Un site internet dédié à l'usage de l'argent public avec un suivi des dépenses en temps réel (ou au plus proche du temps réel). Bien différencier les dépenses de l'état et celles des différentes collectivités. Bien mettre en parallèle les recettes (avec leurs sources) et les dépenses.
Tout le monde devrait être soumis à l'impôt, même s'il s'agit d'une contribution symbolique. Le consentement à l'impôt est la clé de voûte de tout le système. Si ceux qui paient le plus sont raillés à longueur de temps par ceux qui ne paient rien, ce consentement tend à se déliter. Il n'est pas normal non plus que les plus fortunés échappent à l'impôt par de l'optimisation fiscale, voir de la fraude fiscale. Il ne faut pas faire fuir les gros contribuables en optant pour des prélèvements d'un niveau pratiquement "confiscatoire". Il ne faut plus que toute la richesse du pays repose uniquement sur les classes moyennes qui voient leur niveau de vie diminuer au fil du temps. Abaissement de la TVA sur les produits de première nécessité éco-responsables (filières courtes, respect de l'environnement et de l'humain). Forte augmentation de la TVA sur les produits non éco-responsables (en particulier sur les importations venues de l'autre bout du monde).
Suppression immédiate de la redevance audiovisuelle par la privatisation de France télévision et de radio France. Abaissement de la TVA sur les produits de première nécessité. Gel des augmentations de la taxe foncière sur la résidence principale. Maintenir la suppression de la taxe d'habitation pour tous.
Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|supprimer les couches administratives non pertinentes (communes, départements). Ainsi, l'économie dégagée pourra être en partie réinjectée dans les dépenses sociales.
Les allocations familiales sont une politique d'incitation à une forte natalité. Il faut certes maintenir à minima le renouvellement de la population, mais est-il encore pertinent (au regard des ressources de la planète qui s'épuisent) d'encourager les familles à avoir 3 enfants et plus alors qu'elles n'en auraient pas les moyens sans les aides sociales. La prime d'activité est plutôt une bonne chose pour les revenus les plus faibles, mais si l'on diminue la fiscalité sur les produits de première nécessité et si l'on encadre à nouveau le prix des loyers tout en augmentant le SMIC, on devrait pouvoir vivre avec son salaire. Donc, suppression de la prime d'activité lorsque tout travailleur pourra vivre décemment de son travail.
La dépendance des personnes âgées. L'accompagnement des adultes handicapés vers l'activité professionnelle lorsque c'est possible.
Il n'est pas question de payer davantage. En économisant là où c'est possible, on doit pouvoir améliorer les politiques publiques à moyens constants.
Je trouve juste un peu dommage que le grand débat se divise en 4 catégories. Pour moi, elles sont indissociables les unes des autres. On ne réformera pas la fiscalité si on ne réduit pas la dépense publique en modifiant en profondeur le fonctionnement de l'état et des collectivités. On ne réussira pas la transition écologique sans investissement massif, et par voie de conséquence par une fiscalité dédiée. Toutes ces réformes ne seront réalisables qu'avec l'accord des citoyens, quitte à passer outre les "élus par défaut" de la République. Cela implique donc une démocratie beaucoup plus participative. C'est aux politiques de nous redonner le goût de prendre notre destin commun en main.
Aux élus au suffrage universel direct. Ces élus sont choisis directement par le peuple.
Non
Trop d'associations, de partis politiques et de syndicats vivent de l'argent public. Il faut revoir ces dépenses à la baisse sans pour autant étouffer la diversité et la pluralité qui font la force de notre démocratie.
Il faut que la politique soit un métier à plein temps mais qui ne s'exerce pas plus de 10 ou 15 ans. C'est pourquoi je préconise la suppression des communes et des départements au profit des communautés de communes et des régions. Ainsi, les élus pourraient se consacrer à temps plein (ce qui est rarement le cas dans les petites communes, à moins que les élus ne soient des retraités) à leur tâche. Le fait de limiter la durée de cette vie politique permettrait aussi de renouer avec le peuple qui serait moins suspicieux vis-à-vis des "vieux briscards".
Une bonne chose
Si l'on veut bien faire les choses, on doit s'y consacrer pleinement. Le cumul des mandats entraîne nécessairement une chute d'activité dans au moins l'un des mandats, voir tous.
La proportionnelle intégrale aux législatives.
