Date de publication : 2019-02-25
Code postal : 53970

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Il faut plus de transparence. Par exemple en mettant à disposition dans le compte Internet de impot.gouv.fr de chaque citoyen le détail exhaustif de l'utilisation des différents impôts. Les éléments communiqués jusqu'à présent sont largement insuffisant.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Il faudrait dans un premier temps remettre à plat l'ensemble de la fiscalité. L'impôt sur le revenu est l'impôt pour lequel le sentiment d'inégalité est le plus grand. Ceci s'explique par le fait que seul 45% des Français sont imposables. A cela se rajoute le fait que les célibataires sont ceux qui payent le plus du fait entre autre des différentes tranches qui composent cet impôt ainsi que de son mode de calcul. Idéalement, il faudrait un seul et unique impôt payé par chaque foyer fiscale. Cela induit donc de regrouper l'ensemble des impôts actuel (impôt sur le revenu, taxe foncière, CSG, etc.). Cela aura en point positif de faire disparaitre l'idée que certains payent des impôts et d'autres non. Une fiscalité juste est une fiscalité payé par tous en fonction de ses moyens, de ses sources de revenus (salaire, allocations, retraite, indemnités, etc.). Payer des taxes sur des taxes est une absurdité qui est malheureusement une réalité dans notre pays. Pour être plus efficace, il faut rationaliser la collecte de l'impôt. Le prélèvement à la source est un des exemples. L'incohérence de l'impôt tient dans le fait qu'il reviens plus cher de le collecter dans certains cas que ce qu'il peut rapporter. A titre d'exemple, l'impôt sur le revenu coûte plus qu'il ne rapporte dès l'instant ou le montant de cet impôt est inférieur à 62 euros pour un foyer. Cela démontre bien un souci de structure et de méthode dans la collecte de l'impôt.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

L'impôt sur la succession devrait être fortement revu à la baisse pour n'être que symbolique. Dans le cas contraire, les montants déductibles (100 000 euro par parents) doivent être sérieusement revu à la hausse). En règle général, dans le cadre d'une succession, est transmis l'habitation principale. Hors le coût des terrains et de la construction ont fortement augmentés depuis 20 ans et augmentent continuellement. Il n'est donc plus une exception d'avoir à transmettre une habitation dont le montant approche les 350 000 euros. Actuellement l'abatement est de 100 000 euros par parent et tout les 15 ans. Dans le cas ou les héritiers n'ont pas les fonts nécessaires pour payer l'impôt sur la succession qui pour un lien direct parent/enfant est de 20%, la conséquence est l'obligation de vendre pour pouvoir payer ces frais. Le délai de 6 mois donné pour payer les droits de successions impose souvent pour pouvoir vendre dans les délais de brader le bien. Ce délai devrait être porté à 1 an reconductible sur présentation d'un justificatif dans le cas ou il y a vente du bien. Autre conséquence directe lié au besoin de vendre pour payer les droits de succession, est la perte de notre patrimoine national. A tire d'exemple, une demeure classée monument historique comme un château se retrouve vendue le plus souvent à des pays étrangers faute de pouvoir payer les droits de succession. Les droits de succession en lien direct être nuls et entre membre d'une famille, hors lien direct, réduit à leur plus simple expression ; C'est à dire de 1%. Autre argument en faveur, un bien immobilier est taxé lors de son acquisition. Hors actuellement, il est aussi taxé lors de sa transmission. Taxe qui est d’ailleurs bien supérieur à la taxe d'achat. Le bien est donc taxé deux fois lorsqu'il reste au sein d'une même famille. Cela pose question. Il ne s'agit pas de créer des générations de rentier, mais bien de pouvoir transmettre le labeur d'une vie de travail aux générations suivantes. Comme l'espérance de vie augmente, la transmission de l'habitation principale se fait de plus en plus tard et les enfants qui en héritent sont souvent en retraite à ce moment là. Si nous voulons aider les nouvelles générations, il faut pouvoir transmettre aux petits enfants de la même façon qu'aux enfants à la condition ou il y a renoncement des enfants au profit des petits enfants sur un bien. Sans pour autant qu'il y ait renoncement sur l'ensemble de l'héritage. Dans ces conditions, les droits de successions devraient également être inexistant. Quid des familles monoparentales ? Diminuer la TVA sur les produits alimentaires dit de première nécessité. La faire passer au minimum possible, à savoir 5%. Taux minimum possible imposé par l'UE. En contre partie, augmenter la TVA sur certains produits dit de luxe. Par exemple, la TVA pourrait être différente sur ce type de produit par tranche en fonction du prix (0 à 50 000 euros = TVA à 20% ; 50 001 à 300 000 TVA à 25% ; supérieur à 300 000 = TVA à 33%). L'impôt sur le revenu est l'impôt pour lequel le sentiment d'inégalité est le plus grand. Ceci s'explique par le fait que seul 45% des Français sont imposables. A cela se rajoute le fait que les célibataires sont ceux qui payent le plus du fait entre autre des différentes tranches qui composent cet impôt ainsi que de son mode de calcul. L'impôt sur le revenu doit être refondu en profondeur pour enfin devenir équitable et juste.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Augmenter le temps de travail

