconnaissance totale des compétences du millefeuille d'élus. Pour le citoyen moyen, seuls sont connus, repérés et donc responsables, le maire et le président de la république. Les autres sont ultra majoritairement inconnus et donc... inutiles.
Oui
En allant au bout du raisonnement, c'est à dire en acceptant de laisser des chaises vides. Il faut avoir l'honnêteté de la proposition. Si le vote blanc, symbole attesté, non pas d'un désintéressement mais bien d'un rejet avéré de l'ensemble des listes candidates, alors sa représentation doit se concrétiser par l'absence reconnue.
Il n'est nul besoin d'associer davantage. Les grands problèmes sont connus de tous et en particulier des dirigeants au plus haut niveau. Associer n'est souvent qu'une excuse de fausse démocratie permettant de différer la résolutions des problèmes de fond. Regarder, écouter, avoir du bon sens et oser s'attaquer honnêtement aux questions fondamentales est suffisant.
Non
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Rien, car cela revient toujours à des questions simplistes dont les réponses attendues sont binaires, alors que bien souvent les questions de fond sont ailleurs. Ici encore, c'est la transparence et l'honnêteté qui comptent bien plus que la consultation.
Elles doivent jouer leur rôle de contrôle avec des vrais pouvoirs contraignants.
Oui
Dans un premier temps en limitant la limite d'âge de leurs membres. Il ne devrait pas être permis d'y être élu au delà de 62 ans. L'élection devrait également être ouverte à une proportion d'électeur tirés au sort dont le vote serait obligatoire.
La liberté individuelle s'arrête là où commence celle des autres. En matière de religion, ce principe est fondamental. Toutefois, il ne faut en aucun cas oublier l'histoire de notre pays. Je suis profondément athée, pour autant, ma culture est baignée par l'histoire chrétienne de notre pays. La Douce France que chantait Trénet et ses clochers aux maisons sages. Dire cela aujourd'hui peut vous taxer de facho, de réac. La France multicuturelle est quasi absente de 80% du territoire français mais concerne 70% de sa population majoritairement urbaine. Concrètement, si je trouve insensé de changer le nom des vacances de Noël ou de Paques, je pense que les jours de congés qui y sont affectés ne doivent pas être conotés, et être intitulés "fêtes religieuses".
Réponse commune à la question précédente.
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En respectant l'autre dans ce qu'il a de différent, sous réserve qu'il applique le même comportement.
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Toutes les incivilités sont insupportables dès lors qu'elles se répètent et qu'elles ne sont pas punies. Leur répétition les rendent même parfois plus insupportables que certains délits.
Renforcer une présence dissuasive sur les territoires les plus en difficulté et avoir une justice réactive et exemplaire dès la première récidive.
Réinstaurer le respect de toutes les autorités. Les parents, les enseignants, les élus, les représentants des cultes, les personnes âgées et les personnes vulnérables.
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Accepter les différences c'est aussi accepter d'en rire, voire de s'en moquer... Asseptiser la société est très risqué car cela conduit à sa segmentation. La tolérance doit être prise au sens large. L'humour et la liberté des années 80 ont plus permis l'intégration que des mesures égalitaristes instaurant des quotas qui finalement sont stigmatisants.
Oui
Ils existent déjà, comme les Contrats d'Engagement Réciproques pour les bénéficiaires du RSA mais ils ne sont que peu mis en oeuvre. Appliquons déjà ce qui existe avant de réinventer de nouvelles mesures inopérantes.
La question doit d'abord être réglée au niveau européen sur des quotas contraignants appliqués à chaque état membre. Une politique migratoire nationale est un non sens au XXIème siècle. La liberté de circuler est indiscutable, celle de s'installer doit faire l'objet de mesures draconienne d'intégration. Enfin, il convient de réexaminer la loi 2016-274 du 7 mars 201617 relative au droit des étrangers en France au profit d'un droit du sang beaucoup plus strict
Voilà bien une politique qui doit être avant tout européenne. Hors, s'il y a bien un sujet de discorde, c'est bien celui là. Autriche, Hongrie, Italie ont déjà pris leurs distances. Aucun pays ne devrait prendre des décisions unilatérales sur le sujet au risque de faire peser le problème sur quelques uns. Mais jusque quand ?
