L'information existe : bulletins régionaux, communaux dans les boîtes aux lettres ; revues spécialisées, sites variés dont gouvernementaux... lus ? compris ? 57 % des français ne payent pas l'IRPP, comment leur expliquer sur papier ce pourquoi les autres payent. Les medias pourraient davantage être vecteurs d'explications simples sur les budgets, comptabilités, finances publiques. Pourquoi pas des données économiques enseignées aux collégiens et lycéens.
Sans frontières, les grandes fortunes (particuliers et entreprises) s'évadent, se délocalisent, consomment, font du mécénat à l'occasion là où ils veulent. Sans scrupules, à tous les niveaux (du col bleu au blanc), en clandestinité, les tricheurs pour l'IR et les fraudeurs pour la TVA s'exonèrent de leur contribution tout en bénéficiant des services publics (exemple : le travail au noir). Sans complexes, différents acteurs de l'économie parallèle, souterraine, trafiquent, agissent en mafieux s'adonnant à des activités délictuelles, criminelles, s'exemptant de tout sens civique dont celui de l'impôt hormis la TVA lorsqu'ils achètent. D'autres s'incrustent dans les aides sociales publiques, associatives, caritatives, recevant tout, contribuant à la TVA lors d'achats. (attention ! je distingue les abus et les impératifs vitaux). Les revenus salariés sont déclarés à l'euro. Les classes moyennes captives (sauf les retraités s'exilant) payent l'impôt sur le revenu, la CSG, la TVA et, souvent, ne perçoivent aucune aide. L'optimisation fiscale permet à certains de réduire leur impôt, notamment au moyen de niches. Donc comment rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ? mieux combattre l'évasion, les fraudes, les délits économiques ; évaluer les niches fiscales ; peut-être reconsidérer les tranches. Pour la TVA : corréler le taux à la nécessité sociale du produit.
comprendre la signification sociétale des recettes. Qui paye ? pour qui ? pourquoi ? Qui ne paye pas ? au détriment de qui ? pourquoi ? Augmentation du pouvoir d'achat en diminuant l'IRPP des classes moyennes dites inférieures ; la somme servirait le plus à de la consommation immédiate. Suppression de la taxe d'habitation pour tous comme promis (...le cas échéant compensant la hausse de la CSG).
Augmenter le temps de travail|revoir les régimes spéciaux de retraite (déficit supporté par Etat, collectivités locales, régime général : injuste)
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Ne pas renforcer, mieux distribuer grâce à : - des contrôles anti-fraudes accrus (l'efficacité de la Légion étrangère sur les identités serait à copier), des croisements de fichiers avec vigilance et détermination - une meilleure détection des ayant droits. Si certains très bien renseignés savent gruger, d'autres par honte, ignorance, procrastination ne font pas valoir leurs droits.
Je ne veux plus payer davantage d'impôts mais si la fiscalité sur le tabac et l'alcool augmentait ce serait de ma responsabilité d'acheter ou non.
Revoir les régimes spéciaux de retraite : déficit supporté par l'Etat, les collectivités locales, le régime général... injustice flagrante. Quand des audits, à l'exemple de la Cour des Comptes, mettent en exergue des erreurs, gabegies : que les corrections soient dûment effectuées. Si manque de contrôles : les instituer. On demande au citoyen -pour son bien- de gérer en bon père de famille. Les strates dépensières de la nation s'en exonèrent parfois allègrement du fait qu'elles ponctionnent les contribuables en trouvant toujours une variable d'ajustement sur ceux qui ne peuvent pas s'échapper. Des catégories se réfugient dans des montages fiscaux d'optimisation ; d'autres sont pressentis comme étant à l'abri de tout assujettissement. Mais vive la démocratie, la responsabilité de chacun faisant le fondement collectif.
Le système français plutôt adapté peut pâtir de paradoxes, contradictions, d'incompétences mais attention à ne pas privatiser des services sensibles : risque de malversations, fraudes, insécurité pour les usagers. Du contrôle interne, des calendriers de changements appropriés mais pas de désengagement public.
Non
beaucoup de clientélisme pour ces structures plus nébuleuses que l'administration de l'Etat
Oui
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Avant de développer, évaluer l'existant, améliorer le cas échéant. Mieux faire connaître les sites d'informations légales et dénoncer les arnaques des faux sites payants. Egalement, les conseillers doivent prendre en compte le fait que pour certains usagers l'outil informatique est non disponible ou difficilement, que sa maîtrise est insuffisante.
Non
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L'ensemble des démarches dématérialisées sont dans le sens de l'histoire technologique (les jeunes se proclament très à l'aise avec Internet, les très vieux ont des possibilités d'aides). Avant, tout n'était pas parfait : aux guichets : horaires rigides, file d'attente parfois importante, des employés plus ou moins accueillants, compétents, deux/trois rendez-vous à venir... ah ! un visage y était associé (?) De plus, des obtentions (carte d'identité), des démarches (changement familial) ne s'effectuent que de temps en temps, la durée à y consacrer est somme toute faible.
Je ne peux pas le dire. Si chacun est suffisamment évalué les audits démontrent les points forts et les améliorations à apporter.
Oui
Non
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Au fil des ans, la déclaration de l'IRPP s'est simplifiée ; le contribuable devant rester vigilant sur son dossier toutefois.
