Il faut donc distinguer le service et l'expression "fonction publique" qui désigne l'ensemble des personnes qui occupent des emplois civils de l'Etat, des collectivités territoriales, des établissements publics hospitaliers ou d'établissements ayant une mission de service public. Les agents de la fonction publique relèvent de régimes juridiques variés. Certains sont titulaires, d'autres sont contractuels.
Il faudrait tout d’abord comprendre les institutions et connaître comment s’organise les différentes administrations territoriales de notre France. Aujourd’hui la France compte plusieurs échelons : Régions, départements, arrondissements, cantons, communes auxquels se sont rajoutés les intercommunalités, les Métropoles et l’Union européenne. Cet empilement des échelons d’administration, les compétences partagées et les financements croisés sont illisibles pour le citoyen et nuit à l’efficacité de l’action publique. Les différentes réformes dont l’enjeu était la baisse des dépenses et une meilleure prise en compte des citoyens ont abouti à l’inverse avec la création des intercommunalités et La Métropole. Les niveaux de compétence sont mal définis. Qui fait quoi ?, qui est le bon interlocuteur pour le citoyen.
Les baisses notamment celles de l'impôt sur le revenu se sont traduites par une augmentation des cotisations salariales pour l'assurance maladie et les retraites. >>> Pour toutes ces raisons il faut augmenter sensiblement le poids des impôts progressifs, ce qui permettra de dégager des ressources nouvelles, pour favoriser l'emploi et le logement et pour baisser d’autres impôts, comme la TVA, qui pèsent sur les faibles revenus.
Selon moi ces questions sous forme de Y-a- qu'à et faut qu'on ne contribue pas à la construction d'un projet de société.
Je veux que les contributions d'attribution répondent à de véritables besoins essentiels de l'individu et non des aides sociales qui en réalité sont utilisés pour d'autres finalités. je pense notamment certaines aides du type rentrée scolaire
Il faut s'orienter vers une réforme fiscale et un partage du travail pour sauver le régime des retraites. Je suis favorable à un régime unique et égalitaire
Pour plus d’égalité entre les citoyens et les territoires • Assurer un égal accès aux services publics dans tout le pays. Nous voulons un bouclier territorial de services publics au service des citoyens (suspension des fermetures de lieux d’accueil du public, maisons de santé dans les déserts médicaux.
Augmentation sensible des impôts progressifs pour favoriser l'emploi et le logement et pour baisser d'autres impôts injustes, comme la TVA, qui pèsent davantage sur les faibles revenus.
Le mouvement des gilets jaunes et le soutien que semble lui accorder une large majorité des Français montre, une fois de plus, que le divorce, entre les citoyens et les hommes politiques est consommé. Les Français ne se reconnaissent plus ni dans leurs représentants ni dans leurs gouvernants. Ils ne leur font plus confiance.
Oui
Il faut absolument relancer le dialogue social, avec les partenaires sociaux. Y intégrer les associations de retraités qui ne sont toujours reconnues dans les corps intermédiaires.
Changer de méthode de gouvernance dite verticale et négocié en amont des problèmes. Mettre en place des conférences territoriales.
Une mauvaise chose
Apparemment une mauvaise chose pour les députés qui semblent isoler de leur circonscription. Un retour avec un mandat d'élu local(non Maire) peut-être une solution.
L'élection de la nouvelle Assemblée nationale montre avec éclat que notre système politique, Constitution et système électoral, a peur de l'Assemblée nationale et favorise un exécutif fort au détriment du pouvoir législatif dont (les partisans du système actuel) se méfie et dont on craint qu'elle ne soit trop représentative de la "France d'en-bas" qui "n'y connait rien aux affaires". On a un trop mauvais souvenir de la IVème République, de son instabilité et des excès des assemblées durant la Révolution française.