N'accorder aucun droit durable afin d'éviter tout effet d'appel d'air et en aucun cas des droits, y compris en matière de santé, qui puissent être plus avantageux que ceux des citoyens français.
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Depuis 1983, le millefeuille territorial n'a cessé de se complexifier sans jamais réellement se réformer. La loi Notre n'est pas allée au bout de ses ambitions, faute au lobbying forcené des élus locaux via le sénat. On ne touche pas au fond de commerce des baronnies. Communes, intercommunalités, syndicats mixtes (qui subsistent !), départements, régions, services déconcentrés de l'Etat... mais aussi métropôles, pays, sans compter les structures associées de type GIP, SEM, associations para municipales, offices, régies... la liste est tellement longue que l'on s'y perd. Et à chaque fois des fonctionnaires ou des salariés sur fonds publics. Si l'on ajoute à cela les complexités des administrations d'Etat (justice, sécurité, impôts, emploi, éducation, université...) on arrive à une organisation totalement illisible pour les citoyens. Tout ceci doit être profondément réformé, simplifié. Il y va de la survie du pays, de son économie, de ses institutions. Il faudrait des pages pour développer les réponses à cette question et je suis insuffisamment spécialiste pour y répondre. Pourtant, on peut penser qu'il est souhaitable d'organiser l'Etat en supprimant purement et simplement une strate sur deux (ce qui ne veut pas dire de supprimer les compétences mais de les redistribuer à l'échelon le mieux à même de les exercer). Soit l'on privilégie le trinome Etat-Departement-Commune et l'on renforce l'action de proximité, soit l'on privilégie le trinome Europe-Région-Intercommunalité et l'on se veut plus stratégique, au risque de s'éloigner du terrain. Ces deux propositions étant concrètement illusoires, le minimum vital est d'aller au bout de la loi Notre en refusant tout partage de compétence. La gestion des bâtiments scolaires est l'exemple type d'un non choix réparti entre trois strates de collectivités locales et même l'état si l'on intègre les universités ! La structuration même de l'Etat est plus que perfectible. Les organismes percepteurs et redistributeurs, la police et la gendarmerie, les sous-préfectures vidées de leur contenu mais survivantes sans réelles prérogatives,
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Oui et non, cela dépend de la nature des compétences de chacun définies une fois pour toute.
Oui
J'ai la chance d'habiter en zone urbaine et de continuer à avoir (encore !) accès aux services.
Tous, sous réserve de posséder un coffre fort électronique simple d'accès et sécurisé. Mais cela ne doit pas se faire au détriment d'une aide humaine bien souvent nécessaire.
Non
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Les impôts, pour le salarié que je suis.
service public de l'emploi, éducation nationale, carte grise, permis de conduire pour l'Etat. La formation pour les Régions. L'enfance en danger pour les Départements.
Oui
Non
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Vente d'un véhicule, pension de réversion de l'éducation nationale, renouvellement de prestations d'autonomie dans le cas de pathologie non réversible, accès aux soins aux urgences des hôpitaux publics
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Question trop vague… Quels fonctionnaires ? Quel terrain ?
Oui
Supprimer purement et simplement les concours d'accès EXTERNES de la haute fonction publique de l'Etat ou de la Territoriale (ENA, INET, grandes écoles militaires...). Les rendre accessibles uniquement à l'interne après 5 à 7 ans d'emploi de catégorie A. Augmenter la proportion des contrats de droit privé hormis dans les fonctions régaliennes, voir supprimer purement et simplement le statut hors de ces fonctions. Etre attractif pour les salariés du privé.
Avoir une véritable approche discriminante avec une redistribution garantissant l'équité.
