Date de publication : 2019-01-25
Code postal : 13007

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

J'aimerais que l'Etat diligente des enquêtes sur les coûts humains de la négligence de l'Etat en certains domaines, et partage les résultats auprès de tous. Et d'ailleurs partage toutes ses études diligentée en tous domaines, par lui même et par des instituts privés. Tiens ! j'ai oublié cette proposition dans le volet démocratique (certes déjà bien dense) : Faire des études de ce genre, par initiatives populaires... pas forcément par référendum mais par pétitions par exemple, ce afin de répondre aux interrogations des citoyens, qui échapperaient à la sagacité des politiciens, qui ont la tête dans guidon, pourquoi pas ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Savoir ce qu'il coûte de l'action sociale est une chose ; Savoir ce qu'il en coûte de son inertie le serait tout autant : Par exemple : Savoir ce qu'il en coûte du quasi abandon de l'étiquetage alimentaire sur la qualité nutritive/de santé des produits alimentaires en matière de santé publique ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Ou : "Quelle est la surmortalité chez les chômeurs et précaires, par rapport à ce qu'il en est d'une population témoin équivalente (avant leur déclassement social : Un ancien cadre peut ne plus être catalogué comme cadre après déclassement social. Donc comparer avec une population témoin correspondante à leur ancien statut) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ca promettrait d'être intéressant (a combien chiffrer une mort prématurée ? Combien aurait coûté de tenter de sauver une vie (en rapport, moyennement). Soit : A combien l'Etat évalue le coût d'une vie humaine non sauvée ? Un déclassement social non traité, etc... A partir de quelle somme cela ne vaudrait plus la peine d'après lui (par rapport à des soins palliatifs, au traitement d'un cancer, un sida, en comparaisons) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autre exemple : Combien l'abandon des politiques associatives culturelles en banlieues, des politiques de mixité sociale ou de la ville avortées, ont-elles coûtées de conversions salafistes dans ces banlieues ? A combien évaluer le coût d'une intégristisation ? (Coût en vies humaines par terrorisme interposé, etc.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A combien sont évalués les dégâts à terme d'un défaut d'investissement environnemental (évaluation des coûts d'investissement nécessaires par rapports aux coûts engagés contre coûts du cataclysme envisagés au final. A combien peut-on chiffrer l'effondrement général d'une civilisation ?.... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Questions non exhaustives évidemment... En fait il s'agit de calculer le coût des non investissements de l'Etat, de son inertie.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Comme dit la Déclaration des Droits de l'H. et du Citoyen. Que chacun contribue à hauteur de ses moyens. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50€ de plus ou de moins en impôts indirects (taxes) font toute la différence entre gêne et enfer pour un précaire (et leurs situations ne sont pas équivalentes pour le même niveau de revenus moyens entre urbains et campagnards, célibataires, couples, et familles monoparentales, etc, etc) . 200€ en + ou - pour une "classe moyenne" ne sera qu'une différence entre confort relatif et "moindre confort" (Et certes c'est le coeur de l'électorat "utile", mais qui pour autant n'aiment pas savoir les précaires délaissés : Un déclassement social est si vite arrivé d'un coté, et certains ont des amis ou famille dans le besoin. (70-80 % pour les Gilets Jaunes au début alors que non concernés pour la plupart !)). Et on ne parle pas des plus hauts revenus qui ne savent même pas comment dépenser leur argent aussi vite qu'ils ne le gagnent. [ Les milliardaires américains jettent leurs millions par poignées aux organisations caritatives, non tant par générosité que parce qu'ils ne savent même plus comment en profiter eux mêmes : Alors se narcissiser (à peu de frais !) dans le caritatif pourquoi pas ? Ca ne leur coûte même pas (chercher à le dépenser autrement, ils n'y arriveraient même pas ]. La différence avec l'impôt ? L'ISF : au moins c'est la délégation citoyenne (théoriquement) qui décide du bien fondé de son utilisation après étude de nécessité, et pas le milliardaire au gré de ses lubies (choisissant d'ignorer telle ou telle cause éventuellement pas moins importante, mais pas assez glamour : Privatisation du caritatif = glamourisation de celui-ci, voir prosélytisation anti laïque). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Par ailleurs, imaginez le précaire qui souffre cruellement d'une augmentation de taxe : Il aimerait sans doute bien que le milliardaire partage cette souffrance à minima (ne se paye pas une troisième villa dans les îles en mettant la main à la poche !)... D'ailleurs qu'est-ce que ça leur fait d'avoir 12 bagnoles au lieu de 17 alors que 10 d'entre elles ne sortent jamais de leurs garages : c'est juste une question d'égo ? Il en a juste plus que son concurrent ; certains politiciens ou avocats pérore avec leur montre (ou leur costard) alors que ces gens là ne savent même plus quoi faire de la pléthore des leurs. On les protège de quoi ? Franchement ? Dans l'item précédent, on demandait comment réveiller chez les gens leur engagement citoyen : Pour ces gens là, il suffirait de valoriser moralement leur participation au "bien commun" (voir proposition dans une autre question ci dessous : Affecter leur sur-imposition au sauvetage des précaires) : "Ah ben moi je paye plus d'impôt que toi, et fait ainsi plus de bien" (ça vaut bien : "j'ai plus de bagnoles inutiles que toi !" Non ? On sous-estime juste la valorisation de leur égo par là. On demandait ainsi quelle contrepartie on devait demander aux aides de la part des nécessiteux (ce à quoi je m'insurgeais de sa dynamique machiavellement culpabilisante). Idem pour ces gens : payer l'impôt non par culpabilité à être riche, mais par utilité sociale bien comprise . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah ! On nous dit que ça ne rapporte pas tant que ça ! Peu importe ! C'est le geste qui compte, sa solidarité avec le précaire qu'on torture avec ses 50€ de moins par mois. (Johnny (ah !) cherchait-il à échapper à l'impôt, même pas. ! C'était juste pour faire plaisir à sa femme grippe-sous, Lui il se foutait complètement de ce qu'il gagnait (et ne s'en préoccupait même pas) - Et oui, il y a quelques grippes-sous maladifs chez les hyper nantis, mais pas tant que ça : La fille Béttancourt se préoccupait plus de l'exploitation ignominieuse de la faiblesse mentale de sa mère que de l'argent que ça coûtait au fond. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ruissellement ? Les écarts de fortunes s'envolent partout dans le monde (quelques soient les régimes politiques dont ils se foutent royalement : il y a même des milliardaires chinois désormais) : ça n'empêche aucunement les précaires de s'en sortir mieux (quelques soient les régimes politiques toujours) Où est le ruissellement dans ces écarts toujours plus importants ? Au mieux "certains pauvres" (pas les précaires) gagne 2 ou 3 € de plus quand ils en gagnent quelques millions de plus. Non ! On peut les taxer à 70% (proposition d'un économiste à Davos) quitte à les exonérer directement des sommes réinjectées dans l'économie française dessus : Ruissellement incitatif direct (et même ces ruissellements fortement suggérés, les rendraient sans doute plus riches à terme : les investissement ça rapportent). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi franchement dans quel monde vivez vous ? La plupart ne gèrent pas leurs affaires : Ils laissent ça à leurs PDG. Les investissements économiques sont gérés par ces PDG sur le budget de fonctionnement de leurs entreprises, et absolument pas sur les rentes afférentes des milliardaires, qui les investissent, eux, dans leur dernière villa aux îles, voiture de luxe, tableau de maître ou robe de créateur. "L'économie ? Mais comme c'est ennuyeux...". Et allez ! Certes, leur comptable leur suggérera sans doute de se domicilier en Suisse (s'ils ont un moment à leur consacrer), et il faut sans doute peser le risque afférent. Mais soyons sérieux, leur fortune tombe déjà directement dans des paradis fiscaux : n'est taxée que la partie émergée de l'iceberg (des fifrelins en somme). Non, cette histoire d'exonération n'est que purement symbolique, juste pour que certains politiciens puissent se plaire à leur dire qu'ils les aiment ("- Ah oui ? Vous m'exonérez ? Parlez en donc à mon comptable, j'ai mon avion privé en partance pour Caracas, mon brave." Ce ne sont que fifrelins pour eux, qui ne valent pas qu'ils s'y attardent une minute (C'est un peu comme si on tentait de leur donner un pourboire : "Comme elles sont ridiculement ennuyeuses ces fourmis avec leurs comptes d'apothicaires : L'argent c'est fait pour ne pas y penser, allons !"). Non, si on veut leur faire plaisir, on les remercient infiniment de leur contribution : "Ah tiens ! Un larbin reconnaissant de son pourboire, au lieu de chercher à nous pincer par pure aigreur, comme c'est chou..." (pour un peu, ils doubleraient le pourboire). Bon allez ! Il y a des très riches, mais pas tant que ça (dans l'entre deux : c'est juste à leur endroit qu'il faut évaluer). Mais même à la limite, l'optimisation fiscale n'est qu'une distraction pour eux, plus que les fifrelins économisés : encore une question d'égo entre nantis : "Mon comptable se débrouille mieux que le vôtre mon cher : De combien ? Je sais pas trop mais j'ai gagné la partie, c'est juste ce qui importe". Ces gens là finiraient par s'ennuyer en fait. Rockefeller était accro à la chasse aux concurrents, jusqu'au jour où la Cour Suprême le priva de ses jouets (ils l'ont fait au pays du libéralisme sauvage figurez vous !), et il a fini par passer son temps dans le don caritatif avec ce qui lui restait de son immense fortune, juste pour se distraire après. Ils cherchent juste à ne pas s'ennuyer dans un monde où tout est à leurs pieds. (Trump a juste cherché une nouvelle distraction : Un truc pour flatter son égo La Présidence ? Juste un hochet). Ils en sont là, pas à compter quelques fifrelins en plus ou en moins. Votre déférence à leur égard est juste totalement à coté de la plaque. Gagner plus que le voisin n'est pas une question d'argent, mais un simple jeu (une sorte de Monopoly mondial pour personnes désabusées).

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Les miens (lol !) : Vous l'avez bien cherché là !...

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir la fiscalité indirecte (taxes imposées aux plus précaires qui n'en peuvent mais) . . je n'ai pas coché d'autres cases (dans un autre item ma case "Autres" a disparue ce faisant

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Proposition malthusienne tout simplement indécente ! Laissons donc tomber les indigents à leur sort ! (quitte à ce qu'ils en crèvent : Ou plutôt pour le plaisir pervers de les voir littéralement crever dans d'atroces souffrances : Beurk ! Mille fois Beurk ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . J'ai aimé une caricature d'un politicien disant à un aveugle : "Le chien d'aveugle qu'on vous a payé ne vous sert à rien : vous êtes toujours aveugle !". Le handicap social c'est pareil, les aides n'arrivent pas toujours à les sortir de là, mais qu'en serait-il s'ils ne les avaient plus ? (Maintenant, on peut réfléchir à une aide plus efficace, mais c'est indispensable en attendant mieux. Un peu comme si on enlevait son chien à l'aveugle pour financer une recherche médicale pour le guérir "hypothétiquement" de sa cécité à terme). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je verrai bien une autre caricature d'un précaire au fond d'un trou avec une échelle trop courte pour en sortir : avec ce commentaire du politicien au bord du trou "Quoi une rallonge pour votre échelle ? celle qu'on vous a déjà payée ne vous servi à rien, alors !?". Il manque toujours quelques cm aux actions sociales pour être efficaces : C'est tellement évident qu'on le dirait fait exprès pour justifier leur abandon (malthusianisme oblige). Fut un temps on expérimentait : Une politique novatrice à droite et une autre à gauche (et devant et derrière, au dessus, dessous) et on faisait le bilan des plus prometteuses après. Mais égalité ou standardisation oblige (?) désormais on fait partout pareil (et bien sûr quand on se plante, c'est dans les grandes largeurs : "ah ben non ! plus d'expérimentation, la dernière à grande échelle a coûté un pognon de dingue... Pourquoi donc en grand partout ? Et pourquoi pas par petites touches ici et là. On cherche constamment à innover (expérimenter) dans la technique, l'espace, le CERN, etc. Pourquoi pas dans le social ? (Malthusianisme ?) : Il fat expérimenter à petite échelle ici et là a fin de comparaison à terme)

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Ce n'est pas une question de "domaine", mais d'ajustements fins : Aucun précaire ne devrait plus craindre pour sa santé (logement, chauffage, alimentation, habillement, suivi médical... décents, voir crainte de déclassement social : santé psychique). j'ai bien peur que les cocus des Gilets Jaunes, ce soient eux : Ceux qui n'ont même plus les moyens de protester.. les éternels laissés pour compte de la solidarité. Il y a eu récemment 10 000 expulsés (1500 + famille) sans solution décente à Marseille, mais quand on organise une manif pour eux, ils ne sont qu'une cinquantaine à venir. Et ce n'est pas parce que leur situation n'est pas intenable, mais parce qu'elles le sont justement (impossible de savoir où les contacter pour les informer des actions entreprises pour eux (pas d'internet, de portables ou de points de contact identifiés, de télé, de journaux). Ils sont livrés à eux-mêmes dans le plus grand dénuement (que l'Etat s'investisse sans passer par la Mairie démissionnaire qui ignore l'importance de ces vies massacrées (une chambre d'hôtel miteuse pour une famille nombreuse c'est censé répondre au problème (on ne peut pas faire la cuisine à l'hôtel : interdit !)), c'est vraiment vraiment dramatique (vue une fillette bonne à l'école auparavant en pleine chute, avec comportements alarmant : elle renverse son verre par terre quand on lui donne à boire ! Mr Macron : Cette fillette n'attendra pas les conclusions de cette enquête, elle a un besoin urgent de solution IMMEDIATE ! ! ! - quitte à refacturer à la Mairie cet investissement après, (ou pas : c'est vraiment pas leur problème)). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je rajoute l'aide aux dépressifs : incapables de faire face aux démarches qui leur permettraient d'obtenir les aides auxquelles ILS ONT DROIT pour sortir de leur problématique... D'ailleurs soyons clairs, les précaires sont surtout dépressifs (ou borderlines), assommés par le traumatisme de leur déclassement social généralement, et ont vraiment besoins d'assistance(s) (pas seulement psy, aide aux démarches, à domicile, quand ils en ont encore un) pour sortir de leur torpeur maladive (au sens propre). S"entend qu'il ne faille pas attendre qu'ils fassent les démarches pour les aides aux démarches (cercle vicieux) : Ils faut aller les chercher où ils se terrent (N° vert pour signaler les cas en détresse sociale : Et financements d'associations dédiées comme pour le Samu Social).

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Le tissu associatif qui s'occupent des besoins des gens au plus près d'eux (MAIS avec un cahier des charges rigoureux, avec moyens EFFICACES afférents (laïcité, etc)).) Et encore une fois, c'est pas mes impôts qui vont les soutenir : Tenez ! Mettez-y l'ISF (Et certes la politique de l'impôt dédié est un peu complexe à mettre en oeuvre). Mais je suis sûr que si cet impôt était spécialement dédié à l'aide aux aux plus précaires, ils s'en sentiraient sans doute fiers, car se sentant mieux considérés par la population pour ça (moins de jeu de cache cache avec le fisc, vraiment trop mesquin face à l'enjeu). Soit ils payeront pour se faire bien voir, renouer avec des sentiments moins agressifs à leur endroit, voir reconnaissants, soit ils magouilleront au risque de passer pour des salopards finis (y compris aux yeux de leurs pairs) Une bonne façon de réconcilier les français avec les prétendus "exploiteurs". Les privilégiés d'un ordre citoyen basé sur l'abolition des privilèges. (ce serait un tour de force de retourner ce préjugé issu de la révolution).

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Ah oui ! Dépressions toujours : Un dépressif sera incapable de faire ses démarches dans les temps (déclaration, payements, voir se faire mensualiser, contraventions, etc.. Ce sont des symptômes de leur maladie, et hop 10 % de majoration, voir frais de saisie à chaque manifestation de leurs symptômes (un peu comme si les impôts se majoraient automatiquement à chaque métastases d'un cancéreux (Kafka !)) , Et je ne parle pas de leur incapacité de monter leur dossier d'infirmité en vue de prise en compte financière de leurs indemnités auxquelles ils ont" théoriquement" droit en dépit, mais aussi en raison de, leur infirmité dûment constatée par ailleurs. En plus ne comptez pas sur eux pour prévenir de leur difficultés (voir proposition (ci dessus) de Samu Social spécial dépressifs, infirmes et handicapés pour négocier avec les impôts l'annulation des majorations (voir des contraventions : un dépressif se garera sur un stationnement payant le dimanche (gratuité) en pensant déplacer son véhicule le lendemain matin, mais mettra 10 jours à changer de place : Sont parfois incapables de sortir faire des couses pendant 4 jours alors qu'ils ont faim... Alors !....). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi il faudrait soutenir les services publics : Le judiciaire d'abord : Il est indigne de voir la magistrature se démener avec des bouts de ficelles. Il y va quand même de la séparation équilibrée des pouvoirs (le financement de la justice devrait-être indépendant du bon vouloir de l'exécutif et du législatif - faudrait trouver un modus operandi). N.B. : idem pour le législatif qui devrait être indépendant financièrement de l'exécutif (qui par exemple trouve que le nombre de parlementaires coûte trop cher (la séparation des pouvoirs n'a pas de prix : Nonobstant que le législatif soit généralement à la botte du pouvoir par Partis majoritaires interposés.... (et on comprend qu'une simple chambre d'enregistrement des décisions de l'exécutif, soit trop cher. à régler aussi.)). Mais aussi la santé, l'éducation, etc.. Privatiser ? J'ai été dans une clinique où les économies se faisaient en transformant des postes d'infirmières en postes d'aides soignantes faisant leur bouleau sans qualification (les infirmières les forment à l'arrache sur certains soins, et roule ma poule) ; ma fille a accouché dans une clinique privée où des crucifix ornaient les portes des chambres (quid de la prise en compte des désirs d'avortement éventuels dans ces cliniques ?). Privatiser pourquoi pas ? Mais pas de façon déloyales, en subordonnant les remboursements à une charte d'objectifs et de moyens, et éthique équivalent ). Je ne parle même pas des écoles confessionnelles. Pourquoi pas privatiser la justice, la police et l'armée sans contrôle idéologique tant qu'on y est. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .L'idéologie libérale serait ainsi de considérée l'Etat comme une entreprise rentable avec un PDG (Président) qui organiserait ses administrations suivant des critères purement financiers. (et conforme à son idéologie libérale en dépit des besoins des citoyens : jusqu'où leur santé, le respect de leurs droits sont-il rentables par exemple ?).

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

La question n'est pas qui mais comment : Quel contrôle ? (Où la façon de poser la question détermine un certain type de réponse) . . . . .On nous propose de signer un chèque en blanc tous les 5 ans, et entre temps makache : Circulez y a rien à voir (j'ai voté 7 fois à la présidentielle en 45 ans. C'est ça la démocratie ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L'art 38 de la dernière loi dite de confiance (on se fout vraiment de notre gueule) est ainsi tout à fait symptomatique. Il dit que les loobbies religieux sont désormais occultes (pour des représentants de forces occultes ?). Bref, si les cathos demandent de l'indulgence pour leurs prélats complices de pédophiles, ou les musulmans des subsides pour leurs associations de quartier, personne n'en saura rien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La confiance c'est d'abord la transparence, et ensuite les capacités de suivi (évaluation d'abord, contrôles) de l'action des nos élus. Le contrôle se résume au renouvellement du mandat, ou pas, en fin de mandat. Justement une nouvelle loi nous donne le droit à l'erreur de bonne foi : On devrait pouvoir faire valoir qu'on s'est trompé en élisant tel ou tel élu : Soit qu'on ait mal compris son programme (ça arrive) ; Soit on s'aperçoit qu'il est trop partisan en n'oeuvrant pas tant pour le bien commun (compris de ceux qui ne l'ont pas élu donc) que pour son clan social ; soit il ne tient pas ses promesses ; soit il s'avère être un incapable ; soit on le sent pervers (il dit faire ce qu'il a prévu, mais on sent bien qu'il poursuit manifestement des buts cachés) ;. etc, Soit le tout ou parti), etc. Mr Gaudin, Maire de Marseille, responsable de 8 morts et de beaucoup de précarisations indignes de personnes par expulsions illégales sans solution alternative digne, aurait dû démissionner par simple décence (en laissant la place à quelqu'un de sa majorité, là n'est pas la question, quoi que)... s'il ne le fait pas, il devrait pouvoir y avoir un recours pour le pousser vers la sortie. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . On pourrait subordonner cette remise en cause du mandat des élus à des éléments objectifs (catastrophe non maîtrisée durant le mandat, creusement important des déficits, non prise en charge correcte des plus fragiles (augmentation de leur masse, prise en charge nettement insuffisante), etc. etc. à définir plus finement) Dans le cadre des reproches ne seraient évidemment pas retenus les fausses raisons (reprocher un creusement de déficit imaginaire par ex.). Avec éventuellement une demande en deux temps : Première demande (avec un quota de signature suivant mandat), comme avertissement, puis seconde demande la confirmant 6 mois ou un ans après : Avertissement suivi d'une confirmation si l'élu ne convainct pas qu'il est en voie de remédier aux problèmes soulevés : auquel cas vote de destitution éventuelle (si le 1er vote dépasse 60%, 66%, il prendrait effet immédiatement). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En fait, je me base sur la "Déclaration des droits de l'homme et du citoyen", qui précise que les élus doivent oeuvrer au "bien commun", et non tant au bien présupposé par leur clan (les élus doivent rassembler TOUTES les bonnes volontés attachées au bien commun et coordonner leurs actions comprises opposées parfois. On peut avoir des convictions sur ce qu'est le "bien commun", sauf à se montrer manifestement trop partisan (en dénigrant de façon dégradante une certaine partie des citoyens, en en faisant des boucs émissaires. Le partisianisme (clanique) devrait être le premier motif de remise en cause des mandats). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITIONS (à affiner) : voir ci dessus, mais aussi il faudrait revoir de fond en comble le mode de représentation. Il y en a marre ainsi qu'on donne un chèque en blanc tous les 5 ans, mais pas seulement.... On donne un chèque global : Il peut y avoir une certaine majorité pour une politique de santé, et une autre totalement différente pour une politique de sécurité qui n'a absolument rien à voir . . . Idem économie, retraites, écologie, agriculture, entreprenariat (petit et gros), chômage, transports, éducation, armée, diplomatie, etc.. . . . . . . Alors quand on vote on est obligé de voter pour un packaging global avec lequel on n'est pas d'accord sur les deux tiers bien souvent (faute de cocktail plus proche du nôtre) : Le candidat idéal de chaque électeur serait ainsi un cocktail de plusieurs options politiques par domaines. Voter juste contre le FN n'est absolument pas une caution aux options politiques de l'alternative (qui eut tout aussi bien être RI ou FI sans plus de caution à leur politique particulière. (je veux dire qu'on pourrait tout aussi bien donner caution à deux politiques totalement opposées pour la même raison : faire barrage au pire, ou jugé tel). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Bref imaginons un exécutif éclaté 3 élus "Santé" (uniquement chargés de la politique de santé : trois parce qu'il faut de la diversité d'opinion, mais dans une dynamique majoritaire : à trois, il y a toujours une majorité normalement) ; 3 élus Transports, Education , Ecologie, etc (uniquement chargés de la politique de leur secteur. On peut imaginer des packagings genre "social-santé" parce que c'est interdépendant ou Economie-armée-diplomatie idem) mais en gros ce serait au parlement de décider des subventions secteurs par secteur sur la foi de prévisions chiffrées d'objectifs et de moyens (et chargé de contrôler si lesdits subsides ont été utilisés à bon escient). On pourrait ainsi avoir un pôle sécuritaire d'influence RI, et un pôle social FI , un pôle économie: LREM, transport sans étiquette, etc. N.B. : Etant bien entendu que chaque pôle de l'exécutif oeuvre toujours pour le bien commun, et non pour des clans au détriment d'autres. Rien ne dit dans la déclaration des Droits de l'homme que tous les pouvoirs devaient être concentrés en un seul exécutif (héritage monarchique) ; Une seule main qui ne répondrait que très partiellement aux désirs du peuple en maints domaines (irait dans le sens majoritaire de l'économie contre le chômage (privilégié par la plupart, mais pas pour la santé, l'écologie, etc. que des majorités de gens ne soutiendraient pas par ailleurs). On peut aussi imaginer que tel ou tel secteur soit gérés par des gens compétents dans leur secteur, et pas celui du voisin tout à fait indépendamment. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Se pose la question de la cohérence ? Eh bien, ces divers pouvoirs exécutifs discuteraient entre eux (le pôle médical ferait ainsi remarquer au pôle social que sa politique a des conséquences médicales et réciproquement, le pôle social interpellerait le pôle économique sur l'injustice de leur politique, etc. . . . . . . . . . . . . . . .Et tous ces pôles pourraient s'auto désigner (ou le parlement à voir) un grand coordinateur ("Premier Ministre") dont le rôle serait essentiellement de susciter (voir imposer en cas de blocage) des coordinations entre ces différents pôles. Le rôle du Président de la République serait de provoquer de nouvelles élections sur un pôle qui dysfonctionnerait manifestement (mais sur foi de motifs prédéterminés tangibles) ou ne seraient pas capables de s'arranger ensembles (social & économique : Chacun ayant intérêt à trouver un compromis sous peine de dissolution des deux). Mais on peut tout aussi bien imaginer d'avoir AUSSI recours au vote d'initiative populaire.. Si le parlement se montrait trop partisan en accordant pas des subventions pertinentes par pur sectarisme politique, le Président ou l'initiative populaire pourrait le dissoudre (prévoir un quota de signatures conséquent) ; Ca, ce serait de la vraie séparation des pouvoirs (exécutif-législatif) qui est théoriquement à la base de toute bonne démocratie. J'imagine aussi que la politique passionnerait bien plus les citoyens de par les débats politiques ainsi suscités, qui ne seraient ainsi par tranchés définitivement pour 5 ans, mais se manifesteraient au cas par cas des sujets abordés. La question des exécutifs éclatés n'est pas tant, mais aussi, une question de plus grande proximité avec les voeux des citoyens, c'est aussi une question de séparation des pouvoirs, ou une trop grande concentration de pouvoirs exécutifs-législatifs aux mains d'un seul clan lui donne trop de pouvoir : Ce n'est pas sain (DDHC : Art. 16. "Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, "ni la séparation des Pouvoirs déterminée", n'a point de Constitution".) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je prône ainsi une République de la concertation et du dialogue, plutôt qu'une démocratie de vainqueurs de majorités changeantes sur des minorités appelées à subir, voir d' "hommes" providentiels suivis dévotement par leurs idolâtres devant des minorités appelées à ronger leur frein encore une fois.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

C'est délicat. En fait, il faudrait presque organiser des plébiscites pour légitimer chaque association et subventions afférentes. Mais ce serait quand même compliqué (quoi que pourquoi pas un vote tous les 5 ans pour valider les associations (pas oui ou non, mais un quota de oui minimal - par exemple pour l' "aide aux migrants" : on sent bien que les RN voteraient contre : peu importerait s'i elles avait leur quota de pour). Soyons clairs : il ne s'agirait pas de monter les citoyens les uns contre les autres (le soutien aux retraités contre le soutien aux familles mono parentales ou aux migrants, de voter pour ou contre des aides qu'on mettraient en concurrence. Non il s'agit de promouvoir les actions qui sont jugées utiles par un nombre conséquent de citoyens investis (sans devoir être forcément majoritaire dans le pays) D'ailleurs la vocation première de ces associations est d'oeuvrer pour des causes minoritaires oubliées des majorités (qui n'intéressent pas suffisamment les Partis politiques pour raisons électoralistes (parfois très glauques). Il est évident que de tels soutiens associatifs doivent être totalement transparent et traités équitablement (pas de sur-financements inadéquats discriminants)). Par exemple,, l'aide aux myopathes n'est sans doute pas un sujet majoritairement mobilisateur. il suffirait d'un quorum minimal de personnes investies (pas trop élevée) à atteindre pour valider cette association. (Question du genre : "Pensez vous que cette association soit utile pour aider ces gens oubliés des politiques publiques ?") Mais bon, ne soyons pas dogmatique les politiciens peuvent déléguer une partie de leur action aux associations sans avoir caution démocratique (autre que celle de leur élection), C'est juste que ces "plébicités" partiels mettraient certaines à l'abris d'un lâchage politique intempestif (ainsi pourraient aussi en compromettre d'autres tout aussi injustement - compliqué disais-je (mais une réelle démocratie ne peut faire l'économie d'une certaine complexité) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Personnellement, je suis de ceux qui pensent que l'engagement associatif est l'engagement le plus citoyen (c.à.d. politique) qui soit, mais paradoxalement aussi le plus difficile à justifier et le plus ingrat aussi. Prenons une petite commune qui n'élirait pas de maire (pas de candidat) et les gens s'organiseraient entre eux pour financer ce qui doit l'être comme il leur chante, juste par engagement citoyen ; ce sans déficit (pourquoi pas tant que ça marche ? C'est de la politique, j'irais presqu'à dire "de la vraie", du moins pas moins valable que l' "intronisée") . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi ces subventions ne pourraient être accordées qu'à des associations non discriminantes : Seulement pour les vieux nécessiteux soit, mais tous les vieux nécessiteux : pas seulement chrétiens, musulmans, communistes, etc. s'entend (en évitant même toute allusion à de telles obédiences (subsides publiques détournées à des fins de prosélytisme déguisé en oeuvres charitatives : Si on veux faire du bien, on le fait avec tout le monde, pour tout le monde, et pas pour faire mousser son obédience communautariste égocentriquement (mais avec aides de l'Etat, pardi !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi lesdites associations (syndicales, associatives, ou autres ayant une certaine caution démocratique) devraient êtres nécessairement prises au sérieux : Si c'est juste pour les écouter poliment en leur opposant une fin de non recevoir au final, en maltraitant leurs finances (initiant d'ailleurs ainsi des maltraitances managériales), c'est juste de la manipulation, de la Com cynique (initiant des mouvements informels comme les Gilets Jaunes, qui, justement, ne veulent plus de représentants qu'on écouterait pas vraiment, et qui veulent se faire entendre sans intermédiaires désormais inutiles).

