Diffusion d'un petit aide mémoire qui résume les conditions dans lesquelles l'impôt est prélevé
Aujourd'hui 44 % des français paient des impôts sur le revenu. Dans cette population certains sont imposés au maximum car il n'y a pas de réduction possible. Il s'agit principalement de revenus compris entre le minimum pour être imposé et des revenus de l'ordre de 4000 euros par mois et par personne. Cette catégorie est à chaque fois exclue d'un dispositif de suppression ou de diminution d'impôts ou de taxe. Ma première proposition ne vise pas à demander à ce que tout le monde sans discrimination paie des impôts, mais à élargir le périmètre des "imposables" par une diminution du nombre de chômeurs. En effet, aujourd'hui de nombreux postes vacants ne trouvent pas preneurs à un tel point que certains responsables d'entreprise embauchent de la main d'oeuvre étrangère ou demandent à pourvoir embaucher des migrants. C'est une situation pour le moins paradoxale. Cette amélioration passe tout d'abord par une valorisation, dès le plus jeune âge, du travail manuel par la voie de l'apprentissage :Le baccalauréat et les études supérieures ne sont pas les seules solutions. Il faut également encourager la mobilité fonctionnelle par le biais de la formation et la mobilité professionnelle. Le travail clandestin est très répandu dans notre pays. Certains perçoivent donc des allocations chômage et de l'argent non imposable, fruit du travail au noir. Il faut donc lutter de manière très ferme contre cette pratique .Le deuxième point pour rendre la fiscalité plus juste consiste en une diminution très sensible des "niches fiscales". D'un nombre supérieur à 470 actuellement, elles représentent environ 100 milliards d'euros donc le quart des recettes fiscales. D'ailleurs plus de 200 sont jugées inefficaces ou peu efficaces. A titre d'exemple les réductions d'impôts dont bénéficient les journalistes et assimilés (et le mot assimilé est pris au sens très large) se montent à 7650 euros sur la rémunération nette. Même si cette année ce dispositif est quelque peu durci, on peut s'interroger sur son bien fondé. Beaucoup d'autres niches fiscales interrogent. La diminution des niches fiscales doit cependant être abordée avec prudence, il ne s'agit pas en voulant "laver plus blanc que le blanc" de mettre en péril des pans de notre économie. Il faut travailler de manière progressive sur certaines de ces niches. A ces niches fiscales s'ajoutent des comités dits Théodule dont l'utilité est discutable. En effet plus de 400 comités existent actuellement pour un budget de 25 millions d'euros annuel sans compter les rémunérations des agents publics qui y travaillent.Qu'il s'agissent des niches fiscales ou des comités il est grand temps de remettre de l'ordre dans ces dispositifs qui coûtent de l'argent au contribuable. Je pense qu'il faut également s'interroger sur certaines subventions dont bénéficient certains organismes (les organes de presse, les organisations syndicales par exemple), il y a certainement des économies à faire? S'agissant de l'impôt sur la fortune, je ne suis pas en mesure de prendre position. En effet, si les gains financiers de sa suppression bénéficient intégralement à notre économie, il ne faut pas le recréer. Mais je doute fort que ce soit le cas. La dernière mesure pour rendre une fiscalité plus juste et efficace consiste à faire payer des impôts en France aux responsables de grands groupes au même titre que les Gafa. De nombreuses idées circulent actuellement pour redresser nos finances. IL faut cependant être prudent car notre système forme un tout et la modification d'un des paramètres peut déséquilibrer la totalité du dispositif. C'est le cas, par exemple, de la demande de TVA à taux zéro pour les produits de première nécessité. Cette idée n'est pas inintéressante, mais si elle est retenue, il faudra, dans un souci d'équilibre, augmenter, dans la limite de la réglementation, d'autres taux de cette TVA. Enfin pour redresser nos finances, il faut également agir sur deux leviers : le premier concerne le train de vie de l'Etat qui doit être revu à la baisse. Une comparaison avec ce qui se passe dans les états voisins nous le prouve aisément. Dans le même temps, un toilettage du mille feuilles administratif doit être entrepris. Ce point est traité dans l'organisation des services publics. Le deuxième levier concerne les aides sociales. Leur nombre est supérieur à 30 au niveau national sans compter les échelons déconcentrés. Il faut, certes, aider les plus nécessiteux, mais ces aides doivent fait l'objet d'un contrôle strict. Est-il normal, par exemple, que les magasins d'audio visuel fassent les meilleurs chiffres d'affaire en septembre à l'époque ou les allocations d'aides scolaires sont distribuées ? Ce long développement ne vise pas stigmatiser telle ou telle catégorie de population, mais tout simplement de donner mon ressenti sur le domaine fiscal en France. IL est clair, qu'aujourd'hui, il faut réduire les dépenses, car une augmentation des impôts, compte-tenu du niveau qu'ils atteignent actuellement , est inenvisageable.