Non concerné
Non concerné
Face à l'incompétence de Pôle Emploi, les collectivités locales ont monté de toute pièce leur propre service, en contradiction totale avec la Loi Notre et sans plus de réussite. C'est l'un des maux français, on ne transforme ni ne réforme ce qui ne marche pas mais on ajoute une strate de plus au millefeuille.
Non concerné
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Le fonctionnement de la MDPH dans mon département (62) est une vraie catastrophe. Documents perdus, personnels incompétents, temps de traitement… Et quand leur travail est enfin fait, les véritables réponses ne se mettent pas en place. C'est une véritable caricature de service public.
Non concerné
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La question la plus énervante qui soit est : y a t'il trop de fonctionnaires ? Surtout quand on oriente la réponse en précisant : vous voulez moins de pompiers, de policiers, de magistrats, d'enseignants ou d'infirmière ? La réponse est bien évidemment non. Par contre, il y a une nécessité vitale à supprimer les fonctionnaires inutiles. Non pas celui qui ne fait rien, car cela est une caricature de plus, mais celui qui a un emploi qui ne sert à rien.. La multiplication des collectivités territoriales a généré la création de dizaines de milliers d'emplois de conseilles de cabinets, de services d'appui, d'audit interne, d'observation, de contrôle de gestion, de développement des partenariats, de chargés de missions divers et variés, de communicants... La liste est longue comme un annuaire. C'est là où le ménage est à faire, surtout quand dans le même temps on supprime des emplois de terrain, de contact, d'accompagnement.
La polution au sens large et à toutes les échelles
Changer de modèle économique, facteur par nature de polutions
Oui
La baisse de la qualité de l'air
Oui
Trier ses déchets, être économe en dépenses d'énergie et en eau.
Promouvoir la filière solaire et autres énergies renouvelables par des encouragements financiers indépendants des revenus. Remettre l'activité commerciale en centre-ville et non dans des zones commerciales géantes et déhumanisées. Développer les transports en commun adaptés.
Une participation financière directe à l'achat et à la pose. Pas de crédits d'impots ou de bons d'achats de type prie éco-énergie transitant par le biais des grands groupes (Auchan, Carrefour...)
Oui
Un coût moindre
Non
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La protection de la planète ne peut, par définition, se limiter à un pays, à un continent. Les différents protocoles, depuis Kyoto, n'ont été que très peu suivis. L'économie prévaut toujours sur l'environnement.
Il convient de réduire les déchets et les poluants plus que de réfléchir à leur traitement. Les questions précédentes sont orientées sur une responsabilité individuelle du citoyen-utilisateur-consommateur en bout de chaine. Le suremballage me semble être l'exemple majeur d'une hérésie écologique doublé d'une gabegie financière. L'industrie produit, à des fins uniques de marketing commercial, des emballages dont la durée "d'utilisation" va du rayon du magasin au coffre de la voiture pour finir, quelques minutes plus tard dans une poubelle, poubelle de tri dans le meilleur des cas, pour finalement être recyclé sans avoir eu la moindre utilité ! On entend parfois que certains magasins mettent des poubelles à la disposition de leurs clients pour pouvoir jeter ces emballages avant même de les ramener chez soi, en prétextant un geste écologique ! Le vrai geste serait de les supprimer à la base. L'agriculture intensive et ses impacts environnementaux revêt également un enjeu majeur. Un retour à une agriculture raisonnée, permettant à ceux qui la mettent en oeuvre de vivre décemment, un respect de la vie animale avec des filères controlées, le développement des circuits courts respectant la saisonalité, l'irrigation intensive à des fins d'aliments pour bestiaux sont autant de thématiques indispensables à aborder serainement sans céder à la pression insupportable des grands groupes agroalimentaires. Et en vrac : l'obsolessence programmée, les rejets industriels poluants, le ferroutage, le tourisme de masse, les paquebots de croisière, l'exploitation d'énergies fossiles offshore, le pillage des richesses du sol et du sous sol africain et sud américain par des multinationales sans scrupule... Les thèmes sont nombreux et l'Etat se doit de prendre des positions fermes sur ces sujets sans en faire peser la responsabilité sur le consommateur final, plus victime que coupable.
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