Oui
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Si l'on ne fait rien, nul ne sait avec certitude où la crise de confiance des Français envers la politique et envers la démocratie peut conduire le pays. Pour sortir au plus vite de cette situation potentiellement dangereuse, il me paraît nécessaire : - d'instaurer la proportionnelle intégrale pour les élections législatives. S'il n'y a pas de majorité de gouvernement, il faudra former les députés à la souplesse idéologique (oxymore) et à l'art du compromis. On pourrait alors les enfermer dans l'hémicycle et ne les libérer que lorsqu'ils auront bâti un programme de gouvernement satisfaisant pour une large majorité des français. En outre, cela serait pédagogique pour les électeurs qui verraient que la démocratie ne permet pas à chacun d'avoir tout et tout de suite. - d'inverser le calendrier électoral, c'est-à-dire tenir les élections législatives avant la présidentielle, pour redonner la primauté au pouvoir législatif. - Renforcer le pouvoir de l'Assemblée nationale, face au pouvoir exécutif.
Oui
Le mouvement des gilets jaunes et le soutien que semble lui accorder une large majorité des Français montre, une fois de plus, que le divorce, entre les citoyens et les hommes politiques est consommé. Les Français ne se reconnaissent plus ni dans leurs représentants ni dans leurs gouvernants. Ils ne leur font plus confiance. Et pourtant les hommes politiques français n'ont pas de raison d'être pires que ceux des autres pays. Le mal vient d'ailleurs. Il semblerait que la prise en compte des votes blanc soit une manière d'exprimer un vote.
Pour éviter cette personnalisation désastreuse de la vie politique française qui tend à faire de la France une monarchie républicaine, il faudrait revenir à un régime où le Président se contente de présider et d'être le chef d'Etat, garant de la continuité de l'Etat, avec une élection au suffrage indirect pour restituer à l'Assemblée nationale toute sa légitimité. En attendant de changer de Constitution et par la même occasion de République, on pourrait soit fusionner le calendrier électoral en procédant aux élections législatives le même jour que la présidentielle. L'avantage serait de simplifier le calendrier électoral, de "dégonfler" l'importance donnée à l'élection du Président et de redonner aux élections législatives leur rôle de fixation des orientations politiques pour la France. Une autre solution serait de décaler d'un demi mandat les élections législatives par rapport à l'élection présidentielle et revenir à un mandat à 7 ans.
Je ne sais pas
Selon moi, ce déclenchement du référendum d'initiative partagée n'a jamais été utilisé. D'où mon interrogation?
La mise en place de référendums citoyens dans le cadre des élections locales (régions et collectivités) peut être un moyen pour redonner aux citoyens l'impression qu'ils ne comptent pas pour des prunes. Dans les programmes électoraux, il faudrait obliger les candidats à s'exprimer sur l'utilisation de l'argent public. Etre précis et très concrets dans les propositions formulées. En effet la plupart des projets annoncés ne sont jamais réalisés.
Il faut réexpliquer aux français le rôle de nos assemblées. Sur tous ces sujets d'institution et de vie démocratique, il y nécessité de former nos enfants. J'ai l'impression que l'éducation nationale n'abordent que très partiellement ces sujets dans les programmes.
Non
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Faire appliquer la loi de 1905
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Rendre le vote obligatoire : Voter que l'on peut considérer comme un devoir moral, lorsque le vote n'est pas obligatoire. Par son vote le citoyen assure le bon fonctionnement de la démocratie. En France, la carte d'électeur porte la mention "Voter est un droit, c'est aussi un devoir civique". On peut cependant regretter que le vote blanc ne soit pas pris en compte dans les résultats.
"Éduquer à la citoyenneté" proposer des "Itinéraires de citoyenneté" sur les droits de l’Homme, les discriminations et l’égalité, le développement durable, mémoire et histoire.
