Date de publication : 2019-02-09
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Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Que les citoyens puissent choisir via une plate-forme informatique, comment est dépenser leurs impôts. Le fait qu'il y ait un acte de la part du contribuable facilitera grandement l'intérêt pour aller se renseigner en détails sur l'utilisation de leurs impôts.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Supprimer la fraude fiscale, supprimer les niches fiscales et optimisations fiscales. Augmenter le taux d'imposition sur les ultra-riches. Augmenter le taux de taxes sur les produits qui ne présentent aucunement une nécessité vitale, de confort ou de dignité (par exemple, sur les véhicules S.U.V., les trajets en avion pour le loisir, les hôtels et restaurants de luxe...).

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Tous ceux qui touchent les gens qui gagnent moins de 2500€ net par mois. Toutes les TVA sur les produits et services de bases pour une vie confortable et sans luxes (eau, nourriture de base, transport pour aller au travail ou faire ses courses, scolarité et formation, logement, santé...).

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Augmenter impôts et taxes chez les ultra-riches ou les entreprises ultra-riches et sur les produits de luxe.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Les aides "sociales" ne suffisent pas pour les pauvres, en revanche elles sont très bien disponibles pour les riches. Il faut donc les augmenter pour les pauvres afin que l'ascenseur social existe vraiment. Non, le déterminisme social et économique n'existe pas de façon absolue.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La santé étant la base de la vie, commençons par là. Santé physique et surtout santé mentale.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Je suis pas loin du seuil de pauvreté (un peu au-dessus), je ne suis donc pas imposable. Donc je ne peux pas avoir la chance de payer des impôts. Si je gagner 2500€ net par mois, j'en paierais et je n'en payerais pas plus que ce qui existe déjà car l'argent est à chercher chez les ultra-riches. Tout le monde est d'accord pour dire que 2500€ n'est pas ultra-riche, ni même riche, c'est juste ce qu'il faut pour une vie agréable sans superflus. J'ai eu gagné ce salaire par le passé et avec le coût de la vie de l'époque (2010), c'était franchement bien, je ne plaignais pas mais je ne voulais pas moins.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Arrêter de nous faire croire qu'il faut qu'il y ait moins de dépenses pour régler la dette publique. Il faut simplement aller chercher l'argent où il est, sans diminuer les dépenses publiques, et de l'argent en France, il est déborde de partout chez certaines classes socio-économiques, que j’appellerais les ultra-riches. Si on avait déjà les impôts de cette classe-là, on aurait a minima 150 milliards d'€ en plus régulièrement dans le budget d'Etat. Trouvez les solutions aux niveaux les plus hauts de la pyramide économique, le bas et le milieu-bas n'en peut plus de réduire son confort drastiquement alors que d'autres vivent dans un confort de plus en plus grand voire dans le luxe. Sauter des repas vers le 25 du mois pour nourrir correctement ses enfants est insupportable lorsque l'on travaille à temps plein, vous comprendrez alors que non seulement je ne peux pas payer d'impôt mais en plus j'ai besoin du retour de ces impôts (du coup, payer par les autres) pour vivre (ou survivre, c'est à dire, avoir tirer un trait définitif sur la quasi totalité des loisirs existant dans notre pays et se concentrer sur les dépenses vitales en essayant de trouver une lueur de bonheur dans le rapport avec nos proches, c'est le seul moyen d’égayer un peu son existence dans les conditions actuelles). Merci.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Moi directement. Car la communication par un tiers (la transmission d'informations via une personne) n'est jamais 100% fidèle car ce dernier y amène toujours sa subjectivité...

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Tout type. Un rôle équivalent aux élus, c'est-à-dire, leurs paroles comptant exactement autant que celle des élus. J'ai un fort souci d'égalité entre les paroles. Aucune tête ne doit dépasser plus qu'une autre.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Enlever les élus et donner directement la parole aux citoyens via une plateforme informatique. Cela s'appelle le Référendum d'Initiative Citoyenne Informatisé et est très prometteur. Il faut également une solution parallèle pour ceux qui n'ont pas Internet ou ceux qui désirent utiliser une version papier du R.I.C.. C'est ce que vous êtes en train de proposer et ce à quoi je suis en train de participer. Le R.I.C. s'imposera d'une manière ou d'une autre, autant que ce soit votre parti qui le fasse et ce fidèlement aux attentes des promoteurs de cet outil démocratique. Merci.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Peu de proverbe soit vraiment applicable dans la réalité mais un l'est néanmoins. "On ne peut pas être au four et au moulin". Il est faux de croire que l'on peut s'investir efficacement dans plusieurs tâches. Et puis encore dans un souci d'égalité et de partage, que les déjà-mandatés laissent la place à d'autres.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Au risque de paraître entêté, ma réponse sera : le référendum d'initiative citoyenne. Cela fait des années que je bosse dessus et il n'y a pas meilleur moyen pour représenter les différentes sensibilités politiques de tous les citoyens. Pour deux raisons majeurs : la première, c'est parce que la démocratie via le RIC est absolument directe et permet de faire correspondre au mot près l'idée du citoyen à son action/choix politique (ce n'est pas déformé par la pensée d'un élu), et deuxièmement, parce que grâce au RIC, on ne se soumet pas à choix que l'on doit faire entre plusieurs sortes de menu politique (les programmes) mais on le compose nous-même, à notre mesure. Ne cherchez pas un meilleur moyen de faire de la démocratie, le RIC est imbattable sur cette question. La question en revanche à poser est : "Voulez-vous de la vraie démocratie ?". Merci.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Je ne veux pas élire. Je veux voter, ce n'est pas du tout la même chose. Elir produit un amalgame (au sens de mélange) entre mes opinions et celui du potentiel élu. Or, je ne veux pas déformer mes opinions pour qu'elles rentrent dans une case préconçue. Je veux concevoir la case et ce qu'il y a dedans. Les citoyens participeront à la vie politique lorsqu'il y aura le référendum d'initiative citoyenne.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

