le.la député.e, le département, le gouvernement, le.la maire
Oui
Les syndicats sont essentiels, parce qu'ils sont chaque fois sur le terrain. leur rôle doit être de rendre vivable les situations, c'est à dire celle du travail par exemple, ils doivent avoir un réel rôle de responsabilité de l'équilibre au sein des entreprises.
Leur expliquer qu'ils ont aussi le rôle d'animateurs sociaux, ils peuvent créer des temps forts de rencontre et de conversations, prises de décisions avec leurs citoyens. En premier lieu , les maires qui se contentent le plus souvent de gestionner le budget de la commune en changeant les volets de la mairie. nous en leur demandons pas cela, mais que le citoyen ait un espace de dialogue.
Une bonne chose
Ne pas cumuler les postes de pouvoir. par contre garder des mandats électifs au sein de municipalités ou d'autres structures permet de rester un pied sur le terrain. je conçois que c'est très difficile d'être au pouvoir d'un côté avec des responsabilités et des prises de décision et puis d'être modestement assis comme membre d'un conseil municipal. mais c'est la place nécessaire pour comprendre l'impuissance d'un citoyen et d'ajuster l'échelle des prises de décision.
None
Oui
les intercommunalités , parce qu'elles sont outils de gestion et non de politiques élues, sont à revoir. parce que les décisions "techniques " de ces intercommunalités se déversent sur la vie des communes et les engagent dans des entreprises non nécessaires et dangereuses parce que uniquement "normatives".
commencer par une éducation à la politique, les enfants et les citoyens jeunes ont perdu l'enjeu. Ensuite, le vote obligatoire n'est peut-être pas exclure. Paradoxalement, je crois que trop d'inégalité dans une société éloigne les citoyens de l'intérêt commun, ils se sentent condamnés à leur propre situation. Réhabiliter la modestie de vie comme un potentiel, voilà le vrai travail pour se sentir citoyen. Par les collectivités proches, créer des temps forts où personne n'est exclu.
Oui
le considérer comme une manifestation de désaveu et au delà d'un certain pourcentage, on refait un vote après de nouvelles propositions ou candidatures. Cela pourrait inciter les votants blancs à se dévoiler et à dire le pourquoi dans un débat.
je crois que les débats n’existent pas au niveau le plus proche. Recréer des temps de rencontres au niveau de quartiers, villages,villes petites , avec force de proportions serait un plus
Non
il existe cette possibilité, donc ...
Donner une partie en décision la plus proche-espace citoyen comme cela se met en place quelquefois, c'est intéressant
De comprendre la richesse des terrains, donc la diversité et le cosmopolitisme des citoyens et puis de jouer le rôle de synthèse et de synergie. C'est à dire à l'inverse de ce qu'ils ont comme rôle actuel, c'est à dire de déverser sur le citoyen des décisions étatiques ou internationales . Non qu'elles soient inutiles, mais elles n'apparaissent que dogmatiques et tournées vers un monde qui n'a pas d'espace de temps réel avec la lenteur nécessaire à l'humain. le virtuel a accentué l'impossibilité parce que tout tombe comme un rouleau compresseur sur le citoyen. ces structures, sénat et conseil économique et social ont un futur dans une tempérance des excès mondialisés et virtuels, ils sont garants de cohésion.
Oui
Jouer sur la diversité de notre société, peut être un tirage au sort de certaine partie des siégeant. Former un citoyen pendant quelques mois aux rouages, est mieux à mon avis que de récupérer un vieil élu sûr de son siège pour comprendre l'angoisse sociale, parce que je crois qu'il y a une grande angoisse sociale et politique.
Les principes sont clairs, ils sont vivables.
Éduquer à la tolérance religieuse et antiraciste, parce que les choses sont en train de s'amalgamer de nouveau. Par cette éducation, séparer ce qui relève de la part privée et ce qui relève de ce que nous partageons: fraternité dans une loi républicaine qui nous permet de vivre ensemble.
Je n'ai aucune solution dans une société où les écrans d'une maison individuelle sont allumés plus de quatre heures par jour et que aucun enfant ne joue dans la rue, ni leurs mamans ne se promènent en riant.
Regarder notre voisin comme un potentiel et non comme ennemi. créer les espaces de partage, comme places ou jouent les enfants, temps forts communs à petite échelle comme cantines communales. Ne pas penser que les grands concerts de 20 0000 personnes réunissent les gens.
Recréer des échelles plus petites de rencontre.