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

L'aide aux personnes dépendantes et celles aux handicapées.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucune. La solution n'est pas une augmentation des impôts. Pour mémoire, la France est le pays ou les impôts sont les plus forts en Europe. Au vu des résultats pour notre pays, il n'est pas étonnant que les citoyens se pose la question de l'utilisation de nos impôts. La seule et unique solution est de diminuer d'au moins 25% les dépenses publics. Cela commence tout en haut de la pyramide par l'exemplarité. L'expression "faite ce que je dis et non ce que je fais" ne devrait pas être une réalité aujourd'hui. Autres pistes de réflexion : - revoir l'attribution des subventions nationales données aux associations, supprimer les subventions données aux syndicats, supprimer les subventions données aux parties politiques. Ces deux dernières catégories devraient pouvoir "vivre" des cotisations de leurs adhérents. - notre pays est un pays fortement social. Toutefois, les aides sociales doivent avoir des limites. Il n'est pas normal qu'une personne trouve plus avantageux de rester chez elle à toucher des aides sociales que de travailler. Bien que choquant, cela est bien une réalité. Les conditions d'attributions de nombres d'aides sociales doivent être revues. - revoir les prix des médicaments. Il n'est pas cohérent qu’un grand nombre de médicaments soient nettement plus chères dans notre pays par rapport au reste de l’Europe du fait que notre sécurité sociale rembourse bien ces derniers. Il ne doit y avoir qu'un seul est même coût. Le mode de calcul actuel qui se base sur le coût aux USA puis sur une négociation avec les entreprises pharmaceutiques est une aberration. Il doit être revu en profondeur et être changé pour enfin devenir intelligent.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'impôt sur la succession devrait être fortement revu à la baisse pour n'être que symbolique. Dans le cas contraire, les montants déductibles (100 000 euro par parents) doivent être sérieusement revu à la hausse). En règle général, dans le cadre d'une succession, est transmis l'habitation principale. Hors le coût des terrains et de la construction ont fortement augmentés depuis 20 ans et augmentent continuellement. Il n'est donc plus une exception d'avoir à transmettre une habitation dont le montant approche les 350 000 euros. Actuellement l'abatement est de 100 000 euros par parent et tout les 15 ans. Dans le cas ou les héritiers n'ont pas les fonts nécessaires pour payer l'impôt sur la succession qui pour un lien direct parent/enfant est de 20%, la conséquence est l'obligation de vendre pour pouvoir payer ces frais. Le délai de 6 mois donné pour payer les droits de successions impose souvent pour pouvoir vendre dans les délais de brader le bien. Ce délai devrait être porté à 1 an reconductible sur présentation d'un justificatif dans le cas ou il y a vente du bien. Autre conséquence directe lié au besoin de vendre pour payer les droits de succession, est la perte de notre patrimoine national. A tire d'exemple, une demeure classée monument historique comme un château se retrouve vendue le plus souvent à des pays étrangers faute de pouvoir payer les droits de succession. Les droits de succession en lien direct être nuls et entre membre d'une famille, hors lien direct, réduit à leur plus simple expression ; C'est à dire de 1%. Autre argument en faveur, un bien immobilier est taxé lors de son acquisition. Hors actuellement, il est aussi taxé lors de sa transmission. Taxe qui est d’ailleurs bien supérieur à la taxe d'achat. Le bien est donc taxé deux fois lorsqu'il reste au sein d'une même famille. Cela pose question. Il ne s'agit pas de créer des générations de rentier, mais bien de pouvoir transmettre le labeur d'une vie de travail aux générations suivantes. Comme l'espérance de vie augmente, la transmission de l'habitation principale se fait de plus en plus tard et les enfants qui en héritent sont souvent en retraite à ce moment là. Si nous voulons aider les nouvelles générations, il faut pouvoir transmettre aux petits enfants de la même façon qu'aux enfants à la condition ou il y a renoncement des enfants au profit des petits enfants sur un bien. Sans pour autant qu'il y ait renoncement sur l'ensemble de l'héritage. Dans ces conditions, les droits de successions devraient également être inexistant. La retraite de reversion veuvage est actuellement à 50 %. Il est candide et illusoire de penser que lorsque l'une des personnes d'un couple disparait, le coût de la vie, les dépenses sont divisés par deux. Dans les faits, le coût de la vie, les dépenses