De façon à pouvoir rendre les élections nulles lorsque le blanc l'emporte. Car cela signifie que les gens ont fait un vrai choix et ils ont choisi de ne pas choisir dans les personnes ou partis possibles. Ce qui obligerait une deuxième élection à quelques mois d'intervalle. Cela permettrait aux partis de revoir leur ligne de programme pour séduire davantage ou que s'inscrivent d'autres partis entre les deux élections. Mais avec cette pseudo-solution démocratique, vous êtes extrêmement loin du référendum d'initiative citoyenne. C'est la destiné de chacun de s'autodéterminer et le peuple est un de ces "chacun".

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Désolé mais encore une fois, mettez en place le référendum d'initiative citoyenne et vous verrez comme tous les citoyens vont accourir vers cette participation. Il n'y a pas d'autres solutions. Faites une expérience, évaluez et vous verrez. Le taux de participation sera record. Si votre Grand Débat National ne séduit pas tout le monde (même avec une plate-forme numérique et "physique"), c'est parce que ce n'est que consultatif et cela existait déjà (le C.E.S.E.) et ça n'a eu aucun succès populaire... Il faut que la participation soit autre que consultative, nous voulons légiférer, voter, révoquer, amender, abroger... et débattre, directement. Or, là vous ne faites que nous consulter et c'est vraiment pas motivant, c'est même dégradant au regard de nos ambitions et nos possibilités. On ne veut pas un début de R.I.C., on veut le R.I.C. absolu.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Faciliter le déclenchement du R.I.P.? C'est une plaisanterie? Pour le faciliter, regarder les pancartes pendant les manifestations déclarées. C'est écrit : R.I.C.. Le déclenchement est citoyen et non parlementaire. Cela facilite, non? Vous pourriez utiliser la pétition avec un seuil pour déclencher un RIP mais c'est une version molle du RIC. Et cela ne satisfera personne car c'est déjà en place et n'est pas suivi de fait. La 5° république est à bout de souffle, ce n'est pas grave. L'humanité évolue, la société aussi. Donc le cadre et le paradigme de gouvernement évoluera avec, ce n'est qu'une question de temps...

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Le référendum d'initiative citoyenne. Cette solution rentre dans toute les cases. Cela signifie que c'est une méta-solution et vous devriez sérieusement l'étudier même si cela supprimerait de nombreux emplois de fait. Quasiment aucun intermédiaire, donc moins d'élus. C'est une solution très avant-gardiste et peut-être trop en avance sur son temps mais vous pourriez sérieusement vous en inspirer si voulez vraiment servir tout le peuple.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le rôle serait la fidélité absolue mais c'est impossible donc si déjà un pseudo-RIC était mis en place, ce rôle serait plus fiable. Néanmoins, la plate-forme du C.E.S.E. étant vraiment non sécurisée au niveau de l'identité... cela est inefficace, car un bourrage d'urne virtuel est possible est rend possible tout trucage ou fausse représentation.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Un CESE vraiment ultra-sécurisé pour avoir une identification unique évitant les faux profils (un citoyen pouvant créer facilement des milliers de comptes à l'heure actuelle, c'est inefficace voire dangereux). Et si assemblée ou sénat doivent exister encore, que ce soit uniquement des citoyens tirés au hasard (et sur base de volontariat bien-sûr) qui y siègent. Que ces citoyens sont nombreux (plus il y en a plus on se rapproche de la "vérité" du peuple) et non rémunérés pour cette tâche. Tâche qui doit régulièrement trouver des nouveaux participants (un turn-over pour que tout le monde ait la chance d'y participer). Les frais de déplacement, logement et repas pourraient être pris en charge par l'Etat.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Proposer des cours d'esprit critique, de scepticisme scientifique ou autres pour qu'enfin cesse les croyances divines qui sont un leurre et un danger pour le bien commun. Les religions disparaîtront petit à petit de toutes façons. Que les membres, personnels de l'Etat se forment à l'esprit critique pour sortir de carcans illusoires que proposent la religion. La religion est là parce que le peuple en a besoin. Donc pourquoi le peuple en a besoin? Parce qu'il se sent mal et faible. Posez-vous les bonnes questions. Et posez-nous les bonnes questions, s'il vous plait. Merci.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Sous forme de débats. De vrais débats, c'est à dire avec échange égalitaire en temps. Pas un débat comme vous vous appelez un débat (le grand débat national n'est pas un débat selon la définition du Larousse), un échange argumenté et constructif modifiant les représentations mentales des deux parties. Des échanges, pas des leçons.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Mettre en place un outil qui permet au citoyen de sentir qu'il a un effet sur la réalité environnante et sur les humains reliés à cet outil. Cela s'appelle le référendum d'initiative citoyenne, la forme définie la plus aboutie (il y a plusieurs formes de RIC) comprend justement une phase de débats (de vrais) après une proposition et avant le vote. Lorsque un être humain ne voit pas d'effet de son action, il se résigne et s'abstient. Il est donc normal qu'entre 73 et 82% des citoyens français veulent le RIC.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

