Date de publication : 2019-01-23
Code postal : 42550

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Plus grande transparence sur les dépenses publiques, consultation du peuple sur certains types de dépenses (subventions associations, dépenses à l'étranger, etc)

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Rétablir l'ISF, imposer comme il se doit les très grandes entreprises étrangères trouvant les moyens de ne pas contribuer à l'effort fiscal. Mieux lutter contre l'évasion fiscale et les fraudes et instaurer une meilleure équité entre salaires et fiscalité (pour exemple: une contravention devrait être indexée aux salaires de l'automobiliste car une prime de 90euros n'a pas du tout le même impact lorsque l'on gagne 1500 euros/mois ou 10000euros/mois.)

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Réfléchir à une meilleure imposition sur les petites et moyennes entreprises. Baisser l'impôt sur les créateurs d'entreprise ou auto-entrepreneurs surtout quand le chiffre d'affaire ou les bénéfices sont faibles. Avoir un vrai débat sur la TVA en tenant compte des petits revenus, sur la taxe sur le carburant, sur les frais de notaire lors de l'achat d'un bien immobilier ou lors d'une succession ou héritage, sur la taxe audiovisuelle.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Mieux réfléchir aux dépenses de l'Etat.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Les citoyens ne respectant pas les lois doivent pouvoir être sanctionnés par le levier des aides sociales (suspension voir suppression des aides sociales selon la gravité de l'infraction ou du crime commis). A mon sens, je pense que les aides sociales en France contribuent également à alimenter une immigration clandestine (donc hors-la-loi) et incontrôlable. Ceci engendre automatiquement des dépenses (santé, éducation, logement, sécurité, etc) qui auront un impact considérable sur le bon fonctionnement de notre système social. Il me semble que ceci fragilise de plus en plus la cohésion de notre communauté nationale. La France et l'Europe devraient cesser de laisser ce sujet aux mouvements populistes et permettre aux peuples européens de pouvoir en discuter librement et dignement.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Sur les petites retraites, les minimums vieillesses, sur la réversion des retraites pour les couples ayant fait un vrai choix de vie de famille, sur les remboursements des frais dentaires et optiques, faire attention aux médicaments de moins en moins bien remboursés (vrai problème pour les foyers les plus modestes).

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Pour que les autoroutes redeviennent un bien de la nation et soient gratuites dans l'utilisation, avec un système de vignette annuelle payante pour les étrangers étant amené à les utiliser.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Je prends le risque de me répéter, faire attention aux petites et moyennes entreprises et auto-entrepreneurs (trop imposées à mon sens) et revoir l'aide sociale apportée aux étrangers se trouvant en situation irrégulière sur le territoire qui ne fait qu'accentuer un problème déjà difficile à maîtriser.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Difficile question dans une période où ma confiance vis-à-vis du politique est au plus bas. Sans proportionnelle, je ne peux pas y répondre.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Oui, si tous les courants politiques puissent être représentés de façon équitable et selon le vote des électeurs et participer avec le même droit d'expression.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Il faudrait tenir compte des élections en instaurant la proportionnelle et une vraie représentation du peuple français.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Question difficile car le cumul pour un élu compétant, consciencieux et concerné ne pose aucun problème, au contraire un parlementaire ayant un mandat local peut plus facilement comprendre les citoyens dans le quotidien.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Instaurer pleinement la proportionnelle. Ceci, en démocratie, est la seule solution possible.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Parlementaires, conseillers régionaux et départementaux.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Il faudrait que chaque citoyen puisse mieux s'identifier au territoire concerné par les élections. De ce fait, il faudrait réellement réfléchir à de nouvelles régions prenant mieux en compte l'histoire, l'identité et la géographie des territoires. Il faudrait décentraliser pour mieux fédéraliser. Les citoyens ne participent plus car ils ont aussi le sentiment que le mode de scrutin les exclut systématiquement des résultats et avantage toujours les mêmes partis. La proportionnelle devrait être mise en place. Mais la participation doit rester libre.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Il faudrait permettre aux électeurs d'expliquer la raison de leur vote directement sur le bulletin et que la remarque, selon qu'elle soit en rapport avec l'élection concernée, puisse être pris en compte.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Instaurer le référendum d'initiative citoyenne (locale ou nationale), accentuer la décentralisation en faisant le choix d'une République fédérale, faisant confiance à des Provinces enracinées dans une histoire et une mémoire. Organiser, sous le contrôle des Communes, des débats concernant les référendums d'initiative citoyenne.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