ne diminuent que de 25% au mieux. En conséquence, la reversion veuvage devrait passer à 75 % si le survivant n'a pas pu avoir les trimestres suffisant pour avoir une retraite minimale. C'est le cas par exemple d'une personne ayant arrêté de travailler pour pouvoir élever ses enfants. Récupérer la TVA des GAFAM. En effet, ceux ayant une facturation en Ireland ne payent pas la TVA. Cela rapporterait non pas quelques centaines de millions d'euros, mais bien quelques milliards d'euros. Le coût du carburant. Lorsque pour la toute première fois le prix du baril du pétrole a franchi les 100$, le prix à la pompe a dépassé les 1€. Aujourd'hui, le prix du baril est de 50$ et le prix à la pompe proche des 1,50€. Si la logique se poursuit, alors lorsque le prix du baril se rapprochera des 100$, le prix à la pompe atteindra les 3€ ! Cela est incohérent et non viable économiquement pour la population. Il est donc essentiel de revoir sérieusement la fiscalité sur le calcul du carburant à la pompe. Au lieu d'augmenter considérablement le prix du carburant à la pompe pour qu'il y ait moins de véhicules sur les routes, il serait plus intelligent de repenser en globalité les modes de déplacement des personnes et des marchandises. Dans le cas contraire, il n'y aura pas de solution viable et non irons dans le "mur". Les pistes de solutions sont donc : développer les modes de transports et de travail alternatifs. - Pour les marchandises, l'utilisation du réseau ferré (même si cela ne plait pas à la SNCF car pas assez rentable par rapport au transport voyageur et que la SNCF est à présent propriétaire d'entreprise de transport logistique qui utilise exclusivement les routes) et l'utilisation des eaux fluviales. - Pour les personnes, développer le travail à distance, favoriser le covoiturage, mettre les transports en communs gratuits. Développer les parking en périphérie des agglomérations en y incluant un trajet aller-retour en transport en commun. Cela sur le même modèle que la ville de Strasbourg dont le fonctionnement est en place depuis presque 20 ans. Le covoiturage doit être favorisé en particulier par les enterprises.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Les Maires parce qu'ils sont au coeur et en contact constant de la population. A cela se rajoute le fait qu'ils ne font pas pour la grande majorité d'entre eux de "guerre" politique gauche/droite. Les élus "parisiens" sont totalement déconnecté de ce qui se passe en dehors de la capitale.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Surtout pas les syndicats. Lorsqu'ils seront représentatif de la population française avec un taux d'adhérent de 70% au lieu de 5% actuellement alors cette position pourra être revue le cas échéant. Surtout pas les associations ou organisations religieuses, politiques ou associée de près ou de loin à un lobbying. Oui pour les associations de défenses du consommateur.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Que les élus ne soient plus des professionnels de la politique. Que les élus soient sortent de leur villes pour être en contact avec l'ensemble de la population.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Cela évite d'être juge et partie pris. Un cumul des mandats ne peut pas permettre à une seule personne de s'investir totalement dans son travail au profit de la population.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Mettre en place la proportionnalité.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Conseil régionale.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation est faible. La mise en place d'une obligation du vote ne doit pas être une solution envisageable. Pour faire participer ceux qui ne peuvent ni faire de procuration ni être présent lors des week-end des votes pour causes de long week-end comme cela est souvent le cas au mois de mai, mois des élections, la mise en place d'un vote également possible par Internet devrait être mis en place ainsi que la possibilité de pouvoir voter ailleurs qu'exclusivement dans sa commune. Cela est significatif de la perte de confiance dans les élus et surtout dans les parties politiques. Solution : que les parties politiques agissent au profit du pays et non de leur adhérents. Cela veux dire d’arrêter de faire des critiques négatives par principe sur une mesure prise par la majorité. D'avoir des critiques constructives et réalistes contrairement à ce qu'ils donc actuellement. Dans le cas contraire, la confiance de la population française ne fera que décroitre.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le compatibiliser au même titre que les autres votes.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

