à un syndicat
Oui
Il serait bien qu'une place plus grande soit attribuée aux syndicats (trop peu de salariés sont syndiqués !) et aux associations, quelles qu'elles soient, mais je ne sais pas comment… Toujours est-il que je note un désengagement profond de la population pour les associations, notamment celles de parents d'élèves, qui vivotent de plus en plus, ou celles de loisirs où trop peu d'adhérents participent aux AG et au fonctionnement même de l'association. J'avoue qu'en tant qu'ancienne présidente d'association de parents d'élèves, je me suis souvent sentie seule et dépitée face aux désintérêts des parents pour tout ce qui concernait les activités proposées, alors qu'elles avaient toujours un lien, plus ou moins direct, avec l'intérêt de leur enfant...
Que les élus ne pratiquent plus la langue de bois, qu'ils cessent de faire des promesses qu'ils ne tiendront pas, et qu'ils répondent davantage aux questions pratico-pratiques des habitants.
Une bonne chose
Un mandat, c'est un engagement et, en principe, beaucoup de travail… on ne peut donc être efficace que sur un seul mandat. Et puis, un seul mandat permet d'éviter que trop de pouvoirs soient concentrés sur une seule et même personne.
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Oui
En poursuivant et encourageant la création des communes nouvelles, notamment dans le milieu rural, on peut réduire considérablement le nombre de maires, d'adjoints et de conseillers. En transférant les compétences des départements aux régions et aux communes (ou communautés de communes, ou communauté d'agglomérations), les conseillers départementaux ne seront plus nécessaire.
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Je ne sais pas
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les incivilités routières : le rappel du code de la route et des règles de savoir vivre sur la route pourrait être à faire, sous forme de formation obligatoire d'une journée, tous les 5 ans, par exemple...
Apprendre les règles du savoir vivre (mais elles ne sont pas les mêmes pour tous) et le respect de l'autre, dès le plus jeune âge à l'école… mais il me semble que c'est déjà fait dans de nombreux établissements ! Cependant, il faut chercher à comprendre pourquoi il y a autant d'incivilités… cela peut correspondre à un certain mal-être chez les gens, qui se traduit par de l'agressivité sur des inconnus, faute de mieux. Si les gens étaient moins préoccupés par leurs tracas du quotidien (souffrance au travail, pouvoir d'achat faible, démarche administrative fastidieuse à faire, charge mentale importante à gérer pour les femmes notamment…), peut-être y aurait-il moins d'incivilités. Bref, c'est en permettant à la population de vivre mieux son quotidien, qu'on parviendra à diminuer le nombre des incivilités.
N'avoir que de la bienveillance pour autrui… mais ça, ça me parait bien utopique !!!
Parmi les personnes reçues dans le cadre de mon travail, certaines ont pu dire : "si j'avais été arabe, vous m'auriez aidé plus" ou "les migrants ont des logements clés en mains dès qu'ils sortent des bateaux et nous, on doit se contenter de vieux logements dégradés"... Si de tels propos sont insupportables à entendre, le dialogue n'a jamais été possible avec les personnes qui les tiennent. Elles sont dans l'incapacité d'entendre un autre discours, notamment lorsqu'on veut leur faire entendre une autre réalité. Souvent pour couper court à ce genre de propos, je suis obligée de dire : " ce sont là vos croyances, auxquelles je n'adhère pas, elles n'ont pas lieu d'être dites ici, vous n'êtes pas là pour ça."
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Non
Si les personnes perçoivent des allocations de solidarité, c'est qu'elles sont déjà dans une situation de grande précarité. Leur permettre de bénéficier d'un accompagnement pour les sortir de là, oui. Mais vouloir mettre tous les bénéficiaires du RSA au travail, c'est ne pas tenir compte, qu'une partie de la population est dans l'incapacité de travailler. Certaines personnes, parce qu'elles sont "abimées par la vie", d'autres par la maladie, certaines cumulent les 2, d'autres encore pour des raisons familiales ou culturelles. C'est pour toutes ces raisons qu'un REVENU UNIVERSEL serait davantage approprié. Il résoudrait une partie des situations de grandes précarités et permettrait davantage aux gens de faire de vrais choix de vie. Sans compter que ça boosterait la consommation, relancerait une partie de l'économie et de fait, créerait de l'emploi...
C'est insupportable de voir l'Etat, les départements et les communes se renvoyer la balle concernant la prise en charge du public migrant. C'est tout aussi insupportable, humainement, en tant que travailleur social, de devoir dire à une famille qu'on ne peut rien faire pour elle et la renvoyer à la rue. Pourquoi est-ce si compliqué d'accueillir toutes ces familles dignement ? Pourquoi faire des différences de traitement des situations des familles, en fonction de leurs nationalités, leurs statuts ? Je pense que la France doit accueillir toutes les familles migrantes dont les pays sont en guerre, ou qui connaissent la dictature ou les mauvais traitements. Je pense aussi, que la France doit simplifier les procédures pour permettre aux familles d'obtenir plus rapidement le statut de réfugié, de s'installer au plus vite dans des logements autonomes et de bénéficier des accompagnements sociaux les plus adéquats (ce que font beaucoup d'associations avec peu de moyens !) pour faciliter leur insertion. Beaucoup de ces familles, avaient une activité professionnelle là où ils vivaient avant. Donc, si on leur permet de se réinsérer très vite, ils pourront aussi travailler et apporter leur contribution au développement de l'économie française. Il faut considérer l'accueil de ces familles migrantes comme un "investissement humain", donc une richesse pour notre pays !