S'il y avait une véritable proportionnelle, je ferai peut-être plus confiance à nos politiques et je n'aurais pas besoin d'être consulté.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Ces institutions devraient tenir un rôle de "sage", de responsabilité et pouvoir bloquer les dépenses contraires à l'intérêt de notre pays et des Français. En cas de désaccord profond, un débat national devrait avoir lieu.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

En diminuant le nombre d'élus et réfléchissant à l'instauration d'un système plus fédéral et moins centralisé.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Premièrement, il y a des lois, il faudrait d'abord les appliquer. Ensuite, il nous faut être objectif, sincère avec nous-mêmes et arrêter la langue de bois de peur du politiquement correct. Si la laïcité fait aujourd'hui débat ce n'est pas à cause des crèches placées dans le hall de certaines mairies (comme certains voudraient le faire croire) mais c'est bien à cause de l'islam, qui se trouve être très différente des autres religions présentes sur notre territoire qui acceptent pour leur part sans difficulté la séparation du religieux et du politique, du privé et du public. Pour aborder un problème avec cohérence, il nous savoir de quoi nous parlons. A mon sens, ce n'est pas à la République de s'adapter. Les lois sont les mêmes pour tout le monde. Il n'y a aucune raison justifiée pour que l'islam n'accepte pas ce qui est valable pour les autres religions.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Nos valeurs ont toujours permis à chacun de croire ou de ne pas croire. Ceci il faut le garantir et c'est ce que fait notre République. Le religieux n'interfère pas dans le politique et ceci doit continuer d'être. Mais est-ce que toutes les religions permettent cette distinction claire et nette entre le politique et le religieux, ceci est moins certain? La République, au nom de l'égalité, ne doit pas tombée dans le piège du communautarisme. De plus, il nous faut avoir un peu de bon sens et distinguer de ce qui relève de la tradition populaire ancestrale, comme les crèches et le sapin de Noël, et ce qui relève d'un nouveau communautarisme intolérant comme le port du voile, la généralisation du hallal dans certains quartiers, etc.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Il nous faut cesser l'esprit de culpabilisation permanente enseigné aux Français. Il nous faut aussi garantir la pleine liberté d'expression et de conscience pour éviter une censure automatique concernant les sujets dits "sensibles". Il faut également réapprendre aux citoyens les notions de droit et devoir et retrouver une fierté d'être français.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Respecter notre cadre de vie, être propre dans l'espace public et ne plus tolérer les dégradations de cet espace public. Ré-inculquer le respect des personnes (ex: respect des anciens dans les transports en commun, etc), promouvoir les règles de politesse et de courtoisie, cesser de faire la promotion du "client-roi" qui donne l'impression aux gens d'avoir que des droits et oublient en retour que chacun a également des devoirs. Cette notion de devoir est indispensable pour qu'une société fonctionne harmonieusement.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Prioritairement, ceci doit passer par le cercle familial. Ne pas hésiter à penser à revoir notre politique actuelle concernant les familles et favoriser les couples faisant un vrai choix de vie de famille pour privilégier l'éducation des enfants. En contrepartie, ne pas hésiter à sanctionner les familles défaillantes en suspendant ou en arrêtant les aides sociales. Cesser la politique de l'excuse et de la justification (Pour prendre mon exemple, étant petit, j'ai grandi dans une tour, je ne partais pas en vacances tous les ans et je n'exprimais pas mon sentiment d'injustice en brûlant des voitures!) Ensuite, l'Education nationale aurait sans doute à s'améliorer en remettant à l'honneur l'exemplarité, le mérite, le goût de l'effort, l'esprit de groupe et n'hésitant pas à sanctionner les comportements inadmissibles. il faut cesser d'accepter l'inacceptable: le caillassage et agressions des forces de l'ordre, des pompiers, etc. Faire cesser le rituel des voitures brûlées. Lutter contre l'individualisme allant à l'encontre de notre communauté nationale.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Enseigner le respect des "choses publiques" et revaloriser le service public.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Regards agressifs, violences verbales, manque de propreté de la majorité de nos villes, dégradation du bien public (inacceptable à mon sens).