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Déjà : Faudrait un peu d'imagination aux élus : C'est quand même à eux de montrer qu'ils sont à l'écoute de leurs électeurs. (on est à l'heure d'internet quand même : sont pas obligés de répondre personnellement à tous les internautes, mais peuvent déléguer pour trier les interpellations). Enfin ! .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Démocratie participative, comme ici. Mais réellement : Y aura-t-il un vote sur les propositions qui émergeront ici ? On sent bien l'entourloupe à terme (faites aux syndicats avant : "on écoute vos propositions mais on les jugent incompatibles avec NOTRE mainstream au final"). Notons ainsi qu'il n'y a pas ici de possibilité de commenter les diverses propositions des autres (enrichissement aux concepts, par renforcement ou minorations). et non plus de possibilité de liker ET unliker. S'entend qu'une proposition idiote peut être mainte fois likée, mais donne une indication sur les préoccupations qu'elles soulèvent (consensuelles ou clivantes etc.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Voir propositions sur le premier item ci dessus.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Ces propositions ne sont ni indispensables ni exhaustives, mais relève de réelles préoccupations . Ainsi il devient aberrant de voter par circonscription ((tous les citoyens d'une circonscription ne font pas partie de même groupe sociaux, avec des préoccupations fort disparates, où un clan remporte le jackpot au détriment des autres, et souvent les mêmes) (Quid des territoires ? Le Sénat peut parfaitement les représenter *). Ainsi les précaires sont minoritaires dans chaque circonscription, les ouvriers de même bien souvent les petits paysans, etc.. Jusqu'à présent les circonscriptions étaient bien utiles pour l'organisation des votes, mais font fi des intérêts des minorités. Je propose que les gens votent par catégories sociales (avec des élus en proportion de leurs représentativités respectives. Non plus des élus du Gers ou de l'Alsace, mais des élus "ouvriers", "précaires", "cadres", "petits paysans", et "gros" (séparés(, "gros et petits entrepreneurs" (séparés), "personnels de santé", "de l'éducation" etc.. Chacun aurait donc bien de réels représentants de leurs problèmes spécifiques. Nous ne serions plus dans une République de la condescendance, où on écoute distraitement les récriminations des uns et des autres sans réellement les prendre en compte. Les règles de votes parlementaires pourraient être changées : Une majorité des représentants concernés devrait être requise pour chaque vote afférent à leur domaine : Par exemple un vote sur l'organisation de l'entreprise devrait certes avoir l'aval de tous les députés, mais également un vote majoritaire des représentants des employés (tous confondus) d'un côté, et des employeurs (tous confondus) de l'autre : Une République du dialogue toujours, où chaque camp devrait trouver des compromis avec leurs partenaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . [ Quid d'élections compliquées à catégorie multiples ? D'abord on pourrait organiser des élections partiellement informatisées (les urnes étant réservées aux webophobes) Ensuite le nombre de "collèges" étant théoriquement pléthorique (20, 30 voir 50), on pourrait ne mettre qu'une urne (il suffit de vérifier que les électeurs mettent bien une enveloppe correspondant bien à leur catégorie sociale dans l'urne (et les bulletins ne correspondants pas à la catégorie dans l'enveloppe seraient comptabilisés comme blancs): N.B. : pas besoin de catégoriser dans les dépouillements locaux : juste transmettre les résultats de chaque candidat à l'organisme centralisateur qui, informatiquement, dispatcherait automatiquement les votes par catégories (un candidat ferait nécessairement partie de sa catégorie afférente, et en comptabilisant ses voix, elles serait ainsi automatiquement dispatchées ] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . * Le Sénat : On pourrait imaginer un Sénat à 3 têtes : 1/ Les collectivités locales ; 2/ Une autre représentant les citoyens à la proportionnelle intégrale ; 3/ Une autre représentant un collège d'experts élus par leurs pairs diplômés dans leur domaine (économie, sociologie, médecine-biologie, psychologie, recherche fondamentale en science "exactes", climatologues, juridique, etc. etc. = tout ce qui est de l'ordre de l'expertise sociétale et technique) . . . Le Sénat global débattrait de chaque question pour s'enrichir mutuellement, mais voterait les amendements par "tête" (chacune des 3) . . . L'intérêt ? Le Sénat Local jouerait son rôle habituel, le Sénat "Proportionnel" celui d'exprimer la voix globale du peuple, et le Sénat Experts d'exprimer un avis d'experts éclairés. . . . Bref, l'Assemblée pourrait ne pas tenir compte de leurs amendements, MAIS... Ce faisant prendrait le risque de rejeter, soit les avis des collectivités locales de terrain, soit de la majorité des citoyens, soit des experts. En gros, en refusant leurs avis, ils prendraient le risque de se faire juger sévèrement à terme si leurs lois mènent à la gabegie au final (on pourra leur faire remarquer qu'ils n'ont pas pris en compte les avis éclairés des uns et des autres qui les avaient bien prévenus (des Locaux les ayant prévenus que les lois seraient inapplicables sur le terrain, du Peuple que le peuple n'était pas d'accord d'emblée, des Experts qui prévoyaient une gabegie). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N.B. Le pôle "Expert" permettrait ainsi d'éviter le défilé des lobbyistes de tout poil à la solde des intérêts financiers (bidonnage d'expertise). On aurait ainsi l'avis d'experts reconnus par leur pairs comme sérieux (on supposera que des scientifiques et apparentés essayeront d'élire des gens représentant dignement leur discipline - juste pour éviter de porter l'opprobre sur leur domaine de compétence, valoriser leur discipline). Les lobbyistes devrait donner tous leurs rapports à cette tête sénatoriale en vue d'expertise sérieuse et impartiale qui serait adjointe à ces rapports avant communication aux députés et exécutif. Reste la délicate question de la définition des différentes "spécialités" à représenter, mais je pense qu'entre scientifiques et apparentés, ils seront à même de proposer d'eux mêmes des domaines d'expertises utiles par cooptation : "Tiens ? Sur telle question nous n'avons pas d'experts pour pouvoir l'éclairer pertinemment : Quel domaine d'expertise nous manque-t-il donc pour ce faire ?" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je sais que la tendance "coculiste" est à crier haro sur la pléthore de représentants (présumés globalement trop chers), mais ça c'est juste parce que les institutions sont verrouillées par les partis politiques. Ainsi dans les deux chambres, il suffit qu'un parti donne une consigne de vote pour que tous les parlementaires desdits partis votent "comme un seul homme", (et d'ailleurs c'est ce qu'ils se passe généralement par délégation de vote), de même à quoi servent des parlementaires majoritaires aux ordres de l'exécutif (séparation des pouvoirs !). Et effectivement, vu comme ça une dizaine de parlementaires suffirait à l'assemblée par exemple (nonobstant le travail de commission). SAUF que dans le modèle proposé, chaque représentant (ouvriers, petits paysans, commerçants etc., etc.) aurait son mot à dire et pourrait faire basculer un vote, (Les représentants "Expert" (Sénat) seraient sans doute plus attachés à leur discipline qu'à un Parti, ou une religion par exemple (bioéthique), les votes par "catégorie sociales" feraient ainsi sans doute émerger une pléthore de petits partis plus attachés à leur "catégorie sociale" qu'à de grands courants politiciens. (Eventuellement les grands Partis politiques devraient fonder des sous sections pour présenter des candidats dans le plus de "classes sociales" possibles, candidats qui devraient aller voir leurs électeurs pour faire le point de leurs problèmes, et aboutiraient sans doute à des propositions sociales assez différentes d'une classe à l'autre... Pour ne pas éclater ces partis devraient donc initier des dynamiques de compromis politique à l'intérieur même de leurs Partis, réfléchir à la fois de façon plus diversifiées, plus proches de chacune des problématiques sociales particulières tout en travaillant à des synthèses certes difficiles, mais moins monomaniaques. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Nos politiciens si attachés à leur carrière et privilèges nous répondrons que tout ceci est bien trop compliqué pour que les gens y adhèrent. Mais demandons leur d'abord ce qu'ils en pensent (ne prenons pas les électeurs pour des imbéciles) : Je pense sérieusement que cette prétendue "complexité", en dynamisant le débat démocratique, passionnerait plutôt l'électeur moyen en rapprochant les élus de leurs problèmes d'abord, et en créant ensuite ainsi de l'émulation dans les propositions sociétales. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi, notons que ces propositions ne visent pas seulement à rapprocher la politique des citoyens, mais aussi à diluer les pouvoirs : Trop de pouvoirs concentrés dans les mains d'un seul clan est dangereux. Mr Macron essaye de nous vendre une certaine efficacité "compacte" : Exécutif-législatif ramassé. Il commet la même erreur que de penser que l'Etat de Grace durerait indéfiniment (c'est le meilleur, comme ses prédécesseurs s'entend), il ne pense qu'à l'efficacité de son mandat, pas à l'alternance : Aussi bien le prochain Président aura des tentations totalitaristes : Les majorités devraient plus penser l'organisation politique, non tant dans la perspective d'optimiser leurs propres moyens, que dans une perspective d'alternances menaçantes : "Que feront donc mes opposants de la concentration de pouvoirs que je vais leur laisser ? (ils n'auront même plus la peine de devoir aménager le pouvoir à leur convenance : leur prédécesseur s'en sera chargé). Pour le clan libéral, l'Etat devrait être géré comme une entreprise : Un PDG qui organiserait la démocratie de façon à optimiser son efficacité, au détriment de valeurs telles que la séparation des pouvoirs (ralentissant la concentration de ses pouvoirs : Quid de cette optimisation concentrationnaire dans les mains d'un pouvoir à tentation totalitaires à la suite ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . De même, j'envisagerais éventuellement une autre petite assemblée élue au suffrage universel, parfaitement proportionnelle, et qui n'a pas besoin d'être pléthorique, chargée de circonscrire les auto-prérogatives des différents pouvoirs : Ainsi il est simplement hallucinant que les parlementaires et exécutif fixent eux mêmes leurs émoluments, leur nombre, voir prérogatives institutionnelles. ou que l'exécutif fasse lui-même du découpage électoral (à son avantage) Elle serait exclusivement dévolu à contrôler l'équilibre des différents pouvoirs, leurs financements respectifs et s'occuper des décisions que les autres politiciens ne peuvent pas prendre par eux même par simple conflit d'intérêt. Elle pourrait travailler avec le Conseil Constitutionnel, la Cour des Comptes, voir le Sénat (volet technique ou plus ) sur certaines questions de contrôle des différents pouvoirs (ingérences réciproques, voir droit de regard sur les lobbyistes). Le président de la république est ainsi garant de la constitution cette garantie serait ainsi conjointe entre cette instance et le Conseil Constitutionnel qui pourrait tacler tel ou telle instance outrepassant ses prérogatives (Les décisions pourraient y être prise aux 4/5ème, voir 2/3 des voix). Elle pourrait aussi être chargée de contrôler que les ayants droits sociaux ne soient pas injustement privés de leur droits par radiation intempestive et unilatérale d'une administration (par pression indue du pouvoir exécutif) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je ne pense pas que le modèle démocratique actuel soit simple, mais juste "simpliste" et carrément archaïque, car diluant les réelles volontés citoyennes : Un peu de complexité apparente, mais rapprochant les élus des problèmes de leurs ouailles ne peut que réconcilier les citoyens avec la politique. (d'ailleurs, les électeurs adorent les affrontements politiciens, et à la limite un peu plus de confrontations entre leurs différents élus en vue de compromis improbables ne serait pas pour leur déplaire, si tant est qu'ils sentent leurs problématiques plus prise en compte. Pour l'instant ils trouvent juste que leurs élus confisquent leur parole durant 5 ans , durant lesquels tout est joué d'avance (chèque en blanc frustrant).. . . . . . . . . . . Ce que j'en dis...

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Plus de représentants au fait des conséquences des politiques menées (séparation des pouvoirs). Je serais tenté de dire que les politiciens ne devraient pouvoir briguer un mandat national qu'après un parcours local (expérience de terrain oblige et matière à juger de leur sérieux par leur professionnalisme passé). Mais après tout, les gens sont présumés assez matures pour choisir à leur convenance (et surtout, vu mes propositions ci avant, après, le vote pour des "apparentés politiciens" perdrait de son importance au profit de réelles représentativités. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En plus, un élu d'une grande ville ou un parlementaire a suffisamment de travail d'évaluation fine de ce qu'il doit valider comme décisions (même en déléguant), pour ne pas avoir à se disperser. Si on envisage que de tels mandats pourraient faire l'objet d'un mi-temps (! ! !), alors il faudrait envisager de les payer comme des mi-temps (Député-maire = mi-indemnités député + mi-indemnités Maire), c'est juste, non ? (ah ! On m'apprend que le nombre de candidats à la double investiture vient de chuter brutalement). Et si un tel mi-temps devait avoir lieu, il faudrait un autre élu pour occuper l'autre mi-temps afférent. Logique non ?

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

D'abord je refuse le concept même de partis politiques tous puissants. Pourquoi pas ? Mais quand même, ça pose sérieusement problème sur le concept de séparation des pouvoirs. Théoriquement le législatif devrait-être séparé du pouvoir exécutif (c'est la base de la démocratie. DDHC : Art. 16. "Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution".. Quand même !). Or il est évident, à part de trop rares cas de coalition, ou de cohabitation que cela n'est pas le cas : trop souvent le parti de l'exécutif est le même que celui de l'Assemblée, où les députés sont tancés de voter aveuglément toutes les propositions de l'exécutif sous peine de radiation. (Où est la séparation des pouvoirs ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Donc j'ai fais... ci-dessus... maintes propositions tendant à faire participer un plus grand nombre de Partis politiques (y compris de petits) tant à l'exécutif qu'au législatif.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Il y a trop de niveaux de responsabilités locales dont les compétences se chevauchent dans un embroglio incompréhensible : Mairies, conurbations, départements, régions, national. il faut débroussailler, mais intelligemment. Voir propositions sur la représentativité et les prises en compte des votes des représentants ci-avant, à mettre également en oeuvre au niveau local, régional etc. (supprimer les départements par exemple, simplifier les communautés de communes : Mairies communes, soit mais avec arrondissements : compris en zones rurales)

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

J'ai longuement répondu à la question dans mes propositions précédentes (notamment dans le premier item ici ; et sur celui "Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?" Qui est un peu redondant. Tout dépend de la nature des mandats confiés, et des suivis possibles, voir révocations idem.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Simplement ! Un élu qui obtient 55%, 60% des votants se pensera tout puissant, mais si tous réalisent qu'il ne comptabilise que 45% des inscrits, cela l'incitera peut-être plus de modestie, et à plus tenter de convaincre de la pertinence de son action. Les politiciens sont de grands narcissiques, :qui pensent être les meilleurs des meilleurs parce qu'ayant "gagné" leurs élections (ils adorent généralement l'état de grâce en n'imaginant que rarement que cela n'aura qu'un temps). Ce n'est qu'après l'élection qu'ils ont à faire preuve de leurs compétences et respect des citoyens, tous les citoyens, compris leurs opposants et supposés indifférents) : et prendre en compte les votes blancs (ET abstentions) les ramèneraient à plus de modestie, et plus de réalisme pragmatique.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Sur le vote blanc, j'irais plus loin : Un vote blanc est une expression forte. Il exprime le fait qu'aucun candidat ne satisfait l'électeur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Deux solutions, . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1/ il faudrait que le vote blanc surpasse chacun des deux candidats restés en lice pour invalider l'élection. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2/ Prendre le vote blanc en compte comme le résultat d'un autre candidat virtuel. D'où si un des 2 candidats ne passe pas la barre des 50% des suffrages exprimés (le vote blanc étant alors réputé exprimé) l'élection est invalidée (imbroglio !). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3/ Aussi, le blanc peut vouloir dire bien des choses (qu'on supposerait à tord comme homogène), et on suppose généralement que ce ne serait que "aucun candidat ne représente l'électeur", mais peut aussi vouloir dire "le mode de représentation proposé ne lui semble pas pertinent" (et encore une fois pour de multiples raisons). (peut-être que deux bulletins dit blancs pourrait différentier ces deux motifs principaux de refus : ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. En fait, le second (et 3ème) cas de figure serait plus pertinent, mais pose un sérieux problème d'organisation d'un troisième tour éventuel : Quel autre candidat proposer au suffrage ? (refaire le vote "tel que" entraînerait sans doute le même résultat). Je propose donc de revenir sur l'organisation du 1er tour en me basant sur le malheureux 1er tour de l'élection Chirac-Le Pen, où tout le monde sait bien que la majorité du corps électoral attendait logiquement Jospin au second tour (car représentant toutes les forces de gauche qui s'étaient éparpillées au 1er). Le fait que les deux candidats pressentis au dernier tour d'une élection n'ai pas recueillis ensemble 50% des voix au précédent tour, présuppose qu'un des autres candidats eut pu rassembler l'ensemble des sensibilités minoritaires exclues (mais représentant ensembles plus de 50% des voix) pour battre les deux autres candidats (c'est juste virtuellement anti-démocratique), et on ne peut que sérieusement se poser la question sur l'élection présidentielle de 2002, voir 2017 (manque de légitimité logique, à défaut d'institutionnelle tronquée) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Faire des élections à trois tours éventuels. Accéderaient au second tour tous les candidats ayant obtenus ensemble au moins 50%. (voir tous ceux ayant au moins eu 15%). ne seraient qualifiés au 3ème tour que les deux 1ers candidats du second tour (vote utile)i. D'abord les gens ne voteraient plus tant "utile" au premier tour (enkystage des Partis politiques) que suivant leurs convictions, pouvant faire apparaître de réelles nouvelles sensibilités. Ensuite, des ressentiments tels que "Jospin aurait pu gagner si le mode de scrutin avait pu prendre en compte "le désir global" de Gauche". Il ne s'agit pas tant de promouvoir des modes de scrutins justes et équitables (quoi qu'évidemment d'abord), mais des modes de scrutin donnant réellement à penser que toutes les grandes sensibilités politiques on bien eut toutes leurs chances jusqu'au bout. (Règle 50% : 2nd tour 2002 = Chirac-LePen-Jospin ; 2017 = Macron-LePen-Fillon, (avec la règle 15% = Macron-LePen-Fillon-Mélanchon)). Rappel : Il ne s'agit pas tant de promouvoir des modes de scrutins justes et équitables (quoi qu'évidemment d'abord), mais surtout des modes de scrutin donnant réellement à penser que toutes les grandes sensibilités politiques (au moins 15% : Par le passé toutes les grandes sensibilités qui ont dépassé les 15% distançaient toutes les autres), eurent bien eu toutes leurs chances jusqu'au bout : En minimisant ainsi les ressentiments des gens qui ne se reconnaîtraient dans aucun des 2 derniers en lice . . . . . . . N.B. : la règle des 15% n'est ainsi pas rationnelle : Mélanchon n'avait ainsi aucune chance sur le papier (les 3 autres candidats ayant ensemble 50% des voix), mais sait-on jamais, les électeurs du FN, nationalistes et populistes, eurent pu envisager que leur candidate, ayant moins de chance de l'emporter que Mélanchon (sondages éventuels : Macron-FN = 60-40 ; Macron-FI = 55-45), eurent pu voter utile et voter pour un autre populisme nationaliste (ou inversement FI-> FN). Sans doute le résultat final eut été le même, mais pas forcément les derniers candidats en lice : Le "clan populiste-nationaliste n'eut alors pu invoquer un mode de scrutin présupposément tronqué avec moins de frustrations afférentes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Que dire ? La légitimité de l'élection du Président Chirac (ou Jospin ?) s'en serait trouvée renforcée en 2002. Idem pour la légitimité du Président Macron (ou autre) cette fois ci : Les 2nd et 3ème tours étant alors plus conforme à la volonté sous jacente du corps électoral. Donc la comptabilisation des bulletins blancs auraient moins d'importance : les déçus du premier tour auraient été moins nombreux (ayant donné toute leur chance à toutes les sensibilités). Où on pourrait alors envisager de ne prendre en compte les bulletins blancs que s'ils dépassaient chacun des deux derniers candidats en lice (ayant donné toute leur chance à toutes les sensibilités) par ailleurs encore une fois). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .[ Trois tours c'est un peu lourd, on peut imaginer deux tours ou le premier tour prendrait virtuellement en compte un second tour fantôme. Chaque électeur glisserait deux bulletins dans son enveloppe (1er et 2nd choix de candidat (de couleurs différentiées et 1er et 2nd bien explicites dessus)). On compte deux voies pour le premier choix des deux premiers candidats arrivés en premier (en jetant leurs 2nd choix) et on rajoute les 2nd choix restants concernant les autres candidats arrivés au pied du podium (une voie 1er choix + une 2nd). Mais là c'est trop complexe pour une bonne logique et compréhension générale (complotisme en vue) ]. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Que faire en cas où il y aurait néanmoins plus de blancs que chacun des 2 derniers candidats ? (cas improbable) Peut-être faire les législatives d'abord avant de refaire l'élection présidentielle depuis le départ. (Ceci dit l'idée d'élection à 3 tours vaut pour toute élection à deux tours (sans proportionnelle s'entend). On pourrait imaginer qu'il n'y ait pas de député des circonscriptions (ou classe sociale), si les "aucun candidat ne me convient" dépassait le total des voix des deux candidats de la finale., idem aux présidentielles (Premier Ministre issu de l'Assemblée sans Président).... Encore une fois cas de figure fort improbables.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Ah ! J'ai longuement développé la question ci avant. Mais se pose la question du référendum d'initiative populaire (j'allais dire coculaire). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C'est très séduisant sur le papier... MAIS, d'abord, si c'est pour faire comme le référendum sur le traité européen, ou les discutions avec les syndicats (foutre le résultat à la corbeille), est-ce bien la peine ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais ce qui m'importe avant tout c'est le respect de la "Déclaration des droits de l'homme et du citoyen". Aucun vote ne doit porter sur la limitation du droit à son opinion, et expression de celle ci, sans pression intempestive. Avec UNE nuance : Une opinion visant à nier la liberté d'opinion d'autrui n'est pas une opinion, mais une coercition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prenons un sujet délicat "l'islam" : Argh ! Certains (certains) musulmans ne reconnaissent pas le droit à l'apostasie (voir le droit à interpréter les textes à sa manière)... Ils sont clairement dans le déni de la liberté d'opinion. Soyons clairs : la liberté d'exprimer son opinion peut être vestimentaire (hijab par ex.) : pas de problème normalement, sauf à considérer que certains fassent pression sur d'autres pour imposer ce hijab : Le droit de porter le hijab DOIT avoir pour contrepartie l'acceptation sans condition que certaines ne le portent pas, (que des musulmans quittent l'islam, etc.). Et ceci renvoie à la question des territoires perdus de la République. La question n'est pas tant du droit à vivre sa foi, mais de considérer que certains territoires soient communautairement "le leur" (En gros on n'y a pas droit de penser autrement que la majorité : Où ces courants de pensée seraient hors la loi - au cas par cas des individus le prônant - : déchéance de citoyenneté et prison pour ceux qui feraient pression sur la liberté d'opinion des autres). Ca pose surtout la question de la mixité sociale. Dire dans un quartier majoritairement "musulman" (présupposé commode) que c'est la République est délicat : Ainsi on ne peut pas (quoi que parfois ?) y mettre un flic derrière chaque intégriste (ou présupposé tel) pour les envoyer devant un juge à chaque fois qu'ils tentent d'imposer le foulard à une femme qui n'en veut pas.. Ce serait nettement moins problématique si une politique volontariste de mixité sociale était entreprise. Si les "musulmans" (qui ont du mal à se démarquer des intégristes) habitaient dans des quartiers où ils seraient très largement minoritaires (ce qu'ils sont au niveau national en fait), les pseudo intégristes se verraient vite remis à leur place : "Non ce n'est pas une terre musulmane ici, mais un quartier français, dont tu fais partie comme les autres ni plus.... ni moins". ou "qu'est-ce que tu fais chier cette jeune fille pour porter un foulard, on est en République ici". (Pas besoin de police pour rappeler l'ordre républicain). Chacun ferait ainsi l'effort d'un vivre ensemble parce que PERSONNE ne serait supposément "majoritaire". (Idem en classe : dans une classe très mixte, les petits "musulmans" se verraient plus facilement rabroués quand ils contesteraient tel ou tel enseignement). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Certes, la laïcité impose qu'on ne discrimine pas les gens quand au choix de leur quartier d'habitation en fonction de leur croyance. mais le problème est inverse : Les "musulmans" (arabes ou noirs en fait) se voient discriminés au logement et à l'embauche, et finissent donc "mécaniquement' par se retrouver ensembles dans des quartiers paupérisés. En fait, vus les problèmes de ces quartiers, nombre d'entre eux aimeraient sans doute bien les quitter. Il s'agit donc de leur proposer d'aller habiter dans des quartiers moins "pauvres" et déclassés, et surtout très mixtes, pas en masse évidemment, mais au cas par cas (et certes il s'agit de faire de la discrimination positive au logement, et donc de prendre en compte leur ethnicité supposée en dépit des principes laïques.: Mais à un moment, il faut savoir être pragmatique aussi, et encore une fois ce n'est pas de la discrimination négative, mais tout le contraire : leur donner une réelle chance de non discrimination anti-laïque. La laïcité précise ainsi que nul ne doit être discriminé en raison des ses opinions (et ethnicité afférente). Et si l'Etat veille à ne pas faire de discrimination (enseignement, fonctions publiques, prestation sociales, etc., il se doit aussi de veiller à ce qu'aucun citoyen ne discrimine de même (interdit par la loi : DDHC). Or il est évident que la discrimination au logement et à l'embauche sont "d'ordre privé" (mais juridiquement condamnable). Alors déjà l'Etat devrait organiser des "testings" afférents auprès des logeurs et employeurs (voir quelle proportion de maghrébins, noirs etc. n'ont même pas de rendez vous pour une location ou un emploi, et éventuellement sanctionner gravement les particuliers opérant "manifestement" des discriminations. Mais qui ne sont pas toujours évidentes à mettre en lumière). Aussi si statistiquement des minorités sont discriminées, leur offrir un seconde chance par des mesures compensatrices : Petits logements sociaux dans des quartiers non paupérisés, pour commencer (au moins ils seront moins discriminés à l'embauche en fonction de leur quartier d'habitation), ensuite avoir une politique d'emploi en discrimination positive (N.B. : Pas forcément par ethnie ou couleur de peau : Un Franchouillard en passe de désocialisation aurait ainsi droit à la même "discrimination "positive" : Il s'agit de ne pas inciter aux ressentiments du style "tout pour eux, et rien pour nous". Une discrimination positive vis à vis de tous les déclassés sociaux ne bénéficierait pas qu'aux "communautés", mais à tous sans distinction (le fait que certaines communautés soient plus impactées, donc plus aidées que d'autres, ne serait qu'une question à priori périphérique à cette politique) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bref, la question de la laïcité n'est pas tant une question d'ordre républicain, de référendum discriminant ici (je reste dans le thème malgré la digression), mais de politique de la ville et de l'emploi (euh, Mr le Président, penser que la question des quartiers se dissoudra d'elle-même par une politique du plein emploi est juste illusoire... à 30 ans peut-être ? Mais non, ne rêvons pas...). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le problème de l'extrême droite n'est pas économique, mais communautariste. Justement l'extrême droite ? La mixité sociale suppose une non discrimination suprémaciste. Normalement ça ne pose pas problème : J'ai cohabité avec des musulmans dans des quartiers très cathos, qui, eux, ne sont pas réputés pour leur tolérance (dans les préjugés concrets, plus que dans les bonnes intentions de façade). Pourtant l'arabe du coin y était très bien "accepté", parce que jugé non prégnant culturellement.... C'est juste une question de "dosage" dans la mixité sociale. Néanmoins, il est évident que le suprémacisme intégriste musulman trouve son pendant dans le suprémacisme franchouilard (qui n'est pas seulement d'ordre économique non plus). Et même chose, il n'est pas question de mettre un flic derrière chaque suprémaciste (quoi que parfois ?) mais de faire faire de la mixité sociale intelligemment (les suprémacistes sont souvent dans des quartiers sensibles, au contact des suprémacistes intégristes c'est explosif). Voilà, c'est en diluant chaque communauté chacune dans un coin différent qu'on fera baisser les tensions. Il est évident qu'en promouvant l'habitat des musulmans dans des quartiers mixtes non paupérisés, sans faire pareil avec les franchouilles, on attisera les ressentiments : c'est une politique globale. Que faire des quartiers ? Les réhabiliter peut-être (la notion de ghettos sociaux est juste une hérésie en soi) mais aussi en y recréant également une mixité sociale supportable par chacun. Il y a aussi des suprémacistes qui n'ont jamais vu de musulmans, mais qui se nourrissent d'images télévisuelles (et point n'est question de faire de la censure), c'est juste qu'en créant de la mixité, on créera du lien social, et que ces reportages dévastateurs finiront par disparaître des écrans. . . . je sais, je suis idéaliste, mais pas tant que ça. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . C'est juste que les référendums appelant à la discrimination devrait être interdits pour violation des droits humains (liberté d'opinion et d'expression oblige). Mais interdire crée des ressentiments refoulés, alors que régler le problème par la mixité les modère.... La question des référendum discriminants n'est donc pas tant dans leur interdiction (mais bien entendu aussi) que dans une politique de mixité sociale volontariste (et laisser traiter la question par les maires, un peu dépassés est juste illusoire : c'est une question d'ordre national et d'aide volontariste aux mairies accessoirement)