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Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Voir ci-dessus
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Comme je l'ai dit, je suis tout à fait défavorable à toute augmentation d'impôt.
Sauf à rebâtir totalement le système fiscal (ce qui me paraît inenvisageable), il faut agir par petites touches sur des leviers bien précis. La somme des gains ainsi enregistrée par les mesures exposées ci-dessus contribueront, sans doute, à améliorer la situation.
Les élus de contact (maires, ...) nous représentent le mieux car ils sont bien informés de nos soucis et de nos difficultés. Certains parlementaires sont également dignes de confiance, mais ce n'est pas toujours le cas. Enfin, les responsables d'associations dignes de ce nom nous représentent certainement le mieux
Non
Non pour les organisations syndicales. En effet, le nombre de personnes syndiquées parle de lui-même. Les organisations syndicales nationales sont, comme certains élus, totalement déconnectées des réalités du terrain. Le mouvement de grève à la SNCF au premier semestre 2018 a traduit une mauvaise volonté persistante et un souci de causer des désagréments aux usagers. Cette image est, en plus, ternie par les affaires qui ont secoué récemment certaines centrales et qui concernaient leurs plus hauts dirigeants. Un autre responsable fermement engagé dans la lutte pour le maintien de la sidérurgie en Lorraine a préféré s'orienter vers la politique en se présentant aux élections européennes sous le parti qu'il avait combattu. Enfin, ces organisations touchent des subventions (ou aides) de la part de l'Etat très conséquentes qui servent à organiser des luttes pour affaiblir notre économie. Tout ceci désabuse les Français. Le modèle syndical serait totalement à revoir car il est d'une inefficacité remarquable. Ceci étant, et fort heureusement, dans les entreprises, le dialogue social existe et fonctionne dans l'ensemble bien. Il y a dans ce domaine également une déconnexion entre le niveau central et le niveau local.
Il faudrait, je pense, tout d'abord diminuer la charge de travail parisienne de nos parlementaires qui pourraient actuellement, être assimilés à des fonctionnaires élus. Ils quittent leur circonscription le lundi pour y revenir le vendredi. Mises à part les municipalités, le constat est le même pour les autres élus. Nous les voyons lors des campagnes électorales et à l'approche d'élections et c'est à peu près tout..
Une mauvaise chose
Au départ, ce non-cumul devait permettre d'avoir des parlementaires tout à leur tâche nationale, mais en réalité ils ne sont plus au contact ds citoyens dans leur commune ou dans leur ville.
Il faut instaurer une dose convenable de représentation proportionnelle dans les élections notamment les élections nationales.
Oui
On ne peut pas passer sous silence la situation des parlementaires, le nombre de députés doit être revu sérieusement à la baisse en partant sur la base minimale de 2 députés par département. Ce nombre pourrait être revu quelque peu à la hausse pour les départements les plus importants. Je suis convaincu qu'il y a moyen de trouver une solution qui permette de remplir ces critères tout en instillant une dose de proportionnelle (20 à 30 députés). S'agissant des sénateurs, on peut aujourd'hui s'interroger sur leur utilité (hormis l'argument qui consiste à dire qu'ils permettent d'améliorer les projets de l'assemblée). Pourquoi ne pas envisager une fusion avec le conseil économique, social et environnemental qui est lui-même décliné au niveau des régions. Il y a là certainement une source de simplification et d'économies à réaliser. Les effectifs de la nouvelle structure pourraient être revus très sensiblement à la baisse. Les élus locaux : le nombre de conseillers régionaux est trop important et doit être revu à la basse. Quant aux conseillers départementaux, la dernière réforme visant à réduire le nombre de circonscriptions s'est révélé d'une inefficacité remarquable en imposant, au tire de la parité deux élus par circonscription. Le nombre de ces conseillers a, en fait, augmenté. Il serait intéressant de travailler sur le sujet.
