La transparence des comptes publiques accessibles sur tout support y compris internet ... mais pas que ! Une vraie taxe Tobin qui s'appliquerait également aux produits dérivés financiers et aux obligations en plus des actions.
"La réunion des ministres de la zone euro du lundi 3 décembre 2018 a débouché sur l'annonce d'un nouveau projet de taxe Tobin. En réalité, cette nouvelle version poussée par Emmanuel Macron n'a quasiment aucune chance d'aboutir. Dans le but de donner l'illusion qu'il se bat toujours pour une taxe sur les transactions financières, Emmanuel Macron dégaine en septembre 2017, lors de son grand discours sur l'Europe prononcé à la Sorbonne, une "nouvelle taxe sur les transactions financières", destinée à l'époque au financement du développement de l'Afrique... à l'époque, le chef de l'Etat n'a pas trop insisté là-dessus, mais son idée consiste à mettre en place une taxe "à la française". Une TTF à la française, c'est en fait une taxe Tobin au rabais : il existe en effet déjà un impôt, en France (et au Royaume-Uni), qui se limite à un taux prélevé sur les actions, et rapporte moins de 2 milliards d'euros par an. Or le projet d'origine de TTF, qu'elle soit française ou internationale, s'applique également aux produits dérivés financiers et aux obligations. Une telle taxe pourrait ramener entre 16 et 18 milliards d'euros au seul Etat français." extrait d'un article de H.M. Publié le 06/12/2018 dans "Marianne"
Une telle taxe Tobin pourrait ramener entre 16 et 18 milliards d'euros au seul Etat français.
Une taxe Tobin qui pourrait ramener entre 16 et 18 milliards d'euros au seul Etat français.
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"La réunion des ministres de la zone euro du lundi 3 décembre 2018 a débouché sur l'annonce d'un nouveau projet de taxe Tobin. En réalité, cette nouvelle version poussée par Emmanuel Macron n'a quasiment aucune chance d'aboutir. Dans le but de donner l'illusion qu'il se bat toujours pour une taxe sur les transactions financières, Emmanuel Macron dégaine en septembre 2017, lors de son grand discours sur l'Europe prononcé à la Sorbonne, une "nouvelle taxe sur les transactions financières", destinée à l'époque au financement du développement de l'Afrique... à l'époque, le chef de l'Etat n'a pas trop insisté là-dessus, mais son idée consiste à mettre en place une taxe "à la française". Une TTF à la française, c'est en fait une taxe Tobin au rabais : il existe en effet déjà un impôt, en France (et au Royaume-Uni), qui se limite à un taux prélevé sur les actions, et rapporte moins de 2 milliards d'euros par an. Or le projet d'origine de TTF, qu'elle soit française ou internationale, s'applique également aux produits dérivés financiers et aux obligations. Une telle taxe pourrait ramener entre 16 et 18 milliards d'euros au seul Etat français." extrait d'un article de H.M. Publié le 06/12/2018 dans "Marianne"
Aux élu(e)s qui font confiance aux citoyen(ne)s. Aux élu(e)s qui vont vers les citoyen(ne)s pour leur permettre de débattre sur des sujets choisis Aux élu(e)s qui savent écouter avant de décider Aux élu(e)s humbles qui reconnaissent avoir des DEVOIRS avant de s'intéresser à leurs droits d'élu(e) "Les textes successifs qui sont intervenus pour renforcer la transparence de la vie publique, limiter le cumul des mandats, encadrer le financement des mouvements politiques et favoriser la parité de genre ont constitué d'indiscutables progrès. Ils n'en laissent pas moins subsister certaines lacunes qu'il convient de combler, dans un souci d'équilibre entre droits et devoirs des élus. En effet, le renouvellement de la classe politique nécessite, sur bien des points, un accompagnement législatif. Les citoyens attendent de leurs représentants des exigences en termes de probité et de représentativité : ils souhaitent une classe politique irréprochable et rajeunie." Henri Cabanel & Joël Labbé
Oui
Un vrai CESE avec droit de veto sur la parution de tous les textes législatifs
Etablir par un changement constitutionnel un Pacte Démocratique & Républicain. Un contrat civil entre les citoyen(ne)s et électeurs et les candidats postulant à un suffrage universel direct. Un contrat de délégation représentative élective engageant le futur élu(e) par ses intentions aux citoyens concernés par l'élection. Un contrat juridiquement opposable devant le tribunal administratif du territoire concerné par le mandat de l'élu(e). Officialiser le nouvel élu(e) et son engagement Républicain en le soumettant au serment solennel sur la Constitution avec déclaration sur l'honneur de servir le Peuple français dans les règles de l'honnêteté, de la franchise, de la rigueur, du dévouement altruiste et dans le respect des règles stipulées dans le contrat de délégation de la représentativité élective.