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

D'abord voir item précédent (j'ai anticipé) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Subordonner le RIP (drôle de nom : on croirait assister à son enterrement : VIP (votation d'initiative populaire), c'est plus valorisant comme sigle. non ? et puis populaire ? Citoyenne, non ? Les élites votent aussi) le subordonner au bon vouloir des parlementaires, et vu le déficit d'image actuel des politiciens, c'est carrément contre productif (complotisme en vue). Mieux vaut qu'il soit vraiment d'initiative citoyenne, même si on sait très bien que des politiciens manoeuvreront souvent en sous main (coculisme, je dis). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais, il s'agit évidemment de bien l'encadrer. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D'abord, les subordonner à la "Déclaration des droits du citoyen" qui interdit de stigmatiser tel ou tel courant d'opinion (compris religieux explicitement précisé, mais donc ethnique) ... Mais comme précisé auparavant : Tout courant d'opinion ne contrevenant pas à la liberté d'opinion (exit intégrisme islamique et suprémacisme franchouillard ; voir autres courants de pensée ostracisant). Je précise que la Déclaration des Droits de l'Homme (DDHC) inclut tous les humains compris étrangers et pas seulement les citoyens français (ce qui n'empêche pas d'avoir une politique migratoire restrictive... mais respectant les droits humains). Et "droits humains" signifie interdiction de proposer le rétablissement de la peine de mort, ou autres horreurs anti humanistes. (La peine de mort nie le droit au recours de la défense en cas de nouveaux éléments d'enquête (après exécution : Qu'en eut-il été de l'affaire P Dills après exécution éventuelle ?). Encore une fois tout référendum ne se doit en aucun cas signifier une mise au rebut d'une certaine catégorie de citoyen (égalité oblige !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ensuite quand même, il ne s'agirait tout de même pas de déclencher intempestivement des référendums voués à l'échec par avance. Je prends exemple du "mariage pour tous" qui a mobilisé 1,5 million de personnes contre (chiffre sans doute gonflé, mais quand même) alors même que 67% des français étaient pour. Bref, même avec 1,5 million de signatures on aurait organisé un référendum fort coûteux pour rien. Il s'agirait donc de s'assurer qu'on ne mobilise pas de l'argent pour rien. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Par exemple : évaluer le coût d'un référendum (au moins à minima pour éviter tout complotisme), et demander une caution aux organisateurs (crossfunding possible): Si le référendum gagne (ou perd de peu (40 -45% des inscrits par ex., à définir...), ils récupèrent leur caution (garantie doit être déposée que les donateurs revoient leur mise), sinon elle est perdue (ça en refroidira plus d'un). Notons aussi cette possibilité : ("mariage pour tous" toujours par exemple) 3 millions de personnes très investies se déplacent pour voter, et peu d'opposants (2 millions malgré une forte opposition de l'opinion générale, mais qui n'ont pas envie de se déplacer pour une question idiote à leur yeux) : théoriquement le référendum serait validé... sauf à considérer que le référendum doivent se gagner sur le nombre d'inscrits - 50% des inscrits ) : En toute logique une proposition devraient recueillir au moins l'adhésion de 50% des citoyens , et non simplement l'assentiment de quelques fanatiques minoritaires face à une majorité de "fatigués" devant leur harcèlement(4ème proposition de référendum sur une question). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .N.B.: Il pourrait ainsi être objecté que des élections ordinaires ne seraient pas valables parce que ne respectant pas les quotas exigés pour les référendums Mais si les remises en cause des mandats électifs pouvaient aussi faire l'objet de VIP, si les gens contestent les chiffres d'une élection, ils pourraient proposer un VIP, avec le risque de perdre (caution en jeu !) : Ainsi certaines élections mobilisent peu, certes ! (européennes). Mais pour autant les gens ne se mobiliseraient sans doute pas pour les invalider (avec caution à la clé). Comment dire ? Par exemple il pourrait être envisagé qu'on demande la révocation d'un élu (Mr Macron par exemple parce qu'élu par une minorité d'inscrit) certes ; Mai s pour autant bien que destitué, il pourrait être réélu par manque de concurent plus sérieux : Ce n'est pas parce qu'on est déçu par un élu qu'on envisage pour autant un autre élu qui nous décevrait moins : Tout ceci pour dire que les règles présidant aux Référendums doivent être plus strictes que celles pour les élections ordinaires : Où les règles pour un consensus social (à travers un mandat social appelé à faire des concessions entre divers mandants contradictoires) doivent être plus souples que pour une décision populaire directe (majorité absolument incontestable oblige) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi se pose la question de la formulation d'un référendum (résultat faussé par la formulation initiale : D'abord la formulation devraient être validé par le conseil constitutionnel (Droits'Humains), (Exit : "Doit-on interdire le mariage des "pervers" homosexuels", évidemment, mais carrément aussi priver la communauté des homosexuels d'un droit offert aux autres.). Et ensuite faire l'objet d'un consensus entre pour et contre : Eventuellement la question ne serait pas : "Doit-on généraliser l'impôt pour tous ? OUI ou NON ?, Mais plus quelque chose incluant une alternative crédible : ""Doit-on "envisager l'impôt pour tous en refondant les impôts indirects (taxes) ?, et comment précisément (redistribution d'impôts compensatoires pour les précaires par exemple) ? ." OU "Ne pas envisager l'impôt pour tous, compte tenus des impôts indirects" ?"" Consensus ou avis du conseil constitutionnel (ou d'une commission référendaire ad hoc) en cas de désaccord . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Encore, pour éviter la multiplication de référendums, il serait bon d'organiser des référendums à questions multiples, à réponses multiples et indépendantes les unes des autres. Ceci ne devant évidemment pas servir de mesure dilatoire : Il n'est pas question de subordonner de tels référendum à un nombre minimal de questions ... Un seule question d'importance pourrait ainsi être posée seule (Ah question de caution ? Eh bien, les questions n'ayant pas recueillies un vote favorable suffisant (40-45% des inscrits ?) perdraient leur caution au prorata du nombre de questions posées) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Enfin, voter c'est bien, mais voter en toute connaissance de causes à effets, c'est mieux. J'aimerais ainsi que l'Etat diligente des enquêtes sur les coûts humains de la négligence de l'Etat en certains domaines, et partage les résultats auprès de tous. Et d'ailleurs, partage toutes ses études diligentée en tous domaines, par lui même et par des instituts privés (avec synthèses compréhensibles en langage courant s'entend bien) : Faire des études de ce genre, par initiatives populaires... pas forcément par référendum mais par pétitions par exemple (définir un quota minimum pas trop important : Une enquête sur la myopathie serait sans doute nécessaire par exemple, même sans grande mobilisation : Enquête sur les difficultés des minorités oblige), Ce afin de répondre aux interrogations des citoyens, qui échapperaient à la sagacité des politiciens, qui ont la tête dans guidon, pourquoi pas ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Savoir ce qu'il coûte de l'action sociale est important ; Savoir ce qu'il en coûte de son inertie le serait tout autant : Par exemple : Savoir ce qu'il en coûte du quasi abandon de l'étiquetage alimentaire sur la qualité nutritive/de santé des produits alimentaires en matière de santé publique ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Ou : "Quelle est la surmortalité chez les chômeurs et précaires, par rapport à ce qu'il en est d'une population témoin équivalente (avant leur déclassement social : Un ancien cadre peut ne plus être catalogué comme cadre après déclassement social. Donc comparer avec une population témoin correspondante à leur ancien statut) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ca promettrait d'être intéressant (a combien chiffrer une mort prématurée ? Combien aurait coûté de tenter de sauver une vie (en rapport, moyennement). Soit : A combien l'Etat évalue le coût d'une vie humaine non sauvée ? Un déclassement social non traité, etc... A partir de quelle somme cela ne vaudrait plus la peine d'après lui (par rapport à des soins palliatifs, au traitement d'un cancer, un sida, en comparaisons) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autre exemple : L'abandon des politiques associatives culturelles en banlieues a coûté combien de conversions salafistes dans ces banlieues A combien évaluer le coût d'une intégristisation ? (Coût en tensions sociales, vies humaines par terrorisme interposé, etc.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . A combien sont évalués les dégâts à terme d'un défaut d'investissement environnemental (évaluation des coûts d'investissement nécessaires par rapports aux coûts engagés contre coûts du cataclysme envisagés au final. A combien peut-on chiffrer l'effondrement général d'une civilisation ?.... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Questions non exhaustives évidemment

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

J'ai longuement développé les propositions ci avant : Refonte de l'organisation des différentes responsabilités entre plusieurs élus par domaines de compétences. VIP, etc.. . . Si le VIP est validé, ils pourraient contester tel ou tel budget par référendum.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Idem, refonte des différentes responsabilités réparties entre plusieurs élus suivant leur domaine de compétences. Voir ci dessus.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Idem, j'ai longue,ment répondu à la question Voir ci avant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Euh... N.B. : Ma proposition d'une tête sénatoriale d'experts pourrait intégrer économistes, comptables, écologistes, généticiens, sociologues, psys. etc. Tout ce qu'ils faut pour jouer le rôle de ce conseil et d'autres instances (experts élus par leurs pairs - diplômés de leurs disciplines - et non recrutés, recommandés, cooptés, ou sur concours (du plus obsessionnel à bachoter). (Comité d'éthique, cour des comptes (quoi que là, non), etc.) Tout ça plus démocratique.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Alors là ! ! ! . . . [ Destituer le Chanoine Macron pour haute trahison, théoriquement garant de la constitution laïque, mais ne cesse de lui flanquer des coups de poignards dans le dos... ( lol... Quoi que ?) ]. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D'abord sérieusement, revoyons l'étymologie de la Laïcité (mot qui ne figure même pas dans la loi de 1905) : Un laïc était (et est toujours) présumé être un catholique non ecclésiastique (bonjour la confusion !). Un laïque est en fait autant un catholique qu'un athée, un protestant, bouddhiste, non religieux, musulman, judaïste kanak, et bien d'autres choses (y compris les ecclésiastiques catholiques !) ; En gros : tout simplement un CITOYEN avec sa liberté d'opinion, point c'est tout . . . La laïcité ne date pas de 1905 : elle date de la Révolution qui remplaça d'emblée la légitimité de droit divin de l'Etat par la légitimité de délégation citoyenne (on y revient), instaurant d'ailleurs d'emblée le divorce au grand damn du catholicisme. qui n'avait plus son mot à dire. (je passe sur toutes les autres mesures (état civil, etc.). Le concept de laïcité est inscrite dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen inscrite dans la constitution (même si le mot n'existait pas encore) : D'où plutôt citoyenneté plutôt que laïcité) N.B. : l'art 1er de la loi 1905 est un quasi copié collé de l'art. 10 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen (DDHC) : CQFD. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Alors on devrait plutôt parler de citoyennité (néologisme mais étymologiquement plus pertinent que "laïcité"). Bref, s'en prendre à la laïcité, ce n'est pas "raccommoder le lien abîmé entre Etat et religions", c'est s'en prendre à la notion même de citoyenneté, et d'Etat Républicain carrément. L'Etat ne se légitime que par sa délégation de pouvoir provenant de ses citoyens libres de leurs opinions (comprises vis à vis de la hiérarchie de leurs obédiences religieuses (qui ne sont pas élues : Toute légitimité politique des corps sociaux ne peut se fonder que sur une représentativité élective : Les représentants religieux sont-ils élus par leur coreligionnaires ?)). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En gros, quand même, les représentants des religions absolutistes (les plus intégristes d'entre eux en général - compris athéisme !), n'admettent que très difficilement qu'on ne pensent pas comme ils le préconisent : ils n'admettent jamais la liberté d'opinion (qui définit le citoyen lambda) qu'à reculons. Ils sont, peu ou prou, "anti-citoyenne" (contre liberté totale d'opinion sans restriction), c'est à dire anti républicains, sinon ils les organiseraient démocratiquement et non verticalement (CQFD). (Je modère pour certains athées, qui considèrent que l'athéisme est le fruit d'une réflexion rationnelle personnelle, et non une doctrine devant s'imposer coercitivement (libre pensée oblige), simplement parce que seule véritable (comme se considère les autres)). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D'où la nécessaire séparation des Eglises et de l'Etat citoyen : La religion n'est qu'une opinion personnelle. tellement d'ailleurs que maints catholiques vivent en union libre, divorcent, utilisent la contraception, sont homosexuels, avortent (surtout les femmes, lol, néanmoins souvent avec l'aval de leur conjoint ou père, qui peuvent même l'imposer), et ont souvent des croyances assez éloignées des dogmes de leur Eglise. Pourquoi donc donner autant d'importance aux représentants d'Eglises (les plus intégristes souvent) dont les adeptes eux-mêmes prennent tant de distances avec leurs mentors ? Ces dignitaires religieux ne représentent qu'une caste de rigoristes coupés de la mentalité de leurs ouailles : ne représentent qu'eux mêmes en sorte (à la limite l'Etat pourrait consulter des représentants "élus" démocratiquement de ces diverses communautés religieuses, ce se rait plus pertinent). . . . Car en gros, ces Eglises tentent de manipuler les Etats, pour qu'ils les aident à imposer les dogmes qu'elles n'arrivent même plus à imposer par elles mêmes à leurs ouailles ; et on ne parle même pas des non adeptes qui les rejettent violemment : Est-ce bien le rôle de l'Etat ? Franchement ? !. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Certes ! Que l'Etat se préoccupe de l"emprise qu'elles peuvent encore très vaguement avoir sur une certaine partie des citoyens est logique (diplomatiquement) il faut faire avec, et autant savoir comment cela se goupille pour éviter les mauvaises surprises, et retours de bâton. Mais ce n'est franchement pas à l'Etat de les encourager à reprendre de l'emprise sur leurs ouailles (et les autres : rappelons que leurs dogmes les poussent à vouloir convertir tout le monde, y compris et surtout ceux qui ne le veulent pas ! Nous sommes tous pour eux les enfants de LEUR Dieu, et soumis à SES lois (ou enfants spirituels de Bouddha et autres prophètes, compris prosaïques). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (Demandez donc à chaque croyant en catimini (sans concertation avec les autres) ce à quoi il croit. Vous obtiendrez autant de croyances que de croyants (grossièrement, les croyants sont des laïques libres de leur opinion sur leur croyance au fond, et sont généralement fort contents qu'on ne les flagellent plus pour cette liberté de pensée : demandez donc aux musulmans (et autres) victimes des intégristes moraux qui se croient tout permis. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Voir ! Il est du DEVOIR de l'Etat de préserver cette liberté d'opinion (citoyenne) des croyants (et des autres évidemment) vis à vis des dogmes religieux. Si une musulmane ne veut pas porter le voile, il est du devoir de l'Etat de lui garantir ce droit en face des pressions, idem pour une catholique qui veut avorter, etc.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Quel est donc le principe de base laïque ? Garantir la liberté à chacun de ne pas souscrire aux dogmes qu'il rejettent par opinion personnelle. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bon, l'affrontement brutal est sans doute souvent contre productif (quoi que la laïcité ait eu à mener d"âpres combats par le passé pour imposer la notion de liberté d'opinion citoyenne)... Il ne s'agirait pas de tout remettre en cause en laïcité, juste pour "faire sympa" ; mais, a contrario sans être brutal, il convient de rester ferme sur la liberté d'opinion citoyenne, et libertés de comportements afférents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Revenons au principe de base : Chaque croyant, ou non croyant, doit pouvoir faire ses choix selon ses convictions propres (mais dans le respect des convictions propres de ses voisins, voir coreligionnaires). C'est quoi ? Ne rien imposer aux autres qui soit contraire à ses convictions (sauf si cela implique la coercition de dogmes évidemment). . . . . . . . . . . . . . . . . . .Prenons un exemple : La loi propose la liberté de pouvoir avorter, mais n'impose aucunement aux croyants de le faire si c'est contraire à leurs convictions personnelles (liberté de, pas obligation de...). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Un exemple contraire. Une fin de vie digne : L'Etat impose ainsi de renoncer à une fin de vie jugée honorable par certains, en leur imposant une fin de vie dégradante à leur yeux (de légume). Pourquoi ? Soyons clairs, pour des motifs qui ne chiffonnent que "certains" rigoristes.religieux Qui donc imposent leurs dogmes par leurs accointances avec (et/pression sur) l'Etat, prétendument laïque; ce à des gens qui les rejettent violemment (la haine !... : le défaut de laïcité - imposition de dogmes rejetés personnellement - implique de violents ressentiments, qui s'évanouissent dès qu'on ne les imposent plus) : Aucun dogmes ne devraient s'imposer à ceux qui les rejettent ; Et comme d'habitude, si une fin de vie honorable était offerte à tous , libre à ceux qui préféreraient une autre fin de vie (non moins honorable pour eux pour raison religieuse) d'y avoir recours : Offrir donc une liberté à tous sans l'imposer à quiconque est la règle en laïcité. Liberté d'opinion oblige (Art. 4 (DDHC). "La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui : ainsi, l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la Société la jouissance de ces mêmes droits" (Droit à une fin de vie jugée honorable par chacun ? Ne nuisant pas à autrui : soulignons que Dieu n'est pas considéré comme un citoyen à qui on nuirait en réfutant ses préconisations (on n'a pas encore retrouvé son acte de naissance, lol !),, un "autrui"...) .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je note un bug dans l'énoncé de la question : "religions de notre pays". Notre pays ne reconnait aucun culte (non, le catholicisme (pas plus que d'autres) n'est plus LA religion patentée de notre pays ! (on entendrait presque que l'Islam n'est pas "une religion de NOTRE pays"). Ce qui veut dire en fait que chacun est libre d'adopter n'importe quelle religion d'un autre pays exotique, voir improbable (taoïsme, shintoïsme, vaudou, hindouïsme, cultes tribaux, culte de "la grande salade verte cosmique", Jedi., pastafarisme, etc.). Il ne conviendrait pas de faire de discrimination en privilégiant telle ou telle religion. : Chaque croyance a droit aux mêmes attentions que les autres. (l'Egalité fait partie de notre devise !) Doit-on envisager à terme des "accommodements raisonnables" à tous ? On n'a pas fini ! Et quel imbroglio à terme !. { exemple : les cantines scolaires.... il suffirait d'offrir 2 menus à chaque repas. Aux élèves de choisir. Je pense que les enfants se font leur propre religion en matière d'alimentation (les uns ne supportent pas les brocolis, les autres les champignons ou le poison). La question du respect des préférences alimentaires résoudrait celle des interdits religieux : "- Tu ne prends pas de porc à la crème ? - Euh non, je préfère le poisson". Pourquoi, on s'en fout ! Point ! (d'ailleurs on voit bien des petits musulmans oublier de demander si le plat si appétissant contient du porc ou pas, des petits judaïstes oublier que telle sauce pourrait contenir de la crème fraîche, etc.) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je rajoute, et ceci est important pour moi, et maints autres, que je revendique ma liberté de conscience (athée) au même titre que la liberté de conscience des croyants (certains sociologues vont même jusqu'à dire que l'athéisme serait une forme spéciale de religiosité). Quoi qu'il en soit la laïcité suppose de traiter toute "liberté de conscience" pareillement (opinion "y compris religieuse" spécifie les Droits de l'Homme : Y compris a contrario non confessionnelles donc). Aussi lorsque le Président reçoit tous les représentants auto adoubés de certaines formes de "consciences", il conviendrait de ne pas faire de discrimination et (PROPOSITION importante) inviter les représentants de TOUTES les libertés de conscience, compris athéisme et non religieux (ça éviterait à l'exécutif de se compromettre en proférant des propos discriminants, exclusivement réservés aux "consciences" religieuses classiques, en occultant "royalement" les autres formes de conscience. Tournerait-il ainsi sept fois sa langue dans sa bouche avant de se montrer trop empressé auprès des religieux : les athées et autres pouvant tiquer à tel ou tel propos trop sirupeux à leur endroit) :pas de discrimination entre les consciences donc. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je comprends le cynisme des politiques sociales, qui considèrent que l'action sociale coûte un pognon de dingue, et verraient facilement d'un bon oeil que des associations de croyants "bénévoles" fassent le travail à prix cassés (mais pourquoi pas de bénévoles en mixité laïque compris athées (on ne demande pas aux "Médecins du Monde" ou "Secours Populaire", "Restos du Coeur" leur obédience confessionnelles. (J'ai postulé à la "Croix Rouge" et sans me demander mes convictions religieuses, j'ai eu droit à un tas de questions du genre : "quel salaire réclamez vous ? :, et "Êtes vous prêt à déménager ?" Alors que l'établissement particulier dans lequel je postulais était subventionné, et soumis à une convention collective qui règlait les questions de salaire et de mobilité d'emblée (on subodore donc une question occulte du genre : "Êtes vous éventuellement prêt à vous investir à corps perdu (bénévolement dans des contrées lointaines). juste histoire de tester votre "abnégation". Je rajoute que c'est quand même ainsi qu'on a laissé les banlieues aux mains des salafistes en y laissant tomber le travail social associatif. Continuons donc à laisser le social aux confessions communautaristes ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Renforcer les principes de la laïcité" ? ? ? Comme je pense que la laïcité est posée dans la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen, je nous vois mal retoucher ces principes "divinement posés" Eh oui, Citoyen Macron, votre mandat vous impose d'être le garant de la constitution laïque (comprenant la DDHC) et donc d'en être le prosélyte de sa neutralité "transcendante", ne vous en déplaise sous peine de "haute trahison" de vos fonctions. En fait, tout y est dit, MAIS de façon sibylline, suggestive Je proposerais volontiers une explication de texte complémentaire (à la suite) afin de mettre les points sur les "i" et les barres aux "t" (mieux expliciter certaines implications fondamentales au plus grand nombre *).. mais je souhaite bien du courage à qui s'y collera . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ( * Par exemple : Art. 12. "La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée.". Bref, la "force publique" doit servir à protéger les citoyens et leurs biens, leurs convictions,, le bien commun, et non pour protéger une politique à l'avantage des élus [et des clans idéologiques qui les soutiennent : accointances religieuses ou économiques par exemple ("Culte de l'Argent" : Ah oui, j'estime que les cultes modernes valent autant que les cultes traditionnels en bonne laïcité) ].

