Je ne souhaite pas être représenté, car on n'est jamais mieux servi que par soi-même.
Oui
Aux associations culturelles, sportives, militantes, etc, afin qu'elles fassent rayonner le savoir et l'information, l'esprit d'analyse, le sens critique, la responsabilité individuelle, l'entraide et la bienveillance. Elles pourraient avoir un plus grand rôle de décision, en plus du rôle de conseil.
Resserrer le maillage des institutions, c'est-à-dire décentraliser les pouvoirs décisionnels et exécutifs. Plus le réseau est proche, plus les probabilités d'interactions entre les acteurs sont grandes.
Une bonne chose
Lorsqu'on fait quelque chose, on peut jouer sur 2 facteurs, liés l'un à l'autre de manière proportionnelle : le temps qu'on y passe, et la qualité du travail. Or une journée comporte un nombre d'heures limité.
Il ne faut rien représenter, mais débattre directement : argumenter, et faire preuve de compréhension et de bienveillance (dans un sens ou dans l'autre).
Oui
En démocratie directe, nul besoin d'élus (députés et sénateurs compris).
Il est étonnant qu'autant de gens prennent part à des élections au sein d'un système représentatif. Pour qu'ils votent davantage, il faudrait que les sujet auxquels on se réfère les touchent : organisation des services de proximité, et par corollaire du travail, organisation de l'entraide et de la solidarité envers les plus fragiles (dont on fait tous partie un jour ou l'autre), sauvegarde et entretien des espaces sauvages et publics... Autrement dit, que l'on décentralise les pouvoirs décisionnels et exécutifs, afin qu'ils s'accordent le mieux possible à chaque communauté, qui est particulière.
Oui
Le vote blanc marque : - l'absence d'un avis. Il faut donc tout mettre en oeuvre pour que chacun ait un avis sur les questions de fond (information objective, outils d'analyse, construction d'un esprit critique grâce à l'éducation). - le sentiment de ne pas être concerné par la question (dans le cas où l'on dispose d'outils d'analyse). Cela signifie que la question ne mérite pas d'être posée. Une démocratie peut se passer de président. Pour les assemblées dirigeantes, les choix exprimés positivement peuvent être pris en compte de manière proportionnelle, et la part des votes blancs peut être remplie par tirage au sort parmi les citoyens et les différentes entités actives dans la communauté (associations, syndicats, conseillers locaux...).
Premièrement, il est nécessaire que chacun ait accès à une excellente éducation, où l'on apprend à trouver les informations factuelles, avant de les analyser. L'objectif : apprendre à argumenter après avoir vérifié les faits, apprendre à être responsable de ses opinions. Ensuite, il s'agit de dégager du temps pour participer aux débats et aux décisions. Pour cela, assurer le partage équitable du travail et du temps qu'on y accorde (et dans la foulée, des salaires), quitte à revoir les orientations des investissements (comme la NEF le fait déjà). Certains gagneraient moins d'argent (les plus aisés), certains gagneraient plus (les moins aisés), mais surtout chacun aurait plus de temps à consacrer à la vie de la cité, au lieu de travailler pour 3 ou de chercher du travail (ce qui est en soi un travail, non rémunéré).
Je ne sais pas
None
Les services de l'Etat et des collectivités fonctionnant sur la base de l'impôt, chacun devrait pouvoir choisir d'allouer sa part d'impôt aux postes qui lui semblent les plus importants, selon des pourcentages à définir soi-même (par exemple : Education, Santé, Ecologie pour certains ; Défense, Affaires étrangères et Justice pour d'autres).
Etre au plus près de la réalité des territoires, ou mieux : être véritablement issues de ces territoires.
Oui
En négligeant les professionnels de la politique, au profit des professionnels tout court, des amateurs éclairés, bref des citoyens.
une initiation à la spiritualité, au doute, et à la tolérance
La compréhension réciproque dépend des possibilités d'empathie de chacun, qui dépendent elles-mêmes de la largeur du point de vue, c'est-à-dire de l'application au réel de la culture générale et particulière. La solution est dans l'éducation.
Faire comprendre à tous, par le biais de l'éducation, que la vie est ce qu'on en fait, pas simplement ce qu'on en pense. Et encore moins ce qu'on pense de ce qu'on voit voit à la télé.
Le respect, l'écoute et l'entraide.
