Savoir exactement à quoi cela sert, et surtout ne pas imposer pour détourner du but premier
Vaste sujet : - TVA : Revoir le classement de certains produits en produits de première nécessité, et remettre une TVA dite de Luxe, mais sur les vrais produits de luxe. Il est évident qu'une voiture de bas de gamme ne devrait être soumis qu'à 5.5 (c'est un produit indispensable dans le monde rural) alors qu'une voiture de très haute gamme souffrirait une TVA plus élevé que 20 % (en plus, ces produits sont bien souvent étrangers, et le prix augmentant de 10 % ne serait pas un frein à leurs achats) - Impôt sur le revenu : Il faut peut-être faire payer un impôt plus généralisé (avec une assiette de foyers un peu plus important), mais surtout, il faut que cet impôt soit vraiment proportionnel aux revenus. La chasse à la Fraude fiscale doit être intensifiée, et l'évasion fiscale doit être dénoncée comme un moyen d'affaiblir notre pays. Je suis à 100% pour l'accès de tous à toutes les déclarations de revenus et de patrimoine. - Impôts sur les sociétés : En constante diminution, mais toujours prohibitif pour les petites structures (cela peut représenter un gros pourcentage du CA pour des indépendants qui ne se paient pas d'avocats d'affaires spécialisés dans l'optimisation), et malheureusement, cette part diminue, jusqu'à devenir peu de chagrin pour les plus grosses sociétés. Là encore, je suis pour la divulgation des comptes des sociétés.
Pourquoi baisser les impôts ? C'est une meilleure répartition qui serait la clef de nos problèmes. Nous ne pouvons pas demander une baisse des impôts et une amélioration des services publiques.
Premièrement, la retraite n'est pas financée par l'impôt mais par les charges sociales, c'est à dire par les cotisants. On ne peut pas reculer l’age de la retraite quand on a 4 millions de chômeurs en France. A partir de 55 ans, il est déjà impossible de retrouver du travail. Alors, la seule solution, faire payer plus de cotisations.
Les attributions d'aides sociales sont automatiques et beaucoup trop automatiques. Pour moi, il n'y en a pas de trop, mais certains (peu) en touchent alors qu'ils ne devraient pas, et ces ces personnes là qui'l faut rechercher.
SANTE, accompagnement des anciens, ...
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J'ai une proposition : L'impôt volontaire ciblé - Constat : en général, on est content de payer des impôts (c'est que l'on a des revenus), mais, le sport national est toujours d'essayer d'en payer le moins possible, et je pense que c'est parce que l'on pense toujours que nos impôts servent à des choses qui ne nous concernent pas. J'entends tous les jours : "on paie, et on a quoi ?" - Principe : autoriser l'impôt volontaire pour les particuliers, comme pour les entreprises. Cet impôt ne remplacerait pas l'imposition obligatoire, mais serait un supplément. Il n'entrerait pas dans les charges des entreprises et ne ferait en aucune sorte diminuer l'impôt obligatoire. - Ciblage : Les volontaires pourraient verser un impôt ciblé, c'est à dire affecter pour le moins à un ministère, à une collectivité, et pour le mieux, à une action plus précise. Cet impôt serait tracé avec obligation d'affectation et d'utilisation dans un temps court (dans l'année, ou à défaut l'année suivante), sur des projets hors budget de l'état ou des collectivités. - Avantage : oui, notre défiance face à l'impôt est énorme, alors, après avoir fait le plus de déductions possibles, particulier comme entreprise pourrait décider de participer à une action, à un centre d'intérêt, et cela ne serait pas contraint. On connait la générosité des Français à l'égard des associations caritatives parce qu'elles participent à des projets connus de tous. Je pense que l'on pourrait avoir le même attrait des Français pour des projets, par exemple locaux, que les collectivités ne peuvent se permettre de réaliser. - Un exemple : ma commune n'a pas d'aires d'accueil des camping-cars ! Elle n'a pas les moyens de la réaliser ! Si on proposait aux habitants et aux commerçants de participer financièrement à construire cette aire, cela aurait des retombées sur tous les commerces, et même sur les artisans qui pourraient être choisi pour la réalisation. Les retombées sur un commerce entraînent des retombées sur un autre commerce, entraînent peut-être des embauches, et dynamise un village. Je pense que l'on pourrait rapidement arriver à financer une réalisation comme celle-là. - Attention : c'est bien un impôt, donc les réalisations comme leurs propriétés restent possession de l'état ou des collectivités, ce n'est pas l'entrée d'un actionnariat privé dans les réalisations publiques.
En prenant plus en compte les besoins des habitants de notre pays, et en n'en oubliant pas.
Non
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Non
Médecine générale et spécialistes, les lycées qui menacent de fermer.
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Non
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Les services se sont considérablement dégradés, et les privatisations, totales ou partielles, n'ont rien arrangé. Par exemple, prenant beaucoup l'autoroute, je me rends compte que la privatisation a engendré une baisse de la qualité de l'entretien des chaussées de ces autoroutes. De plus, habitant en milieu très rural, j'ai bien constaté la dégradation de nos chaussées, et la perte progressive des liaisons ferroviaires.
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Oui
Oui
Dans mon métier, il est bon de temps en temps de se remettre en cause, et d'avouer s'être trompé d'orientation, par exemple.
Il y en a tellement. Je suis conseiller municipal, et je comprends bien, par exemple, que nos secrétaires de mairie ont de plus en plus de travail, car les demandes de subventions sont de plus en plus machiavéliques ! En temps que particulier propriétaire de ma maison en zone protégée car près d'une église, pour changer une fenêtre (en gardant le style de la maison mais en passant de bois à PVC), les documents sont beaucoup trop chronophages à remplir.
Oui
Surtout dans l'enseignement, ou je trouve que les directeurs devraient avoir un pouvoir renforcé, sans pour autant avoir le pouvoir sur les enseignants?.
Oui
L'administration se doit d'être au contact du terrain. Vous m'accorderez qu'un ministère des transports dont tous les techniciens sont d'origine de grandes écoles et issus en grande partie des grands centres urbains, puissent dire que la limitation à 80 km/h est une bonne chose ... en région parisienne, cette limitation n'a rien changé, dans nos campagnes, elle a tout changé !
C'est simple : en accordant plus de moyens. Les collectivités territoriales font déjà beaucoup, mais l'état dans ses fonctions primaires ne fait pas suffisamment : L'enseignement doit être une vraie priorité, comme la santé. Que penser, par exemple, de l'abandon de nos anciens dans des EHPAD indignes, et ce n'est pas en favorisant le privé que cela va aller en s'améliorant
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Votre message a bien été envoyé.