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Valeurs intangibles de la république : compréhension réciproque ? Un peu de cohérence dans les items : ici deux questions différentes : D'abord, l'exemple doit venir d'en haut : Le respect des valeurs est bafoué par l'Etat (laïcité, valeurs sociale, partisanisme clanique de la classe politique oubliant le "bien commun" pour tous. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Exemple 1 : discours du Président devant les Evèques de France (laïcité bafouée dans les grandes lignes). . . .Exemple 2/ Répression du mouvement des Gilets Jaunes, j'explique : Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen... Rappel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Art. 2. : "Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression" . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Commentaire de texte : La sûreté suppose ainsi la sécurité financière permettant l'accès aux logement, chauffage, santé, alimentation, habillement décents, et déplacements nécessaires. Plus résistance à l'oppression (droit à la sûreté bafouée): C'est explicite. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Art. 9. : "Tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable, s'il est jugé indispensable de l'arrêter ("dans ses comportements délictueux" : n.d.r.), toute rigueur qui ne serait pas nécessaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi." . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Commentaire de texte : Tout manifestant ne doit pas se voir opposer de rigueur non nécessaire (force disproportionnée) à le maîtriser. On notera que, déjà , point n'est nécessaire de "maîtriser" le comportement de manifestants non violents pour commencer ; Et qu'une manifestation n'étant pas une zone de guerre (l'Etat n'a pas à faire la guerre à ses citoyens, dont il est le serviteur), la force mise en oeuvre pour maîtriser UNE personne violente (et seulement violente) ne doit pas être supérieure à celle qui est "strictement nécessaire" à le faire. Preuve doit donc être faite qu'aucune autre méthode moins violente n'était possible à mettre en oeuvre. "UNE" personne parce que n'étant pas une guerre la force ne doit pas être utilisée contre "des sections" ou "compagnies ennemies" de façon indistincte, mais dirigée contre des CITOYENS individuels présumés innocents (et donc à traiter comme tels) . . . On ne saurait ainsi justifier l'attaque d'un individu au prétexte qu'il serait encerclé ou accompagnerait de plus ou moins loin d'autres individus violents (les actions doivent être personnalisées, adaptées aux comportements de chacun : A la limite les lacrymos sont incompatibles avec des réponses personnellement ciblées : (Rappelons l'octogénaire morte chez elle à Marseille victime d'une lacrymo : J'ai été témoin du départ de la répression : 4 ou 5 gros pétards (et pas TRES gros) ont été lancés contre les forces de l'ordre par des éléments incontrôlés (c'est pas bien certes et je condamne) ; mais l'équipement des forces de l'ordre leur permettaient de subir ces quelques pétards sans aucun dommage. Bref les gens ont tous levés les bras en l'air pour montrer leur non-violence (pendant que les fauteurs de trouble se repliaient). Résultat : vitrines cassées, voiture de police incendiée, chantier dévasté, barricade incendiée sur la Canebière, et surtout une petite vieille tuée chez elle : Tout ça parce que le commandant a bêtement appliqué une procédure inadaptée à une supposée protection des forces de l'ordre (n'a pas supporté quelques pétards de 14 juillet) A un moment une petite section de police (8 hommes) s'est trouvée encerclée par les manifestants, qui l'ont sagement contournée sans s'en prendre à eux. . . Bref, attaquer un citoyen non-violent (que la force publique est supposée protéger contre les violences) doit être considéré comme pire qu'un "tir ami" en cas de guerre (parce que précisément non en guerre) : "doit être sévèrement réprimée par la loi.", stipule la constitution (Effondrement de deux immeubles à Marseille : 8 morts à imputer à la Mairie, une à charge de police consécutive à une manif de protestation afférente = 9 morts) [je précise que que je me suis physiquement opposé à l'agression de pompiers et de forces de l'ordre avec quelques autres durant les manifs) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Voilà : Toute atteinte physique envers un manifestant non violent devrait être jugé comme une agression ordinaire, doublé d'un abus de pouvoir : circonstance aggravante : devant être "Sévèrement puni" dit le texte (ceci dit l'ordre judiciaire étant ce qu'il est...) . . . . . . N.B. : quasiment tous les manifestants mutilés n'étaient pas violents, et sans faire de complotisme exacerbé, on peut se demander si les gradés (et subordonnés) qui ont tiré (et fait tirer) inconsidérément ne sont pas de sympathie RN, visant plus particulièrement des manifestants non violents n'appartenant pas à leur "camp" ? Juste pour mettre en difficulté le gouvernement, qui curieusement s'en arrange très bien (ce que j'en dis). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Justement : Art. 16. "Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, NI LA SEPARATION DES POUVOIRS DETERMINEE, n'a point de Constitution" : Dernière loi sur la liberté de manifester bafouant la séparation des pouvoirs Exécutif/Judiciaire (et on ne mentionne même pas la séparation Législatif/Exécutif purement virtuelle depuis des lustres) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Art. 12. : "La garantie des droits de l'Homme et du Citoyen nécessite une force publique : cette force est donc instituée pour l'avantage de tous, et non pour l'utilité particulière de ceux auxquels elle est confiée." Commentaire du texte : C'est assez explicite. La force publique peut-être utilisée pour protéger les biens publiques et des personnes, (voir l'intégrité "physique" des forces de l'ordre), mais pas pour défendre les intérêts du clan idéologique à qui a été confié le pouvoir et leurs soutiens économico-idéologique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Enfin je ne commenterai pas : Art. 14. : "Tous les Citoyens ont le droit de constater, par EUX-MEMES ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique, de la consentir "librement", d'en suivre l'emploi, et d'en déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée". . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aux pouvoirs publics de respecter les valeurs qu'ils sont censés défendre. Comme dit le proverbe : "passé les bornes il n'y a plus de limites". L'exemple doit venir d'en haut : Comment les citoyens en viendraient-ils à les défendre si au dessus on les bafoue ? Et que feraient de ces renoncements aux valeurs fondamentales des pouvoirs aux tentations totalitaires leur succédant éventuellement ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Personnellement, en tant qu'athée, je comprends toutes les religions (j'adore l'anthropologie), et même souvent mieux que les croyants eux mêmes. Comme proposé plus haut : (PROPOSITION) initier une politique de la ville basée sur la mixité sociale mélanger tant que faire se peut (non coercitivement, mais de façon volontariste) que chacun puisse cotoyer les autres "communautés" sans avoir à les subir, car trop majoritaire à un endroit. Que l'autre ne soit plus une espèce de bête curieuse car fantasmée de loin. Habitat, enseignement, entreprise, quartier, associations, écoles, etc.. Euh... il faudra bien un jour s'attaquer au communautarisme dans l'enseignement. Autoriser un enseignement "catholique", "juif" dans l'entre soi, implique naturellement des écoles musulmanes (c'est déjà le cas). Idem pour les associations caritatives quelques soient leur bienfaisance et relatif oecuménisme : Croix Rouge ? Mais pourquoi pas le Croissant Rouge aussi demain... pour non discrimination ? "Abbé Pierre" ? Pourquoi pas "Imam Ibn Massoud" idem ? PROPOSITION : Subordonner les subventions d'Etat aux associations à des dénominations laïquement neutres (bon on peut leur donner un peu de temps pour se faire à l'idée, et de bien informer leurs donateurs de leur changement de dénomination, mais dans un délai raisonnable irrévocable. Voir imposer des fusions pour assurer une réelle mixité de conscience : DAL-Abbé Pierre-Resto du Coeur, Croix Rouge/Secours Populaire/Médecin du Monde ;. enfin des trucs qui ne rebutent aucun nécessiteux ou bénévole. Et arrêter de donner de nouveaux agréments subventionnés tant que ces structures ne seront pas laïcisées. Il s'agit de s'assurer que ces associations sont bien plus attachées à un bien commun non communautariste, qu'à faire mousser leur communautarisme prosélyte rampant ... avec des subventions publiques, pardi ! : "Ah là là, les cathos font mieux que les athées, juifs ou musulmans", c'est d'un puéril affligeant quant aux problèmes afférents. J'attends (nous attendons) des structures vraiment laïques, et donc plus réellement centrées sur l'aide aux personnes que sur leur nombril idéologique : Si c'est pas trop leur demander ! Tenez par exemple, je pense que la sociologie est absolument nécessaire pour exercer ce genre d'approche globale des gens, c'est juste une question d'approche pertinente. La foi : pourquoi pas comme moteur personnel, mais pas comme technique d'approche des problèmes (imaginez un athée devant s'humilier pour avoir recours à leurs services : C'est à eux de se mettre à la portée des nécessiteux (tous !) plutôt que l'inverse pour bénéficier de leurs services) : Au moins la socio c'est neutre, technique : Faut savoir ne pas ramener ses "convictions" quand on veut "réellement" aider les autres (en tant que rationaliste, j'ai souvent eu à faire à des croyants nécessiteux, qui n'ont jamais eu à connaître mes convictions. Et j'ai su les mettre de côté pour aborder leurs problématiques sociales et les traiter en toute humanité : Un musulman me disant que son enfant est un enfant endormi (conçu durant son absence, mais endormi dans le ventre de la mère pour naître à une date improbable. Il s'arrange ainsi avec un adultère tacitement dénié (accepté) socialement : Bon, je vais pas dire que ce concept islamique est inepte par pur intégrisme rationaliste) idem pour Jésus). J'ai travaillé dans le social avec des juifs, cathos, musulmans, athées, parfois dans l'ignorance de leurs convictions (dont je me foutais du moment qu'ils restaient "professionnels"). Franchement on s'en fout, c'est juste intéressant de le découvrir au hasard d'une conversation (et y a généralement pas de quoi se prendre la tête)... Mixité sociale laïque avant tout donc. "Ah ben, c'est plus cher que le bénévolat confessionnels communautaristes (mais à quels prix concernant les ressentiments sociaux mutuels ?) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ne serait-on pas en train de nous "vendre" une recherche de sparadraps à bas coûts qui ferait l'économie d'un réel investissement social de l'Etat citoyen (laïque, cohabitationniste, parce que non-communautariste). Car soyons quand même clairs : 64% des français sont "sans religion" et en augmentation, c'est quand même aux croyants de tout poil d'admettre que les "sans religions" ne souscrivent pas à LEUR idée que ces derniers seraient les enfants de LEUR Dieu, soumis donc à SES lois (non républicaines) ; Et non aux "sans religion" de leur dire qu'ils "comprennent" qu'ils veuillent leur imposer ces "lois" divines qui nient leurs convictions : Question compréhension mutuelle: Que les représentants autoproclamés des croyants admettent une bonne foi pour toutes qu'on puisse trouer leur absolutisme intellectuel totalement iinadmissible est juste un préalable à toute idée de réciprocité : PERSONNE ne "comprendra" JAMAIS qu'ils considèrent les autres comme "a priori" soumis à leur morale surnaturaliste, même ET SURTOUT s'ils arrivent à mettre l'Etat dans leur poche. Les "sans religions" ne cherchent pas à "imposer" leurs convictions eux (ils les vivent pour eux mêmes.... On est athée par conviction, non par démission intellectuelle devant une série de dogmes improbables : on conçoit mal un athéisme personnel découlant d'un diktat intellectuel : Libre pensée oblige). .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Pour revenir a la question, mais je l'ai dit mille fois avant : Mixité sociale, ethnique, de consciences, etc. sans prégnance de l'une sur les autres. (Evidemment c'est plus lourd à mettre en oeuvre que des "rustines improbables", et puis il faut se coltiner la fin du communautarisme scolaire).

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Ben... d'abord donner aux gens qui s'engagent dans les associations ou ailleurs, l'impression qu'ils sont utiles. En leur donnant réellement les moyens de mener à bien leurs tâches (contrats d'objectifs et de moyens pertinents : Les "assoces" ont toujours l'impression que le social n'est pas rentable, et qu'ils doivent se démerder avec des bouts de ficelles. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Evidemment que ce n'est pas "rentable" dans ces conditions : Sans moyens adaptés on échoue (voir les associations de banlieues, les flics faisant des parties de foots avec les jeunes ; tout ça sabordé en laissant la place aux salafistes ("ah ben eux ils ont été efficace, tiens !") : La montée de l'intégrisme ? On ne l'a pas vu venir : Evidemment il n'y avait plus personne (à part les instits ( supposément alarmistes et peu efficaces) qui n'en pouvaient plus). La politique c'est la vie de la cité (marronnier), le vivre ensemble disent les sociologues. Résumer la politique à l'économie (comme l'économiste pervers Friedmann / contrairement à Keynes), c'est juste une aberration sociologique. Les gens veulent de la reconnaissance sociale avant les sous. Entre Gilets Jaunes on se reconnaît quand on ne sent pas reconnus par ailleurs : Même processus entre musulmans, on est méprisés par la République prétendument égalitaire (discriminations au logement et à l'embauche fort peu laïques), mais Allah les respecte au moins lui). C'est pas du fric qu'on veut (enfin si : juste de quoi ne pas tirer le diable par la queue en fins de mois), c'est de la fierté, de la reconnaissance sociale. Je reprends l'idéologie de Friedmann : Les gens bossent et s'améliorent dans leur travail uniquement pour le fric qu'ils en retirent (quid des "médecins du monde" ?) : Un boulanger qui fait du bon pain dans son village (sans trop gagner d'argent), et qui croule sous les compliments de ses clients, tire sans doute plus de satisfactions qu'un piètre boulanger urbain : qui, lui, gagne bien sa vie juste parce que les gens qui n'y viennent que par commodité par défaut de concurrents alentours : "Quoi ? mon pain n'est pas assez savoureux : m'en fiche !" lance-t-il dépité et aigri. Les gens se nourrissent aussi de compliments, pas de sentences hautaines et méprisantes sur le fric qu'on gagne, ou pas. Les politiques les méprisent : ben, ils se réconfortent entre gens sans costard coûteux qui se trouvent de l'autre coté de la rue sans lequel ils ne seraient rien... L'intérêt dans la politique, ça commence en insufflant l'idée aux gens qu'ils sont utiles à leur niveau, qui leur donne l'envie d'en faire plus, de s'investir dans "la vie de la cité". Sauf à considérer que la politique n'est qu'une affaire d'une caste d'élites qui se coopterait (pour éviter que "les autres" leur disputent les places). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je suggère l'idée managériale des japonais : Qui donnent des primes aux employés de bases qui trouvent des solutions aux problèmes de production à leur niveau. Transversalité contre verticalité hautaine : Chacun est présupposé pouvoir faire avancer le schmilblick, d'où qu'il parle.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

D'abord l'exécutif devrait montrer l'exemple : Arrêter d'insulter les gens (mais c'est déjà trop tard : tout le monde a déjà compris que toute politesse de circonstance du Président 'ne serait désormais qu'hypocrisie : car s'étant déjà montré sans fard auparavant). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je me base aussi sur quelques petites expériences socio-psychologiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Phase 1 : Un passant expérimentateur laisse tomber un billet de son portefeuille. Résultat très peu de gens courent après lui pour le lui rendre, et empoche le billet . . .. Phase 2 : Un complice demande sa route aux passants auparavant. Et là, miracle ! presque tout les gens rattrapent le présumé distrait pour lui rendre son billet (car se vivant alors comme de bonnes personnes). . . . . . . . . . . . . . . . . . Moralité (c'est le cas de le dire !) : Donner aux gens l'occasion de se rendre utile (se vivre comme de bonnes personnes) les rend meilleurs et plus moraux. A contrario à force de dire aux gens qu'ils ne sont rien, fainéants, fraudeurs, etc. en fait des enragés impitoyables contre leurs bourreaux (le tyran domestique commence toujours par culpabiliser leurs victimes pour leur faire croire que leur nullité justifie leur maltraitance ! On a bien compris la rhétorique du Président et de ses sbires, ne vous inquiétez pas... Et on n'oubliera pas, même s'il se fait désormais mielleux).(le tyran domestique s'excuse toujours après avoir frappé).. Ici par exemple le tyran nous demande comment on pourrait faire pour arranger les choses après ses maltraitances (! ! ! Qu'il devienne donc vraiment vraiment irréprochable, empathique, et accepte un contrôle judiciaire (ici médiatique) sur ses dérapages en matière de maltraitance des précaires (vilipendés jadis par lui : le dénigrement des personnes est toujours le prémisse à leur sadisation : Tout le monde comprend très bien ça) au lieu d'en rajouter une couche sur les incivilités des autres (renversement des responsabilités sur les très très mauvais exemples donnés d'en haut). Qu'il commence donc par se placer dans une posture d'humilité empathique extrême (mais on sait très bien que ce "genre" de personnage en est narcissiquement incapable : disons qu'on espère qu'il saura désormais se contenir à minima le reste de son mandat pour ne pas réactiver la haine des nantis" (ah oui, ces gens là ne sadisent pas que les faibles, ils aiment aussi attiser la haine contre ceux qu'ils prétendent défendre : les nantis et religieux n'ont jamais été autant honnis que depuis qu'ils les défend : il salit tout ce qu'il touche avec sa morgue hautaine : Je ferais partie d'une catégorie sociale, je lui demanderais de ne surtout pas prendre fait et cause pour nous. Le mieux qu'il puisse faire pour certains c'est de le faire à reculons : Un "Je les aime pas mais fat bien que je m'en occupe" les rend tout de suite plus sympathiques).. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autre expérience... Phase 1 : On laisse quelques bonbons à portée d'enfants en leur disant d'en laisser pour les suivants : Presque tous prennent tous les bonbons. Phase 2 : On rajoute un simple miroir au mur. Miracle : Presque tous les enfants laissent des bonbons pour les suivants. . . . . . . . . . . . . . . . . . . Moralité (idem) : Avoir un simple "auto retour" sur leur comportement (sans moralisme : le miroir ne juge pas), moralise les comportements. D'où simplement dire que les français sont formidables parce que ... (ils laissent des bonbons aux autres), les inciteraient naturellement à être meilleurs.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . On peut multiplier ainsi la relation d'expériences tendant à améliorer la moralité des gens sans les culpabiliser (au contraire en les valorisant ou responsabilisant). De simples petites incitations à donner aux gens à penser qu'ils sont formidables font bien souvent plus que de lourdes politiques de répression (la délinquance des banlieues ? Ne leur a-t-on pas fait sentir qu'ils étaient des parasites durant des années, au lieu de leur donner quelques pots de peinture pour réhabiliter leur quartier : A Marseille, des parents d'élèves ont ainsi repeint de leur poche l'établissement scolaire délabré de leurs enfants : La Mairie les a attaqués pour dégradation de biens publiques ! Sérieux ? C'est quoi ce mépris dévalorisant ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi ce ne sont que des "trucs" : Si on donne l'impression aux gens qu'on les manipulent, ça peut être très contre productif. On les incitent à participer, mais on se doit de leur montrer que ce n'est qu'un plus à une politique plus largement volontariste en investissant par ailleurs dans une politique de dignité.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Alors même réponse. Les exemples précédents ne doivent pas non plus permettre aux collectivités de se déresponsabiliser : Demander aux gens de participer pour les valoriser, certes, mais ne doit pas servir à se défausser des responsabilités solidaires des élus. Faire des réunions avec les citoyens pour leur faire sentir qu'on se préoccupe de leurs problèmes ne doit pas exonérer les élus d'assumer leurs responsabilités sociales. .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je sens bien qu'on cherche ici à nous tirer vers le tout répressif, et certes le répressif n'est pas à négliger, mais après avoir réglé les problèmes de dévalorisations des populations (abandon des politiques publiques). Il y aura toujours quelques "brebis galeuses", mais on peut être sûrs que quand ça touche toute une communauté, ou un quartier, c'est qu'il y a bien eu abandon des politiques publiques (et gare aux ressentiments accumulés). .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je rappelle quand même la logique malthusienne : Les pauvres risquant de prendre le dessus politiquement (car plus nombreux), il faudrait en éliminer le plus possible. Malthus et son copain Ricardo (le père de la mondialisation !) ont donc fait voter des lois létales pour les pauvres : Les laisser se démerder en cas de chômage (avec lois permettant de virer les contestataires des entreprises pour commencer). Bref les pauvres avaient vocation à mourir de faim s'ils ne se pliaient pas aux mauvaises conditions de travail, pouvant les faire mourir d'épuisement. Evidemment les voleurs (de nourriture donc) étaient passibles de la peine de mort (mourir de faim ou pendu : il fallait choisir). Par la suite, les politiques malthusiennes se sont assouplies, mais toujours dans le même état d'esprit : les précaires seraient responsables de leur précarité, et ont donc vocation au déclassement social définitif, surtout s'ils tentent de s'en sortir dans l'économie parallèle (délinquante) qui leur permet de survivre à leur déclassement.... La délinquance est donc une composante structurelle au malthusianisme cynique et pervers. . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Oui il faut aussi un peu anticiper (c'est un peu tard pour rattraper des décennies de mauvaises politiques de la ville). Quand les problèmes sont enkystés, il est cent fois plus difficile de faire marche arrière.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

C'est du bougli boulga ? Un mélange improbable. Déjà, arrêter d'harceler les citoyens avec une administration tatillonne et kafkaienne. (Longuement développé dans le premier questionnaire). Arrêter de donner l'impression que l'administration n'a que pour seul but de les priver de leur droits parce qu'ils auraient omis de cocher la bonne case, de présenter un papier somme toute accessoire (radiation des chômeurs, des allocations, ou d'une partie de leur retraite parce qu'il manque un papier... avec l'évidente bonne foi des administrés : La chasse aux quelques manipulateurs servant de prétexte à radier les honnêtes gens : Qui manipule qui ici ?)

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Même réponse : Les incivilités ne sont en général que des manifestations de dépit vis à vis de l'Etat, vécu comme pingre et malthusiennement pervers (La plupart n'utiliseront pas le concept "Malthus", mais comprennent très bien qu'on se complaît à maltraiter sadiquement les précaires en tentant de les culpabiliser (comme les tyrans domestiques)). Lorsque Mr Sarkozy fut élu sur la promesse d'endiguer la délinquance, une de ses premières mesures fut de durcir la répression routière : En gros "ne m'embêtez pas avec la délinquance : les délinquants c'est vous", C'est un classique de la délégation de personnel, qui signalant un dysfonctionnement managérial, se voit immédiatement opposé un durcissement de l'espionnite du personnel présumé plus dysfonctionnel que la hiérarchie (en gros : "si vous voulez pas que je harcèle le personnel, ne pointez plus nos lacunes". Avec message au personnel en passant : "C'est vos délégués qui sont responsables de votre harcèlement : ne passez donc plus par eux").. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Marseille idem. deux Immeubles s'effondren : 30 ans de politique de l'autruche de la Mairie sur le sujet. Réponse de la Mairie : Expulser des milliers de personnes d'immeubles présupposés insalubres (sans expertise le confirmant : refus d'expertiser durant des décennies oblige) et surtout sans proposer de solutions de relogement décent aux expulsés : Message sous jacent : "Si vous ne voulez pas être expulsés sans solution alternative, évitez de signaler la dangeriosité de votre logement à l'administration responsable de la gabegie". La perversité kafkaienne consiste toujours à rejeter la responsabilité des lacunes de l'administration sur ses propres victimes, et si possible précaires (les classes moyennes risquant de porter recours, ayant les moyens). Il y a là un calcul cynique : les quelques rares recours coûtent moins chers qu'une politique globale adaptée : quoi que à long terme ?)). . . Alors il y a certes des délinquants patentés (mais ont-ils vraiment d'autres choix parfois ?) qu'il faut arrêter, MAIS qui sont souvent perçus comme des "justiciers" : Ils rendraient justice aux victimes précaires de la "casse sociale" (ils cassent sur les Champs Elysées (l'ordre prétendument bourgeois qui les broient, mais aussi étymologiquement : L' "Elysée" Républicain). Bien sûr, les précaires se désolidarisent (c'est contre productif pour eux). Mais au fond, on les écoute parce qu'il y a des casseurs d'un côté, et finalement il serait dans l'ordre des choses que les gens qui ne souffrent habituellement pas, souffrent aussi un peu avec eux : L'économie périclite ? Ils souffrent de cette économie (un peu plus un peu moins, ils ont l'habitude), mais au moins les "autres" partageront (un peu) leurs difficultés (et très éventuellement les prendront enfin en compte). "Très confusément" c'est vécu comme une "justice" immanente (si on coule, on coulera avec les responsables qui méprisent nos difficultés). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le délinquant est parfois vécu comme une espèce de "justicier", et c'est cet imaginaire qu'il faut "casser" d'abord, en apportant des réponses sociales... Pour que ces derniers passent pour des fouteurs de merde, plutôt que comme des justiciers contre un ordre malthusien : SI rien ne justifierait plus leur pouvoir de nuisance, et leur aura s"évanouirait. En gros dans l'imaginaire Républicain, un ordre social qui oublierait son devoir protecteur vis à vis des plus faibles contre les "privilèges" d'une caste élitiste, est intrinsèquement le premier incivique (justifiant tous les autres).

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Encore ! Pour faire de la provoc, je dirais "rétablir la peine de mort" (ça fait trois questions sur le thème, et on sent bien qu'on attend de nous, avec une certaine insistance, de justifier un ordre malthusien plus "tape dur". Je répète : D'abord la prévention (des inégalités sociales), Une fois cet objectif affiché et pratiqué avec conviction, on pourra parler vraiment de lutte contre la délinquance RESIDUELLE. Et certes la fracture sociale étant consommée, il faut bien lutter contre la délinquance afférente. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah ? Les migrants de quatrième génération, précaires tout désignés ? (eh bien pour tempérer l'angoisse de déclassement des candidats franchouilles , on leur promet de passer avant lesdits "étrangers", et ce n'est pas une promesse du RN, mais bien une réalité sociale déjà à l'oeuvre (soulignons que les premiers précaires "musulmans" ne vivent pas en France, mais au Bangla Desh (la main d'oeuvre qui leur piquent leur travail en acceptant des salaires et conditions de travail mortifères.... en bon malthusianisme bien compris : maltraiter les précaires suscite les révoltes : Autant exporter les révoltés potentielles loin des donneurs d'ordre et des politiciens malthusiens. (délocalisations déloyales des emplois sans qualification = chômage structurel résiduel en France ! et donc incivilités de dépit) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Et encore une fois, il faut lutter contre la délinquance, mais aussi combattre une délinquance inhérente à un malthusianisme entretenu, c'est à dire la cause principale de délinquance (sans malthusianisme, 3/4 de délinquants en moins !)

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Et RE ! Encore une couche ! Dès fois qu'on aurait mal compris que le problème ne serait absolument surtout pas structurel, malthusianiquement individuel. En posant 4 fois la question sous différentes formes, on va bien finir par obtenir la réponse attendue : Le tout répressif malthusien ! C'est comme soumettre 3 fois une question à un référendum... Avec un peu de chance on va finir par obtenir la réponse attendue. Allez ! On va vous faire plaisir : il faut mettre tous les Gilets Jaunes et précaires en prison : Ca y est ? Ai-je bien répondu ?