Promouvoir l'idée que l'on est tous dans le même bateau, qu'on le veuille ou non (oublier la hiérarchie et l'échelle sociale). Favoriser l'envie de toujours faire mieux, au détriment de l'envie d'être le meilleur (oublier la compétition). Enseigner la sociocratie.
L'engagement citoyen, mené dans le sens du bien commun, n'a pas besoin d'être valorisé : il se suffit à lui-même puisque le citoyen engagé profite des améliorations qu'il propose ou met en place.
Les discriminations, l'impolitesse et le manque d'écoute. Il nous faut une éducation plus large et plus responsabilisante.
Rappeler que chacun a une influence sur le bien-être des autres, et que notre bien-être dépend de celui des autres. Rappeler qu'il est donc nécessaire de s'assurer du bien-être des autres en faisant preuve de bienveillance.
S'engager dans la vie associative, dans la vie de sa ville, de son quartier, de sa rue, afin de créer un climat où chacun s'améliore en compagnie et au contact des autres.
Les discriminations relatives à l'échelon social ou professionnel (ex : banques qui ne prêtent qu'aux riches et aux détenteurs d'un CDI)
Recentrer les activités professionnelles vers celles qui touchent à la cohésion sociale, à la production d'objets ou de services nécessaires, à la sauvegarde de l'environnement, et tout ce qui touche au bien commun. Oublier la hiérarchie en général, au profit de la complémentarité.
Non
None
L'immigration est au coeur de toutes les identités, nous devons accueillir ceux qui le souhaitent.
Non, chaque limite ne fait que repousser le problème chez le voisin, cela ne mène à rien.
Utiliser la diplomatie pour convaincre de l'utilité de l'entraide entre les individus, les régions, les pays. Arrêter la vente d'armes. Oublier les intérêts des financiers au profit des intérêts des citoyens.
- l'emploi s'il est gratifiant et rémunéré à sa juste valeur - la vie associative - la maîtrise de plusieurs langues (nationales et régionales)
"Responsabilité, équité, solidarité" pourrait devenir notre nouvelle devise nationale. Pas de Liberté sans responsabilité. Pas d'Egalité sans équité. Pas de Fraternité sans solidarité.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Réduire la production et la consommation industrielle, privilégier l'artisanat et les commerces/services de proximité (moins d'énergie grise, moins de plastique, moins de déplacements, moins de déforestation, plus de zones humides et préservées)
Oui
Dérèglement des saisons, quasi-disparition de la faune (et flore) sauvage en 20 ans dans les campagnes et les zones aquatiques (cours d'eaux, lacs, océans)
Oui
Achat de nourriture aux maraichers locaux, limites des déplacements polluants de loisir et professionels, limite de consommation d'eau et d'électricité, réduction des besoins au nécessaire, mise en commun des moyens localement
Isolation de l'habitat avec des matières très efficaces et très peu gourmandes en énergie grise (ouate de cellulose, paille,...), réappropriation du vélo, de la marche, réduction du rythme de vie au rythme humain au plus proche du naturel, prendre le temps de faire les choses par soi-même et en commun avec des matériaux naturels et locaux
Trouver une alternative à l'argent, en privilégiant responsabilité individuelle, autonomie et mise en commun des biens et des services
Oui
Organiser des cours/ateliers d'autoconstruction de poêles de masse, et permettre à chacun d'entretenir un espace boisé suffisant
Oui
Assurer un service gratuit de mise en relation des covoitureurs, assurer la gratuité des transports en commun, promouvoir l'utilisation de vélos confortables et simples à entretenir plutôt que celle des smartphones
None
Tout un chacun : les individus, les municipalités, les départementx, les régions, les états...
Proposer l'interdiction du lobbying industriel au niveau européen et international, choisir ses diplomates en fonction de leur engagement écologique véritable (car c'est la seule et unique priorité, préalable à toute autre préoccupation)
Il serait bon d'accorder les actes avec les beaux discours : les jeunes générations doivent non seulement apprendre à réduire leurs déchets et leurs différentes empreintes, et par corollaire leur consommation, mais aussi apprendre à vivre d'eux-mêmes : apprendre à faire pousser ses légumes, faire du feu, coudre, bâtir un abri confortable avec les matériaux disponibles, fabriquer ses outils...et surtout apprendre à apprendre par soi-même! C'est-à-dire trouver l'information utile, l'analyser, et y appliquer son sens critique.
Votre message a bien été envoyé.