Oui
En supprimant les communes et les départements, nous aurions environ 580000 élus de moins (36000 maires, 537000 conseillers municipaux et 4000 conseillers départementaux). Ils ne sont certes pas tous rémunérés, mais certains le sont et le sont bien trop au regard des résultats obtenus (pas forcément en corrélation avec la charge de travail fourni. On déploie souvent une énergie folle pour que la montagne accouche d'une souris).
Il est dommage que si peu de citoyens participent aux élections. Je ne crois pas pour autant que le vote obligatoire soit la solution. C'est aux politiques d'être suffisamment convaincants pour que les citoyens se déplacent aux urnes. En revanche, je pense que la prise en considération du vote blanc permettrait un retour aux urnes des citoyens qui s'en sont éloignés ces dernières décennies.
Oui
Si plus de 50 % de vote blanc à condition que cela représente au moins 33 % des inscrits, on réorganise l'élection en interdisant aux candidats rejetés de se représenter pour cette élection (et uniquement celle-ci).
Par recours régulier eu référendum. La constitution de la cinquième République prévoie le recours à la voix du peuple lorsque le président de la République l'estime nécessaire. Bien entendu, il y a le risque de répondre à une autre question que celle qui est posée, d'où l'idée portée par certains du RIC.
Oui
Je ne connais pas exactement les règles actuelles du déclenchement du RIP, mais je pense que 10 % des parlementaires avec l'accord de 33 % du corps électoral serait une bonne chose.
Permettre aux citoyens de choisir pour 50 % de leurs impôts et taxes à quel poste budgétaire ils souhaitent consacrer cet argent. Ce choix se ferait à la réception des avis d'imposition.
Aucun. Le Sénat et le CESE ne servent plus à rien.
Oui
Suppression du Sénat. Suppression du conseil économique et social. Limitation du nombre de commissions à l'assemblée nationale et surtout pas de moyens supplémentaires alloués aux parlementaires qui en sont membres.
Tout est dit dans la loi de 1905 : séparation des églises et de l'état. Pas la peine d'en ajouter. Il faut juste faire appliquer la loi à la lettre. Egalité de traitement pour toutes les religions : absence de présence religieuse dans les institutions de la République. L'état doit garantir le libre exercice des cultes, mais en aucun cas il ne doit prendre part au financement de ceux-ci et d'aucune manière.
Par l'enseignement renforcé dès le plus jeune âge des valeurs de la République. Par le respect du drapeau et le levé des couleurs dans tous les édifices et établissement publics tous les jours.
Rétablir le service militaire obligatoire, suivi d'une période de réserve citoyenne s'étalant jusqu'à l'âge de la retraite afin d'effectuer chaque année quelques jours de travaux d'intérêt général. Chacun au service de tous.
L'expression par le vote.
La prise en considération du vote blanc semble un bon début pour inciter les citoyens à revenir aux urnes et à renouveler le paysage politique français.
Rétablir le service militaire obligatoire, suivi d'une période de réserve citoyenne s'étalant jusqu'à l'âge de la retraite afin d'effectuer chaque année quelques jours de travaux d'intérêt général. Chacun au service de tous.
Les incivilités les plus courantes tiennent plus au manque ou l'absence d'éducation qu'à autre chose. Cette éducation pourrait être obtenue en rétablissant le service militaire obligatoire, suivi d'une période de réserve citoyenne s'étalant jusqu'à l'âge de la retraite afin d'effectuer chaque année quelques jours de travaux d'intérêt général.
Punir véritablement les actes qui doivent l'être et non pas se contenter de constater en laissant éternellement impunis ceux qui pourrissent la vie des honnêtes citoyens. Rétablir le service militaire obligatoire, suivi d'une période de réserve citoyenne s'étalant jusqu'à l'âge de la retraite afin d'effectuer chaque année quelques jours de travaux d'intérêt général. Chacun au service de tous.
Avoir le courage de réprimer verbalement celles et ceux qui manquent continuellement de respect vis-à-vis de l'autre.
Xénophobie, homophobie, misogynie.
Faire appliquer les lois de la République qui punissent ces discriminations.
Oui
Effectuer chaque année quelques jours de travaux d'intérêt général quand c'est possible physiquement. C'est un moyen de contribuer à faire nation ensemble et possiblement un levier d'insertion ou de réinsertion.
Cette question est à rapprocher de celle du changement climatique et de l'instabilité politique dans le monde. Bien entendu il y aura toujours des personnes en situation difficile qui souhaiteront s'établir en France pour leur sécurité et celle de leur famille. C'est notre devoir d'en prendre notre part, mais comme le disais un ancien premier ministre : "On ne peut pas accueillir toute la misère du monde". Les critères à mettre en place selon moi sont de prioriser l'immigration des demandeurs d'asile sur l'immigration choisie. Reste à définir les critères de recevabilité des demandes d'asile (situation réelle de danger, sécurité sanitaire, sécurité climatique, ...). En contrepartie, l'intégration doit être pleine et totale.