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Les discriminations des représentants du personnel, des gens fragilisés face à la maltraitance managériale (les collègues finissent même par y participer en espérant que le voisin craque avant eux). Le même processus que les franchouilles qui ont tellement peur du déclassement qu'ils espèrent que les immigrés (de 3-4ème génération) y passeront avant eux. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Envers les "non blancs" : Le fils de la nourrice noire de mes enfants (leur frère de lait en gros) a été assassiné par des racistes (pour avoir osé leur répondre qu'il était aussi français qu'eux). Envers les homosexuels, juifs, musulmans, envers les gens qui ont des convictions : Je me suis fait traité de "sectaire" parce que j'avais osé dire que j'étais "plutôt de gauche modérée" par un militant RI (fallait le faire !). J'ai même été accusé de "coucher avec les fascistes" par un "dignitaire athée" pour avoir supputé qu'il puisse y avoir aussi des salopards chez les athées (et je ne parlais ni de lui, ni d'un autre intervenant à la discussion, mais de façon générale, mais se serait-il senti concerné ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .D'une façon plus générale, je dirais que les discriminations accablent toujours les maillons affaiblis de la société. Pour les pervers, protéger insuffisamment une frange dénigrée de la société agit comme une incitation forte à les agresser. Les homos, arabes, juifs, délégués du personnel, dépressifs, déclassés sociaux, clodos, gros, roux, etc. etc. ne sont pas tant agressés parce ce que différents, agaçants ou autres choses, que parce qu'on laisse instiller l'idée qu'ils l'ont bien cherché, qu'il soit normal de lâcher aux chiens "ces minables maléfiques loosers". (perversement, j'adorerais qu'on fasse des intolérants et harceleurs les boucs-émissaires de la société pour inverser les rôles pour une fois). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Petite histoire : Nos habitions un quartier mal famé de Versailles (il n'y avait que 60% de cadres dans ce quartier (!) d'après la Mairie), où nous n'étions pas cadres. Ma fille fut donc (!) naturellement cataloguée comme cancre, envoyée devant une psy., et proposée à une classe de garage. Se plaignant d'être traitée de "bête" par ses profs, je lui fis passer un test de Q.I. Résultat surdouée. Sur ces entrefaites, nous déménageâmes à Marseille, ou en tant que petite "blanche" venant de Versailles, elle fut d'emblée considérée comme "ayant du potentiel", et devint première de sa classe, et fut plus tard majors de sa promotion à son master de psycho socio. Mais ce n'est pas fini : Pour avoir une bonne place il faut avoir ses entrées dans la bonne société (notons que les places de psy. se trouvent majoritairement dans les postes payés par des subsides publics quand même, "mais"... ). Bref, elle ne trouva qu'un poste où le diplôme était exigé, avec des compétences de psy (évaluer que les familles d'accueil n'étaient ni maltraitantes ni pédophiles (etc.), avec suivi afférent. Mais le poste ne fut jamais validé en rapport avec les compétences exigées : Ceci étant à priori problématique quant aux agréments, on la harcela pour bien lui faire comprendre que si elle faisait valoir les compétences inhérentes au poste et diplôme afférent, elle serait virée (avec montage mensonger de dossier contre elle) ... Notons que si l'employeur se comporte perversement, il doit faire aussi avec des subsides publiques ridiculement étriquées. (en gros, l'action sociale, qui coûte un pognon de dingue, est pressée financièrement comme un citron. (J'appelle ça le syndrome de l'imprimante. Dans une institution, avait été mis en place la diffusion d'un journal interne : Ordinateurs aux capacités minimales, logiciels, et imprimante A3, mais au moment de sortir le journal, pas de budget "encre" suffisant (notons que deux éducateurs s'occupaient du projet : Combien ça coûte 2 éducateurs ? Mais on ne pouvait pas sortir trois fifrelins de plus pour faire tourner le projet. (très gros investissement général tombé à l'eau pour manque d'investissement supplémentaire de quelques dizaines d'euros. L'action sociale c'est ça : de gros moyens inefficaces par défaut de quelques malheureux euros supplémentaires). Comment dire ? Rien de mieux pour saborder l'action sociale, et son coût, que de ne pas lui donner les moyens de réussir. Idem pour la politique de la ville : On laisse les maisons s'écrouler pour mieux raser les quartiers centraux (tellement plus rentables en les boboïsants . . . En alimentant ainsi une non mixité sociale dans des ghettos extérieurs paupérisés ingérables : Quel est le coût à terme pour quelques fifrelins économisés ? C'est le cas de la transition écologique : Combien coûtera à terme le défaut d'investissement concernant le problème : Evidemment infiniment plus que d'investir ce qu'il faut) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .J'ai également oeuvré dans une structure sociale où seul un tiers des intervenants étaient correctement diplômés, et où, les non diplômés dictaient à l'arrache la psycho-pédagogie qui leur convenait. Structure accueillant théoriquement des "cas sociaux", mais qui était tancée d'accepter aussi des débiles légers, des borderlines psychotiques et des prédélinquants pervers (plutôt que de les dispatcher dans des structures adaptées à chacune de ces problématiques (mais plus chères)). Oh, certes, une politique de formation était proposée aux employés, mais qui s'en allaient dès qu'ils étaient diplômés, tellement la dynamique institutionnelle était dysfonctionnante (eu égard à la politique économique de mélange des genres ingérable quant aux agréments afférents : Imagnez le sort d'un débile léger face à des pervers qui profitent des désordres comportementaux de prèpsychotiques : Et on ne parle même pas des jeunes qui eurent pu profiter d'une prise en charge sereine qui aurait du leur être promise dans ce délire organisé (en fait négligence coupable de dyspatching)). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ca a à voir avec quoi, concernant les discriminations sociales ? Si vous n'avez pas compris. On peut plus rien pour vous.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

La citoyenneté suppose la liberté d'opinion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Mais l'intolérance n'est pas une opinion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Elle est une pression coercitive à remettre en cause la liberté de l'autre d'exprimer son opinion sans pression insupportable (anti liberté d'opinion). Opinion au sens large s'entend : assumer son "identité culturelle", c'est ainsi défendre les "opinions" de cette "culturalité". . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Dire que les juifs, homosexuels, immigrés (parfois français depuis 3 générations !), etc. n'ont pas leur place dans la société (égalitairement) est la négation même de la liberté citoyenne d'expression (identitaire), je dirais de l'identité française (ses valeurs constitutionnelles s'entend). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Alors le débat, compris vif, est de rigueur (défendre des opinions), mais dans le respect des personnes, de leur intégrité physique, matérielle, et psychologique, (atteintes qui devraient être très sévèrement réprimées , il y va de nos valeurs fondamentales) - je dis sévèrement, un peu d'indulgence serait de mise : nous partons de loin dans l'irrespect de l'autre, du sursis donc mais lourd, de l'indulgence lorsque les propos dépasse la pensée dans un moment d'énervement), mais globalement au delà de la rigueur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Je me répète sans doute : Exprimer des menaces ou des "fatwas" (comprises laïques s'entend) contre les opinions des autres n'est pas de la liberté d'opinion mais de très sérieuses menaces contre la liberté d'expression. Il y a une maxime : "Pas de tolérance contre l'intolérance" qui devrait être pris au pied de la lettre par la législation. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Ne pas tolérer l'intolérance est-il paradoxal ? Absolument pas ! L'intolérance n'a pas à revendiquer une valeur qu'elle nie, ce serait absurde en soi. Supposément, si on ne tolérait pas l'intolérance, on serait intolérant et tomberait sous le coup de la loi ? Non ! Car l'intolérance serait définie par la loi et serait sanctionnée par elle... avec parcimonie. Reprenons le paradoxe : La loi interdit le kidnapping et la séquestration des gens.... mais arrête les délinquants (les kidnappe), et les retient en détention (les séquestre) Il n'y ainsi pas de paradoxe : On applique aux "délinquants" le non-respect qu'ils ont des autres mais en y mettant les formes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi l'intolérance est-elle une des principales plaies de nos sociétés (internet oblige où chacun se croit autorisé à harceler son voisin pour ses opinions ou identité culturelle (ethnique ou sexuelle). L'impunité sur le net (effet de groupe aidant) donne à penser à certains qu'ils peuvent poursuivre leur harcèlement dans leur vie de tous les jours. Il devrait être possible d'interdire à certaines personnes d'accéder aux serveurs en cas de récidive (au moins chez eux). Censure ? Oui censure de l'intolérance (correctement définie : tentative coercitive de limiter l'accès à la liberté d'opinion de chacun au sens large : Ethnicité, sexuelle, féministe, apostats, etc.). Prévoir une déchéance de citoyenneté envers ceux qui récidive en matière d'intolérance (interdiction de vote et de mandat électif, voir de solidarité nationale : Ne pas leur accorder ce qu'ils dénient aux autres). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Maintenant on peut aussi essayer parallèlement de tenter de valoriser systématiquement les comportements tolérants. L'un n'empêche pas l'autre. Question laïcité : dérouler le tapis rouge aux gens les plus intolérants d'une communauté (rigoristes et autres intégristes), ça agace fortement : On devrait toujours privilégier la parole des plus tolérants de chaque communauté (slogan : "Modérés de chaque bord contre les rigoristes de leur bord.... de chaque côté".

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

Ah ben non ! NON ! C'est la proposition la plus dégueulasse de chez dégueulasse qui soit faite ici. . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Surtout si on délègue l'action sociale aux congrégations (comme promis par le Président). Imaginez une association musulmane oeuvrant en banlieue Quelle contrepartie serait-elle donc en espoir de demander ? Demander une contrepartie à la solidarité créerait donc un fâcheux précédent dont elles pourraient se prévaloir. . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais le problème n'est même pas là. c'est la notion même de "contrepartie" à la solidarité qui disconvient. Soyons clairs, une contrepartie transforme la notion même de solidarité en simple contrat ou deal. Mais c'est surtout que la solidarité s'adresse théoriquement aux plus faibles, les déclassés, les gens qui n'ont "plus rien à donner en retour" (quoi ? On va hypothéquer leur maison, s'ils ne sont déjà pas déjà à la rue ?) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Je me permets de souligner une chose fondamentale : Les gens cotisent pour pouvoir faire jouer la solidarité en cas d'accident de la vie. "EN CONTREPARTIE" ils "ONT DROIT" (pleinement et entièrement) à cette solidarité qu'ils ont financée durant des années (ou pas s'ils sont handicapés dès le départ). Demander une contrepartie serait en fait une sorte d'escroquerie pour leur demander de "financer" (même symboliquement) une deuxième fois ce qu'ils déjà financé par ailleurs ("vous avez déjà financé vos prestations ? eh ben on efface l'ardoise de l'Etat et on fait comme s'il ne vous devait rien !"). En fait on subodore une sorte de nouveau prétexte kafkaien visant essentiellement à permettre à l'Etat de NE PAS face à ses obligations personnelles de CONTREPARTIES. Je fais le parallèle avec les tyrans domestiques : "Comment ? Tu veux que j'achète un lave vaisselle ? Mais ma pauvre fille ton abnégation inefficace aux taches ménagères et le versement intégral de ton misérable salaire ne sont franchement pas à la hauteur de tes exigences hallucinantes, lèche moi donc un peu plus les bottes, voir si éventuellement je te rachète une éponge neuve, ou si je te fous une torgnole pour te ramener aux réalités". C'est carrément puant de chez puant. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah ! On sent venir l'argument de la fraude, la mauvaise volonté : TOUT LE MONDE SAIT PARFAITEMENT que l'Etat se défausse de ses responsabilités en inventant des fraudeurs imaginaires : Sous prétexte de 3 à 4% de fraudeurs réels, il en profite pour évincer des ayants-droits honnêtes à hauteur de 10-20%. : Qui est profondément malhonnête en l'occurrence ? (après on essayera de nous culpabiliser sur les incivilité alors que l'Etat est profondément malhonnête en l'occurrence). Je rappelle que l'administration a cherché à me pousser au suicide en me déniant mes droits (refuser à un dépressifs ses indemnités sous prétexte qu'il est incapable de fournir les papiers adéquats (que le médecin de la Sécu a jugé incapable de réunir) est de l'ordre de la perversion institutionnelle : Pousser un dépressif au suicide pour ne pas avoir à lui payer les indemnités et aides auxquelles il a droit : c'est pas de la saloperie de chez saloperie ça ?) Je sens bien le truc de la contrepartie : "Vous êtes dépressif, eh bien en contrepartie des aides on va vous demander de pointer deux fois par jour au centre social, comme ça quand vous vous louperez (nécessairement vu votre état) sur votre pointage on pourra vous sucrer vos aides. Avec un peu de chance vous vous foutrez en l'air, et ça fera un problème de moins à régler": Quel est le pervers profond qui a pensé à cette ignominie infâme de chez infâme ? Je veux une condamnation ferme pour ce type de personnes. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .PROPOSITION : évaluer combien sont les ayants-droits évincés du système qui ne portent pas plainte (les économies réalisées ainsi), et à chaque plainte portée par les rares plaignants encore en capacité de le faire, prévoir de lourdes condamnations de l'Etat afin de verser deux fois les sommes nécessaires à des associations afin qu'elles puissent rechercher (rechercher les ayants droit et évaluer leur situation coûte bien plus cher que les économies réalisées par leur radiation intempestive) et indemniser tous les radiés des aides auxquelles ils ont droit, plus indemnités de retard et autres préjudices moraux (rechercher les ayants droit et évaluer leur situation coûte bien plus cher que les économies réalisées par leur radiation intempestive). Ca ce serait de la CONTREPARTIE bien comprise Gageons que si l'Etat pouvait ainsi être condamné, il trouverait très très vite le moyen de palier aux radiations intempestives, et manque de zèle à permettre réellement aux gens de toucher ce à quoi ils ont droits. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .J'entends les libéraux nous dire qu'il n'y a qu'à privatiser : Comme si les assurances n'étaient pas les premières à inventer des clauses en très petits caractères afin de ne pas remplir leur partie du contrat ("payez donc pour être couvert , mais on veillera bien à tout tenter pour ne pas vous rembourser en cas de problème") . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..Aussi comme précisé auparavant, le déclassement social des précaires est constitutif de toute vision malthusienne de l'ordre social (il fabrique mécaniquement de la précarité) : En gros, il s'agirait de pousser cyniquement les faibles à la précarité pour leur demander de "payer de leur personne" les aides auxquelles on les acculerait quasiment à avoir recours. Le malthusianisme est d'essence perverse, mais faut pas pousser trop loin quand même. . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi, j'ai vécu du temps des 30 glorieuses, où les chercheurs d'emploi était à 5 réels %, (à l'heure actuelle, les chiffres des demandeurs d'emplois sont ridiculement trafiqués : 25, 30% réels ?), Bref, quand il y a du travail, il n'y a que peu de nécessiteux (et les gens ne font pas semblant d'être au chômage), et quand il n'y a pas de travail il y a beaucoup de nécessiteux : Où est leur responsabilité là dedans ? Franchement ? Idem quand une entreprise menace de fermer, on constate généralement que les employés défendent leurs emplois bec et ongles, et fort peu se précipitent immédiatement pour toucher de prétendus encouragements à la fainéantise (A Marseille il y avait une place dite "Des Fainéants" : En fait la place où les candidats à l'embauche venaient attendre de se faire embaucher à l'heure ou la journée (l'ANPE de l'époque quoi !) : En gros les "vrais fainéants" n'y venaient jamais . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . On peut toujours tenter de les culpabiliser en leur disant qu'en se bougeant un peu plus, ils trouveraient du travail de l'autre côté de la rue ; Mais la vérité est qu'ils ne prendraient que la place d'un autre de ce côté de la rue (globalement ça ne changerait rien, il n'aurait pris l'emploi que d'un autre postulant). En gros leur demander une contrepartie à n'avoir pas été assez agressif à prendre la place d'un autre ? Que dire ? Très généralement les déclassés sociaux vivent leur condition comme une humiliation, et leur faire sentir qu'ils devraient "payer" leur présumée "mauvaise volonté" rajouterait de l'humiliation à l'humiliation. Perversité malthusienne pour perversité sadique, pourquoi pas ! ?. .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Soyons clairs, les déclassés sociaux vivent généralement leur condition comme un traumatisme honteux (les plongeant généralement dans sorte une torpeur dépressive : Certains auraient sans doute même besoin d'un accompagnement psychologique, et ont généralement surtout besoin de retrouver la pêche. Si on envisage une solidarité, ce ne serait surement pas en envisageant de leur demander des "compensations" vexatoires (comme s'ils étaient totalement responsables de leur traumatisme (et non victimes d'un système économique purement mécanique)), mais donc en leur insufflant l'idée que la société serait prête "à investir" en eux parce qu'elle croirait en eux ("croyez donc en vous, nous on y croie bien !") : Sauf si la société est tellement au fait du chômage structurel induit qu'elle baisse les bras faute de solutions pérennes : Je pense que l'idée de "contrepartie" (a une inertie supposée des nécessiteux) est une sorte de cache misère déculpabilisant à l'impuissance des pouvoirs publics à résoudre structurellement le problème du chômage ou autres problèmes malthusianiquement structurels). C'est subtil : Un exemple pour mieux comprendre. Soit une personne internée en psychiatrie : Deux optiques :a/ L'obliger à travailler aux cuisines pour amortir un peu le coût de son internement (contrepartie) : Ici ce n'est pas un accompagnement à sa réinsertion, mais une participation à une situation supposée éventuellement comme définitive (on ne croit pas en elle). b/ Lui proposer un atelier cuisine dans une optique thérapeutique, valoriser ses capacités à faire des choses intéressantes pour lui et les autres qui goûtent ses plats avec bonheur. Ici, c'est un investissement : On lui fait valoir qu'on croit en ses capacités à faire des choses "normales" : Un pied à l'étrier à ce qu'il réinvestisse ses propres potentialités. . . . . La différence : a/ S'il n'y arrive pas on l'enfonce dans l'idée qu'il soit un incapable. b/ s'il n'y arrive pas on n'insiste pas, on passe à une autre approche (atelier menuiserie, poterie, peinture, etc.) Tout ce qui peut lui redonner un peu de confiance en lui. . . . . Voilà : Chômage ou dépression ou autre : On propose des actes non en contrepartie mais comme des incitations à croire en eux : "Tu merdes dans ton stage de cuisine, inutile de s'entêter dans cette nécessaire "contrepartie" (mais contre-productive), essayons juste un autre stage dans un autre domaine (et/où une psychothérapie parallèle pourquoi pas). Je prend un autre exemple : Le travail des handicapés en centres spécialisés. Soyons clairs lesdits handicapé ne prennent pas leur accessibilité à ce genre de travail comme une "contrepartie" à leurs aides, mais comme une accessibilité à une certaine "dignité sociale" ("moi je suis capable de travailler comme tout le monde !"). La plupart des déclassés sociaux n'attendent qu'une chose : Qu'on leur donne une chance de se réinsérer : Ceci dit s'ils ont été maltraités durant leur parcours du combattant pour obtenir des aides : il ne croieront plus au système ("pourquoi participer et cotiser à un système qui n'est que machine à casser les gens ? A une société bêtement mécanique et inhumaine parce que mécanique ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Remplaçons donc la notion de "contrepartie" en celle de "réinvestissement" social, ou incitation sociale à un réinvestissement personnel : D'abord éradiquer toute notion de "flicage culpabilisant" (bon si quand même, mais en s'excusant : "Nous sommes désolés, mais nous devons quand même nous assurer A MINIMA que vous avez réellement besoin d'aide, mais sans préjuger de votre mauvaise foi s'entend" : Juste montrer un peu d'empathie dans les appréciations de leur situation (plutôt que "contrôles" stricto sensu. Tout est dans la nuance). Ne surtout pas donner l'impression que le seul but de l "appréciation" ne serait que de les priver de leur "droit à la solidarité" : Idéalement on ne devrait même pas parler de "droit" mais de "désir social en leur endroit" : A la limite, l'administration devrait leur imposer une solidarité dont 'ils auraient honte, ou des scrupules, à demander.. .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . L'idée est d'envisager les "efforts qu'ils auraient à fournir", non tant comme une expiation de leurs fautes (imaginaires) à se retrouver déclassés, en "remise du pied à l'étrier", style : "Allez il faut croire en vous, nous on y croit bien : la preuve on investit en vous". S'ils "devaient" faire "quelque chose" ce serait pour eux (formation, démarches, etc.), pas pour s'excuser des aides (pour lesquels ils ont cotisé en plus !) : Formations, etc.... Pour les longues durées on pourrait même aller jusqu'à envisager de les embaucher sur les postes de fonctionnaires à remplacer (et certes ça ferait moins de place pour les jeunes : et pourrait remplacer le bashing anti chômeurs, 2ndes générations migratoires, et assistés, par un bashing anti jeunes : "Vraiment les jeunes ne sont pas très pressés de travailler !" chômage structurel oblige). Accessoirement, on serait assez sûr que ces fonctionnaires ainsi embauchés montreraient un peu plus d'empathie, faciliteraient mieux les démarches des citoyens (étant pertinemment au fait des conséquences d'un harcèlement kafkaien de l'administration). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah !? mais suis-je bête !?... Le but étant d'achever malthusiennement les déclassés sociaux, ça le fait pas. Milles excuses pour ma courte vue !

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Nous sommes dans une dynamique mondialiste . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rappelons donc que la mondialisation, prônée par son théoricien (Ricardo), imagine que deux pays se spécialisent dans une production : L'une dans le vin et l'autre dans la laine. Ainsi ils excelleraient dans l'amélioration de leur production (qualité et productivité), dont chacun bénéficierait en échangeant leurs productions. Passons sur l'idiotie patente du concept (mettre tous ses oeufs dans le même panier ! En fait en spécialisant les pays, ça les fragilisent et donne ainsi plus de pouvoir aux multinationales : Entreprenariat contre citoyenneté). . . . Le fait est que Ricardo n'a jamais imaginé la maltraitance de la main d'oeuvre comme une "spécialité" en soi : Ce sont de meilleurs produits qui sont visés théoriquement (quoi que cet ami parlementaire de Malthus n'aurait peut-être pas désavoué). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Reprenons l'origine du malthusianisme. La Révolution Française venait d'affoler les élites du monde en confiant le pouvoir au peuple (théoriquement). Malthus n'a donc fait que rationaliser cette phobie du peuple souverain (c'est une doctrine initialement anti démocrate). Il fallait maintenir le peuple dans une nécessité létale pour limiter son essor, en laissant ainsi les rênes aux élites. (On notera que non seulement les classes populaires font moins d'enfants quand leur confort est assuré, contrairement à cette doctrine, mais qu'elles laissent facilement les rênes aux élites tant qu'elles se montrent bienveillante à leur endroit : Bref le malthusianisme est inepte). Néanmoins la phobie est là. Les élites ont donc commencé par cliver la mixité sociale en délocalisant les classes populaires dans des ghettos banlieusards... Mais en allant jusqu'à délocaliser la main d'oeuvre non qualifiée dans les pays du tiers monde. Main d'oeuvre qualifiée (et plus calme) dans les pays riches, et pauvre dans des pays lointains où les révoltes (nécessairement lointaines) ne risquaient pas de mettre en danger les donneurs d'ordre, tranquillement installés en pays riches (et supposément plus calmes). Cette dynamique permettait également de bafouer les droits humains de la main d'oeuvre dans des pays paupérisés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Notons au passage l'aberration libérale de ce concept malthusien : Créer du chômage (baisse global du pouvoir d'achat d'un côté) dans les pays riches en délocalisant les industries à main d'oeuvre non qualifiée payée au lance pierre (sans création de réel pouvoir d'achat donc) dans des pays paupérisés fait mécaniquement baisser le pouvoir d'achat global, et donc les ventes et profits afférents. Une aberration libérale : Rappelons simplement le concept d'un industriel (fort peu marxiste), non théoricien de l'économie libérale, mais sur le terrain entreprenarial (au moins lui) : L'automobiliste Henri Ford. En augmentant le pouvoir d'achat de ses ouvriers, il conçut ainsi que ces derniers seraient en capacité de lui acheter un de ses véhicules : Et en plus ça marchait ! (pas besoin de se prendre la tête). En fait, si le capitalisme était pensé ainsi par tous les libéraux, le libéralisme ferait 5 fois plus de profits. Non, mais les capitalistes ne sont pas tant libéraux que malthusiens : Ils ne pensent qu'à tuer la concurrence en économisant sur la main d'oeuvre, mais tuent ainsi la poule aux oeufs d'or en sabordant leur réservoir de consommateurs. (Imaginons qu'ils aient promu le pouvoir d'achat (et droits de leur main d'oeuvre) dans les pays du tiers monde de façon concertée : leurs profits auraient ainsi décuplé). Non la coopération n'est pas leur fort, ils misent tout sur une concurrence imbécile sans merci, sur fond de maltraitance de leur main d'oeuvre) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comme on ne peut pas leur faire confiance pour assurer un capitalisme intelligent, c'est aux Etats (citoyens) de légiférer pour assurer une concurrence loyale (et plus bénéfique : tant pour leur main d'oeuvre citoyenne, que pour ... leurs profits ! Eh oui ! Incroyable !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N.B. : En créant de la précarité dans les pays pauvres, cela initie une appétence pour leurs mains d'oeuvre non qualifiées à migrer vers les pays riches ; Logique ! Notons que les pays riches n'ont pas réglé leur problème de main d'oeuvre non qualifiée en générant du chômage d'un côté (pas de production à bas coût pour leur main d'oeuvre non qualifiée ; barrée par la concurrence de pays sans respect de la main d'oeuvre) et immigration récurrente de main d'oeuvre non qualifiée, non maîtrisable sans miradors aux frontières) . . . . . . . . Aussi ceux qui ont une courte vue objecteront que certains pays riches réussissent à endiguer leur chômage, supposément par une politique industrielle plus dynamique (investissements, et lois sociales plus souples. D'abord c'est un trompe l'oeil : Si l'Allemagne, et autres pays, réussissent mieux c'est quand même AUSSI par une politique de moins disant social (dumping social) (non ni l'Allemagne, ni le RU ne sont pas des paradis prolétariens, les gens y souffrent aussi, l'Irlande s'en sort par une politique fiscale avantageuse et déloyale. En gros, ces pays réussissent aussi en siphonnant les richesses de leurs voisins (ça a ses limites aussi : il faut bien que l'Allemagne vende ses produits à l'étranger, et les autres ne peuvent lui acheter qu'en équilibrant leur balance commerciale (qui ne peut se creuser indéfiniment : aucun développement national n'est pérenne sans développement global. Pour l'instant elle règne par le creusement des déficits commerciaux des autres à son profit (et cela lui convient fort bien), mais cela n'aura qu'un temps, c'est juste intenable à terme : l'Amérique vient de jeter l'éponge en instaurant un nécessaire protectionnisme : elle n'achète plus aux allemands (et chinois) qu'en proportion de ce qu'elle leur achète, politique de relocalisations, etc. (et je ne suis absolument pas Trumpiste pour autant)) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D'où PROPOSITION. Procédons par élimination : L'aide au développement aux pays pauvres (et mondialisation afférente imposée) détruit en fait leurs économies tout en coûtant un pognon de dingue ! Sans créer donc d'industries chez eux, sans création de pouvoir d'achat supplémentaire en fait (immigration structurelle donc !). C'est juste une espèce de politique visant surtout à siphonner leurs matières premières sans contrepartie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il s'agirait donc de créer des taxes étiques !?!?!?! . . . . . . . . . . . . Taxer les productions au prorata de ce qu'elles coûteraient si elles étaient produites de façon socialement éthiques (salaires décents à minima, et protections sociales afférentes a minima dans un premier temps) . . . . . . . . . . .Mais avec intelligence (pour changer), progressivement. Car, soyons clairs, taxer ainsi serait le meilleur moyen de tuer dans l'oeuf l'essor économique de ces pays pauvres. Ainsi tout industriel proposant une amélioration significative (à définir finement) des rémunérations et conditions de travail dans les pays pauvres se verrait exonéré de ces taxes éthiques dans les pays riches) car proposant un mieux disant social). Délocaliser resterait ainsi rentable en soutenant ainsi leur développement, et y promouvant ainsi l'émergence d'une classe de consommateurs (a minima au moins). Certes ce serait rentable, mais moins : Moins d'importations et de concurrences déloyales (permettant moins de délocalisation, et réappropriation d'industries sans qualification dans les pays riches (moins de chômage ) ; mais sans pour autant tuer l'industrialisation de ces pays : Donc politique fine de développement et promotion de respect de la main d'oeuvre lointaine). Moins de tentations à fuir la misère de ces pays . . . . . . . . . . . ON Y EST ! . . . . . . En adaptant ainsi ces taxes au faire et à mesure du développement social dans ces pays, ils finiraient par nous rattraper (et là plus d'immigration, ou plutôt une immigration croisée : Ils seraient alors aussi attractifs que nous) N.B. : non seulement ça ne coûterait rien, mais pour une fois ça rapporterait même aux pays riches.... tout en bénéficiant aux pays pauvres (mais non, c'est trop simple !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il est évident qu'une telle politique serait d'autant plus efficace que concertée entre pays riches.... Et là, c'est pas gagné ! (on est dans la logique malthusienne de la concurrence sauvage où la maltraitance sociale (dumping) est de mise pour tuer la concurrence : Il s'agit d'un changement de paradigme économique carrément). Mais rien n'empêche de s'entendre entre quelques pays riches pour initier une telle dynamique pour la promouvoir (et inviter le FMI à y réfléchir), quitte à instaurer les taxes afférentes aux pays qui n'y souscriraient pas (transit déloyal passant par eux). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Enfin, quand même on sent bien qu'un tel développement global de l'économie mondiale n'arrangerait pas le problème écologique. D'où nécessairement assortir cette taxation éthique sociale, d'une taxation éthique environnementale (à hauteur de ce coûteraient les produits produits écologiquement). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Nos juristes nous diront que ça contrevient aux traités internationaux. Mais d'un côté pourquoi pas les revoir (ça profiterait à tous !), de l'autre pas tant que ça : Si on taxe les entreprises nationales socialement pour maltraitance de leur main d'oeuvre (travail au noir, maltraitances managériales), et leurs impacts environnementaux, il n'y aurait pas de concurrence déloyale dans ces taxations (égalité des entreprises devant ces taxations tant nationales qu'internationales sans discrimination).