Les obligations des citoyens peuvent difficilement être listées de manière exhaustive. Les plus importantes peuvent néanmoins être regroupées en trois obligations essentielles : • respecter la loi et, par civisme, s'efforcer de la faire respecter. La loi ayant été élaborée par des représentants qu'ils ont élus ou par référendum, les citoyens sont donc moralement contraints de se conformer aux règles qu'ils se sont eux-mêmes fixées. De plus le respect de la loi est une condition nécessaire pour vivre dans une société organisée où ne règne pas la "loi du plus fort". Exemples d'obligations juridiques : o pourvoir à l'éducation de ses enfants et préparer leur avenir, o porter assistance à une personne en péril, o accepter d'être juré d'une Cour d'assise, o pour un chômeur inscrit à Pole Emploi, rechercher du travail, hors cas de dispense,
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La notion recouvre des faits dont la qualification délictuelle fait débat : graffitis sur les murs des villes, dégradations de biens publics, attroupements d’individus potentiellement menaçants, bruit dans les immeubles d’habitation, insultes voire harcèlement dans la vie quotidienne, manque de respect envers les personnes âgées. Les incivilités les plus pénibles sont souvent liés à des problèmes de comportement. Par ailleurs la délinquance des enfants mineurs, les conséquences et l'usage de la drogue illicites sont cause de criminalité et à des conséquences sur l'ensemble de la société.
La difficulté principale est que cette notion sociologique englobe à la fois des comportements gênants, mais qui ne sont pas pénalement sanctionnés, et d’autres qui constituent de vraies infractions. Elle est donc vivement débattue : pour certains une telle expression masque de réelles infractions et une partie de la délinquance, tandis que d’autres récusent une notion qui légitimerait l’établissement insidieux d’un appareil répressif public et privé.
Les solutions paraissent cependant difficiles à élaborer. Il est en effet nécessaire de rechercher un équilibre pour les politiques de sécurité afin d’empêcher la désertion de l’espace public, sans pour autant instaurer un contrôle permanent.
Le lien entre les citoyens s’estompe et une méfiance généralisée s’installe. Ces atteintes à l’ordre public sont destructrices des interactions de civilité et, finalement, de la confiance nécessaire à un bon fonctionnement de la société. Il y a aussi danger avec le perçu de
Ne pas diviser : Tous les acteurs, qu'ils soient actifs du privé, fonctionnaires, artisans commerçants, retraités et autres professions libérales font partie de la vie sociale et économique de notre France. Ils sont des citoyens à part entière qui consomment épargnent, investissent, des acteurs de développement de liens sociaux(bénévoles, aidants) des acteurs créatifs (associations, entreprises) d'où la nécessité de ne pas opposer et de traiter les problèmes par type de population, de génération.
Oui
L'évolution de la société isole les plus vulnérables. Quid des difficultés. Ces situations peuvent justifier des contreparties, je pense notamment à l'exclusion informatique, à la disparition de services publics dans certains territoires et autres handicap.
Le débat sur la place de l’immigration dans la société française est légitime. Cependant, il est nécessaire de dépassionner ce débat pour que l’immigration ne soit pas le « bouc émissaire » de notre société. Face aux discours idéologiques récurrents, face aux vraies fausses bonnes solutions avancées, il serait souhaitable de revenir sur quelques-unes des idées reçues qui pénètrent toutes les sphères de notre société. Refuser l’amalgame, l’erreur d’interprétation, la stigmatisation, c’est déjà, selon moi, lutter contre les discriminations et les préjugés.
Non. Je regrette que l'Europe ne soit pas au cœur du débat. A l'heure où le national-populisme prône le repli sur soi et où la question de la construction européenne n'est pas une priorité dans le débat politique, offrons à nos enfants et petits-enfants un projet d'avenir plus enthousiasmant que le "repli sur soi" mortifère des europhobes.