None

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Mettre en place une transparence exhaustive et dans le moindre détail des différentes dépenses. Permettre à chacun d'y accéder.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Consulter directement les territoires en se déplaçant sur place.

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Supprimer toute école à caractère majoritaire religieuse. Interdire toute subvention possible d'un état étranger et d'une organisation ou entité à tendance religieuse envers une école.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Remettre l'instruction civique obligatoire au programme scolaire.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Toute personne touchant une allocation et ne travaillant pas devrait travailler un nombre d'heure, à définir, au profit de la collectivité. Dans le cas contraire, nous créons des gens qui n'ont plus le goût de l'effort et qui s’imagine que tout leur est dû.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Avant toute chose, il faut définir précisément le terme "incivilité" dans cette question. Que la justice ne soit plus laxiste. Que la justice soit plus réactive. Il n'est pas normal que des procès se déroulent plusieurs années après. La mise en place systématique de travaux d'intérêts généraux pour les cas ou cela est possible. De responsabiliser et de rendre responsable les parents pour les actions de leurs enfants dès l'instant ou ces dernier vivent sous le toit familiale. Aujourd'hui, il apparait que les parents ne sont plus tenu responsables des conséquences des actes de leurs enfants.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Toute personne touchant une allocation et ne travaillant pas devrait travailler un nombre d'heure, à définir, au profit de la collectivité. Dans le cas contraire, nous créons des gens qui n'ont plus le goût de l'effort et qui s’imagine que tout leur est dû.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La situation n'est pas brillante. Il faut arrêter de penser que la France est un pays d’accueil sans contrepartie. Un pays ou il suffit de venir pour profiter du système de solidarité. En critère, il faut mettre en place des quotas en fonction de notre besoin en emploi.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Oui.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Définir précisément avec le MEDEF et les syndicats le besoin que notre pays dans le domaine de l'emploi dont la solution pourrait venir de personne immigré.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Obligation de parler et d'écrire le français au bout d'un an de présence. Dans les faits, une personne peut parler français au bout de 6 mois et écrire au bout de 1 an. Obligation de connaitre la constitution Française. Obligation d'adhérer par écrit aux principes et aux lois de notre pays. Obligation d'avoir trouvé un emploi dans l'année. Obligation d'avoir un casier judiciaire "international" vierge. Dans le cas ou le contrat ne serait pas rempli, la personne ne pourrait prétendre à obtenir la nationalité française, les subventions seraient supprimées et elle devrait quitter le pays. Le Canada a un système d'intégration sur lequel nous devrions prendre exemple.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'exemplarité des élus. Non cumul des revenus possible pour un élu : soit il touche son salaire de son emploi public ou privé soir il touche son salaire d'élu. Un élu ne doit pas pouvoir cumuler plusieurs rémunérations dont indemnités provenant de son statut d'élu ou d'ancien élu. A titre d'exemple, un ancien élu qui retravaille dans le privé devra choisir de soit toucher son indemnité d'ancien élu soit de toucher son salaire. Si la population n'a plus confiance dans les élus, c'est qu'il ne sont plus exemplaires et favorisent leur carrière au détriment de l'avenir du pays pour la grande majorité d'entre eux. Cela sans parler des différentes affaires judiciaires touchant de près ou de loin certains hommes politiques. Les élus ne peuvent pas demander l'application de règles ou lois à la population française si eux même en son exclu. Autre exemple, dernièrement la ministre de l'écologie qui se fait flasher sur autoroute à 150km/h en période de pic de pollution de surcroit. Cela fait perdre toute crédibilité à cette dernière. L’exemplarité passe par l'exemple.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Remettre l'administration au service de la population française. Rappeler que le service public est un service au public. Nombre de fonctionnaires n'en ont tout simplement pas conscience. Revoir les horaires d'ouverture des services public : ouverture de 12h à 20h du mardi au vendredi et ouverture le samedi toute la journée. Il est inconcevable de devoir poser une journée de congé pour aller à un rendez-vous dans une administration pendant 1h ou 2h. La solution du tout internet n'est pas une solution viable. Le contact humain est essentiel dans notre société.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