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Dans le cas de "l'ancien monde" on parlait de sensibilités politiques, des appareils politiques et des "politiciens" en charge de mandat dît "représentatif" ! Ca ne suffit plus dans "le nouveau monde"
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Par l'instauration d'un Pacte Démocratique & Républicain. Un contrat civil entre les citoyen(ne)s et électeurs et les candidats postulant à un suffrage universel direct. Un contrat de délégation représentative engageant le futur élu(e) par ses intentions aux citoyens concernés par l'élection. Un contrat opposable devant le tribunal administratif du territoire concerné par le mandat de l'élu(e).
Oui
A comptabiliser parmi les votes exprimés
Faire fonctionner à 120% la CNDP (Commission Nationale du Débat Public) sur tous les sujets stratégiques et vitaux de la France. Faire participer tous les français(e)s aux grandes orientations du Pays et pas uniquement via le numérique. Pour le reste de la logistique je vous fais confiance, vous du Gouvernement, pour essayer de ne pas réinventer la poudre à chaque fois que ce n'est pas nécessaire.
Non
Le RIP sous la forme proposé n'est pas approprié ni ne correspond à l'attente de la majorité des citoyen(ne)s qui se sont exprimé(e)s. La réponse est ailleurs.
Apprendre aux élu(e)s des collectivités territoriales à Rendre compte en permanence aux citoyen(ne)s de leurs actes et décisions prises en leur nom. Révolutionner le rapport qu'ont depuis au moins la 5° République les élu(e)s avec les électeurs et donc les citoyen(ne)s
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Oui
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Il conviendrait de s'inspirer de ce qui se passe sur notre territoire ultramarin qu'est La Réunion où là bas les cultes se sont toujours pratiqués dans le respect et la dignité. La laïcité à toute sa place au même titre que la République française. Et ce malgré le passé colonial de l'île. Pourquoi la métropole ne pourrait pas réussir aussi ! Se crisper sur le caractère laïque de l'Etat ne fait que renforcer l'antagonisme et l'implication de la République dans la gestion des cultes. Sa frise l'ingérence cultuelle. Etre en République ce n'est pas à mes yeux avoir des citoyen(ne)s identiques, insipides, à la culture et à la pensée uniques. Il en va de même pour la vigueur génétique du règne des êtres vivants, au plus il y a brassage et au plus il y a adaptation aux conditions environnementales et sociétales.
Ca s'appelle le Droit de Justice pour tous et chacun d'entre nous quelque soit son origine culturelle, sa religion, ses convictions, son statut dans la société.
"L'engagement citoyen dans la société" commence par écouter et entendre les manifestations de colère de la majorité des français(e)s aujourd'hui.
Permettre aux responsables politiques de rester humbles à leur juste place. Ne pas faire oublier aux élu(e)s qu'ils sont là où ils sont par procuration et non pas par despotisme ! Ca va sans dire mais ça va mieux en le disant voire en le criant haut et fort tout le temps
Par expl. un des comportements civiques et engagement concret seraient que les français(e)s qui choisissent d'externaliser leur capitaux et richesses numéraires soient listées et publiées au vu de tous les français(e)s et bien sur sanctionnés pour mauvaise conduite civique
MIEUX: Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement et le devoir des administrations et des pouvoirs publics dans les relations avec les citoyen(ne)s ?