Pour la première fois dans l'histoire de l'Humanité, au moins à cette échelle, au sortir de deux guerres mondiales dévastatrices, plusieurs nations européennes ont décidé de s'unir pour sauvegarder la paix et favoriser leur développement économique. L'union a commencé par ce qui était le plus facile, l'acier et le charbon, puis l'intégration économique, avec la libre circulation des marchandises, puis la libre circulation des personnes et enfin une monnaie unique. Il est urgent que cette même Europe se donne les moyens de proposer autres choses que des quotas.
L'éducation, la formation sont pour moi les modalités prioritaires.
La dangereuse illusion du "Chacun chez soi" L'intégration politique de l'Union européenne est pour le moment bloquée. Mieux, le Royaume-Uni a décidé de sortir de l'Union. En France, les questions de sécurité, d'immigration, de chômage, etc. prennent le pas sur celles de l'avenir de l'Union européenne, laissant le champ libre aux chantres du repli sur soi, du "chacun chez soi", et à ceux qui pensent que, moins ils sont nombreux, plus leurs idées ont des chances de devenir majoritaires. "On est tellement mieux entre gens qui se ressemblent !!!" Dangereuse illusion ! Etre dans une entité plus petite ne garantit en rien l'homogénéité de la pensée. Les divergences existent à tous les niveaux, pays, région, commune, quartier, famille. - En France, lorsque la majorité change de camp au niveau national, les régions du camp adverse ne demandent pas leur autonomie ! Il en est de même pour les départements et les communes.
Il faudrait tout d’abord comprendre les institutions et connaître comment s’organise les différentes administrations territoriales de notre France. Aujourd’hui la France compte plusieurs échelons : Régions, départements, arrondissements, cantons, communes auxquels se sont rajoutés les intercommunalités, les Métropoles et l’Union européenne.
Oui
Cet empilement des échelons d’administration, les compétences partagées et les financements croisés sont illisibles pour le citoyen et nuit à l’efficacité de l’action publique. Les différentes réformes dont l’enjeu était la baisse des dépenses et une meilleure prise en compte des citoyens ont abouti à l’inverse avec la création des intercommunalités et La Métropole. Les niveaux de compétence sont mal définis. Qui fait quoi ?, qui est le bon interlocuteur pour le citoyen. Il faut privilégier le local.
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Localisé dans une Métropole et proche d'une grande ville, tous les types de services publics existent. Ce n'est malheureusement plus le cas dès que nous sortons de la Métropole et qu'il n'y a plus de moyens de transport. Je pense aux cartes d'identité et passeports qui ne se réalisent plus dans ma commune de 11 000 habitants.
Il faut tout d'abord assurer un égal accès aux services publics dans tout le pays. Je souhaite un bouclier territorial de services publics au service des citoyens (suspension des fermetures de lieux d’accueil du public, maisons de santé dans les déserts médicaux...). • Créer un droit à la mobilité, avec : -un chèque mobilité pour tous ceux qui n’ont pas d’alternative au véhicule individuel et n’ont pas les moyens d’investir dans un véhicule moins polluant, - le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. • Attention à l’exclusion informatique 25% des français ont de grandes difficultés avec les outils numériques. Les plus touchés par cette exclusion sont les plus de 70 ans.
Non
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-un chèque mobilité pour tous ceux qui n’ont pas d’alternative au véhicule individuel et n’ont pas les moyens d’investir dans un véhicule moins polluant, - le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. •
Ils se sont fortement dégradés.
Un service public est une activité exercée directement par l'autorité publique (Etat, collectivité territoriale ou locale) ou sous son contrôle, dans le but de satisfaire un besoin d'intérêt général. Avant de pouvoir de pouvoir répondre à toutes ces questions, ne faudrait-il pas que soit défini clairement ce que doit-être un service public et peut-être se limiter aux activités dites régaliennes : justice, police, défense, santé, éducation. Que ces activités ne soient pas mises en concurrence avec les secteurs marchands. Pour nous les Français, le fondement de la notion de service public est que certaines activités sociales considérées comme essentielles et stratégiques doivent être gérées selon des critères spécifiques pour permettre un accès à tous et contribuer à la solidarité et à la cohésion sociale, culturelle et économique de la société. Ces activités doivent donc échapper à la logique du marché et à la recherche du profit. Chaque pays a sa propre définition du service public, qui, en outre, évolue dans le temps.