- Les spécialistes du secteur médical - Les médecins généralistes - La poste

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Le tout Internet n'est pas la solution. Cela coupe le contact humain qui est absolument nécessaire et indispensable.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Ouverture le samedi et en semaine de 17h à 20h. Développer d'avantage et communiquer sur l'existence de ses nouvelles formes de services publics.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Le trésor public.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

L'aide aux handicapée. La sécurité sociale. La CAF.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Les responsabiliser.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Remettre le service public au service de la population.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

positif : la possibilité de remplir par Internet. négatif : - L'obligation de devoir payer pour pouvoir prendre un rendez-vous avec un conseiller de l'ARGIC ARCCO (numéro de téléphone surtaxé) ou avec un conseiller de la sécurité social (numéro de téléphone surtaxé). - L'impossibilité de pouvoir se présenter à une antenne locale de l'ARGIC ARCCO sans devoir au préalable appeler un numéro de téléphone surtaxé. Il est inacceptable que pour devoir toucher sa retraite une personne ne maitrisant pas Internet doivent payer en appelant un numéro de téléphone surtaxé. Cela est préjudiciable pour les personnes d'un certain âge qui n'ont pas internet ou qui ne savent pas utiliser un ordinateur. Le facteur humain est inexistant.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Positif : pour les mutuelles, la possibilité de transmettre les justificatifs via son compte Internet. Négatif : pour la sécurité sociale, l'impossibilité de transmettre les justificatifs via son compte Internet.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Insatisfaction : - Devoir remplir un nouveau dossier pour chaque demande. - L'incompétence des personnes faisant partie des commissions de la MDPH devant lesquels les personnes en handicap doivent se présenter pour se justifier de leur handicap et de la demande qu'ils font. Cela est le cas en particulier dans le département de la Mayenne (53). Seule des personnes ayant un handicap ou une personne de leur entourage avec un handicap devraient faire partie de ces commissions.

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Une prise de conscience internationale et en particulier des entreprises de pays comme les USA, la Chine, la Russie et le Brésil (forêt Amazonienne).