L'engagement politique par le RIC.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Par le RIC et par l'indépendance des médias d'informations. Nous devons être les financeurs de nos médias et nous devons en avoir plusieurs.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Pour valoriser, il faut écouter les citoyens et appliquer leurs demandes quand elles sont majoritaires. Or, ce n'est pas le cas actuellement.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Le mépris ressenti par les classes riches et dirigeantes envers les personnes que ces mêmes classes dénomment par les mots "pauvres, rien, fainéants...". C'est l'incivilité majeure selon moi car elle émane de gens qui sont citoyens avant tout.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Premièrement, qu'ils arrêtent d'en faire eux et qu'ils présentent un casier vierge lors de la candidature. Avant de donner des leçons, il faut déjà être en mesure de se les appliquer. Ensuite, il faut de la pédagogie et des moyens financiers (que vous irez chercher en déverrouillant Bercy pour une justice fiscale et une égalité fiscale) pour amener les gens à se conduire de telle ou telle façon lorsqu'ils n'ont pas eu la chance d'avoir cela dans leur éducation parentale.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Ouvrir des débats entre nous, en commençant déjà dans le milieu professionnel. Informez par des données scientifiques. Formez les gens à l'esprit critique. Je ne crois pas en la punition pécuniaire pour faire évoluer/reculer les bonnes/mauvaises attitudes.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Discrimination de classes sociales, classes professionnelles et de classes économiques. Les 3 étant évidemment liées.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Ne plus être gangrener mentalement par une vision pyramidale archaïque de l'organisation des groupes sociaux humains. Chaque être humain a la même valeur que son prochain. Plus les gens se sentiront mieux plus ils auront d'amour pour eux-même et leurs prochains, donc plus tolérants.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Les personnes et sociétés qui ne paient pas d'impôt légalement, les fraudeurs de fiscalité, les actionnaires (qui gagnent de l'argent sans transpirer)... et tant d'autres ont bien des allocations aux sens du Larousse (allocation veut dire versement d'argent). Donc ils ont bien eux des allocations. Elles sont également solidaires car elles émanent du travail des "ouvriers" et sont reversées à ses "riches", souvent dirigeants. Votre question est donc relative à un point de vue. Dans le point de vue que vous propose, ces allocations sont vues comme légitimes car ces personnes travaillent (enfin je pense que leur labeur est bien moins lourd que celui d'une femme de ménage...). Lorsque ceux qui possèdent les plus grandes richesses accepteront de ne plus prendre autant sur la production de leurs ouvriers, alors, seulement et uniquement lorsque cette condition sera remplie, ceux qui touchent les allocations pour incapacités ou difficultés, devront dans la mesure de leurs possibilités fournir des efforts. Que ceux qui sont en haut de la pyramide fassent vraiment des efforts et que ceux du bas attendent de se remettre de leur souffrance. Il est temps d'inverser le labeur.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Je pense que lorsque qu'un peuple souffre ailleurs, il faut l'aider vraiment. C'est à dire l'aider à s'aider. Il est bien plus bénéfique d'aider une personne à se sortir de sa misère dans son lieu de culture plutôt que le faire déplacer dans un monde auquel trop d'effort lui seront demandés pour s'adapter. Je préfère réparer le lit de mon voisin plutôt que l'accueillir dans le mien. Et en cela je reste purement humaniste. Les politiques sont d'aider les gens à ne plus ressentir le déchirement de transiter toute leur vie au travers de différents pays : arrêter les guerres qui servent notre petit confort, arrêter de piller les ressources des pays dits pauvres pour notre petit confort, envoyer nos modèles sociétaux là-bas pour qu'ils puissent jouir pleinement de la vie dans le lieu où ils ont réellement envie de vivre. En attendant que ce projet trouve efficacité dans leur pays, nous pouvons en accueillir mais avec une bien meilleure politique.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Je pense en premier aux objectifs éducatifs car ces personnes ont une culture et une éducation qui diffèrent de la notre donc nous sommes obligés de leur donner des codes d'insertion. De la même façon que les citoyens français doivent apprendre leurs cultures et éducations pour avoir des codes d'accueil.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Trouver des réponses en amont, c'est à dire d'arrêter ce qui cause les flux migratoire. Nous devons leur offrir des pays plus confortables pour qu'ils restent dans leur pays qui ont des richesses hors du commun. Aidons-les à s'aider eux même sur leur terre d'habitat d'origine plutôt que de ne pas éteindre le feu dans leur pays qui se videra inéluctablement en espérément naïvement que tout ce mélange de population anarchique auront une fin heureuse.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Mélanger au maximum les populations pour éviter les oppositions basées sur des préjugés. Diluer au maximum les migrants dans la population présente. Mais comme je l'ai déjà dit, je pense qu'il faut prioritairement s'attaquer aux causes de leur départ de leur pays d'origine.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La priorité absolue qui doit ressortir de tout ce grand "débat" national est la mise en place immédiate du référendum d’initiative populaire en toutes matières.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