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Certes, mais pas sans accompagnement du problème structurel évoqué ci avant (sinon il faudra envisager des murs avec miradors. . . . . . . . . Euh, lors de la crise migratoire syrienne, les migrants se sont rués en masse vers l'Allemagne, les pays scandinaves et le RU. Ce qui est inquiétant, ce n'est pas l'attrait migratoire de notre pays, mais plutôt son manque d'intérêt (même les pauvres ne rêvent plus de venir chez nous (sauf les francophones, et encore !))

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Voir ci dessus ( 1er item ). C'est marrant vous nous assommez de question (question de nous faire sentir tout petit et ignare ?). Mais quoi, il suffit d'une question pour en faire le tour pas besoin d'y revenir dix fois (du coup qui a l'air idiot ?). Le fait est qu'en répétant la question on a l'impression de ne pas y avoir répondu, donc on a tendance à en rajouter 3 couches alors que ce n'est pas nécessaire. (au verbal ça se justifierait - si l'autre répète la question c'est qu'il n'a pas compris, ou que c'est trop succinct. Mais dans un questionnaire, ça fait un peu "je tente de noyer le poisson par avance : Vous avez tellement mal répondu qu'on répète la question, et si vous répondez mal, ça ne sera pas utile de tenir compte de votre avis" . . . Bien vu, mais ça marche pas.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Apprentissage de la langue, et des fondamentaux de nos valeurs (Déclaration des Droits du Citoyen avec commentaire de texte : Implications laïques). En leur précisant que ladite Déclaration est une déclaration d'intentions qu'il faut toujours défendre à son niveau, avec conviction certes, mais avec philosophie quant à ses multiples trahisons (on ne fait que tenter de les faire respecter scrupuleusement, mais toujours avec difficultés : Les traitres pouvant être aussi "aux affaires"). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ensuite, dans l'idéal, aide à l'insertion professionnelle et sociale (logement etc.). Ce qui pose évidemment qu'une telle politique accompagne également les déclassés sociaux actuels du pays. La réticence des français à tout effort d'intégration se poserait ainsi facilement : "Et nous alors ?". Si on posait ainsi comme principe fondateur : Tout effort national d'intégration des migrants sera proposé également à tout précaire du pays, lesdits précaires y verrait une opportunité à s'en sortir, plutôt que comme une concurrence déloyale. (pognon de dingue en vue ? Et si c'était rentable à terme ?)

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Surement plein, mais j'ai déjà assez développé ce me semble.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Si quand même. Pour moi la principale plaie de tout investissement social est l'investissement des postes de pouvoir par les pervers narcissiques (Etat, administrations, politique, entreprenarial, syndical (aussi parfois), familial, religieux, médiatique, culturels, etc. etc.). Aucune de ces instances n'est mauvaise en soi, c'est leur investissement intempestif par eux qui les rendent délétères. Tout un programme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Comment dire ? Plus que de combattre l'investissement des pervers en soi (difficilement identifiable car le pervers est un caméléon manipulateur sachant parfaitement cacher son jeu -jusqu'à avoir suffisamment de pouvoir pour "pouvoir" se lâcher). Il faudrait donc commencer par rendre toutes ces instances de pouvoir difficilement praticables par eux en les structurant de façon à limiter leur pouvoir de nuisance avant qu'elles ne soient investies par eux. Définir ce qu'est une dynamique sociale perverse, inventer des interdits afférents (maltraitances managériales à condamner (dans tous les domaines), toutes maltraitance sociale en soi, couverture des pervers entre eux, de leur pratiques, etc., etc..) . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . D'ailleurs, c'est ce que tente de faire la loi généralement (interdire les pratiques perverses en bonne société) : Mais je propose ici d'y réfléchir plus "rationnellement" ; la loi tente d'y palier sans réflexion profonde sur les dynamiques perverses, qui deviendrait centrale dans cette nouvelle approche (harcèlement, tentatives d'emprise mentale, de destruction mentale d'autrui par des pressions d'ordre matérielles, hiérarchique etc.). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Attention ! Cette approche réclamerait l'avis éclairé de spécialistes de la question, mais pas seulement. Il faudrait y aller avec prudence : Il est évident que les pervers seraient les premiers à proposer leurs propres solutions pour mieux pervertir cette approche. (Ainsi lors de la création d'un groupe social, j'ai mis en garde le groupe sur la possibilité que des pervers l'investissent... Mise en garde jugée excessive par la plupart, mais qui n'a donc pas empêché lesdits pervers d'en prendre le contrôle, en me virant prioritairement (avant maints autres indignés par cette exclusion sans forme ni procès pour prétexes manifestement futiles : En fait, non soumission aux leaders autoproclamés). Le plus symptomatique étant que le meneur manipulateur était prétendument un expert en ... éthique ! Eh oui ! C'est juste logique : il n'y a rien de mieux qu'un "Tartufe" pour instaurer des règles de moralisation sociale perverses. (J'ai appris par la suite qu'il fut lui-même viré... sans doute par un plus pervers que lui ?) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Prudence et modération en la matière donc !. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je place quelques jalons : Un pervers ne vit que pour faire du mal : Il n'investi un pouvoir que pour mieux sadiser les autres, et absolument pas pour servir ce à quoi ce pouvoir est destiné. Certes, à part certains illuminés, ils ne s'affichent pas mauvais (car narcissiques : ils tiennent à garder une bonne image d'eux même, et auprès des autres (combien de fois a-t-on entendu de la part de ses connaissances à propos d'un pédophile dévoilé : "Pourtant, c'était quelqu'un de très bien en apparence !".). D'ailleurs ils ne se vivent pas comme pervers : ils ont toujours des prétextes fort nobles (et hautement moraux) pour sadiser les autres. Ils peuvent ainsi être reconnus comme des mentors moraux par maints de leurs aficionados (gourous idéologiques). (comme tout le monde n'est pas dupe ils sont clivants : Adulés par les uns, honnis par les autres). Mais attention ! leur désir profond de nuire les rendent tout aussi délétères pour les causes qu'ils investissent (il n'y eu pas pire pour le catholicisme que les inquisiteurs pervers, ne parlons pas des pédophiles). Ainsi quand ils investissent une entreprise, il ne maltraiteront pas tant leurs subordonnés qu'aussi bien l'intérêt de leur entreprise (l'entreprise leur sert à sadiser pas à produire du mieux possible). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En politique idem : Il n'y eut pas pire que le nobellisé d'économie Friedmann pour rendre le libéralisme puant (malthusianisme rampant). Aussi la jouissance suprême du pervers est de rendre les autres aussi puant que lui. . . . . . . Prenons exemple les délocalisations honteuses: : un entrepreneur peu scrupuleux délocalisera dans un pays où la maltraitance de la main d'oeuvre est de mise (première jouissance) tout en mettant au chômage ses propres employés dans son pays (plus respectueux de la main d'oeuvre), 2ème jouissance ; Le faible coût (dues à cette maltraitance) lui permettra de tuer le marché dans son pays en faisant fermer ses concurrents (3ème jouissance) et mettant au chômage de même leurs employés (4ème) ; certains de ses concurrents seront ainsi obligés de délocaliser dans les mêmes conditions fort peu éthiques pour ne pas mettre la clef sous la porte (5ème). Au final tout le secteur délocalisera par nécessité économique (jouissance suprême !). Et on notera ici toute la perversité de l'entreprise : Au final, notre pervers fera peut-être faillite (l'intérêt de son entreprise lui important moins que son désir de nuisance), MAIS tout son secteur d'activité fonctionnera désormais de façon perverse sans qu'il n'y ait plus désormais de pervers à la manoeuvre (là notre pervers a induit sa propre perversion dans son domaine. C'est le système qui est devenu pervers (et plus n'est besoin qu'un pervers le manipule : il est devenu intrinsèquement pervers.... c'est devenu une perversion institutionnalisée)). . . .Idem en religion, politique, dans les média, etc.... . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Petite expérience : On met 4 singes dans une cage avec une chaise sous une banane suspendue. Mais dès qu'un singe grimpe sur la chaise, une décharge électrique traverse le plancher (expérience perverse en elle même certes). Les singes flanquent donc une raclée à tous ceux qui tentent d'y grimper. On remplace un singe, le nouveau tente de grimper : raclée ! On remplace un 2nd singe : idem raclée (mais chose intéressante : le 2nd singe ne sachant pas pourquoi cette raclée y participe pourtant). Un troisième singe, idem. Puis le 4ème singe initial, idem. et il est intéressant de constater que plus aucun singe ne sait pourquoi il fout une raclée au "délinquant". Au point même que dès le premier singe remplacé, plus n'est même besoin de faire passer une décharge. Bref ils se foutent une raclée mutuellement sans aucun motif réel. La perversion institutionnelle, c'est juste ça : elle se perpétue d'elle même sans qu'il n'y ait plus aucun motif valable, pervers à la manoeuvre. Pour les délocalisations, admettons que tous les entrepreneurs restant soient désormais épris d'éthique, eh bien ils ne s'entendront jamais pour relocaliser : étant désormais entendu par tous que les délocalisations indignes font intrinsèquement partie du "système". . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Voici aussi pourquoi la chasse aux pervers est un peu illusoire : les gens agissent souvent perversement, juste parce que le contexte leur impose de le faire (et non par perversité personnelle : Eh oui les tests ont révélé que beaucoup de nazis n'étaient pas des pervers, parano, mégalo, sadiques, mais des gens psychiquement très ordinaires). C'est donc au système de la perversion institutionnelle qu'il faut s'attaquer (mais accessoirement interdire aux pervers d'accéder aux postes de pouvoir peut aussi se montrer salutaire : En même temps, si on a déminé préalablement ces postes, il ne pourraient guère y nuire). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah dernière chose ! La séparation des pouvoirs est ainsi l'une des premières mesures capable d'y palier (le législateur ne fait pas appliquer la loi : L'exécutif qui doit le faire n'est pas à son origine (hum ! théoriquement), et le judiciaire qui juge cette appréciation de l'exécutif en est indépendant (bref pour être institutionnellement pervers, il faudrait une entente tacite de ces trois pôles indépendants) sans parler des média qui veillent au grain.... Et des citoyens aussi. (En fait, l'organisation des pouvoirs politiques est faite pour pouvoir être investie par les pervers (qui adorent le pouvoir), en limitant ainsi leur pouvoir de nuisance : Méfions nous donc de ceux qui prétendraient condenser pour plus d'efficacité managériale... c'est très dangereux ! (Je crois que les citoyens laissent les pervers se battre pour affirmer leur pouvoirs respectifs : Car au moins, pendant qu'ils se battent, ils les laissent un peu tranquilles : Ca peut aller mal quand ils finissent par s'entendre entre eux) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je vous invite donc à relire mes propositions à l'aulne de cette dernière appréciation sur l'organisation citoyenne des pouvoirs. Ce n'est juste pas tiré d'un chapeau de magicien au pif. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . P.S. : Enfin méfi ! Les foules fanatisées peuvent se montrer tout aussi perverses que la perversion institutionnelle.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Elle devrait arrêter d'harceler les citoyens quant à leurs accès à leurs droits : L'idée serait que plus aucun plus citoyen ne soit JAMAIS PLUS privé de ses droits pour accès difficile et kafkaiens aux services administratifs. PROPOSITION : Prévoir des indemnités exorbitantes pour les gens ayant été privés de leur droits par le manque de procédures simples et adaptées de l'administration. Là, je pense que toutes les administrations feraient des progrès très rapides pour être facilement accessibles à tous (sinon on en a encore pour des siècles) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je prends deux, trois, quatre exemples : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1/ J'ai été victime de maltraitance managériale : Dépression - Burn out. J'étais secrétaire du CHSCT et faisait remarquer à la direction que 15 cas de dépression (avérées, on parle pas de ceux qui faisaient passer leurs congés maladies pour des maladies ordinaires) sur 66 employés posait question sur le management du personnel : En fait aussi manque de moyens accordés par les tutelles publiques accordant les subventions. La loi prévoit ainsi que c'est aux victimes de démontrer leur maltraitance (attendez pour voir en quoi l'Etat est responsable, ça va venir : Déjà le médecin du travail ayant donné l'alerte sur l'entreprise fut très curieusement muté) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Soyons sérieux : Les victimes se retrouvent souvent dans un état dépressif, et donc incapables de monter un dossier convainquant afférent, ce dans un contexte où personne ne tient à être la prochaine victime en témoignant pour elles. . . L'entreprise, la.politique, la famille et la religion font partie des derniers terrains de jeux à pervers narcissiques (je ne nomme personne) . . . Serial killer, violeur en série, pédophilie, trop risqué (quoi que dans la prêtrise ?) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Non investissez plutôt donc dans l'entreprise : Délocalisez donc dans un pays ou la maltraitance des ouvriers est permise : Virez (maltraitez) vos employés français trop protégés (quoi que ?) ; maltraitez vos employés étrangers avec l'aval du gouvernement local (salaires de misère, condition de travail déplorables, travail d'enfants, pas de protection sociale, etc etc : le régal du pervers de base) ; maltraitez vos concurrents qui ont des scrupules en les poussant à la faillite par une concurrence déloyale ; poussez les donc à délocalisez dans les mêmes conditions déplorables. Le plaisir suprême d'un pervers, c'est de pousser les gens corrects à devenir comme eux par institutionnalisation généralisée de la perversion. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . [Merci à la mondialisation préconisée par Ricardo : un grand copain de Malthus ayant préconisé le harcèlement des pauvres (jusqu'à leur mise à mort carrément) pour les empêcher de se multiplier (sauf que la réalité a démontré qu'en sortant les pauvres de la précarité, ils faisaient moins d'enfants : peu importe il s'agit d'un concept pervers, pas économique). Euh Ricardo, bien qu'ayant voté les lois de Malthus, prônait plutôt la spécialisation des compétences par pays (on se spécialise dans le vin d'un coté, et dans la laine dans l'autre : Chacun devient meilleur dans sa spécialité en produisant moins cher en plus, et il n'y a plus qu'à échanger les produits : tout le monde est gagnant (théoriquement)).. . Sauf qu'il y a loin de la théorie à la pratique. Il n'a ainsi jamais prôné de faire de la maltraitance managériale une "spécialité", mais les pervers ont vite compris l'intérêt du concept (mais ce copain de Malthus n'aurait sans doute pas désapprouvé) ] . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais bon, en France les malthusiens pervers sont aussi à l'oeuvre (et l'Etat là dedans ? le rôle régalien de l'Etat est ses administrations est de protéger les faibles contre la perversité des puissants, et évidemment pas de l'encourager).Pour dire que l'administration n'est pas habilité à défendre les citoyens de la perversité de certains" employeurs délétères, ou manque cruellement de moyens à ce faire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Me voici donc en burn out, après un retour difficile après une première dépression : J'ai ramé pour me maintenir à flot quoi qu'il en soit. Le crime parfait : La victime n'est plus en mesure de porter plainte (avec l'aval de l'Etat : c'est aux victimes laminées de prouver ce qu'ils sont psychologiquement incapables de prouver J'avais faim pendant 4 jours car incapable d'aller à l"épicier du coin pour me ravitailler, alors monter un dossier pour maltraitance ?!) . . . (euh certes, il y a aussi des employés pervers capables de monter des dossiers bidons contre leur employeur, mais entre le pot de fer contre le pot de terre, pourquoi les services de l'Etat choisit-il le camp du pot de fer (l'employeur) ? Parce que l'employeur ne doit pas fermer boutique ? Mais en bon libéralisme, si un employeur pervers ferme boutique, il laisse la place à la concurrence non-perverse qui prend la place en recréant les emplois perdus, non ?(et puis gageons qu'après quelques fermetures (ou fortes mises en garde ou condamnations, sursis, point n'est même besoin de fermer) la perversité managériale reculerait de beaucoup. . . . Ah ben non ! Si on s'attaque à la perversion institutionnelle, on va priver les pervers de leur terrain de jeu préféré . . . C'est plus du jeu ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Coté Etat (vraiment Etat), le harcèlement se poursuit (notons au passage que le médecin du travail ayant souligné la responsabilité managérial de l'employeur a été muté et remplacé par un autre ayant bien compris qu'il ne devait pas trop l'embêter sous peine de mutation idem, Passons !). Je dirais que c'est théoriquement aux employeurs de faire le ménage chez eux, mais comme c'est dur quand la perversion est institutionnalisé (on se serre les coudes dans un clan) . . . C'est donc à l'Etat de faire tiers, sauf quand l'Etat est lui-même pro perversion institutionnelle (clanique) ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Donc un médecin de la sécu me déclare invalide à 100% : incapable d'effectuer un quelconque travail : Compris montage d'un dossier, traitement de courrier, prise de rendez vous, argumentation d'un point de vue, etc. (même quand j'avais faim j'étais incapable de sortir pour me ravitailler, pensez !), . . . Alors voilà, le médecin ne me préviens pas que je dois monter un dossier d'invalidité, ni l'administration afférente (jusqu'alors quand j'étais en dépression les indemnités tombaient automatiquement, j'imaginais donc qu'il en serait de même vu surtout mon état (comment ça se passe pour les gens dans le coma ou totalement paralysés sans soutient familial ? Un dépressif sévère c'est pareil !). Alors l'administration de l'Etat se dit que c'est aux invalides dépressifs de se renseigner (même si le médecin de la sécu les juge incapables d'aucune tache). En fait l'administration est schizophrène : Le médecin n'est pas chargé du suivi administratif du malade (dossier d'indemnisation). L'administration ignore l'avis d' "incapacité à mener des taches" prononcé par le médecin . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Schizophrène ou schizophrénie organisée ? Car qu'on ne me dise pas que la sécu n'ait pas été capable de repérer ce genre de dysfonctionnement depuis sa création (ça fait un bail quand même !). Donc à ce niveau ce n'est plus de la schizophrénie, mais bien de la perversion : En fait, c'est juste de la négligence "organisée", voulue, mais qui accessoirement permet de faire des économies sur le pognon de dingue qu'on donne aux improductifs (quand je vois des clochards dans la rue; manifestement dépressifs, je me demande de quelle maltraitance administrative ils ont fait l'objet pour n'avoir pas été pris en charge correctement) Au bout de deux mois sans aucun revenus, je finis par vaguement émerger et prend rendez vous avec une assistante sociale de secteur pour savoir où en sont mes indemnités d'invalidité (rendez vous trois semaines après - débordée l'assistante sociale !), où elle m'apprend que c'est à moi de monter le dossier, je lui fais savoir que je m'en sens incapable, et elle me demande en urgence de lui amener tous mes papiers : bref "on" finit par le monter. Notons que le gros du dossier était de rassembler toutes mes fiches de paies des 25 dernières années (bonjour ! Dépression = déménagement à l'arrache) pour calculer mes indemnités. Mais quoi ? La sécu a perçu les cotisations proportionnelles à mes salaires et devait donc être en mesure de le calculer en un click informatique (ah ben non : La Sécu n'en a pas gardé la mémoire (l'informatique c'est si compliqué voyons ! (au fait pourquoi ce logiciel "grand débat" n'intègre pas les retours à la ligne ?)). Accessoirement, il doit bien y avoir une indemnité minimale en cas d'invalidité, qu'on eut pu me verser en attendant le dossier complet... Houla ! Comme c'est compliqué pour l'administration ! On dirait vraiment que l'invalide n'est pas le malade, mais l'administration dans l'affaire : sérieux ?!? . . . . Bref je suis resté 3 mois sans revenus. Je précise que j'ai mis 3 ans à constituer mon dossier pour mon indemnité complémentaire de la prévoyance de mon employeur : encore une fois la Sécu devrait s'occuper de transmettre le dossier à la prévoyance que l'employeur serait "obligé" de lui transmettre (et ce serait la moindre des choses, notamment quand l'employeur est responsable du burn out, mais même sans ça !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En fait mon état d'esprit lors de ma mise en invalidité était de revenir après m'être reposé ; mais au vu de la maltraitance administrative, je me suis dit que je ne pouvais me permettre de revenir : Si je devais faire une rechute, je ne pourrais sans doute pas refaire ce parcours du combattant. Ce n'était pas une décision, mais simplement un abattement supplémentaire impactant l'état d'esprit combatif qui me restait jusqu'alors (la négligence de l'Etat s'est ainsi montré contre productive en l'occurrence (Non, Mr Macron, il faut savoir investir dans le social pour en retirer profit à terme. Laisser tomber les associations culturelles dans les banlieues au profit des associations musulmanes y a sans doute aussi promu l'intégrisme. Merci Mr Sarkozy pour nos morts) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITIONS : a/ Ne pas proposer aux employeurs de changer de médecine du travail comme ça leur chante (incitation indirecte à muter un médecins trop scrupuleux). Prévoir une instance supérieure (scrupuleuse) pouvant trancher le différent (entre la signalisation des dépressions intempestives et mon burn out il s'est passé 4 ans !). Voir déclencher un audit managérial de l'inspection du travail en cas de "dépressions" intempestives au sein d'une entreprise (encore faudrait-il que l'inspection du travail ait les moyens de travailler en toute indépendances : Visiblement certaines sont de "parti pris" pro entreprises. . . . b/ Dès qu'une invalidité à 100% est prononcée, convoquer l'invalide pour faire le point sur ses capacités à remplir son dossier d'invalidité (en lui donnant d'emblée les indemnités minimale prévues), voir envoyer une assistante sociale à domicile en cas de non réponse aux convocations. Plus, Impliquer l'entreprise de même à monter le dossier d'invalidité complémentaire de sa prévoyance (ou directement la prévoyance elle même (l'idéal serait que la Sécu soit suffisante à chacun pour que personne n'ait besoin de "complémentaire" : Marre des privatisations des assurances sociales (complémentaires) kafkaiant les procédures d'indemnisations : Santé, chômage, retraites... au moins pour les dépressifs, handicapés, invalides... Mais comme je dis souvent, si on proposait des services accessibles à ces gens là étendues à tous, alors ça simplifierait d'autant les procédures pour tous les autres) . . . c/ A terme (mais démarrant de suite) informatiser les cotisations afférentes de chaque citoyen afin de calculer immédiatement les indemnité dues aux invalides sans qu'ils aient besoin de faire valoir leurs fiches de paye : monter leur dossier (alors qu'ils sont invalides à 100% !). Evetuellement ils n'auraient plus qu'à faire valoir leurs heures suppl. leurs indemnité de dimanche et jour fériés (l'idée serait quand même d'intégrer ces "plus dans les cotisations... pour plus de clarté). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Moi je croyais naïvement que Mr Macron dirigerait l'Etat comme une entreprise (plus efficacement), mais vu comment fonctionnent les entreprises j'eus dû me méfier : Non, son discours est celui d'un tyran domestique (pervers) : Les victimes sont constamment tancées d'admettre qu'elles sont responsables de la maltraitance qu'elles subissent, et légitime ainsi cette maltraitance qui les plonge dans la dépression... les poussant à subir dans la culpabilité. Ah ! j'allais oublier l'épisode du passage à la retraite (bonjour !). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . J'ai réussi à monter mon dossier, sauf une partie de ma retraite complémentaire concernant (tenez vous bien !) ma période de travail sous contrat avec la fonction publique ! Ben oui, il y avait une période de prescription dans le dossier que je n'ai pu honorer dans les temps : abus de faiblesse ? (en plus il fallait que je sorte en urgence un complément de cotisation que mon employeur (l'Etat) n'avait pas versé à l'organisme . . . (si c'est pas de la perversité, ça !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITIONS : idem à propos des invalides passant à la retraite : Convocation auprès d'une assistante sociale pour l'aider à monter son dossier, faire les démarches auprès des organismes "récalcitrants" (avec menace de perte d'accréditation pour les maltraitants (ou pénalités exorbitantes dissuasives : Faut bien financer tout ça). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2/ Bon, je signale deux autres bugs étatiques : La préfecture m'a fait revenir 4 fois pour établir une carte grise pour bien être sûr que je le ne grugeais pas sur mon adresse, mais le doigt du fonctionnaire a ripé lors de la rédaction de l'adresse en notant 78 au lieu de 8 sur le N° de rue (j'ai failli le mentionner, mais si c'était pour revenir encore 5 fois ?) Bref, j'ai eu une fausse adresse sur ma carte grise durant 6 ans parce que l'administration s'est montrée trop tatillonne sur mes preuves de domicile (contre productif). Notons juste que si quelqu'un veut avoir une fausse adresse sur ses papiers d'identité, il lui suffit de déménager le lendemain leur établissement (voir même 1 ou 2 mois avant !) (le harcèlement kafkaïen de l'administration est juste totalement inutile). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autre exemple : J'ai perdu (volée sans doute) ma pochette contenant tous mes papiers et instruments bancaires. Je fais opposition, immédiatement prise en compte par ma banque, mais la Mairie de Dunkerque me signale le lendemain que ma carte bleue a été retrouvée (merci l'opposition). mais au commissariat de Dunkerque, on me demande mes papiers pour prendre en compte la perte de mes papiers ?! Non mais ! Sérieusement ? Donc, ils me disent d'aller à Marseille (où je suis domicilié) pour faire ma déclaration. Notons juste que nous étions en pleine période de terrorisme, et que Dunkerque est à deux pas de la Belgique, et de Calais et ses migrants. Non mais sérieusement, ils ne veulent pas prendre ma déclaration de vol ? Ah ! idem à Marseille ils prennent ma déclaration de perte de carte d'identité, mais pas de permis de conduire : même motif, il faut une pièce d'identité pour déclarer une perte de permis ! Ah coté banque, comment ça se passe ? Je dis qu'on a retrouvé ma CB et hop ! ils la remettre en validité immédiatement, et mieux ils me sortent une photocopie de ma carte d'identité qu'ils avaient gardé en mémoire dans leur ordi, je reçois un nouveau chéquier 4 jours plus tard. Deux mois plus tard on m'informe qu'on a retrouvé ma pochette avec tous les papiers (mais sans l'argent quand même). Croyez vous que la préfecture ait été capable de revalider mes papiers dont deux établis 4 mois avant ? Ou à défaut de me fournir un duplicata des papiers récents sans que je refasse toutes les démarches (kafkaiennes comme il se doit !) (comme ma banque pour ma carte bleue) Ah ben non, l'informatique est préhistorique dans l'administration ! Quand est-ce que l'administration sera aussi efficace que les banques ? Ah ! J'oubliais que l'Etat français est à la remorque de la finance, vu ses dettes envers elle : Il ne conviendrait pas qu'il soit plus efficaces qu'elles. En fait, il faut paupériser la fonction publique pour justifier la privatisation des services publics, si j'ai bien compris . . . . . . . . . . PROPOSITION : Arrêter d'être inutilement tatillon (je donne un exemple : il faut une preuve de domicile de moins de trois mois : je présente mon échéancier de facture électrique (sur un an mon fournisseur ne donnant que ce genre de facture) : rejeté !?! trop flou : Je rappelle que si quelqu'un a déménagé il y a un mois mais présente une facture d'y a deux mois ceci est par contre pris en compte pour, donc une fausse adresse d'emblée - inutilement Kafkaïen on vous dit !) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3/ Les immeubles effondrés de la rue d'Aubagne à Marseille (8 morts) : il faut bien laisser les quartiers pauvres tomber en ruine pour justifier leur démolition en vue de projets immobiliers juteux et les embourgeoiser. Pas de volonté délibérée, mais juste une négligence coupable intéressante à terme. (quoi qu'ici ce soit plutôt contre productif pour le Maire et ses amis entrepreneurs). . . re-exemple : C'est aux victimes des expulsions (sans avis de péril : illégales donc !) de ramer pour se reloger et porter recours. Notons que bien évidemment les expulsés sont anéantis moralement, précairement logés, certains peu au courant des recours, et même ne maîtrisant même pas correctement le Français pour certains. Théoriquement c'est aux propriétaires de leur payer les loyers de leur relogement (mais 1500 chercheurs de logement supplémentaires mis ensemble sur le marché d'un seul coup ne facilite déjà pas les recherches, sans aide de la Mairie qui ne fait rien). Nonobstant les dernières expulsions étant illégales les proprios réclament toujours leur loyers aux locataires expulsés et refusent de payer le loyer et hôtels des expulsés. La Mairie à l'origine de cet embroglio, oh combien néfaste, n'aide pas aux relogements (il serait illégal de réquisitionner les 30% de logements non occupés de la rue de la République : Nonobstant l'illégalité des expulsions, qui, elles, sont curieusement parfaitement possibles. La différence ? Un expulsé précaire (d'autant plus précaire qu'il a été expulsé en plus) aura du mal à faire valoir ses droits, alors que les fonds de pensions américains de la rue de République pas touche !) . . . Toujours la même histoire entre le pot de fer contre le pot de terre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le droit (législativement établi) est toujours du coté du pot de fer. Bien sûr, sur le papier un précaire a droit à l'aide juridique, mais combien le savent ? Et puis se battre avec un avocat commis d'office face aux meilleurs avocats de Marseille en face quand on est gravement impacté psychologiquement, et relogé précairement en famille dans une simple chambre d'hôtel, c'est juste inégal. Bref les expulsés les plus "battants" (moins impactés) verront "peut-être" une possibilité de relogement décent dans quelques mois ou années avec les recours. . . . . . . . Légalement les propriétaires sont responsables (sauf expulsions illégales), et encore c'est pas à eux de chercher des logements de substitutions, c'est les expulsés qui doivent en plus porter recours pour entériner le nouveau logement au tribunal (le proprio peut jouer la montre en refusant de payer un loyer qu'il jugerai trop cher). La Mairie est tenue de palier à la carence des proprios (leur immeuble insalubre est parfois leur seule source de revenus, et leur demander de payer les loyers de leurs locataires n'est juste pas pertinent (mais nécessaire pour forcer la main d'une mairie qui traîne des pieds tant qu'elle peut) . . . . . . . . . Cela ne vous rappellerait pas une situation des dépressifs face à la maltraitance des employeurs et admiistrations (Ah ben sur le papier ils ont tous les droits a recours : sauf à considérer que le crime est parfait (les victimes n'ont objectivement pas les moyens psychologiques d'attaquer leurs tortionnaires pervers). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bref PROPOSITION : Que les mairies soit en obligation de palier "automatiquement" à la carence des proprios avant même dépôt de recours des victimes si leur situation n'est pas réglée dans le mois qui suit. Et si la Mairie n'y fait pas face dans ces délais, que ce soit l'Etat qui y pallie "automatiquement" avant tout recours des victimes toujours (quitte à facturer ses prestations à la maire récalcitrante , ou pas si la Mairie est réellement indigente également) . . . Bref, tous les précaires doivent être protégés des situations kafkaiennes dans lesquels les placent les pervers négligents. : schizophrénisation des organismes protecteurs se renvoyant la balle pour les maintenir dans de grands imbroglios kafkaiens juridico administratifs. . .. Ce législativement en cas de carence de l'administration automatisme de procédures et de sanctions en cas de carences. . . pénalités réellement dissuasives. Législations favorables aux expulsés (face aux logements inoccupé en particuier : Certes le droit de propriété est sacré, mais moins que la dignité humaine - Quand on constrruit un aéroport on prive bien les gens de leur propriété (avec indemnités s'entend), ici il ne s'agit même pas de spolier les propriétaires, mais de les priver temporairement du choix de leur locataires : Car les pouvoirs public réquisitionneraient dans l'urgence, afin de trouver d'autres solutions à terme : Et les indemnités afféretes aux propriétaires les pousseraient plus facilement à trouver ces solutions) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Idem, d'ailleurs pour les femmes battues, le relogement des victimes doit être immédiat (moyens afférents) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4/ Chômage : Mon beau fils s'est vu radié de ses allocations parce que n'ayant pas pointé. Or le jour du pointage, il était en rendez vous à faire le point sur ses démarches de recherche d'emploi avec son responsable de suivi (il avait cru logiquement que ça valait pour pointage). Sauf que l'administration de l'ANPE est schizophrène (ou plutôt perverse puisque parfaitement au courant de ces bugs) : le responsable du pointage ne sait rien des rendez vous et réciproquement : Du grand Kafka (des)organisé encore. D'abord il faut revoir les procédures (en entreprise on peut commettre des bévues, un bon employeur fermera les yeux sur les bévues sans conséquences, et mettra un avertissement sinon. Pas l'ANPE ? maltraitance des usagers par déni de leurs droits ! En plus, en cas de licenciement un employé peut porter recours auprès d'un organisme indépendant, mais pas les radiés de l'ANPE. . . . : PROPOSITION : D'où nécessité de pouvoir porter recours auprès des prud'hommes (Ah oui ! Si les fonctionnaires pouvaient aller au prud'homme plutôt qu'auprès d'un tribunal administratif (juge et partie), ce ne serait pas plus mal). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi pour résumer, je dirais que l'Etat et son administration ont tendance à considérer les administrés comme des "individus moyens" (égaux en tout point). Or rien n'est plus faux : Image : Un individu ayant les pieds dans le four et la tête au congélateur, le reste à température normale est présumé être à une température "moyenne" tout à fait confortable. Que dire ? Quelqu'un ayant un budget confortable : un alourdissement d'1 ou 2 centaines d'euro de son budget le rendra juste moins confortable (en gros au Sénégal ou en Islande); par contre pour un pauvre 50 € de moins le feront passer de la chambre au four ou au congélo. Or la précarité et très diverse : les moyennes ne marchent pas :: les smicards en grosse, campagne ou petite ville n'ont pas le même budget locatif ou transport. Une smicarde en couple, ou en famille mono n'ont pas le même budget, et ces différences s'aggravent lorsqu'on descend encore dans la précarité (temps partiels, chômeurs, petites retraites, invalides, etc.). En gros il y a deux solutions : Ou bien assurer aux précaires des revenus suffisamment confortables (petit matelas) pour absorber toutes les variables impactantes éventuelles (plus de précaires donc)... Ou bien adapter les administrations et mesures étatiques (taxations, aides) à chaque cas - afin de pouvoir individualiser les mesures prises (la politique et l'administration ont bien trop souvent tendance à être conçues comme macro mesures égales pour tous : petites cases.... En gros multiplier les cases : par revenus, situations familiales, situations géographiques etc., etc. pour être au plus fins). L'idéal serait de prévoir un revenu minimal de réinsertion social variable suivant ces diverses situations.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Adapter (variabilité) les mesures prises à autant de micro situations que possible.... A priori cela violerait le principe d'égalité ; Ce à quoi on répondra que personne n'est dans une situation égale à son voisin et qu'à ce titre il faudrait alors envisager une rémunération égale pour tous : Les situations n'étant pas égales , les mesures se doivent donc d'être différentiées. En fait, on peut déterminer le coût global des charges d'un individu suivant sa situation sociale (enfants ou pas, seul ou pas), sa situation géographique, revenus, et donc faire marcher la solidarité de façon adaptée à chacun. . . .. . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Autre proposition : Adapter les procédures aux dépressifs et déficients mentaux : Si eux y arrivent sans peine, alors tout le monde y arrivera sans peine (comme de faire des trottoirs surbaissés pour les fauteuils roulants facilite grandement le déplacement des bébés en poussette, livreurs avec leurs diables, etc.).