Oui
l'intelligence professionnelle consiste à comprendre et donner la réponse en fonction du cas considéré dans les limites du code de déontologie. Les directives fixent le résultat à atteindre, les moyens sont mis en oeuvre par des personnes ; certaines ont un sens du service public très élevé ; d'autres se sentent protégées par leur statut.
Oui
je ne sais pas si tous les cursus sont appropriés tellement les secteurs du secteur public sont variés (compétence nationale, services déconcentrés) mais il conviendrait que la réalité du terrain soit manifestement considérée.
Etre créatif dans la prise en compte du concret de la vie quotidienne des administrés ; concilier les intérêts généraux sans rivalités partisanes. Partager les expériences, répliquer ce qui réussit. Comprendre les hommes, habiter les territoires dans leur réalité et leur spécificité.
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-difficulté : début 2015, régime de protection sociale agricole (MSA) d'Occitanie : 8 mois pour "liquider" un dossier de retraite simple et complet depuis le début ; argument : une réorganisation avec bascule informatique... -satisfaction : 2018, régime de protection sociale agricole (MSA) d'Occitanie -autre département- : simplicité, sérieux, gratuité de la proposition d'un "instant santé" dans le cadre du Parcours Santé auquel j'ai répondu affirmativement.
MSA (quelque département que ce soit) : je n'ai jamais eu une difficulté à obtenir un remboursement dans le cadre édicté du régime général (opérations, soins dentaires, ophtalmologiques, médecine générale, ...) tout était précisé
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Les rubriques Internet des services publics sont de plus en plus fournies mais qui va les consulter ? A longueur d'antennes et de témoignages on veut faire croire que tout est médiocre, abandonné. Les medias devraient donner des informations sur tout ce que l'Etat met en place pour que les mensonges et approximations soient contrecarrés. Comme partout, ce sont des personnes qui dirigent, assimilent les missions et les moyens de les décliner, donc, comme dans le privé, tout s'exécute dans les gradations de l'excellence à l'incompétence. Or l'usager est captif et ne peut pas faire jouer la concurrence ; mais si des fonctionnaires à vie s'exonèrent de la nécessité de la remise en cause et de la satisfaction de l'utilisateur, des citoyens se dispensent eux-mêmes des règles de respect humain et de compréhension vis-à-vis d'une administration ne pouvant se figer, dans une société transformée. S'adapter doit s'opérer pour chaque partie.
l'eau : gaspillage, pollution, raréfaction
En cohésion avec tous les acteurs et en tenant compte des territoires : évaluer et mieux gérer la ressource, sa qualité, sa distribution sans que son accès ne devienne hors de prix. Mais chacun doit évaluer, savoir modifier ses habitudes.
Oui
j'ai 65 ans, dans le sud-ouest : printemps davantage pluvieux, étés aux canicules plus longues, automnes beaucoup plus doux, hivers raccourcis ; depuis 1 an, l'été invasion de moustiques tigres empêchant de rester dehors... Psychologiquement : prise de conscience des conséquences actuelles ici et ailleurs et de celles à venir d'où responsabilisation pour moi irrépressible.
Oui
Tri sélectif, consommation d'eau et d'électricité raisonnée. Achats alimentaires le plus possible en produits locaux contre l'ineptie de faire venir souvent du moins bon depuis l'autre côté de la Terre ; également moins consommer de l'inutile, du superflu provenant fréquemment de très loin : bilan carbone désastreux. Acheter de la qualité qui dure. Faire attention à la sur utilisation de produits chimiques. Etre propre en ne jetant pas n'importe où déchets et plastiques. Au quotidien : comprendre d'où proviennent les produits, leur impact sur les terres, animaux et populations, pourquoi ? comment je les utilise ?
Etant locataire je manque de liberté d'action pour le problème de fond du chauffage (isolation et performance des appareils). Voiture : je fais déjà attention à ma façon de conduire : sécurité et économies vont de pair. Je marche volontiers au lieu de me rapprocher systématiquement avec mon véhicule.
c'est par rapport aux propriétaires qu'il faut convaincre.
Oui
le propriétaire devrait investir dans une meilleure isolation, une gamme d'appareils plus appropriés ; je n'ai pas la main.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Synergie entre la puissance publique et les grands groupes de l'énergie, de la chimie sur des critères rigoureux. Afficher une cohérence sur les enjeux et la durée en termes de mieux être général et d'emplois à créer. Mettre à profit les expériences réussies pour alimenter les modèles.
La transition écologique est une permanence ; les phénomènes climatiques ne s'arrêtent jamais et ignorent les êtres. A l'échelle humaine certains pensent que tout est figé ou sans importance, que rien ne doit être remis en cause dans nos comportements individuels et collectifs (beaucoup d'égoïsmes et de cupidité) Utiliser les medias pour expliquer simplement ; sensibiliser dès l'école... tant pis pour les amateurs de complots et d'infox. Autre danger -parmi de nombreux- : l'utilisation excessive des antibiotiques dans des sociétés dites avancées, pour les hommes mais également pour leurs animaux. L'arrogance humaine n'est pas de mise face à l'ingéniosité de vie de bactéries. Elle culmine pour ceux qui ne veulent plus de vaccins face à des contagions millénaires.
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