Date de publication : 2019-01-22
Code postal : 69960

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Il faut donc distinguer le service et l'expression "fonction publique" qui désigne l'ensemble des personnes qui occupent des emplois civils de l'Etat, des collectivités territoriales, des établissements publics hospitaliers ou d'établissements ayant une mission de service public. Les agents de la fonction publique relèvent de régimes juridiques variés. Certains sont titulaires, d'autres sont contractuels.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Il faudrait tout d’abord comprendre les institutions et connaître comment s’organise les différentes administrations territoriales de notre France. Aujourd’hui la France compte plusieurs échelons : Régions, départements, arrondissements, cantons, communes auxquels se sont rajoutés les intercommunalités, les Métropoles et l’Union européenne. Cet empilement des échelons d’administration, les compétences partagées et les financements croisés sont illisibles pour le citoyen et nuit à l’efficacité de l’action publique. Les différentes réformes dont l’enjeu était la baisse des dépenses et une meilleure prise en compte des citoyens ont abouti à l’inverse avec la création des intercommunalités et La Métropole. Les niveaux de compétence sont mal définis. Qui fait quoi ?, qui est le bon interlocuteur pour le citoyen.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Les baisses notamment celles de l'impôt sur le revenu se sont traduites par une augmentation des cotisations salariales pour l'assurance maladie et les retraites. >>> Pour toutes ces raisons il faut augmenter sensiblement le poids des impôts progressifs, ce qui permettra de dégager des ressources nouvelles, pour favoriser l'emploi et le logement et pour baisser d’autres impôts, comme la TVA, qui pèsent sur les faibles revenus.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Selon moi ces questions sous forme de Y-a- qu'à et faut qu'on ne contribue pas à la construction d'un projet de société.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Je veux que les contributions d'attribution répondent à de véritables besoins essentiels de l'individu et non des aides sociales qui en réalité sont utilisés pour d'autres finalités. je pense notamment certaines aides du type rentrée scolaire

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Il faut s'orienter vers une réforme fiscale et un partage du travail pour sauver le régime des retraites. Je suis favorable à un régime unique et égalitaire

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Pour plus d’égalité entre les citoyens et les territoires • Assurer un égal accès aux services publics dans tout le pays. Nous voulons un bouclier territorial de services publics au service des citoyens (suspension des fermetures de lieux d’accueil du public, maisons de santé dans les déserts médicaux.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Augmentation sensible des impôts progressifs pour favoriser l'emploi et le logement et pour baisser d'autres impôts injustes, comme la TVA, qui pèsent davantage sur les faibles revenus.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Le mouvement des gilets jaunes et le soutien que semble lui accorder une large majorité des Français montre, une fois de plus, que le divorce, entre les citoyens et les hommes politiques est consommé. Les Français ne se reconnaissent plus ni dans leurs représentants ni dans leurs gouvernants. Ils ne leur font plus confiance.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Il faut absolument relancer le dialogue social, avec les partenaires sociaux. Y intégrer les associations de retraités qui ne sont toujours reconnues dans les corps intermédiaires.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Changer de méthode de gouvernance dite verticale et négocié en amont des problèmes. Mettre en place des conférences territoriales.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Apparemment une mauvaise chose pour les députés qui semblent isoler de leur circonscription. Un retour avec un mandat d'élu local(non Maire) peut-être une solution.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