Le vote est un droit, mais il devrait également être un devoir. Je trouve lamentable le taux de participation à certains scrutins, mais ce constat est la conséquence du désintérêt de certains d'entre nous pour la vie politique. Le vote devrait être obligatoire ne serait-ce que par respect vis à vis de nos grands anciens qui se sont battus pour l'obtenir.
Non
La prise en compte du vote blanc est susceptible de bloquer le fonctionnement de nos institutions. Mais ceux qui ne votent pas ou qui votent blanc ne peuvent pas se plaindre ensuite du fait que certains ne sont élus qu'avec une majorité relative.
Dans notre démocratie, les citoyens participent aux grandes orientations et à la décision publique principalement par le biais des élus. Certes le système n'est peut-être pas parfait, mais il fonctionne. Je reproche simplement à nos élus (quelque soit le niveau) de savoir nous "faire la cour" en période de campagne électorale, mais il n'y a jamais de réunion publique pour faire le point de l'avancée de certains travaux.
Non
None
Si cette question fait allusion au référendum d'initiative citoyenne (RIC) réclamé par les "Gilets jaunes", j'y suis défavorable pour plusieurs raisons. Tout d'abord, il est souvent fait allusion au modèle suisse, mais la Suisse est un pays fédéral et les suisses répondent à la question posée. En revanche, en France, un référendum sur une question précise est toujours traduite en termes politiques : êtes vous pour ou contre le gouvernement ? ce qui fait que l'objet initial du référendum n'est pas atteint. Comme je l'ai déjà dit, le système démocratique tel qu'il est aujourd'hui appliqué est satisfaisant sous réserve que nos élus communiquent plus avec les citoyens. Si toutefois le RIC était retenu, il faudrait pallier aux inconvénients énoncés ci-dessus, les français devraient répondre à la question posée. Par ailleurs, le domaine d'application du RIC devrait être clairement délimité, certains sujets devant (quelque soit le gouvernement en place) rester du domaine régalien (sécurité, défense,...). Si ces deux principes n'étaient pas respectés, je crains que l'on ne se retrouve dans une situation comparable à celle qu'ont connu nos anciens sous la quatrième république avec des changements de gouvernement tous les six mois maximum, ce qui serait catastrophique pour notre pays.
Voir ci-dessous
Oui
Il faudrait revoir totalement le rôle du sénat et pourquoi pas le fusionner avec le conseil économique social et environnemental (CESE). Le CESE dont les effectifs sont à diminuer fortement garderait ses compétences actuelles. Dans le prolongement de cette proposition, il convient de s'interroger sur la pertinence des structures régionales des CESE.
Il faut qu'il y ait égalité de traitement entre les différentes religions qui existent dans notre pays
Ce respect commence à l'école où les jeunes doivent être sensibilisés sur le sujet. J'ai confiance en la jeunesse et j'ai l'occasion de le constater lors de commémorations patriotiques ou autres.
Encourager et promouvoir les associations qui oeuvrent dans ce domaine.
Je n'en citerai que deux : le respect de l'autre et le goût de l'effort.
J'évoquais précédemment la nécessite de sensibiliser les jeunes, mais aujourd'hui, il manque trop souvent un maillon important : ce sont les parents qui dans certains cas ne jouent plus leur rôle. L'éducation nationale, à elle seule, ne peut pas tout faire, elle assure l'instruction mais le rôle prédominent pour l'éducation, c'est celui des parents.
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On évoque souvent la délinquance et son évolution. C'est certes important, mais les incivilités marquent autant la population. Ce sont principalement des actes qui traduisent un manque de respect pour l'autre (bruits, non respect des règles de voisinage, ...).
IL convient de multiplier les actions de partenariat entre les pouvoirs publics (jusqu'au niveau Maire et commune) avec les institutions (gendarmerie, police et justice) ainsi que les contacts de ces institutions avec la population.
Il suffit de se comporter en "bon" citoyen
Je pense que viennent en première position les discriminations hommes - femmes, puis les discriminations raciales.