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Juste celles qui concernent leurs spécificités directes (tout ce qui relève de l'égalité de tous devant la loi (aides, prestations etc.) doit rester à l'état (voir y revenir). Comme si l'Etat n'était pas capable d'agir au niveau local (A Marseille la Mairie laisse les écoles se dégrader pour favoriser les écoles privées : Ce devrait être à l'Etat de gérer les écoles primaires et collèges afin d'assurer la laïcité (offre d'écoles non confessionnelles assurant la mixité sociale) . . . Le seul intérêt serait d'avoir des administrateurs de services publics d'autres couleurs politiques que l'Etat quand on en n'est pas content de lui . Mais en tous cas, de tels transferts devraient être accompagnés de moyens de financements afférents autonomes et "pérennes"... . . . Paupériser ou décentraliser les services publics pour alléger le budget de l'Etat en critiquant par la suite les déficits des collectivités locales est juste pervers encore une fois. Il y va de l'égalité des droits (éducation, santé, EHPAD, politiques de désenclavement des quartiers, services publics dans tous les territoires, et non suivant leurs richesses ou mauvaises volontés respectives. A défaut, les collectivités locales devraient être tenues à des cahiers des charges (charte de bons investissements sociaux) avec moyens financiers (autonomes ou pas) pour les assurer correctement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Service d'assistance sociale (je suis en dépression et incapable de répondre mes obligations à temps : et hop 10% de majoration des impôts (par abus de faiblesse !)... Comme c'est pratique ! . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ma fille habite Apt : Pas de maternité, hôpital remis en question. etc.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Rien ! J'ai besoin d'interlocuteurs vivants : et internet est pour moi un monde trop codifié pour que j'arrive à l'aborder sereinement (en fait quand j'ai fini de remplir les cases je ne sais pas si on m'a bien compris et ça m'angoisse terriblement : je deviens ainsi trop exhaustif pour être sûr; mais ça me rassure pas plus. Et voyez ici les questions ne sont pas celles que je me pose, et la mise en forme, c'est importe quoi (même pas de retour à la ligne), c'est pas rassurant. En fait je suis persuadé qu'on va me faire le coup des syndicats : on recueille mes récriminations et propositions pour les mettre immédiatement à la corbeille en catimini. J'ai besoin de quelqu'un qui me dise en face qu'il a bien entendu et compris ma demande, voir même m'explique comment le faire correctement au cas où, et qui m'assure personnellement qu'elle sera bien traitée. Soyons clairs ma dépression m'interdit d'aborder le net efficacement, j'oublie mes mots de passe, je ne trouve pas les bonnes cases correspondantes à mon cas, etc. (Ceci dit, il y a sans doute des tas de gens pour qui cela simplifierait les démarches). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je nuance donc ma réponse : Le maximum de services A CONDITION de continuer à les laisser facilement accessibles hors net pour les gens perdus par le web. Avec service s'assurant que les serice du net sont bien adéquats pour répondre à tous les cas de figure.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Non

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Déjà qu'on sache où s'adresser.... Non ?

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Je ne sais pas, je suis un handicapé des démarches administratives. Et je réponds négativement. Avant quand j'allais à la sécu je pouvais attendre assis, j'étais reçu individuellement et recevais une réponse adaptée. Maintenant j'attends debout (vous pouvez pas savoir comme c'est pénible quand on est dépressif, et je suppose aussi malade ou invalide: à la Sécu debout ! sérieux ?), je suis reçu debout à un comptoir où on m'expédie sans régler mon problème, (ou me revoie à une borne internet que je n'arrive pas à maîtriser). Je n'ai ainsi plus de carte vitale, je ne me soigne plus, et je sais que je vais crever un jour faute de soins rapides... Mais je comprends la logique malthusienne : après tout ce sera pas plus mal qu'un type qui coûte un pognon de dingue crève prématurément.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Les services d'accompagnement personnalisé aux personnes "larguées" socialement. Un inspecteur des impôts, par exemple, qui comprenne qu'un dépressif est incapable de remplir sa déclaration à temps, ou de les payer de même (on me colle 10% à chaque fois qu'un symptôme de ma maladie apparaît : si c'est pas de la perversité ça !). Je suppose que j'aurais droit à une assistance, vu mes problèmes, mais qu'il faudrait me renseigner et remplir un dossier ("pour obtenir une aide à palier votre incapacité à remplir un dossier et à vous renseigner ? Pas de problème, renseignez vous sur le dossier à remplir pour avoir cette aide ! ! !" du grand Kafka on vous dit)

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

Je réponds quand même : Je ne les utilise pas parce que je ne sais pas comment faire.

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Toutes (dépression oblige). Comme proposé précédemment : Adapter les procédures aux dépressifs et déficients mentaux : Si eux y arrivent aisément alors tout le monde pourra y arriver aisément.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Si un fonctionnaire voit qu'un administré galère de bonne foi : qu'il puisse déroger aux règles pour lui faciliter les démarches. Combien de fois ai-je entendu des fonctionnaires dévastés de ne pouvoir répondre à mes problèmes qu'en me maltraitant par une fin de non recevoir : "Je comprends très bien votre problème, mais je n'ai pas le droit de déroger aux procédures idiotes, je suis vraiment vraiment désolé"). Ou bien qu'on réoriente les cas délicats, spéciaux, vers un bureau spécialisé très facile d'accès, avec moyens supplémentaires et/ou droit de dérogations spécial.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Prévoir des indemnités exorbitantes pour les gens ayant été privés de leur droits par le manque de procédures simples et adaptées de l'administration. Là, je pense que toutes les administrations feraient des progrès très rapides pour être facilement accessibles à tous (sinon avec les bonnes intentions et préconisations, on en a encore pour des siècles). . . . . . . . . . . . . . Voyez ici, vous en êtes à demander aux gens (si vous aviez des millions et des millions à payer pour négligence, vous auriez déjà trouvé. . . . . . . . . . . . . . . . . . Bon essayons néanmoins : Formation à une approche "non-perverse" de l'usager (et empathique dans le respect de ses spécificités, avec les moyens afférents) . . . Organisation non-perverse du travail (un fonctionnaire maltraité sera plus maltraitant). . . . Structuration afin de faire remonter ET PRENDRE EN COMPTE les difficultés des usagers rapportées aux fonctionnaires, et mieux propositions de solution des fonctionnaires et usagers (incitations (primes ?) à faire remonter des solutions simples et efficaces)... Avec réunions régulières pour faire le point sur cette dynamique (comprenant fonctionnaires au contact et usagers -représentants ou ayants posé un problème par courrier-). Il parait que c'est comme ça qu'on résout les problèmes au Japon depuis des décennies. . . . . . . . . . . . Pas de solutions définitives donc, mais des processus de remises en question permanents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Des pôles administratifs poly-usage avec des fonctionnaires capables de gérer globalement votre situation : "A oui pour votre retraite, il faut prendre en compte votre période de chômage (je me souviens que ça n'a pas été facile pour vous quand on vous a accompagné), et ensuite votre invalidité pour burn out (oui ça été terrible ce que vous avez vécu, avec le relogement concomitant en plus, qu'on vous a alors proposé) . Ah ! vous avez encore perdu vos papiers, volé cette fois ci, je vous fais votre déclaration et relance immédiatement une demande de renouvellement. Alors CI, permis, carte grise, carte vitale, carte d'électeur, tout est noté (ça fait à peine six mois que vous les avez fait refaire donc on va demandé un simple duplicata sans refaire toute la procédure. Je sais que vous êtes dépressif, mais faites un peu attention à vos affaires quand même : Deux fois en six mois... Bon je sais, ça arrive.... ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . On voudrait juste ne pas avoir l'impression de n'être un pion ou un bout de viande incommode qui refuse de rentrer dans le rang ou la case, quand on a affaire à une administration, mais un citoyen, à la limité un usager. C'est pourtant clair, non ? (on aurait peut-être pas besoin d'aller sur des rond-points pour avoir l'impression qu'il y a des gens qui comprennent nos problèmes)

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Moi je vois sur Marseille que la Mairie se fout totalement de reloger les gens expulsés illégalement pour périls très vaguement supposés : elle les fout dans la merde sans solution alternative (et soyons clairs, la Mairie est clairement responsable de la situation actuelle). Moi je préconise que les indemnités à ce genre d'inertie soir exorbitantes (très dissuasives). Que l'Etat se substitue IMMEDIATEMENT à la carence des Mairies (quitte à leur sur facturer son intervention après (dissuasion oblige)). Après si les dites Maries sont elles-mêmes indigentes, on peut éviter de leur faire payer. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je ne comprends pas le mot défi : si ça veux dire mieux "écraser les uns pour le bénéfice de certains", non ! Si certains doivent souffrir d'une mise en place d'une politique globalement positive, qu'ils soient TRES correctement indemnisés (quand on prend la terre d'un paysan pour une autoroute ou lui paye son préjudice (peu certes mais quand même), ici idem mais mieux). . . . . . . . . . . . . . . . . . Tenez on enlève un hôpital, une poste ou une école : les gens doivent perdre du temps et faire des kms pour y aller. L'Etat fait payer ses économies par les gens qui se déplacent (et leur temps c'est de l'argent aussi : Indemnisation très correcte donc... Ah tiens ! vu comme ça, les économies de l'Etat sont beaucoup moins rentables (prendre en compte l'externalisation des coûts sur les usagers)).

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

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22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

A ben, je vous dis pas la méga galère (marathon à fond la caisse) quand j'ai déménagé à Marseille pour réinscrire mes enfants dans la filière choisie . Je ne comprends pas pourquoi les deux académies ne se sont pas entendues pour faire les choses (je retire ce que j'ai dis : Vu leurs fonctionnements, c'eut sans doute été une catastrophe, finalement je me suis fais suer, mais j'ai fini par obtenir exactement ce que je voulais à un poil près (oui le lycée huppé de Marseille n'était pas pour nous.... méconnaissance des bons codes d'accès ? Bizarre, ledit lycée était plus proche de chez nous que celui qui nous fut attribué ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah! j'avais presque oublié l'épisode précédent. Ma fille (enfant de non cadre à Versailles !), fut vite cataloguée cancre. L'école préconisa même un suivi Psy. et de la mettre sur une voie de garage. Alors qu'elle se plaignait d'être traité de débile par les professeurs je lui fis passer un test de Q.I. : Résultat surdouée. C'est alors que nous déménageâmes à Marseille où en tant que petite blanche venant de Versailles, elle fut considérée comme bonne élève devint la première de la classe, et a fini major de sa promotion à son master de psycho. Alors l'enseignement est une administration. Faut que les profs arrêtent d'avoir des préjugés à la Macron sur la réussite (ceux qui ne sont rien ne sont rien parce qu'on considèrent juste qu'ils n'ont aucune vocation à pouvoir devenir quelque chose : Les professeurs doivent être formé au conséquence des préjugés (et sanctionnés quand ils ne prennent pas assez de recul : Mr Macron Aussi ?). Aussi on voudrait être considéré comme des êtres humains, non comme "quelque chose" ou rien.

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Mon beau- fils oui. Il a été radié pour n'avoir pas pointé un jour où il était en rendez vous pour faire le point de ses recherches d'emploi avec son responsable de suivi. Il eut le tord de considérer cet entretient comme une preuve de passage à l'ANPE l'exonérant donc de pointer. Rien n'y fit, la politique étant de priver les gens de leurs indemnités par tous les moyens (ou suspicion kafkaienne), le simple fait de n'avoir pas pointé fut suffisant (quoi que son passage et recherches aient été validée par ailleurs. . . . Inutile de dire que cette perversité absolue est juste profondément dégueulasse. Les recalés devraient pouvoir porter recours devant une juridiction indépendante en référé avec indemnités très conséquentes lorsque la perversion de l'administration serait avérée.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Comme précisé avant : J'ai réussi à avoir ma retraite, ma retraite complémentaire privée (sauf qu'évidemment l'éducation de mes 3 beaux enfants (en plus de mes deux enfants) n'a pas été prise en compte j'avais anticipé cette fourberie, donc vu mon état j'ai pas poursuivi), ainsi que ma retraite complémentaire privée. Mais pas ma retraite complémentaire du public, (!) sous prétexte que l'administration afférente n'avait pas virée toutes les cotisations afférentes, et m'avait proposé de régulariser à sa place dans un délais très court (impossible à tenir avec ma dépression - abus de faiblesse ?). . . . Donc avec ma dépression, j'ai abandonné toute idée de poursuite également, mais avec l'idée bien ancrée que la fonction publique est décidément bien pourrie, et sans égard pour ses fonctionnaires (alors pour les autres !). (Ah oui le directeur de cette administration était aussi un bon pervers : faisait écouter les conversations téléphoniques du standard de l'administration pour faire chanter ses subordonnés (en faire des indics à sa solde)). Alors les administrations ? Qu'elles commencent donc par être vertueuse en virant de ses rangs tous les pervers qui font la guerre à leur personnel (et surtout sans indemnité !). Un sans humanité auprès du personnel, ne peut pas être facilitateur à l'accès des prestations pour les usagers, c'est clair. Non ?

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Quand j'ai été mis en invalidité pour burn out. Personne ne m'a averti qu'il fallait monter un dossier... que je n'étais d'ailleurs pas en mesure de constituer vu mon état (pas plus de me préoccuper de me renseigner (d'ailleurs pourquoi ? mes indemnités maladies pour dépression étaient toujours tombées automatiquement, pourquoi ça change pour l'invalidité ?). Résultat : 3 mois sans aucun revenu... je ne parle pas de mon complément d'invalidité : L'administration, au vu de l'invalidité totale accordé et du handicap afférent, eut du contacter mon dernier employeur pour savoir s'il avait une prévoyance et lui communiquer automatiquement les éléments nécessaires au versement de cette complémentaire (résultat 3 ans de carence de complémentaire !).

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Voir ci dessus : pas du handicap mais c'est kif kif : Demander à un handicapé de monter un dossier qu'il est incapable de monter pour prendre en compte sa situation n'est que du pur sadisme.... sérieusement ! Et je vous dirai pas l'administration concernée parce que j'en suis incapable (idem !). Vous voyez votre questionnaire a les mêmes travers que vos administrations : Il posent des questions auxquels es gens ne sont pas en mesure de répondre. En fait les gens ne devrait pas à savoir où s'adresser : Ils devraient juste aller à un pôle administratif pluridisciplinaire, et ce serait à lui de traiter la demande Une administration pour tout et responsable de tout, les gens n'ont pas avoir à repérer à quelle ou quelle administration s'adresser dans cette jungle inextricable faite pour perdre et rebuter les usagers.

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

non

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

non

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Ah ! en tant que membre du CHSCT, j'ai reçu une formation choisie et payée par mon employeur... Déjà peut-être aurait-il dû être obligé de me proposer de la choisir ? Mais surtout ladite formation mettait l'accent sur les éléments de sécurité matériels, alors que les problèmes médicaux de l'entreprise était essentiellement les burn outs (c'est tout juste si l'organisme ne m'a pas proposé des casques aux gens qui avaient des problèmes de "tête"). Je signale que le médecin du travail ayant soulevé le lièvre a curieusement été muté (et que le suivant estimait qu'il n'y avait rien à voir !?!) Pour ma première dépression les prud'hommes m'ont accordé une indemnité, pour la suivante, je n'étais plus en mesure psychologique de porter plainte.

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

non

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

non

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

non

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

PROPOSITION : Que tout service public soit facilement accessible aux handicapés, invalides, et dépressifs : En plus ça facilitera leur accessibilité à tous les autres (qui peut plus peut le moins). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La sécurité routière est-elle considérée comme une administration ?. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Une voiture m'a doublée à 150km/h par la droite (provenant d'une autre autoroute se raccordant), mais... c'est ma voiture qui fut prise en photo. Bref, recours rejeté en 1ère instance et en appel (j'avais pas pris d'avocat, étant innocent, c'était pas à moi de payer : j'avais confiance en la justice). Notons que les juges ont admis que je pouvais avoir raison, mais que c'était à moi de démontrer mon innocence (éléments que seule la sécurité routière pouvait me donner, et refusa de le faire : spécificité et caractéristiques du radar : Je suis sûr qu'elle eut pu tester le modèle de radar incriminé sur circuit dédié aux tests dans les circonstances décrites pour voir s'il était capable de buguer dans ces conditions : Bref, si tel eut-été le cas, c'était tous les radars de ce type qu'eut fallu modifier, plus un tas de recours possible à la clé : On m'a sans doute sacrifié sur l'autel de la rentabilité : Juste boeurk !). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Notons aussi que ce déni de justice, n'a pas permis à la sécurité routière de corriger ce bug (en cas de relaxe j'eus fait le foin nécessaire pour le faire corriger : Un radar ne doit pas être une machine à coincer des innocents). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .N.B. : J'ai fourni aux juges la preuve qu'un radar pouvait facilement être modifié pour déterminer la file sur laquelle le véhicule flashé se trouvait (en mesurant automatiquement le temps mis par l'onde radar pour faire l'aller et retour : Elle met deux fois plus de temps d'une file à l'autre (voir 3 fois sur 3 files)). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Bref le radar ne fut sans doute pas modifié et fit ainsi très probablement plus de victimes innocentes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Résultat : Perte totale de confiance de ma part envers la bienveillance de la sécurité routière, et en la justice : Usines à faire du Outreau pour moi désormais. N.B. : Je conduisais ainsi un véhicule de mon entreprise, et en tant que secrétaire du CHSCT ma probité en fut très sérieusement affectée. Je cherchais alors à faire valoir la maltraitance managériale de mon entreprise (15 dépressions sur 66 employés) : Inutile de dire que cet épisode fut du pain béni pour l'employeur qui fit valoir que le délégués "à la sécurité" de l'entreprise n'était pas crédible, et lui permis de mettre la pression sur moi, jusqu'au burn out. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Ainsi cet Outreau a participé à mon harcèlement et burn out : Combien cela a-t-il coûté à la Sécu ? Au delà par mon éviction de l'entreprise, combien de burn out ont-ils suivi en laissant ainsi les mains libre à l'employeur ? Avec quel coûts sociaux et financiers pour la Sécu ? Et rajoutons combien d'autres automobilistes piégés à la suite avec perte de confiance en l'Etat et la justice ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Carton rouge donc pour l'administration de la sécurité routière, et de la justice dépréciant ainsi la confiance des citoyens envers l'Etat (pour moi l'Etat est pervers en se retranchant derrière une prétendue chasse aux fraudeurs (excès de vitesse, fraudeurs aux allocations, délinquants : la chasse aux black blocs sert surtout à mutiler des innocents usant pacifiquement de leur droit à manifester), pour faire donc du Outreau dans une chasse inconsidérée aux innocents (prédateur pervers). L'exemple vient d'en haut. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Question radars toujours : A l'époque je passais 4 fois par jour devant des radars (Aix-Marseille) soit 900 fois par an : à supposer que je me loupe une fois tous les deux ans (durée de remise de point), ça faisait une erreur sur 1800, une marge d'erreur de 1/1800, alors que les radars admettent une marge d'erreur de 3/100 (et même 5% à l'époque, (et mon exemple suggère que l'erreur de mesure est bien effective, et non virtuelle : Pour réviser les radars pour chopper les motards ça va vite, pour épargner les innocents (et c'était très facile à qualibrer pour mon cas), ça peut toujours attendre). L'humain doit-il être considéré comme 600 fois plus performant de qu'une machine (et encore une fois les précaires n'ayant pas les moyens de se doter d'un régulateur de vitesse sont pénalisés). Proposition : que les marges d'erreur soient deux fois équivalentes aux radars pour les voitures sans régulateur (nous ne sommes pas des machines !). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .Pour les 80km/h je suis pour (écologie), mais l'argument sécuritaire, c'est de la daube : Que l'Etat se concentre donc d'abord sur la sécurité alimentaire (glyphosates, étiquetage clair de la nocivité des aliments trop gras sucrés etc., de la sécurité mentale des travailleurs, de la nocivité du chômage sur la santé des chômeurs, des désordres environnementaux (qui vont faire des centaines de millions, voir milliard de morts). On se fout de notre gueule avec cette sécurité à 2 balles : (Il est évident qu'en limitant la vitesse à 50 sur route à 15 en ville on économiserait des vies, mais franchement ?)