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Donner les papiers nécessaires pour permettre aux familles de s'installer sans craindre d'être expulser, Leur permettre d'apprendre le français dans de bonnes conditions, aussi bien les adultes que les enfants, Leur verser une allocation de solidarité pour leur permettre d'assurer leurs besoins primaires : manger, se vêtir, se loger, apprendre, et ce jusqu'à ce qu'ils soient en capacité d'avoir leurs propres ressources, Leur proposer un accompagnement social adapté (en créant des services spécialisés dans les départements par exemple), pour plus d'efficacité dans les suivis, Leur donner l'autorisation de travailler et de convertir leurs diplômes d'origine quand ils en ont,
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Nos administrations sont trop rigides, impersonnelles, inhumaines, et ne laissent pas la place à la gestion des situations particulières
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Pas forcément. Il serait bon déjà que l'Etat donne les moyens, financiers et humains, aux collectivités territoriales pour assurer les missions dont il s'est désengagé...
Non
La CAF, la CARSAT, sont des services qui existent, mais qui sont devenus inaccessibles, par des heures d'ouverture au public très restreintes, et des accueils a minima dans les antennes où les personnes sont renvoyées vers des ordinateurs pour pouvoir avoir une réponse à leur demande. Ces services se sont déshumanisés ! Quant à l'accueil téléphonique, il est devenu inexistant ou fonctionne avec des plates-formes totalement inaccessibles au public démuni.
Développer les services sur Internet c'est bien, mais ce n'est pas suffisant. Surtout, cela ne doit pas se faire au détriment de l'accueil physique et du recueil de la parole et des demandes particulières des usagers.
Non
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Pourquoi ne pas inventer un "dossier unique" par individu, qui soit commun à toutes les administrations qui éviterait de devoir donner toujours les mêmes justificatifs à une multitude d'administrations et imaginer davantage de passerelles entre les différentes administrations : CAF, Pôle Emploi, CPAM, CARSAT, les bailleurs sociaux, les CCAS, les diverses caisses de Sécurité Sociale et de retraites,... bref, un seul matricule pour tout, avec des accès restreints à certaines informations pour les administrations en fonction de leurs missions...
Aucun, puisque tous se sont déshumanisés, en réduisant leur accueil physique et en développant des plates-formes téléphoniques inutilisables et inaccessibles.
Ceux qui s'adressent au public les plus démunis...
Oui
Non
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Une aberration : lors de certains contrôles (pourtant justifiés), la CAF peut suspendre la TOTALITE des droits des bénéficiaires (RSA, AF, APL...), et ce pendant plusieurs mois (6 à 8 mois pour certains !) laissant des familles dans un total dénuement pendant des mois, générant une grande précarité et un endettement rapide ! Comment, en 2019, peut-on laisser des familles, avec des enfants, sans aucun revenu pendant autant de temps ? Certes, souvent, il y a un rappel des droits versés aux familles, à l'issue du contrôle, mais il ne permet pas de régulariser toutes les dettes créées et les dégâts occasionnés (procédure d'expulsion engagée, comptes bancaires bloqués car découverts trop importants, coupure d'énergie, état dépressif des parents qui ont craint pour la santé et la sécurité de leurs enfants…)
Oui
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Oui
Remettre de la souplesse, du bons sens dans les fonctionnements et surtout rajouter de l'humanité ! Cesser de suspecter, de façon systématique, les individus comme s'ils étaient de mauvaise foi ! Certes, il y a des tricheurs, mais ce sont une toute petite minorité ! Peut-être demander directement aux fonctionnaires de base, comment ils voudraient pouvoir améliorer leurs conditions de travail, et par la même, le service rendu au public, car ce sont eux qui connaissent le mieux les besoins réels de la population. Il faut juste cesser de prendre des décisions en haut lieu, sans aucune concertation ni considération avec la base ! Concernant le fonctionnement même de l'administration, il serait judicieux de mettre davantage d'agents de base pour répondre correctement aux besoins du public, et de diminuer le nombre de chefs (pour beaucoup devenus inutile), en réduisant la lignée managériale...