L'élection de la nouvelle Assemblée nationale montre avec éclat que notre système politique, Constitution et système électoral, a peur de l'Assemblée nationale et favorise un exécutif fort au détriment du pouvoir législatif dont (les partisans du système actuel) se méfie et dont on craint qu'elle ne soit trop représentative de la "France d'en-bas" qui "n'y connait rien aux affaires". On a un trop mauvais souvenir de la IVème République, de son instabilité et des excès des assemblées durant la Révolution française.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Si l'on ne fait rien, nul ne sait avec certitude où la crise de confiance des Français envers la politique et envers la démocratie peut conduire le pays. Pour sortir au plus vite de cette situation potentiellement dangereuse, il me paraît nécessaire : - d'instaurer la proportionnelle intégrale pour les élections législatives. S'il n'y a pas de majorité de gouvernement, il faudra former les députés à la souplesse idéologique (oxymore) et à l'art du compromis. On pourrait alors les enfermer dans l'hémicycle et ne les libérer que lorsqu'ils auront bâti un programme de gouvernement satisfaisant pour une large majorité des français. En outre, cela serait pédagogique pour les électeurs qui verraient que la démocratie ne permet pas à chacun d'avoir tout et tout de suite. - d'inverser le calendrier électoral, c'est-à-dire tenir les élections législatives avant la présidentielle, pour redonner la primauté au pouvoir législatif. - Renforcer le pouvoir de l'Assemblée nationale, face au pouvoir exécutif.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Le mouvement des gilets jaunes et le soutien que semble lui accorder une large majorité des Français montre, une fois de plus, que le divorce, entre les citoyens et les hommes politiques est consommé. Les Français ne se reconnaissent plus ni dans leurs représentants ni dans leurs gouvernants. Ils ne leur font plus confiance. Et pourtant les hommes politiques français n'ont pas de raison d'être pires que ceux des autres pays. Le mal vient d'ailleurs. Il semblerait que la prise en compte des votes blanc soit une manière d'exprimer un vote.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Pour éviter cette personnalisation désastreuse de la vie politique française qui tend à faire de la France une monarchie républicaine, il faudrait revenir à un régime où le Président se contente de présider et d'être le chef d'Etat, garant de la continuité de l'Etat, avec une élection au suffrage indirect pour restituer à l'Assemblée nationale toute sa légitimité. En attendant de changer de Constitution et par la même occasion de République, on pourrait soit fusionner le calendrier électoral en procédant aux élections législatives le même jour que la présidentielle. L'avantage serait de simplifier le calendrier électoral, de "dégonfler" l'importance donnée à l'élection du Président et de redonner aux élections législatives leur rôle de fixation des orientations politiques pour la France. Une autre solution serait de décaler d'un demi mandat les élections législatives par rapport à l'élection présidentielle et revenir à un mandat à 7 ans.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

Selon moi, ce déclenchement du référendum d'initiative partagée n'a jamais été utilisé. D'où mon interrogation?

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

La mise en place de référendums citoyens dans le cadre des élections locales (régions et collectivités) peut être un moyen pour redonner aux citoyens l'impression qu'ils ne comptent pas pour des prunes. Dans les programmes électoraux, il faudrait obliger les candidats à s'exprimer sur l'utilisation de l'argent public. Etre précis et très concrets dans les propositions formulées. En effet la plupart des projets annoncés ne sont jamais réalisés.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Il faut réexpliquer aux français le rôle de nos assemblées. Sur tous ces sujets d'institution et de vie démocratique, il y nécessité de former nos enfants. J'ai l'impression que l'éducation nationale n'abordent que très partiellement ces sujets dans les programmes.

18. Faut-il les transformer ?

Non

19. Si oui, comment ?

None

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Faire appliquer la loi de 1905

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Rendre le vote obligatoire : Voter que l'on peut considérer comme un devoir moral, lorsque le vote n'est pas obligatoire. Par son vote le citoyen assure le bon fonctionnement de la démocratie. En France, la carte d'électeur porte la mention "Voter est un droit, c'est aussi un devoir civique". On peut cependant regretter que le vote blanc ne soit pas pris en compte dans les résultats.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