C'est envisageable si nous connaissons une pénurie de travailleurs qualifiés dans tel ou tel domaine. Il faut toutefois veiller à s'en tenir à un solde migratoire viable pour notre économie.
Favoriser les opérations de codéveloppement avec les pays d'origines des migrants afin que les conditions de vie s'améliorent dans ces pays.
L'apprentissage obligatoire du français avant l'obtention d'un titre de séjour ou de la nationalité française. L'apprentissage obligatoire du fonctionnement de la République et de l'administration. En vue de s'insérer dans la société et professionnellement, obligation de servir 3 mois dans des travaux d'intérêt général. Faire nation ensemble signifie que l'on partage les mêmes valeurs qui tiennent pour l'essentiel dans notre devise et sont indissociables les unes des autres (Liberté, Egalité, Fraternité). L'adhésion pleine et entière à ces valeurs donne conscience à la fois de ses droits et de ses devoirs vis-à-vis de la France et de la République.
Je trouve juste un peu dommage que le grand débat se divise en 4 catégories. Pour moi, elles sont indissociables les unes des autres. On ne réformera pas la fiscalité si on ne réduit pas la dépense publique en modifiant en profondeur le fonctionnement de l'état et des collectivités. On ne réussira pas la transition écologique sans investissement massif, et par voie de conséquence par une fiscalité dédiée. Toutes ces réformes ne seront réalisables qu'avec l'accord des citoyens, quitte à passer outre les "élus par défaut" de la République. Cela implique donc une démocratie beaucoup plus participative. C'est aux politiques de nous redonner le goût de prendre notre destin commun en main.
Il faut enfin se décider à supprimer les couches administratives qui ne cessent de s'empiler. Autant d'élus et de contraintes administratives... halte au gaspillage de l'argent public. Je propose la suppression des communes au profit des actuelles communautés de communes. Je propose la disparition des départements au profit de l'ancien découpage régional. En effet, est-il encore pertinent d'avoir autant d'élus locaux (surtout en milieu rural où les bonnes volontés sont là, mais trop peu de professionnalisme et de connaissance des rouages de l'administration) ? Est-il d'actualité que tout citoyen soit à un jour de cheval au maximum de la préfecture ? L'économie réalisée par la suppression de nombreuses couches administrative devrait, outre le remboursement de la dette, permettre de mieux accompagner les plus fragiles en multipliant la présence itinérante des services publics dans les territoires. Qui a encore besoin, par exemple, d'une trésorerie permanente dans une ville de 5000 habitants ? Est-ce qu'une poste dans un village de 500 habitants a besoin d'être ouverte tous les jours ?
Oui
L'Etat devrait se décharger de toutes les fonctions non régaliennes. L'Etat conserverait la main sur l'armée, la police, la santé publique et l'éducation. Tout le reste serait très bien géré par les régions, à condition de ne pas recruter deux ou trois fonctionnaires territoriaux en lieu et place d'un fonctionnaire d'état.
Oui
None
Toutes les démarches dématérialisées sont les bienvenues à condition de ne pas laisser les plus fragiles sur le bord du chemin. Il faut conserver un minimum de maillage territorial afin d'assister les personnes en difficultés avec Internet.
Oui
Oui
La généralisation de ce type de services.
Incontestablement le ministère des finances a fortement progressé avec la mise en place des téléservices. Les téléservices de la CAF fonctionnent particulièrement bien eux-aussi. N'étant pas régulièrement confronté aux services d'autres ministères, je ne saurais juger de leur amélioration ou pas.
Tous les services publics se doivent de réussir la transition numérique. Ils doivent aussi savoir s'inscrire dans la transition écologique (moins de papier, bâtiments moins nombreux et moins énergivores, moins de véhicules, etc ...)
Oui
Non
None
Pas d'exemple concret en tête.
Non
None
Oui
La formation continue doit permettre aux agents publics d'être formés aux profonds changements à venir. C'est toute une culture qui doit s'ouvrir à l'interministérialité et l'interopérabilité.
En contrôlant au plus juste les dépenses, afin que chaque euro utilisé pour aider nos compatriotes dans le besoin, le soit à bon escient. Il vaut mieux donner plus à moins de monde, ce qui permet de rebondir en cas de coup dur dans la vie; plutôt que de laisser tout le monde sous petite perfusion d'argent public. Cela coûte très cher et ne résout pas la précarité pour autant.