En tenant compte des besoins REELS des habitants et en prenant en considération les spécificités et cultures de chaque territoire. Cela passe par des espaces de paroles à mettre en place pour être au plus près des habitants, et par une meilleure considération des fonctionnaires territoriaux de base qui sont les premiers interlocuteurs des publics dits difficiles. Concernant la Manche, nous subissons un désert médical qui grandit de jour en jour. A l'heure actuelle, si vous arrivez sur Cherbourg, ou si votre médecin généraliste part en retraite, il n'est plus possible d'obtenir un rendez-vous avec un autre médecin traitant. Plus aucun cabinet ne prend de nouveau patient ! C'est la même pénurie pour les dentistes, les ophtalmologues, les allergologues, les gynécologues, etc. Cette pénurie médicale a évidemment des retentissements sur les services d'urgences de l'hôpital (lui-même en grande difficulté financière avec diminution du personnel et aggravation de la situation pour les conditions de travail de tout ce personnel et des conditions d'accueil du public évidemment !), et sur SOS médecins (qui, ne fait plus de visite à domicile ! ce qui signifie que ce sont encore les plus démunis qui n'ont pas accès aux soins en urgence !). Sur le territoire, de nombreuses personnes renoncent aux soins, quels qu'ils soient, du fait de cette pénurie. D'où mes questions : - comment inciter de jeunes médecins (généralistes et spécialistes) à venir exercer et s'installer dans le Nord Cotentin ? - comment réduire la charge de travail administratif des médecins, pour leur permettre d'être plus disponibles pour les tâches purement médicales ? - pourquoi ne pas créer (ou développer) des maisons médicales, avec des professionnels médicaux diversifiés pouvant s'entraider (binômes médecin/infirmière par exemple) pour d'une part, gérer la "bobologie" , prendre le temps d'écouter les patients, et d'autre part, désengorger les services des urgences ?
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Difficultés à faire entendre mon point de vue et mon avis de parents d'élèves, auprès de la mairie, sur la réforme des rythmes scolaires, sur des difficultés rencontrées avec le personnel de cantine,...
En tant que travailleur social, j'ai pu recevoir de nombreux témoignages de personnes en quête d'emploi. Très souvent, des employeurs ont de nombreuses exigences sur les profils recherchés et proposent des rémunérations bien en deçà des capacités attendues. D'autres, notamment dans le maraichage ou la restauration, ont des exigences de rendements, tellement inatteignables, qu'elles découragent toutes les jeunes recrues. Aussi, ne serait-il pas judicieux, d'aller contrôler tous ces employeurs, qui cherchent toujours les mêmes profils de postes, en grande quantité (jusqu'à 50 emplois proposés chez certains maraichers !), ou de façon récurrente ? Un employeur qui n'est pas en capacité de garder son personnel, doit permettre à Pôle Emploi de se questionner sur les motifs d'un tel turn over… Les emplois proposés sont-ils correctement rémunérés ? Le personnel est-il bien traité (humainement) ? Pourquoi n'y auraient-il que les chômeurs qui devraient rendre des comptes à l'Etat ? Et pourquoi pas les patrons ? Au moins, ça permettrait une meilleure équité… et cela diminuerait, sans doute, la souffrance au travail dans certains endroits, si ces employeurs malveillants, étaient un peu plus contrôlés...
J'ai également accompagné des personnes dans leur préparation à la retraite… C'est une catastrophe, surtout pour les personnes qui ont cumulé de nombreux emplois, appartenant à des caisses différentes ! C'est un vrai casse-tête ! Sans compter que la CARSAT répond aux abonnés absents ! Impossible d'avoir un interlocuteur en direct au téléphone, juste une adresse mail, très impersonnelle. Lors de la constitution d'un dossier retraite qui a duré plus de 18 mois, il a été difficile de faire entendre à l'interlocuteur CARSAT de ne pas clôturer prématurément la demande d'ASPA, et il a fallu négocier, tous les trimestres, une "rallonge de droits" au RSA, avec la CAF, pour que la personne ne se retrouve pas sans ressource. Ce qui est insupportable dans l'instruction de ce type de dossier, c'est le renvoie permanent de la "patate chaude" entre les différentes administrations !!! D'où mon idée de "dossier unique" inter institutions !
Sentiment profond d'injustice quand la Sécurité Sociale refuse de prendre en charge des frais de transport en VSL, car vous ne rentrez pas dans les cases, alors que médicalement, vous ne pouviez pas faire autrement ! Même le juge d'instance, auprès de qui j'ai fait appel, était navré de cette incohérence !
Les délais de traitement des dossiers MDA dans le département sont de l'ordre de 8 à 10 mois ! Les listes d'attente pour bénéficier d'une prise en charge dans un CMP, un CMPEA, un CAMSP, ou un ITEP sont de plusieurs mois également voire plus d'un an ! Quant aux délais pour qu'un enfant reconnu handicapé entre en IME, ils sont au moins de 4 à 5 ans !!! Pendant ce temps d'attente, soient les enfants sont maintenus dans des classes maternelles devenues inadaptées, vu leur âge et leur handicap, soient ils restent chez eux, avec un des parent (qui doit abandonner son travail), souvent laissé seul sans soutien extérieur !
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