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68. Q8-Quels objectifs définir en priorité ? Ma proposition : • 1-l’emploi marchand • 2-le déficit public (donc la réforme Etat+Administration+territorialités, ET la suspension de principes non finançables) • 3-l’efficacité de la formation continue … et au-delà de trois objectifs, ce ne sont plus des priorités
73. Pour accéder à certains services publics, vous avez avant tout des besoins... Téléphoniques, Numériques Ma proposition : • Avant tout des besoins de COMPETENCES. Avoir devant soi un agent qui n’est qu’un « récupérateur de dossier » et qui passe 0 seconde à comprendre votre situation, c’est frustrant. Il ne sait même pas pourquoi il faut chacune de ses pièces ! => réduire la précarité des employés et leur « mécanisation » ou augmenter leur information Avoir devant soi un agent qui vous apprend qu’il faut une autre pièce que celles figurant sur la liste qui vous a été fournie, c’est frustrant. Et si en plus, l’agent n’a pas le droit de se connecter pour éditer une pièce que vous pourriez lui rendre disponible immédiatement, c’est très énervant Et quand ça vous oblige à revenir, à reprendre un RV que vous ne pouvez même pas prendre sur le champ, parce que c’est un autre service qui les prend, c’est ENRAGEANT • Avant tout des besoins de LATITUDE DE DECISION des agents de terrain. et D’IMMEDIATETE DES REPONSES (cf. Proposition « pecideme44 ») Une organisation de services publics où les agents au contact du public seraient habilités à prendre eux-mêmes des décisions même de dépenses ou d’attribution d’aides – en bénéficiant éventuellement d’un système d’information automatisé leur fournissant une « aide » à la décision -- serait plus satisfaisante pour l’usager, plus enrichissante pour l’agent, sans doute plus efficace, et peut-être plus économique. En cas d’erreur, les Superviseurs-conseil autour des agents pourraient les aider à ne pas récidiver. En cas d’erreur, les Contrôleurs pourraient envoyer un courrier à l’usager (« Nous nous sommes trompés dans l’attribution de votre aide. Vous n’aurez pas à rembourser le trop-perçu, mais prévoyez que votre aide baissera l’année prochaine (ou le mois prochain) ), puis mettre à jour les indices qualité de l’agent, puis transmettre cette erreur aux Formateurs pour inclusion dans leur prochaine formation. Ce serait efficace si ces actions avaient lieu dans la semaine qui suit l’entretien avec l’usager. • Avant tout des besoins D’ABSENCE D’ERREURS (cf. proposition « pecideme63 ») Je ne peux proposer de solutions sur ce point, car ne sais quelles en sont les causes : niveau de recrutement, mode de recrutement, abus des CDD, hyper-complexité des systèmes, instabilité permanente des règles, manque d’implication, manque de sanctions internes, absence de responsabilité sur le coût de retraitement d’un dossier… Moi-même qui ne suis pas un grand consommateur de service public, j’ai quand même pu constater que 2 fois sur 3 il y avait une erreur quelque part dans le « rendu »… Au moins, entendez que c’est dramatique. • Avant tout des besoins de SIMPLICITE (pas 4 administrations pour gérer ¼ d’un problème ou d’une aide) cf. toutes mes propositions de simplification… • Avant tout des besoins D’INTEGRITE. La fin des passe-droits (ex. le fils de Fabius touchant le RSA alors qu’il est propriétaire d’un appartement de plusieurs millions d’Euros, les places en crèche accordées « par force » parce qu’on est « recommandé » alors que l’effectif d’enfants dépasse déjà le seuil légal…) => avant tout faire respecter la loi !! La fin des prérogatives officieuses des élus ou des hauts cadres (passer derrière pour forcer ou modifier une décision administrative, etc.) =>instaurer un droit pour les fonctionnaires équivalent au droit des lanceurs d’alerte, lorsqu’ils signalent de telles pratiques ; et qu’on ne se rende pas compte 2 ans après que c’est le lanceur d’alerte qui a été dénigré, harcelé, placardisé… !! La fin de l’omerta et du « pas de vague » => baser une part de la rémunération des cadres non pas sur le nombre de problèmes qu’ils occultent, mais sur le nombre de problème qu’ils résolvent !! Etc…
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43. Q22-Comment faire partager ces choix à l’échelon européen et international pour que nos producteurs ne soient pas pénalisés par rapport à leurs concurrents étrangers ? Ma proposition : Par les TAXES SUR LA QUALITE PRODUIT au sein d’un système qui devra être validé par référendum auprès du peuple français pour être opposable à la probable vindicte de nos concurrents (comme le brexit). Etre aussi conscient que ce système sera désavantageux vis-à-vis des pays plus « vertueux » que nous. Ce système appliquerait les règles • L’Etat fixe un « taux de base » faible qui sera un taux de surtaxation des importations (par exemple 3%) applicable sur tous produits bruts et transformés, services et énergies • Ce taux sera modifié par des bonus-malus appliqués sur ce taux de base, en fonction des objectifs • +15% origine pays non signataire cop21 • +15% origine pays sans ratification de cop21 • -15% origine pays avec ratification de cop21 • +15% origine pays sortis de cop21 • -30% origine pays en avance sur objectifs cop21 • +15% origine pays en retard sur objectifs cop21 • +30% origine pays avec travail des enfants avéré • +15% origine pays sans droit du travail compatible (seuils à fixer)(éventuellement faire 3 blocs de +-5% : syndicats, santé, retraite) • -15% origine pays avec droit du travail compatible (seuils à fixer)(éventuellement faire 3 blocs de +-5% : syndicats, santé, retraite) • -15% pays à émissions de GES /habitant inférieurs au notre • +15% pays à émissions de GES /habitant supérieurs au notre • +30% produit contenant des produits interdits en France (même à l’état de trace) • +30% produit OGM • +15% produit OGM non reproductible • +15% production non « durable » • +15% pays à économie non durable (ressources) • -15% pays à économie durable (ressources) • -50% origine pays pratiquant le même système avec les mêmes normes Les recettes ainsi obtenues devront être intégralement dirigées vers le revenu des agriculteurs et leur capacité d’investissement.
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