"Éduquer à la citoyenneté" proposer des "Itinéraires de citoyenneté" sur les droits de l’Homme, les discriminations et l’égalité, le développement durable, mémoire et histoire.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Les obligations des citoyens peuvent difficilement être listées de manière exhaustive. Les plus importantes peuvent néanmoins être regroupées en trois obligations essentielles : • respecter la loi et, par civisme, s'efforcer de la faire respecter. La loi ayant été élaborée par des représentants qu'ils ont élus ou par référendum, les citoyens sont donc moralement contraints de se conformer aux règles qu'ils se sont eux-mêmes fixées. De plus le respect de la loi est une condition nécessaire pour vivre dans une société organisée où ne règne pas la "loi du plus fort". Exemples d'obligations juridiques : o pourvoir à l'éducation de ses enfants et préparer leur avenir, o porter assistance à une personne en péril, o accepter d'être juré d'une Cour d'assise, o pour un chômeur inscrit à Pole Emploi, rechercher du travail, hors cas de dispense,

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

La notion recouvre des faits dont la qualification délictuelle fait débat : graffitis sur les murs des villes, dégradations de biens publics, attroupements d’individus potentiellement menaçants, bruit dans les immeubles d’habitation, insultes voire harcèlement dans la vie quotidienne, manque de respect envers les personnes âgées. Les incivilités les plus pénibles sont souvent liés à des problèmes de comportement. Par ailleurs la délinquance des enfants mineurs, les conséquences et l'usage de la drogue illicites sont cause de criminalité et à des conséquences sur l'ensemble de la société.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

La difficulté principale est que cette notion sociologique englobe à la fois des comportements gênants, mais qui ne sont pas pénalement sanctionnés, et d’autres qui constituent de vraies infractions. Elle est donc vivement débattue : pour certains une telle expression masque de réelles infractions et une partie de la délinquance, tandis que d’autres récusent une notion qui légitimerait l’établissement insidieux d’un appareil répressif public et privé.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Les solutions paraissent cependant difficiles à élaborer. Il est en effet nécessaire de rechercher un équilibre pour les politiques de sécurité afin d’empêcher la désertion de l’espace public, sans pour autant instaurer un contrôle permanent.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Le lien entre les citoyens s’estompe et une méfiance généralisée s’installe. Ces atteintes à l’ordre public sont destructrices des interactions de civilité et, finalement, de la confiance nécessaire à un bon fonctionnement de la société. Il y a aussi danger avec le perçu de

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Ne pas diviser : Tous les acteurs, qu'ils soient actifs du privé, fonctionnaires, artisans commerçants, retraités et autres professions libérales font partie de la vie sociale et économique de notre France. Ils sont des citoyens à part entière qui consomment épargnent, investissent, des acteurs de développement de liens sociaux(bénévoles, aidants) des acteurs créatifs (associations, entreprises) d'où la nécessité de ne pas opposer et de traiter les problèmes par type de population, de génération.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

L'évolution de la société isole les plus vulnérables. Quid des difficultés. Ces situations peuvent justifier des contreparties, je pense notamment à l'exclusion informatique, à la disparition de services publics dans certains territoires et autres handicap.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Le débat sur la place de l’immigration dans la société française est légitime. Cependant, il est nécessaire de dépassionner ce débat pour que l’immigration ne soit pas le « bouc émissaire » de notre société. Face aux discours idéologiques récurrents, face aux vraies fausses bonnes solutions avancées, il serait souhaitable de revenir sur quelques-unes des idées reçues qui pénètrent toutes les sphères de notre société. Refuser l’amalgame, l’erreur d’interprétation, la stigmatisation, c’est déjà, selon moi, lutter contre les discriminations et les préjugés.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non. Je regrette que l'Europe ne soit pas au cœur du débat. A l'heure où le national-populisme prône le repli sur soi et où la question de la construction européenne n'est pas une priorité dans le débat politique, offrons à nos enfants et petits-enfants un projet d'avenir plus enthousiasmant que le "repli sur soi" mortifère des europhobes.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Pour la première fois dans l'histoire de l'Humanité, au moins à cette échelle, au sortir de deux guerres mondiales dévastatrices, plusieurs nations européennes ont décidé de s'unir pour sauvegarder la paix et favoriser leur développement économique. L'union a commencé par ce qui était le plus facile, l'acier et le charbon, puis l'intégration économique, avec la libre circulation des marchandises, puis la libre circulation des personnes et enfin une monnaie unique. Il est urgent que cette même Europe se donne les moyens de proposer autres choses que des quotas.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