Cracher par terre et ne pas mettre son clignotant en voiture
Les pouvoirs publics peuvent et répondent déjà par des incivilités de type: utiliser des armes à caractère létal, des tabassages, des coups invalidants dans les actes de maintien de l'ordre et de protection des citoyen(ne)s au quotidien.
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"LA LOI NE PEUT PAS TENIR COMPTE DES PERSONNALITÉS, DES PHYSIOLOGIES. ALORS, DANS LA MOITIÉ DES CAS, ELLE EST CRIMINELLE ET DANS L'AUTRE MOITIÉ, IMBÉCILE." Rémy de Gourmont
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Non
Nous avons besoin de services publics au service des Publics, et non pas avoir à faire à des entreprises privées délégataires des services publics. Les services publics doivent être assurés par l'Etat pour tous et chacun d'entre nous. Qu'il faille mutualiser les ressources et les compétences certainement mais l'Egalité et la Fraternité ne sont pas des valeurs ajoutées à déléguer. C'est d'abord dans le rôle régalien d'un Etat de pouvoir assurer à chacun un accès "gratuit" (financé par la fiscalité des collectivités territoriales dont l'Etat). L'Humain doit être au coeur des services publics, un soutien et une aide au désintéressement mercantile doit primer
Internet peut être un outil mais pas plus, les autres outils humains doivent persister encore aujourd'hui. La fracture numérique est un fait réel que M. J. Toubon le défenseur des droits à mis en exergue très récemment encore. Cet "barrière" numérique prive des millions de français(e)s des services publics. Est-ce que nos technocrates et nos élu(e)s lisent ces rapports ...?? J'ai l'impression qu'il y a comme un phénomène de "dissonance cognitive" décrit par Festinger qui consiste à penser : "quand la réalité se heurte à nos convictions profondes, nous préférons réévaluer la réalité que modifier notre vision du monde. Et si cela ne suffisait pas, nous nous arc-boutons encore davantage sur nos croyances."
Non
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La démocratie locale ne doit pas encore fonctionner car en milieu rural nous sommes hors zone, en zone blanche des services publics sans doute ! En zone de non communication de proximité avec nos élus locaux pourtant proche en terme géographique ...! Un maire a encore le redoutable pouvoir de faire ou ne pas faire, de dire ou de ne pas dire, de rassembler ou d'opposer de nouvelles idées qui émergent, d'imposer localement une pensée unique autocratique.
AUCUN Ils ont tous été dénaturés par l'ouverture aux DSP. Nous sommes devenus nous les français(e)s des Clients et non plus des usagers. La différence est de taille dans les relations quotidiennes.
TOUS Les services publics font partie du Patrimoine Commun et Républicain. Ils ont été bâtis par des fonds publics !
Non
Non
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Ne pourrions pas inverser le postulat des attentes. A savoir quelles seraient les règles à mettre en place pour satisfaire correctement les usagers des services publics afin que les administrations soient à l'écoute des citoyen(ne)s et non l'inverse comme du temps de l'ex Union soviétique ou l'individu devait en permanence s'incliner et remercier l'Etat et le guide suprême de tout le bien qu'il mettaient en place pour le bonheur du moujik.
Oui
Par de la délégation (vertueuse) sous contrôle comme ça se pratique couramment dans les entreprises privées
Oui
En donnant aux agents et aux administrations des moyens supplémentaires. En fin les moyens qu'ils avaient avant la casse et le démantèlement des services publics entrepris depuis plus de 30 ans par tous les gouvernements successifs
Les recettes sont anciennes et bien connues puisqu'elles ont existé et ont fonctionné jusque dans le début des années 1980
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La MDPH qui demandait de justifier année après année l'état de santé d'un petit trisomique qui de toute les façons le sera toute sa vie. Ou c'est mal connaître la pathologie des demandeurs ou c'est un filtre supplémentaire qui lasse et dissuade les demandeurs .... Bref c'est scandaleux !