Nous avons perdu quelques dizaines d'années au cours desquelles certaines valeurs ont été perdues de vue. Il faut relancer (ou poursuivre ce qui est déjà entrepris) pour faire prendre conscience à tout le monde que si nous avons des droits, nous avons également des devoirs qui s'imposent à tous dans une société comme la nôtre.
Oui
Une réponse par oui ou par non à cette question ne peut pas être satisfaisante. Il convient tout d'abord de définir précisément la liste des allocations de solidarité. Par ailleurs, on ne peut pas demander de contrepartie à une personne qui travaille à temps plein et qui perçoit une allocation. En revanche, celles qui ne travaillent pas ou qui sont à temps partiel (jusqu'à 25% par exemple) devraient se voir demander une compensation en fonction du temps travaillé. Le système actuel pousse parfois à l'assistanat et pour certains, n'encourage pas la recherche d'un emploi.
Dans ce domaine, je trouve que la Loi est bien faite et il suffit de l'appliquer sans trop se préoccuper des associations qui demandent à la France et à d'autres pays d'intégrer à tout va. Etudions bien les demandes d'asile pour raisons politiques. Pour les autres acceptons ceux dont nous avons besoin pour faire fonctionner notre économie.
Voir ci-dessus
Voir ci-dessus
Voir ci-dessus.
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Aujourd'hui, on parle de mille feuilles administratif et je crois cette expression parfaitement justifiée. Il faut absolument simplifier cette organisation car le citoyen ne se retrouve plus dans toutes les structures. La première chose à faire consisterait à supprimer des échelons territoriaux, qu'il s'agisse de structures étatiques (Préfet de zone, préfet de région) ou de structures décentralisées. Ainsi par exemple, la suppression de l'échelon région entraînerait de facto la suppression du poste de préfet de région.
Oui
La décentralisation doit être plus poussée mais avec une diminution d'échelons (voir supra). Aujourd'hui, nous avons l'impression de voir des doublons entre les services de l'Etat et les services déconcentrés. Je pense que la décentralisation est une bonne chose car les directives nationales doivent être adaptées à l'échelon décentralisé. On ne peut pas tout "régenter" depuis Paris. Mais cette décentralisation doit s'accompagner d'un pouvoir de contrôle renforcé de l'autorité administrative, pouvoir qui semble s'être fortement délité au fil des années. Une augmentation de la décentralisation est cependant un exercice périlleux car il ne s'agit pas de transformer notre pays en état fédéral. Un examen au cas par cas de ce qui peut être transféré doit être entrepris. Je ne suis pas en mesure d'apporter plus de précisions car je ne dispose pas de tous les éléments.
Oui
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Je pense qu'actuellement le niveau des démarches réalisables sur internet est satisfaisant.
Non
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Toutes les évolutions qui sont liées au développement de l'internet sont positives quel que soit le service public concerné. Nous sommes cependant dans une phase transitoire et il faut veiller à ce que ceux qui ne maîtrisent pas internet ne deviennent pas des laisser pour compte.
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Oui
Non
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Non
Oui
Je n'aime pas le terme autonomie qui signifie le droit de se gouverner par ses propres lois à l'intérieur d'un Etat. Mais je pense qu'il faut laisser plus de marge d'initiative aux fonctionnaires de terrain qu'il s'agisse de fonctionnaires d'Etat ou territoriaux. Mais cette augmentation de la marge de manoeuvre doit être accompagnée d'un contrôle bienveillant de la part des supérieurs hiérarchiques.
Oui
Le fonctionnement et la formation de l'administration doivent être simplifiés, ce n'est qu'à ce prix que l'on réconciliera les français avec elle.
L'Etat doit veiller à ne pas vouloir tout régenter depuis Paris (voir ci-dessus), il faut s'appuyer sur les relais que sont les autorités administratives déconcentrées et les structures territoriales. Chaque mesure prise doit pouvoir être adaptée en fonction des contraintes locales.
Non
Non
Non
Lorsque j'ai préparé ma retraité, j'ai été bien accompagné par mon organisme de rémunération et j'ai quitté mes fonctions en toute connaissance de cause.
Je ne rencontre pas de souci dans ce domaine.
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Votre message a bien été envoyé.