L'éducation, la formation sont pour moi les modalités prioritaires.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La dangereuse illusion du "Chacun chez soi" L'intégration politique de l'Union européenne est pour le moment bloquée. Mieux, le Royaume-Uni a décidé de sortir de l'Union. En France, les questions de sécurité, d'immigration, de chômage, etc. prennent le pas sur celles de l'avenir de l'Union européenne, laissant le champ libre aux chantres du repli sur soi, du "chacun chez soi", et à ceux qui pensent que, moins ils sont nombreux, plus leurs idées ont des chances de devenir majoritaires. "On est tellement mieux entre gens qui se ressemblent !!!" Dangereuse illusion ! Etre dans une entité plus petite ne garantit en rien l'homogénéité de la pensée. Les divergences existent à tous les niveaux, pays, région, commune, quartier, famille. - En France, lorsque la majorité change de camp au niveau national, les régions du camp adverse ne demandent pas leur autonomie ! Il en est de même pour les départements et les communes.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Il faudrait tout d’abord comprendre les institutions et connaître comment s’organise les différentes administrations territoriales de notre France. Aujourd’hui la France compte plusieurs échelons : Régions, départements, arrondissements, cantons, communes auxquels se sont rajoutés les intercommunalités, les Métropoles et l’Union européenne.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Cet empilement des échelons d’administration, les compétences partagées et les financements croisés sont illisibles pour le citoyen et nuit à l’efficacité de l’action publique. Les différentes réformes dont l’enjeu était la baisse des dépenses et une meilleure prise en compte des citoyens ont abouti à l’inverse avec la création des intercommunalités et La Métropole. Les niveaux de compétence sont mal définis. Qui fait quoi ?, qui est le bon interlocuteur pour le citoyen. Il faut privilégier le local.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

None

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Localisé dans une Métropole et proche d'une grande ville, tous les types de services publics existent. Ce n'est malheureusement plus le cas dès que nous sortons de la Métropole et qu'il n'y a plus de moyens de transport. Je pense aux cartes d'identité et passeports qui ne se réalisent plus dans ma commune de 11 000 habitants.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Il faut tout d'abord assurer un égal accès aux services publics dans tout le pays. Je souhaite un bouclier territorial de services publics au service des citoyens (suspension des fermetures de lieux d’accueil du public, maisons de santé dans les déserts médicaux...). • Créer un droit à la mobilité, avec : -un chèque mobilité pour tous ceux qui n’ont pas d’alternative au véhicule individuel et n’ont pas les moyens d’investir dans un véhicule moins polluant, - le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. • Attention à l’exclusion informatique 25% des français ont de grandes difficultés avec les outils numériques. Les plus touchés par cette exclusion sont les plus de 70 ans.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

-un chèque mobilité pour tous ceux qui n’ont pas d’alternative au véhicule individuel et n’ont pas les moyens d’investir dans un véhicule moins polluant, - le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. •

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Ils se sont fortement dégradés.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Un service public est une activité exercée directement par l'autorité publique (Etat, collectivité territoriale ou locale) ou sous son contrôle, dans le but de satisfaire un besoin d'intérêt général. Avant de pouvoir de pouvoir répondre à toutes ces questions, ne faudrait-il pas que soit défini clairement ce que doit-être un service public et peut-être se limiter aux activités dites régaliennes : justice, police, défense, santé, éducation. Que ces activités ne soient pas mises en concurrence avec les secteurs marchands. Pour nous les Français, le fondement de la notion de service public est que certaines activités sociales considérées comme essentielles et stratégiques doivent être gérées selon des critères spécifiques pour permettre un accès à tous et contribuer à la solidarité et à la cohésion sociale, culturelle et économique de la société. Ces activités doivent donc échapper à la logique du marché et à la recherche du profit. Chaque pays a sa propre définition du service public, qui, en outre, évolue dans le temps.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