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La Difficulté d'entre en contact avec la CARSAT et le RSA. Le standard téléphonique ne fonctionne mal, et il n'est pas offert là pour le coup à correspondre par courriel. Et quand par chance et pugnacité de votre part vous avez quelqu'un au bout du fil, la base de données de la CARSAT n'est pas systématiquement mise à jour, ce qui fait que vos demandes antérieures n'apparaissent pas et donc un entretien qui consiste à nous dire, écrivez nous !, de plus vous n'avez jamais un référent identifié pour votre dossier malgré ce qui est indiqué sur les courriers papiers de l'administration Le seul moyen est le courrier postal avec des délais de traitement > à 2 mois
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La MDPH qui demandait de justifier année après année l'état de santé d'un petit trisomique qui de toute les façons le sera toute sa vie. Ou c'est mal connaître la pathologie des demandeurs ou c'est un filtre supplémentaire qui lasse et dissuade les demandeurs .... Il a fallu être menaçant pour obtenir une révision du dossier et au final une prise en compte. Comme si d'avoir un enfant en situation de handicap il fallait en permanence se justifier, voire s'excuser ! Bref c'est scandaleux !
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La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Accepter, au même titre que nous avons besoin de l'immigration, Canis Lupus comme vecteur qualifiant du vivant. Le Gouvernement ne devrait pas privilégier la pensée unique en matière de gestion de Canis Lupus sur le territoire national. Le Gouvernement n'est d'ailleurs pas là pour privilégier tel ou tel groupe de pression, je pense aux "chasseurs" et aux "éleveurs" qui sont souvent les mêmes acteurs. Une gestion "raisonnée" suppose des compromis négociés acceptables par tous y compris la population française non agricole et non chasseuse. N'oublions pas que tous les françai(ses)s participent déjà et pas qu'un peu à l'indemnisation des seuls prélèvements (3.5 millions d'€ en 2018 (*)) causés par Canis Lupus sur les cheptels domestiques. Ceci devrait suffire à considérer que tous les françai(se)s sont concernés par la présence de Canis Lupus et donc il est urgent et républicain de ne pas gérer le dossier qu'à partir du seul point de vue des éleveurs et chasseurs. La problématique est nationale et dépasse largement les seuls intérêts des lobbys agricoles et cynégétiques (env. 1.5 millions de personnes). La distribution de cette argent public pour le bénéfice d'intérêts privés et individuels devrait poser question ....! (*) sur 1 budget d'env. 28 millions consacré au dossier
Oui
On a de plus en plus de mouche dans nos campagnes
Oui
En donnant des graines l'hiver aux petits passereaux
Faire en sorte que les citoyen(ne)s puissent être plus impliqués et entendus dans les communes et territoires ruraux. Sur la base de propositions concrètes relatives à la protection des espaces et des espèces locales. Propositions visant à préserver des Patrimoines communautaires comme les paysages, les milieux humides, les forêts et espaces communaux. Surtout quand ceux ci sont déjà intégrés dans des ZNIEFF ou zone Natura 2000. Inciter et participer à l'élaboration de Plan de Gestion pluriannuel.
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Les stratégies et choix doivent d'abord ici en France faire l'objet d'un débat public national afin d'établir une vraie "feuille de route" pour le chef d l'Etat et les ministères concernés.
Faire en sorte que les citoyen(ne)s puissent être plus impliqués et entendus dans les communes et territoires ruraux. Sur la base de propositions concrètes relatives à la protection des espaces et des espèces locales. Propositions visant à préserver des Patrimoines communautaires comme les paysages, les milieux humides, les forêts et espaces communaux. Surtout quand ceux ci sont déjà intégrés dans des ZNIEFF ou zone Natura 2000. Inciter et participer à l'élaboration de Plan de Gestion pluriannuel.
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