Oui
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Alors que les attaques contre les fonctionnaires se multiplient il est bon de rappeler dans un débat quelques faits pour dépasser quelques idées reçues ou stéréotypes. Il faut cesser de considérer les fonctionnaires, et les politiques publiques qu’ils sont chargés de mettre en œuvre, comme un poids sur le budget de l’État et des collectivités. Les uns comme les autres sont un investissement en termes, par exemple, de cohésion sociale, de développement économique et de sécurité. Quant au statut de « fonctionnaire » souvent remis en cause, il est avant tout protecteur de l’État, des collectivités et des citoyens. En quelques mots, il est le moyen de garantir la continuité de l’État et des services publics. Par les obligations faites aux fonctionnaires, le statut permet d’assurer la neutralité et l’impartialité des services publics ainsi que leur présence sur le territoire, notamment dans les régions les moins attractives.
Les problèmes cités ci dessus sont liés et ne doivent pas être traités séparèment
Développer des contrats de transition écologique pour l’emploi qui donnent des perspectives d’avenir aux travailleurs concernés par la conversion écologique de l’économie.
Oui
Négocier des plans de déplacement d’entreprise, et s’il n’y en a pas, rendre la prime de transport obligatoire. • Encadrer les loyers dans les zones tendues. • Rénover un million de logements chaque année pour améliorer leur isolation thermique. • Partager équitablement les richesses créées par l’entreprise à travers des négociations salariales et la réduction des écarts indécents de rémunération.
Oui
Revoir sa consommation et tendre vers un zéro déchets
Créer un droit à l’accompagnement pour chaque citoyen dans la transition écologique afin qu’ils trouvent les réponses à leurs besoins et les financements (rénovation thermique de son logement, financement d’un véhicule propre, éco-gestes pour réduire sa facture énergétique…).
Réorienter l’épargne et la finance vers la transition écologique et les besoins des citoyens. • Flécher la fiscalité carbone vers la rénovation thermique, les transports propres et l’accompagnement des ménages. Il apparait donc clair que TOUS LES ACTEURS de pollution devraient alors être invités à participer d’une manière ou d’une autre à cette transition et cela ne concerne pas uniquement l’utilisation du véhicule mais un ensemble d’actions à mener pour faire en sorte que nous vivions dans un meilleur environnement.
Oui
Nous devons réduire notre facture de chauffage et de transport et mettre la transition écologique au service du pouvoir d’achat, de l’emploi, de notre santé et de l’environnement. La transition écologique doit être juste.
Oui
Assurer un égal accès aux services publics dans tout le pays. Nous voulons un bouclier territorial de services publics au service des citoyens (suspension des fermetures de lieux d’accueil du public, maisons de santé dans les déserts médicaux...). • Créer un droit à la mobilité, avec : - un chèque mobilité pour tous ceux qui n’ont pas d’alternative au véhicule individuel et n’ont pas les moyens d’investir dans un véhicule moins polluant, - le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. • Réformer l’impôt pour mieux lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.
Les transports en commun|le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. • Réformer l’impôt pour mieux lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.
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Etablir un commerce éthique et équitable.
Le Gouvernement prétend que l'utilisation de la voiture électrique aurait des conséquences moins désastreuses pour la planète lorsqu'en fait leur production et utilisation ont autant de conséquences néfastes. La construction d'un véhicule électrique se fait dans des conditions telles que finalement, utiliser ce type de véhicule c'est contribuer à polluer davantage mais en d'autres lieux. La pollution est simplement délocalisée ! Pour construire un véhicule électrique il faut 3 à 4 fois plus d'énergie que pour un véhicule conventionnel.
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