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Appliquer la loi, développer systématiquement le travail d'intérêt général dans les sanctions pour les petits délits, réfléchir à la notion de "tolérance zéro" et savoir comment cette notion pourrait être appliquée sur notre territoire.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Redevenir des citoyens responsables en sachant qu'aujourd'hui reprendre une personne sur une banale incivilité peut conduire à la mort. Il faut également que nos élus soient exemplaires pour que les citoyens se sentent responsables.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Habitant nouvellement une zone rurale, je suis le témoin de la discrimination contre les "sans-dents". Ayant habité la 2ème et la 3ème agglomérations de France, j'ai également été victime du racisme anti-blanc et il me semble que l'impunité pour les actes de racisme contre les "Blancs" sont inacceptables. Le racisme est inacceptable quel qu'il soit. Il concerne toutes les communautés. Nier le racisme anti-blanc engendre un sentiment de frustration et alimente la fracture au sein de notre communauté nationale.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Pour être plus solidaire, il faudrait redonner un semblant d'unité à des communautés qui aujourd'hui vivent les unes à côté des autres mais rarement ensembles autour d'une histoire et d'une mémoire partagée. Donc ceci est un vaste programme.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Il faut responsabiliser les parents vis-à-vis de leurs enfants avec la possibilité de suspendre ou arrêter les aides sociales. Il faut insister sur le fait que chaque citoyen a des droits et des devoirs. Chacun devrait signer un pacte sociale où il s'engagerait à respecter les règles de vie de notre pays.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Premièrement, pour être clair, la France se doit de garantir le véritable droit d'asile et cesser immédiatement de nommer "réfugiés" des migrants clandestins se déplaçant essentiellement pour des raisons économiques et sociales. Ceci discrédite la situation des demandeurs d'asile et ne permet plus une bonne compréhension du problème. La France ne maîtrise plus son immigration et de ce fait n'arrive plus à intégrer des populations posant aujourd'hui un vrai problème pour la cohésion nationale. Ne pas le voir au nom d'une charité mal placée est à mon sens criminel pour les générations prochaines. Une nation peut intégrer des individus mais ne peut pas le faire pour des millions de personnes au risque de devenir un pays communautariste tiraillé par des tensions communautaires. Il faut donc lutter efficacement, avec dignité et respect de la vie humaine, contre toutes formes d'immigrations clandestines.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Cette question est complexe car le droit d'asile est constamment détourné aujourd’hui. Pour l'action du Parlement, pourquoi pas si ce Parlement respecte la proportionnelle voulue par une majorité de Français.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Pour régler ce défi humainement, il faut d'abord arrêter de nier la dangerosité qu'il représente pour la stabilité des nations européennes. La politique de l'autruche pour se donner bonne conscience n'a jamais résolu les problèmes. Il faut cesser avec la "pensée unique" qui nous présente l'immigration comme une seule chance pour l'Europe et rendre aux Français et aux Européens une liberté de parole. Et pour éviter que ce défi ne dure, et pour éviter d'être fataliste comme le sont trop de dirigeants européens, il suffit d'appliquer le respect des frontières, de mettre en place des politiques d'aides au développement avec les pays qui s'engagent à lutter efficacement contre l'immigration, à installer (en négociant avec les gouvernements de chaque pays concerné) des centres de demandeurs d'asiles auprès de nos ambassades et consulats. Il faut également envoyer un signal fort aux crimes organisés qui profitent de la misère humaine en déclarant fermer toute possibilité d'entrer illégalement sur le sol européen et de mener efficacement les reconduites dans les pays d'origine pour tous les clandestins. Le laxisme et notre charité sont pris pour de la faiblesse et ne font qu'alimenter une situation déplorable. Les ONG "immigrationistes" portent également une lourde responsabilité.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Il faut premièrement lutter contre l'immigration clandestine et arrêter de donner un statut à des gens entrés illégalement sur notre territoire. Ensuite, il faut enseigner aux "nouveaux" français la fierté d'être français et la formidable histoire de notre nation en cessant de mettre en avant un esprit de culpabilité. Aujourd'hui, notre nationalité ne veut plus dire grand chose pour un grand nombre de français.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La France doit être capable, tout en restant fidèle au concept terre d'asile, de sanctionner ceux qui profitent de notre générosité en retirant la nationalité aux doubles-nationaux et aux naturalisés de moins de dix ans se rendant coupables de crimes. Nous ne devrions plus avoir de tabous sur ce sujet et revoir peut-être le regroupement familial mais aussi le droit du sol. Une nationalité, quelle qu'elle soit, se mérite. Je pense que la France n'a plus les moyens financiers et sociaux de sa politique généreuse.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

La France est à mon sens beaucoup trop jacobine. Cette centralisation historique depuis le XVIIIème siècle est à bout de souffle. Il génère plus de frustrations que de sympathie. Il nous penser autrement. Une décentralisation et un partage des compétences au niveau de provinces respectant mieux une histoire, une identité et une géographie, me sembleraient plus indiquer pour réintéresser les citoyens à "la chose publique".

