De vrais bilans financiers annuels en ligne : les ressources détaillées par type, les montants pour chaque type de dépense y compris le fonctionnement. Pour toutes les instances : chaque ministère, ensuite chaque ville/arrondissement/village, en incluant bien sûr les ressources & dépenses de chaque « couche » de l’Etat (région, département, commune, etc)
Règles générales : moins de types d’impôt, stop à l’impôt sur l’impôt (CSG, succession, donations en famille), tout le monde doit payer un impôt aussi minime soit-il, l’impôt doit s’appliquer sur toutes les ressources (suppression de toutes les niches fiscales, y compris pour les entreprises), limiter l’impôt hors TVA à max 45% des ressources. Augmenter la TVA (hors produits alimentaires de base).
C’est une mauvaise question. C’est le système tout entier qu’il faut revoir, cf réponse ci-dessus.
Réfléchir sérieusement à l’idée d’un revenu de base inconditionnel pour tout.& chacun. Des think tank du monde entier se sont penchés sur cette question depuis quelques années. Cela permettra de baisser les coûts de structure de l’état car parallèlement plus aucune aide sociale ne sera nécessaire. Ensuite, réforme totale du système d’impot (Cf réponses ci-dessus) et hausse, si nécessaire, de la TVA.
C’est une mauvaise question car trop simpliste. Cf réponse juste au-dessus. Au sens large, il faudrait un pacte sociale avec chaque citoyen : l’état garanti un revenu mensuel avec l’accès aux soins de base; pour tout le reste, c’est la responsabilité de chacun de s’assumer (mutuelle, retraite, logement, etc).
Aucun, la France est déjà un pays avec une énorme protection sociale à tous les niveaux possibles, entraînant une redistribution qui commence à atteindre ses limites.
Pour aucun. Il faut arrêter de chercher de nouvelles sources d’impôt chaque fois qu’une catégorie (de citoyen ou professionnelle) appelle à l’aide de l’Etat.
Les bases entières de nos systèmes économiques (et donc impôts/aides/charges sur le travail) sont à revoir, car construit après guerre sur une hypothèse de croissance continue : des profits, des revenus, de la consommation. Ces bases deviennent insoutenables dans une société en sur-consommation, où chaque entreprise cherche à optimiser coûte que coûte son profit (plus de responsabilité sociale des entreprises), où les consommateurs cherchent en permanence le prix le plus bas, et où la population est de plus en plus vieillissante.