Trouver une manière de valoriser les bénévolats surtout en début de vie: adolescence, que cela devienne un mode de vie, comme les études. Ensuite valoriser même socialement ce bénévolat, parce que nos carrières de femmes en particulier ont été souvent bien engagées en tant que bénévoles, et jamais prises en compte.
l'indifférence, le manque de prise en compte de la différence physique dans l'espace publique, L'incapcité à ouvrir un dialogue dans un espace publique, les injures de groupe.
None
Récupérer un calme et une confiance sociale.
Couleur de peau ( témoin).
Beaucoup de témoignages de la non-différenciation.
Non
Par contre créer des temps forts de rencontre peut ouvrir beaucoup de choses: le dialogue et puis comprendre les possibilités de deux côtés, nous nanties d'une situation et potentiel de l'autre côté. déjouer les peurs en quelque sorte
Beaucoup plus d'ouverture, premier critère. ensuite se dire que la libre circulation est une priorité à rendre vivable. l'accueil ne sera jamais un échec, la fermeture et les murs seront un échec à coup sûr. Et pour protéger quoi? l'extrême droite?
Définir des objectifs oui, par contre des quotas ou des profils non.
De mettre en place des visas libres pour venir travailler plusieurs mois et repartir librement et revenir. C'est tout à fait faisable qu'un jeune homme ou une jeune femme vienne travailler six moi comme boulanger.e et reparte six mois auprès de sa famille en laissant le poste à un collègue. cela a été fait , tout se passe bien. Nous avons, nous, la liberté d'aller dans le monde entier simplement parce que nous payons des vacances.
Reconnaître le devoir de solidarité comme essentiel, créer des espaces de rencontre, faire partager langue et habitudes de vie. Considérer que la migration est partie prenante de société.
Comment faire reconnaître que notre société et plus largement celle mondialisée, est faite d'une diversité qui ne doit pas tourner à l’inégalité. Un citoyen au RSA a droit à la même dignité que les plus hauts revenus. Comment la lui donner? De même un citoyen n'est pas un sous-élu, il doit être entendu, comment échanger?
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Donner d e l'importance au respect des équilibres dans le vivant, savoir renoncer au toujours plus pour prendre, afin de jeter un juste regard sur nos besoins modestes en fait.
Oui
Les étés se modifient avec beaucoup de chaleur qui dure et empêche un travail équilibré et une vivacité de vie qui est nécessaire pour travailler harmonieusement. la solution n'est pas de climatiser une société entière.
Oui
Reflexion sur les besoins réels de vie, ralentissement des dépendances, choix quotidien de la nourriture de saison et préparation, tri des déchets, le moins possible de voiture, cultiver des jardins, chaleur légère dans les maisons en hiver, marche. solaire thermique, chauffage bois et gaz,
vivre avec des gens motivés, on se sent isolé... D'autre part, la course sans fin de la société vers une croissance exponentielle ne nous encourage pas, parce que les modestes initiatives de vie sont dévalorisées. or la vie d'une personne est de 23 h sur 24h de style quotidien, pas clinquante, ni virtuelle.
de trouver une aide financière réelle et simple - même sous forme de prêt- quand je veux investir mieux. Choisir une voiture électrique est tout de suite hors de portée .
Oui
Fiabilité des technologies proposées et réelle alternative. Prix de l'énergie alternative en rapport avec la vie des gens que nous sommes, c'est à dire pour la moitié des français, moins de 1500 euros mensuels. Pour le moment, la démarche est d'alléger la facture en diminuant le chauffage. Le prix collectif de l’énergie est le réel scandale dans cette histoire. Nous finissons par voir l'état, les taxes et les fournisseurs comme des prédateurs, ce qui n'est pas notre souhait.
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun|Le vélo|Marcher
les collectivités territoriales qui connaissent bien les déplacements et nous même pour le vélo.
En premier: faire réellement ce choix; Mettre la transition écologique en premier plan politique, tout comme la transition numérique qui nous est imposée de fait pour le monde à venir Considérer la transition écologique comme un atout, non comme une punition
OUi, le souci écologique doit être considéré comme une force positive, parce que c'est l'un des points qui peut nous redonner un peu de respect de nous mêmes dans le siècle à venir. En dehors de devoir être incontournable, ce serait une fierté politique et humaine de réussir cela, au même titre que les déclarations comme celle des droits et devoirs de l'homme
Votre message a bien été envoyé.