None

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

None

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Alors que les attaques contre les fonctionnaires se multiplient il est bon de rappeler dans un débat quelques faits pour dépasser quelques idées reçues ou stéréotypes. Il faut cesser de considérer les fonctionnaires, et les politiques publiques qu’ils sont chargés de mettre en œuvre, comme un poids sur le budget de l’État et des collectivités. Les uns comme les autres sont un investissement en termes, par exemple, de cohésion sociale, de développement économique et de sécurité. Quant au statut de « fonctionnaire » souvent remis en cause, il est avant tout protecteur de l’État, des collectivités et des citoyens. En quelques mots, il est le moyen de garantir la continuité de l’État et des services publics. Par les obligations faites aux fonctionnaires, le statut permet d’assurer la neutralité et l’impartialité des services publics ainsi que leur présence sur le territoire, notamment dans les régions les moins attractives.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les problèmes cités ci dessus sont liés et ne doivent pas être traités séparèment

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Développer des contrats de transition écologique pour l’emploi qui donnent des perspectives d’avenir aux travailleurs concernés par la conversion écologique de l’économie.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Négocier des plans de déplacement d’entreprise, et s’il n’y en a pas, rendre la prime de transport obligatoire. • Encadrer les loyers dans les zones tendues. • Rénover un million de logements chaque année pour améliorer leur isolation thermique. • Partager équitablement les richesses créées par l’entreprise à travers des négociations salariales et la réduction des écarts indécents de rémunération.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Revoir sa consommation et tendre vers un zéro déchets

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Créer un droit à l’accompagnement pour chaque citoyen dans la transition écologique afin qu’ils trouvent les réponses à leurs besoins et les financements (rénovation thermique de son logement, financement d’un véhicule propre, éco-gestes pour réduire sa facture énergétique…).

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Réorienter l’épargne et la finance vers la transition écologique et les besoins des citoyens. • Flécher la fiscalité carbone vers la rénovation thermique, les transports propres et l’accompagnement des ménages. Il apparait donc clair que TOUS LES ACTEURS de pollution devraient alors être invités à participer d’une manière ou d’une autre à cette transition et cela ne concerne pas uniquement l’utilisation du véhicule mais un ensemble d’actions à mener pour faire en sorte que nous vivions dans un meilleur environnement.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Nous devons réduire notre facture de chauffage et de transport et mettre la transition écologique au service du pouvoir d’achat, de l’emploi, de notre santé et de l’environnement. La transition écologique doit être juste.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Assurer un égal accès aux services publics dans tout le pays. Nous voulons un bouclier territorial de services publics au service des citoyens (suspension des fermetures de lieux d’accueil du public, maisons de santé dans les déserts médicaux...). • Créer un droit à la mobilité, avec : - un chèque mobilité pour tous ceux qui n’ont pas d’alternative au véhicule individuel et n’ont pas les moyens d’investir dans un véhicule moins polluant, - le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. • Réformer l’impôt pour mieux lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|le développement d’une offre fiable de transports collectifs et à la demande dans tous les territoires. • Réformer l’impôt pour mieux lutter contre l’évasion et l’optimisation fiscale.

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

None

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Etablir un commerce éthique et équitable.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le Gouvernement prétend que l'utilisation de la voiture électrique aurait des conséquences moins désastreuses pour la planète lorsqu'en fait leur production et utilisation ont autant de conséquences néfastes. La construction d'un véhicule électrique se fait dans des conditions telles que finalement, utiliser ce type de véhicule c'est contribuer à polluer davantage mais en d'autres lieux. La pollution est simplement délocalisée ! Pour construire un véhicule électrique il faut 3 à 4 fois plus d'énergie que pour un véhicule conventionnel.