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Le nombre d'attestations diverses et variées et le nombre de formulaires à remplir à chaque rentrée scolaire sont très pesants. Ces informations sont généralement déjà en possession de l'établissement, de la DASEN et du rectorat, mais on nous redemande chaque année les mêmes choses. Qui plus est, bien des formulaires à compléter émanant des établissements scolaires ne sont pas clair, voir même ambigus dans leur formulation. Bien souvent, le monde enseignant imagine que tous les acronymes qui leurs sont familiers sont connus de tous. Les services de santé scolaire ne servent pas à grand chose (du moins dans le cadre de la mise en place d'un régime alimentaire lié à un problème de santé), si ce n'est à servir de boîte à lettres entre les familles, le mèdecin et l'administration (DASEN). J'espère que tout ceci sera repensé en profondeur si les départements disparaissent enfin.
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Depuis la mise en place de la carte vitale, les remboursements sont généralement rapides et le système fonctionne bien. Un exemple de transition numérique plutôt réussi.
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Je trouve juste un peu dommage que le grand débat se divise en 4 catégories. Pour moi, elles sont indissociables les unes des autres. On ne réformera pas la fiscalité si on ne réduit pas la dépense publique en modifiant en profondeur le fonctionnement de l'état et des collectivités. On ne réussira pas la transition écologique sans investissement massif, et par voie de conséquence par une fiscalité dédiée. Toutes ces réformes ne seront réalisables qu'avec l'accord des citoyens, quitte à passer outre les "élus par défaut" de la République. Cela implique donc une démocratie beaucoup plus participative. C'est aux politiques de nous redonner le goût de prendre notre destin commun en main.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
La réponse ne se limite pas à la France ni même à l'Europe. l'ONU devrait faire pression sur les pays qui ne respectent pas les accords de Paris. De plus, à notre échelle, en taxant fortement les importations qui ne respectent pas l'environnement, nous pourrions agir pour que ces pays améliorent la qualité écologique de leurs productions. Il faut aussi apprendre à économiser l'énergie. Sans parler pour autant de "décroissance" qui serait destructrice d'emplois, il faut tout de même en finir avec la surconsommation de masse.
Oui
Les intempéries sont de plus an plus violentes, ainsi que les sécheresses, ce qui provoque des mouvements de terrain qui impacte la stabilité des logements. L'agriculture est touchée par la météo de plus en plus capricieuse avec des épisodes de plus en plus fréquents de températures qui ne correspondent plus du tout aux saisons.
Oui
économiser l'eau économiser l'énergie éviter de consommer des objets sur-emballés éviter de consommer des biens qui n'ont pas d'utilité réelle rouler avec certes un vieux véhicule, mais qui consomme seulement 4 litres de gasoil pour 100 km. utiliser le plus possible les transports en commun
Pas de dépense publique supplémentaire en tout cas.
Consommer moins engendre une économie. C'est donc supportable financièrement et éco-responsable.
Oui
Pas de dépense publique supplémentaire en tout cas.
Oui
Je tiens à préciser que vivant en milieu rural, mais travaillant dans une métropole, je suis obligé d'emprunter mon véhicule sur au moins 15 km pour rejoindre les transports en commun. Au moins 15 km, car en raison des annulations régulières de TER, je dois soit me rendre à une gare à 40 km de chez moi, et parfois même me rendre à l'entrée de la métropole (parking relais pour le métro), soit à 65 km de chez moi. La régularité des horaires et le maintien des petites lignes de TER me semble indispensable si l'on veut pouvoir limiter la circulation automobile dans les grandes villes.
Les transports en commun
Les régions pour ce qui est du TER. Les métropoles pour ce qui est des transports intra-muros.
Faire pression sur le commerce et les partenariats divers avec les pays qui ne respectent pas les accords de Paris.
Je trouve juste un peu dommage que le grand débat se divise en 4 catégories. Pour moi, elles sont indissociables les unes des autres. On ne réformera pas la fiscalité si on ne réduit pas la dépense publique en modifiant en profondeur le fonctionnement de l'état et des collectivités. On ne réussira pas la transition écologique sans investissement massif, et par voie de conséquence par une fiscalité dédiée. Toutes ces réformes ne seront réalisables qu'avec l'accord des citoyens, quitte à passer outre les "élus par défaut" de la République. Cela implique donc une démocratie beaucoup plus participative. C'est aux politiques de nous redonner le goût de prendre notre destin commun en main.
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