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Pourquoi scinder biodiversité et dérèglement climatique, pollution, etc. (sans S), Nous fonçons dans le mur environnemental : Qu'importe de calmer le climat si on a plus d'abeilles et de biodiversité capable d'assurer un bon équilibre des facteurs environnementaux, et inversement.. Les autres item aussi : Où est donc passé le "en même temps" ?

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Il faudrait évaluer les coûts de sur-pollution de chaque industrie, et les taxer à hauteur de ce que cela coûterait de donner dans une production "réellement" écologique". (aucun profit donc à être négligeant). Mais Attention ! ! ! Il ne faut pas tuer les petites entreprises : Il s'agirait de financer des associations d'accompagnement et d'évaluation (indépendantes les unes des autres) des entreprises à la transition. Les petites entreprises engageant des frais réellement efficaces à une transition partielle (ou plutôt sur la durée), seraient exemptées à la mesure de leur capacité d'efforts. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . De même les produits étrangers (pas de discrimination protectionniste puisqu'au même titre que les entreprises françaises), ce pour protéger les entreprises françaises d'une concurrence déloyale de leur part, vus les surcoûts. afférents. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bon, pour vendre à l'étranger ce sera plus dur (surcoûts) : mais aussi bien certains étrangers achèteront des produits français uniquement parce que plus éthiques. ( les voitures allemandes étaient achetées pour ça, avant qu'on s'aperçoive qu'ils bidonnaient leur "Deutsch Kalität" écologique). Rien n'empêche d'ailleurs de proposer la même chose aux autres pays européens riches (ou moins riches). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N.B.: Si on considère que le "pouvoir d'achat" soit un thème environnemental (ça impacte l' "environnement" social et matériel des précaires), une politique de taxation des entreprises ne respectant pas les droits sociaux fondamentaux pourrait être ainsi aussi menée (en même temps). Idem les entreprises étrangères n"offrant pas ces droits seraient taxées de même pour éviter la concurrence déloyale de la mondialisation (en plus c'est libéral : Créer du chômage dans les pays "sociaux" en délocalisant les emplois sans qualification dans des pays sans protection sociale, et sans salaires et conditions de travail décents, c'est créer une baisse globale du pouvoir d'achat des consommateurs en pays évolués (chômage) sans pour autant créer de "réels consommateurs" dans les pays précaires, d'où récession globale (contre productif): Baisse de consommation d'un coté sans en créer de l'autre : Est-ce vraiment libéral de limiter la consommation mondiale ainsi, et donc les profits afférents ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Taxer éthiquement les entreprises anti-sociales serait en fait plus libéral paradoxalement. Et idem les entreprises étrangères qui ferait un effort social significatif envers leurs employés (à la mesure de leur moyens) seraient exonérées de taxe éthique (sociales) pour "bonne volonté" (le contrôle de leur efforts réels serait financé par les taxes éthiques sociales par des organismes indépendants certifiés et contrôlés eux-mêmes pour renouvellement de leur accréditations) : Ce serait plus efficace que la mondialisation à la sauce FMI qui a montré ses limites en ruinant l'économie de certains pays précaires. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . (Euh ceci dit, développer l'économie des pays pauvres vers celles des pays riches empirerait le problème environnemental.... sauf à coupler cette promotion "sociale" avec une promotion de production écologiquement neutre (et là, il faut envisager une politique mondiale très volontariste, et contraire aux modèles ultra libéraux - quoi que finalement plus favorable au libéralisme à terme. On a oublié le principe de Ford (non il était libéral pas communiste !) : doubler les salaires des employés pour leur permettre d'acheter une Ford ! Si les entrepreneurs pensaient tous ainsi, il décupleraient leur profits).

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Une canicule à Marseille, vous n'imaginez pas ! (On nous a dit que les immeubles effondrés étaient dûs à un épisode fortement pluvieux, et certes je n'y croie pas). Je vis dans une des villes les plus polluée de France, (Marseille, à cause notamment du va et vient des navires mouillants au port) ; Aussi je bouffe de la merde (où est passé l'étiquetage indiquant la qualité alimentaire des produits industriels ? Je suis malade et passe des heures à lire des petites lignes sur les produits pour ne pas me faire du mal, voir crever prématurément carrément). Je ne parle pas de l'Etat de saleté des plages et des rues de la ville de Marseille. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Mais ! ! ! Ce n'est pas le principal impact : Je me fais énormément de soucis pour mes petits enfants et plus loin. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je suis rationaliste, et quand 15 000 scientifiques signent une pétition réclamant "d'urgence" (! ! !) un changement de modèle socio économique (revoir à fond le libéralisme matérialiste.... et ces scientifiques ne sont absolument pas des marxistes), je me dis que mes petits enfants vont vraiment vraiment souffrir énormément. Que dire ? Je ne suis plus écologiste, je suis fataliste : Pour moi il est déjà trop tard pour éviter d'aller dans le mur, le tout est désormais de savoir à quelle vitesse, et de prévoir de bons airbags (comment structurer la société pour une résilience maximale face au cataclysme désormais incontournable (Agriculture intensive basée sur une diversification maximale des semences et du bétail - les unes et les autres pouvant éventuellement être adaptées aux sécheresses, aux moussons, voir à une glaciation (arrêt du Gulf Stream ?), voir au tout alternativement. Ca c'est pour l'alimentation, mais je ne saurais même pas préconiser des solutions quant aux désordres politiques afférents. Le modèle économico-démocratique va nécessairement s'effondrer totalement pour un chaos indescriptible (ou une dictature à la Nord Coréenne capable d'étouffer les troubles liés aux pénuries, comprises alimentaires).. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bien que ne voulant pas de ce monde pour mes arrières petits enfants, j'ai déjà acté que ce sera malheureusement le cas, mais je que espère encore un peu moins, plutôt qu'un peu plus effroyable.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah, aussi, la seule fois où la courbe du réchauffement a marqué une petite inflexion, c'est au cours de la crise de 2008 : En gros une crise économique est plus efficace que toutes les actions des associations écologiques, et politiques de développement dit durables de tous les gouvernements. Bref... A moins que les gouvernements ne finissent par prendre des mesures infléchissant réellement la courbe (pas des promesses de, mais infléchissement réel constaté par les scientifiques), je voterais pour les plus mauvais candidats en matière économique : Y compris FI ou RN (que j'exècre pourtant, mais la démocratie est moins important que l'avenir de la planète - de toute façon le mur environnemental les amènera au pouvoir à terme)

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

J'essaye d'acheter éthique à la mesure de mes faibles moyens (emballages moins pléthorique, plastique, mais c'est dur *. De voter systématiquement pour des gens épris d'environnement... Je ne prends ma voiture qu'une fois par quinzaine (PROPOSITIONS : faudrait abolir la règle du stationnement abusif les limitant à 1 semaine (Franchement si un véhicule bouge, il prend une autre place de stationnement à la place de celle qu'il vient de quitter, limiter le stationnement à 1 semaine ne change rien quand aux places disponibles globalement) : Voir gratuité au stationnement : Un véhicule en stationnement pollue moins qu'un véhicule en déplacement (si, si !). A la limite, il faudrait instaurer un tarif de stationnement dégressif : Payer pour quelques heures, et gratuité pour les longs stationnements - plusieurs jours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . * Marre aussi des classes moyennes qui achètent éthique, tout en votant pour des politiques qui ne donnent pas les moyens aux économiquement faibles de faire comme eux...

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

PROPOSITION : Transports en communs, vélos, trottinettes, voiturettes électriques à prix modique, voir gratuits (Gardanne a des transports en communs gratuits, ce n'est donc pas impossible). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Intégrer une bonne participation des employeurs sur les coûts de transport de leurs employés (incitation indirecte à prendre des employés proche de leur entreprise). Taxation des gros bateaux pollueurs, etc. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Accompagnement financiers aux travaux de logements éthiques (et taxation de ceux qui ne le font pas sans que ce soient les locataires qui payent le surcoût par répercussion : primes compensatoires - ça incite les logeurs à faire les travaux sans impacter leurs locataires). N.B. : Adapter les aides (et taxes) aux moyens des propriétaires : un petit propriétaire aura besoin de plus d'aides (et moins de taxes) pour effectuer les travaux. Les "gros propriétaires" seront donc plus taxés et moins aidés, les petits plus aidés et moins taxés (les taxes des uns servant à aider les autres, financement économique oblige). Promouvoir même l'auto production d'électricité en milieu rural (et pourquoi pas urbain ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Je vis dans le sud de la France avec un bon ensoleillement : financer les panneaux solaires sur les toits (et peu importe que les panneaux viennent de Chine : On doit passer outre l'équilibre des échanges commerciaux, il en va de l'avenir de la planète ! Et puis on peut surtaxer les produits chinois pour favoriser les filières françaises (et ne me parlez surtout pas pas de mondialisation libérale, s'il vous plait. Surtout avec la Chine qui ne joue même pas le jeu).. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Aussi taxer les produits à obsolescences programmées, et détaxer relativement les vertueux (faire financer la baisse des uns par la taxation des autres. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . PROPOSITION : Ce sont aussi des surcoûts pour les petits budgets : L'idéal serait qu'il n'y ait plus de petits budgets... Mais bon, ne rêvons pas (on est malthusien ou pas !). Les précaires n'ont pas les moyens de faire éthique. (Les politiques d'assainissement dans les pays pauvres ont intégré que les épidémies chez les pauvres se transmettaient aux riches, et , oh miracle ! les travaux d'assainissement des quartiers pauvres y sont entrepris. Faut penser pareil pour les dérèglements environnementaux : Les riches auront beau faire tout ce qu'il faut à leur niveau, ils n'y arriverons pas s'ils ne donnent pas aux pauvres de quoi les accompagner (flûte ! c'est pas très malthusien ça, ben tant pis ! - ou tant mieux !)

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

J'ai un petit véhicule diesel (dont je me sers une fois par quinzaine en ville, ou pour les longs trajets en campagne). D'abord, je n'ai pas mes moyens de me payer un véhicule électrique (dont l'économie écologique n'est pas si évidente, mais progrès aidant ?). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En gros les primes à l'achat d'un véhicule électrique n'incite que les gens qui ont les moyens d'acheter des véhicules neufs. Les précaires ne peuvent compter sur aucune prime donc. Et les taxes sur les carburants ne les aident pas à économiser pour. Bref, (PROPOSITION : faudrait-il plutôt leur donner aussi des primes à acheter des véhicules d'occasions moins polluants (petites essences pas trop vieilles, plutôt que vieux diesels poussifs).... Les électriques d'occasions ne seront sur le marché que dans pas mal de temps (et à quel prix ?). N.B. : Les contrôles techniques sur les vieux véhicules sont discriminatoires Evidemment que les gens ne gardent pas de vieux véhicules par plaisir : Ils le font par nécessité économique : s'il faut certes intégrer au contrôle technique un bon réglage du moteur, que celui ci n'oblige pas les précaires à devoir mettre à la casse leur vieux véhicule, sans réelle possibilité financière pour eux à pouvoir les remplacer. . . PROPOSITION : Plutôt que de surtaxer les carburants (qui empêche les pauvres d'économiser pour renouveler leur véhicule), il faudrait réinstaurer une vignette automobile mensuelle rééllement exorbitante pour les véhicules les plus polluants : Les grosses cylindrées essence et diesel (attention ! cela ne concerne pas les véhicules utilitaires, et prévoir une période de transition progressive pour les constructeurs, mais très vite quand même). Ce donc plutôt que taxer le carburant ou limiter les vitesses (une grosse cylindrée à 80 km/h* émet plus qu'une petite à 90) donc qui impacte ceux qui n'ont pas les moyens de changer de véhicule : inciter donc les acheteurs de neuf à acheter des véhicules émettant moins de CO² pour ceux qui en ont les moyens (essentiellement sur la cylindrée !). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Qu'une famille nombreuse ait besoin d'un break soit, mais avec un moteur le moins gros possible. Exit Cross Overs, 4x4, et autres grosses berlines.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . * Euh pour l'économie de morts, il est évident que la vitesse joue : Mais pour autant, il faudrait alors limiter à 50 sur les route à 15 en ville et 80 sur autoroute (et chiffres conséquents à l'appui, on pourrait culpabiliser les opposants). Aussi, nous nous étonnons : Quand il s'agit des morts alimentaires par manque d'information des consommateurs sur le bon équilibre alimentaire des produits, on ne se précipite surtout pas, idem sur la surmortalité due au chômage, aux burn out (à quand le permis d'entreprendre à point sur les bonnes pratiques managériales ?!?). Le glyphosate, le risque nucléaire, etc etc. Quand il s'agit de culpabiliser le petit peuple c'est tout de suite, mais quand il s'agit de responsabiliser les gros, ça peut toujours attendre (subordonnez donc les 80km/h à la fin définitive du nucléaire, on va rigoler !)

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

C'est l'affaire de mon proprio malheureusement. Incitation à ce qu'il change mes fenêtres d'abord, à isoler son toit ensuite, et je le vois mal m'installer un poêle à granulés de bois. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ah oui, je vis à Marseille, donc vu mes moyens je ne peux payer un loyer cher... Voyez ce que je veux dire sur l'état de mon logement... et je ne peux rien dire dessus : ceux qui ont été expulsés pour insalubrité n'ont aucune proposition de relogement décent en rapport avec leurs moyens (depuis 2 mois) et sont en galère grave. (en plus je n'ai pas envie de me retrouver dans les quartiers mal famés de Marseille). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Proposition donc (a priori ce n'est pas de l'environnement, SAUF à considérer qu'un logement décent et écolo à prix modique fasse partie de leur "environnement"). Si le propriétaire fait défaut la mairie doit avoir "devoir" de proposer des solutions adaptées, et si la Mairie fait défaut, c'est à l'Etat de le faire (quitte à ce que l'Etat facture son action à la Mairie, et la mairie se retourne contre les proprios. Ce n'est pas aux précaires de se battre juridiquement des années (alors même que leurs conditions ont été aggravées et les plongent dans la dépression) pour obtenir au bout d'années de combats acharnés (pour ceux qui ont vraiment la niaque) un logement finalement à peu près décent (et même pas écolo). Ce alors que 30% des logements de la rue de la République sont inoccupés ! (merci la République : Ca c'est du symbolique !)

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Meilleurs transports en commun, voir gratuits. Moi je calcule chaque déplacement en fonction de sa rentabilité (argent-temps-écologique), mais la majeure partie des gens pensent d'abord en fonction du temps investi, ensuite éventuellement économiquement, l'écologie étant vraiment la dernière roue du carrosse.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Un mix de toute ces solutions : Où est passé le "en même temps" ?

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

La Mairie, mais à défaut l'Etat qui refacturerait aux Mairies (ou pas d'ailleurs tout dépend des finances desdites Mairie).

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Proposer des taxations éthiques coordonnées aux pollueurs (voir propositions antérieures). Mais à défaut une taxation nationale des produits non éthiques tant français qu'étrangers (pas de discrimination, donc pas protectionnisme économique) protégerait les industries nationales éthiques de leurs concurrents (tant français qu'étrangers... Créant ainsi éventuellement une émulation chez les étrangers). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Créer des monnaies locales (franc PÄCA, Gironde, Nord, Est, etc) pour inciter à consommer local : éviter ainsi au maximum le transport polluant de produits lointains, favorisant une certaine autarcie des régions). Evidemment les francs de régions voisines seraient acceptées (pour les 'frontaliers" en particulier. Une partie des salaires seraient en euros une autre en francs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N.B. : un producteur vendant en francs a sans doute besoin d'euros (acheter un ordinateur, du carburant, etc, etc. . Donc toute transaction en franc pourrait faire l'objet d'une conversion automatique (informatique) de la somme versée en Euro (un ou deux tiers de la somme - ou de toute autre taux éventuellement variable en fonctions des masses d'échanges et nécessités économiques). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . N.B. N°2 : C'est aussi un excellent moyen de réguler la balance du commerce extérieur. Les salaires seraient ainsi versés en proportion d'euros et de francs locaux. Les gens devraient ainsi choisir les produits étrangers (à leur région) en fonction de leur pouvoir d'achat en euro, en privilégiant ainsi les produits français (et locaux) pour leurs autres achats. La proportion de salaires euro-francs serait ainsi variable en fonction des équilibres de la balance extérieure. La France n'achèterait ainsi plus que les produits étrangers qu'elle pourrait se payer en concurrence des produits français, mais en choisissant ceux qu'elle peut s'acheter et ne pas pouvoir produire localement (limitation des transports polluants) Par ailleurs, c'est aussi un bon moyen de faire de la relance : Ainsi augmenter la part de salaire en francs permettrait de dynamiser les économies locales (donc françaises localement) sans menacer la balance extérieure, puisque les francs ne permettraient pas d'acheter étranger (ce n'est pas du protectionnisme puisqu'une partie du salaire serait en euro : les produits français seraient ainsi toujours en concurrence avec les produits étrangers mis à la mesure de ce qu'elle peut effectivement acheter : le reste elle le produirait elle-même par la relance intérieure. Ce qui pourrait d'ailleurs relancer le commerce extérieur ; les entreprises françaises ainsi créées finiraient sans doute par ne plus vendre uniquement en France pour se développer : Ce serait juste leur mettre le pied à l'étrier que de leur permettre de vendre en France dans un premier temps) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aussi cette "Relance Intérieure" ne devrait évidemment pas consister à faire marcher inconsidérément la planche à billets "Francs" en créant de l'inflation inconsidérée des "francs" locaux, mais accompagner une relance pertinente en fonction des potentialités de développement des régions. Une certaine inflation est nécessaire : Les gens auraient intérêt à les dépenser rapidement plutôt qu'à les th ésauriser, faisant ainsi marcher l'économie, mais pas trop quand même (10-15% pas plus et si possible de façon coordonnée entre les différents francs régionaux) : il ne conviendrait pas que le Franc "Île de France" finissent par valoir deux fois le franc "Nord" par exemple mais reste équivalent). Aussi rien n'empêcherait un négociant allemand de vendre ses bières en Alsace en francs, et traverser la rue pour acheter des vins alsaciens pour la même somme. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Ach ! Quid de la mondialisation et des cris d'orfraie de nos partenaires européens ? La mondialisation ne consiste pas à s'acheter des produits étrangers qu'on ne peut pas se permettre de payer. Par ailleurs comme les francs seraient à vocation régionales, on pourrait répondre aux allemands, belges, etc. que, certes, ils auraient plus de mal à vendre en France, mais tout comme le Grand Est aurait plus de mal à vendre en PACA en France (c'est un trompe l'oeil en fait puisque les banques Île de France et PACA pourraient s'échanger des francs régionaux (si leur inflation est coordonnée), et je fais confiance aux négociants pour trouver des arrangements bancaires pour contourner "partiellement" ces "inconvénients", on sera souple dessus : il s'agit de limiter les transports polluants pas d'interdire tout commerce inter régional (inconvénients, mais pas rigorisme donc). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il s'agit de mettre en valeur l'intérêt écologique inter régions françaises de la mesure auprès de nos partenaires européens (inconvénient pour eux certes, mais pas plus qu'entre régions françaises (théoriquement). Donc ils n'y aurait pas plus de concurrence déloyale entre pays qu'entre régions françaises. mesure écologique oblige. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Je rajoute qu'à terme, la catastrophe environnementale imposera l'autarcie aux diverses parties du monde : Les uruguayens ne nous vendront plus de soja pour le fourrage de nos bêtes lorsque leur peuple aura faim. Les importations du bout du monde seront problématiques quand il n'y aura plus de pétrole pour les transporter (explosion des coûts de transports), la crise économique afférente feront s'effondrer l'économie mondiale et donc les échanges, etc. etc. Se préparer à cette crise majeure consiste donc d'abord à assurer notre propre autarcie autant que faire se peut.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Je rajoute que pour moi (et les 15 000 scientifiques ayant appelé à changer d'urgence de modèle socio économique), la catastrophe environnementale est désormais actée (les courbes du réchauffement et de la biodiversité ne s'inversent pas et même s'accélèrent). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Il convient donc de se préparer à une autarcie tant que faire ce peut. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Et surtout une autarcie alimentaire. Et non, la France ne sera peut-être pas toujours un pays agricole : elle devra faire face à un yoyo climatique : sécheresse sévère certaines années, suivies d'années de pluies tropicales sans qu'on puisse le prévoir (voir même épisode glaciaire si le Gulf Stream s'arrête). Alors il faut diversifier les semences et cheptels aptes à résister à ces alternances. Prévoir une agriculture intensive où les parcelles seraient ensemencées moitié pour la sécheresse éventuelle de l'année suivante et moitié pour un épisode tropical tout aussi éventuel. Privilégier des animaux capables de survivre à toutes les conditions (en fait diversifier les espèces pour voir celles qui résisteront le mieux aux divers changements au faire et à mesure). Surtout diversifier pour ne pas mettre tous nos oeufs dans le même panier. Créer des banques de semences conséquentes, et des étables pour toutes espèces possibles afin de relancer rapidement une production adaptée une fois le cataclysme relativement stabilisé (et on ne saura dans quel sens). Voir même renforcer les forces de l'ordre pour éviter les pillages de foules de crèves la faim, et résister aux tentatives d'invasion de pays affamés tentés de conquérir les terres agricoles de leurs voisins. Euh, je prévois la fin du libéralisme : quand le marché noir atteindra des sommets, les gens n'auront plus d'argent pour se payer autre chose que de la nourriture et toute l'économie se cassera la gueule : chômage de masse (compris cadres et entrepreneurs) et plus de recettes fiscales afférentes pour indemniser des chômeurs affamés et sans autres ressources que le pillage (y compris des cultures). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le pire n'est pas sûr (quoi que les scientifiques s'inquiètent fortement), mais il vaut mieux le prévoir pour y palier. Je rajoute que je prévois plusieurs crises successives : ceux qui ont le plus de chance de survivre seront les plus retords et égocentriques. Or c'est bien l'égocentrisme occidental et désormais asiatique qui précipité le cataclysme. Si les survivants étaient les plus perversement égocentriques (ce qui est le plus probable), ils reproduiront le modèle du chacun pour soi en dépit de toute leçon à tirer de l'épisode. et répliqueront donc les mêmes effets dévastateurs. le cataclysme n'est donc pas à prévoir comme un mauvais moment à passer, mais comme une série de mauvais rebonds à répétition. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Peut-on compter sur de sages élites ? (qui ne sont pas tellement à l'heure actuelle). Non ! les épisodes climatiques antérieurs nous prouvent que la populace commence toujours par massacrer leurs élites jugées responsables (à tord alors que là ce sera à raison en plus) monarques et religieux (charniers chez les mayas et les mocchicas). Durant la révolution française les masses réclamaient du pain, pas la liberté ; et elles ont massacré leurs élites, et les élites de remplacement se sont massacrées entre elles. (une fracture volcanique Islandaise avait plombé les récoltes durant plusieurs années en déversant de l'acide sur les terres : et une surmortalité de 30% avait décimé les agriculteurs de plusieurs régions : acidité toujours) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . En fait les crises économiques sont généralement purement mythologiques. C'est juste de la panique financière : la main d'oeuvre est là (et même prête à travailler pour une misère), les matières premières aussi, les moyens de production aussi (et même à prix cassé des usines fermées), ne manque que la confiance des financiers et consommateurs. Bref, on joue à se faire peur sans cause vraiment réelles). C'est une sorte de rituel d'expiation mythologique, artificiel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Une crise environnementale c'est autre chose : il n'y a plus de nourriture. Pire : les matières premières sont en voie de disparition (pétrole, gaz, charbon et minerais même à terme : Et n'oublions pas qu'une extinction massive peut prendre des milliers d'années voir plus, Ici c'est très très rapide : on parle en terme de centaine(s) d'années... et si les scientifiques s'inquiètent tant, c'est qu'on pense qu'il vont sortir leur baguette magique au dernier moment (après tout on est allé sur la Lune en dix ans, sauf que les américains se sont dit qu'ils pouvaient faire un programme similaire pour le cancer à la suite, mais ils se sont cassé les dents parce que la science n'est pas magique, toute puissante). Ils savent qu'il sont impuissants à endiguer "magiquement" le cataclysme environnemental. On nous annonce régulièrement des solutions miracles, qui jusqu'à présent se sont toutes révélées illusoires (tout les gens attendent un miracle, et sont prêts à croire tous les urluberlus (parfois sincères) prêts à nous vendre des avions renifleurs illusoires). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rappelons qu'au dessus de 3° on sera hors contrôle : le demafrost fondra et exhumera du méthane en quantités phénoménales : Or le méthane est un gaz à effet de serre dix fois plus impactant que le CO². Et le CO², on pourrait encore maîtriser, la diffusion de méthane sera naturel et totalement hors contrôle.. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bref la crise des Gilets Jaunes est juste une mini crise afférente au libéralisme ordinaire, artificielle. Ce n'est qu'un pâle avant goût d'une vraie crise réelle et majeure, et absolument pas mythologique (pour se faire peur). On rigolera (jaune) alors de la crise des Gilets Jaunes, de mai 68, de 1929, et de 1789. La Terre s'en remettra -t-elle : sans doute ! L'humanité aussi... mais à quel prix ? Serons nous résumés à quelques tribus de petits pygmés (très petits car plus adaptés au manque de nourriture) ? Rappelons que des dinosaures ont survécus : les oiseaux (les plus petits et mobiles). Oui, nous survivrons sans doute, mais nous serons une nouvelle espèce, et nous retournerons peut-être sur la Lune dans une centaine de milliers d'années en nous interrogeant sur les vestiges de curieux vaisseaux spatiaux (surement d'extra terrestres supposés : Pas possible que nos ancêtres pygmés primitifs y soient arrivés (!?!?) ).