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Avec de véritables provinces enracinés dans une histoire, l'Etat pourrait décentraliser une grande part des pouvoirs non régaliens. Pour ça, une réforme devrait être penser sur du long terme.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Centre des impôts, gendarmerie, éducation nationale (lycée).

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Généraliser ces nouvelles formes de services publics.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Aucun me vient à l'esprit.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

L'Education nationale, la Justice, les Impôts.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

None

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

La carte scolaire trop restrictive, surtout lorsque l'on habite à la limite de trois départements. L'obligation avec les impôts, entre autres pour la CFE auto-entrepreneur), de payer en ligne alors que le choix de payer par chèque devrait être possible (une majoration se paye avec le formulaire papier par chèque... )Il conviendrait de laisser la liberté du choix de mode de paiement.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Leur laisser plus d'initiative, leur donner une meilleur formation (conscience professionnel, empathie vis-à-vis des gens, etc)

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

En réfléchissant sur les compétences pouvant être décentralisées.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Il faut cesser la politique actuelle qui voit naître des "mégalopoles" déconnectées des territoires qui les entourent. Il nous faut mieux penser l'aménagement du territoire et redéfinir nos politiques d'investissement en réintégrant pleinement les zones les plus en difficulté. Je pense prioritairement aux zones rurales.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Carte scolaire trop stricte, surtout, comme je l'ai déjà dit, lorsque l'on habite à la limite de trois départements.

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Je regrette de voir la liste des médicaments non remboursés grandir d'année en année.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Très bon accueil pour des renseignements sur le statut d'auto entrepreneur à l'antenne locale de mon département de la Chambre de Commerce et d'industrie.

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faut revaloriser la fonction publique en ré-inculquant la notion de devoir et la conscience professionnelle lors des contrats d'embauche. Il faut également repenser la notion de services publics en cessant d'abandonner, même si le mot peut paraître exagéré, les zones rurales. Une fracture apparaît entre différentes zones territoriales (urbain/rural). Et par dessus-tout, chaque citoyen se doit de respecter le service public et ses agents. Ceci me semble être le BAba.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

L'explosion de la croissance démographique depuis le XXè s. pose un problème écologique majeur. Passer de moins de 2 milliards de personnes à plus de 7 milliards en moins d'un siècle pose effectivement question!

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Au niveau international, il faudrait enclencher un vaste débat, sans tabou, et responsabiliser les pays ne contrôlant pas leur natalité, d'autant plus quand ces mêmes pays ne peuvent pas proposer un avenir décent à leur jeunesse.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

En ayant fait un vrai choix de vie en famille proche de la nature: un seul véhicule pour une famille, peu connecté aux nouvelles technologies (à l'heure où l'on discute sans fin de notre consommation électrique), culture d'un potager "bio", etc.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

En décalage avec la question, il me semble que nous devrions cesser de concentrer les investissements dans les nouvelles "mégalopoles" et permettre aux gens de pouvoir travailler sur leurs lieux de vie.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Développer le télétravail, encourager fiscalement les entreprises de venir s'installer en zones rurales, inverser les investissements des grands pôles urbains aux zones défavorisés de notre territoire.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Je suis locataire. Le coût exorbitant de l'immobilier ne me permet pas d'être propriétaire. A ce jour, je suis à l'électrique mais il serait idéal, comme j'habite une région densément boisée, d'avoir un chauffage d'appoint bois.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Défendre le localisme (quand ceci peut l'être) et une certaine forme de décroissance. Le localisme est un système économique écologique. Pour ce fait, il nous faut revoir notre pensée économique et nos accords commerciaux. La transition écologique ne peut se réduire à un aménagement fiscal touchant prioritairement les plus modestes.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

A l'heure du"village monde" où les plus aisés voyagent de plus en plus, de plus en plus loin et de plus en plus souvent, à l'heure où les gens sont de plus en plus connectés aux nouvelles technologies (consommatrices d'électricité), il est profondément injuste de faire peser le poids de la transition écologique sur ceux qui n'ont pas d'autres choix que d'utiliser quotidiennement un véhicule soit-disant "polluant". De plus, le débat sur le nucléaire (énergie maîtrisée par la France), alors que l'on ne cesse de consommer toujours plus, me semble être contre-productif en sachant que la France ne peut pas à ce jour se passer de l'énergie nucléaire. A ça, s'ajouteraient les problèmes liés à l'agriculture intensive (Gaec surdimensionné, pesticides, insecticides, fongicides, etc), à l'exploitation forestière ne respectant plus les biodiversités et les différentes essences d'arbres, apprendre à consommer local et à penser local surtout pour les appels d'offres des collectivités territoriales, etc