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Hausse des températures. Fruits plus chères.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Non

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

None

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Mettre les transports en communs gratuits pour tous et partout.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Aucune. La solution ne peux pas être et ne doit pas être financière. Pour changer les comportements, il faut instruire et éduquer les gens et en particulier les plus jeunes.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Mettre en place une vraie aide financière comme la déduction fiscale intégrale des travaux et du matériel ainsi qu'une TVA à 0%.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Mettre les transports en communs gratuits pour tous et partout.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande|Le vélo|SNCF

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les régions, les communes et les grandes entreprises.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Il faudrait dans un premier temps que la politique environnementale soit cohérente au niveau européen puis au niveau mondial.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- L'arrêt du nucléaire en France est une très mauvaise idée. Cela n'est pas une solution viable pour que notre pays puisse devenir autonome dans ce domaine. - La mise en place des 80km/h dans les campagnes est le reflet du refus de voir les vraies raisons des causes des morts sur les routes. La lutte contre les accidents de la route doit passer par : - une analyse précise des lieux ou les accidents se passent afin de modifier ces zones dangereuses, de faire les travaux d'aménagement et de rénovation nécessaire. - de lutter considérer la consommation de stupéfiant dont le cannabis au volant au même niveau qu'une personne ayant bu de l'alcool. - les poids lourds étranger ne respectent pas dans leur grande majorité le code de la route français. Les conducteurs étranger devraient passer le code de la route français pour pouvoir accéder à nos routes. Obliger les poids lourds étranger qui traverse le pays de prendre le transport ferré. Avantage : limitation de l'usure de nos routes, baisse du nombre d'accident entre un poids lourd et un véhicule léger et donc baisse du nombre de mort sur les routes. - L'utilisation des hydrocarbures. Lorsque pour la toute première fois le prix du baril du pétrole a franchi les 100$, le prix à la pompe a dépassé les 1€. Aujourd'hui, le prix du baril est de 50$ et le prix à la pompe proche des 1,50€. Si la logique se poursuit, alors lorsque le prix du baril se rapprochera des 100$, le prix à la pompe atteindra les 3€ ! Cela est incohérent et non viable économiquement pour la population. L'augmentation inconsidéré du prix du carburant à la pompe ne peut et ne doit pas être la réponse pour faire diminuer la consommation de carburant. Au lieu d'augmenter considérablement le prix du carburant à la pompe pour qu'il y ait moins de véhicules sur les routes, il serait plus intelligent de repenser en globalité les modes de déplacement des personnes et des marchandises. Dans le cas contraire, il n'y aura pas de solution viable et non irons dans le "mur". Les pistes de solutions sont donc : développer les modes de transports et de travail alternatifs et changer de combustible. - Pour les marchandises, l'utilisation du réseau ferré (même si cela ne plait pas à la SNCF car pas assez rentable par rapport au transport voyageur et que la SNCF est à présent propriétaire d'entreprise de transport logistique qui utilise exclusivement les routes) et l'utilisation des eaux fluviales. - Pour les personnes, développer le travail à distance, favoriser le covoiturage, mettre les transports en communs gratuits. Développer les parking en périphérie des agglomérations en y incluant un trajet aller-retour en transport en commun. Cela sur le même modèle que la ville de Strasbourg dont le fonctionnement est en place depuis presque 20 ans. Le covoiturage doit être favorisé en particulier par les enterprises. - Pour changer de combustible, il faut développer, sortir des cartons les solutions dont les brevets ont été rachetés par l'industriel automobile et/ou pétrolière car jugé dangereuse pour leur domaine d'activité. L'utilisation de l'Hydrogène peut être une des solutions. Une smart-up française a trouvé la solution pour diminuer fortement le poids (80kh au lieu de 400kg) et augmenter la résistance à la pression du réceptacle (3000 bars au lieu de 1500 bars) mais n'intéresse pas les entreprises. Le gouvernement à toute sa place dans ce cas concret pour imposer la mise en place. Que cela plaise ou pas au lobbing. Le moteur à eau est aussi une solution. Pour contrer la problématique de l'eau et mémoire, l'eau est constituée par électrolyse à partir d'hydrogène et d'oxygène. - La baisse de la pollution passe en tout premier par un changement technologique des motorisations des domaines aéronautique et maritime. Croire que ne faire que des automobiles "propre" pour diminuer la pollution est une illusion. Les premiers et gros pollueurs sont l'aviation, les transports maritimes et les usines de charbons.