None

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

None

3. Si oui, lesquelles ?

None

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

Service publics pour la santé physique et mentale. Il manque de la qualité dans les services de maternité et il faut maintenir les maternité dans les petits hôpitaux locaux. Il manque de médecins psychiatres en dehors des grandes agglomérations.

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

Moi je veux du réel, des humains, pas des machines. Des services publics humains et surtout dans le milieu de la santé.

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Non

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

Arrêtez de fusionnez les services et de créer des agents polyvalents. Nous, on veut des agents spécialistes et des services de proximité. Les zones rurales doivent être repeuplées et pas uniquement par des migrants.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Aucun, tout est fait pour supprimer en quantité et diminuer en qualité les services publics de toutes catégories.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Les services publics de santé : hôpitaux, davantage de médecins spécialistes dans les zones rurales, remboursement des psychologues cliniciens en libéral par l'assurance maladie, maintien des maternités et augmentation de leur qualité.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

La plate-forme numérique Internet de la CAF n'est pas du tout intuitive et certaines fonctions ne marchent pas.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

En faisant en sorte qu'il y ait moins de hiérarchie. Ou une "hiérarchie" de type horizontale, c'est à dire une organisation sans hiérarchie. C'est le groupe qui décide ensemble, chef compris. Il faut que le fonctionnaire autonome soit protégé dans ses fonctions.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Former les gens, embaucher des gens, donner du temps... On veut un travail de qualité, pas la quantité. Et qu'ils aient des temps de repos et une bonne ambiance de travail. Arrêtez de supprimez des postes de fonctionnaires.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Embauchez des citoyens, payez les convenablement. Récupérez, pour ce faire, l'argent qui s'échappe dans les paradis fiscaux, les niches fiscales, les boucliers fiscaux et toutes les mesures fiscales et économiques qui font que les riches ne partagent pas leur fortune acquis par le travail des "ouvriers".

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Il faut toujours aller très loin de son domicile pour se former. Quand on est en couple ou parents, c'est quasiment impossible de choisir entre vie de famille et formation. L'AFPA semblait proposer des formations intéressantes mais trop loin de mon domicile. Faut-il développer des formations via Internet (MOOC) avec des lieux de stages à proximité?

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

La scolarisation est trop chère. Les frais de scolarité pour certaines filières et surtout le prix du logement obligent de nombreux étudiants à arrêter leurs études alors qu'ils sont brillants. On ne peut pas faire des études et travailler à côté, c'est faux. Ce système est infâme, c'est une véritable torture mentale que de mener travail et études en même temps. Et pendant que ces pauvres étudiants gagnent péniblement de quoi survivre pendant leurs études, des riches et ultra-riches partent en croisières, sur les îles..., vont dans des superbes stations de ski à la semaine, s'offrent des voitures à des prix indécents... Cette inégalité me dégoûte. Si on veut un pays fort et beau, alors l'accès aux études doit être accessible à tous, sans que les étudiants aient à travailler à côté pour subvenir à leur parcours de formation/scolarité. Il n'y a rien de pire que ne pas faire le métier que l'on rêve sous prétexte de manque d'argent alors que de nombreuses en ont trop.

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Pôle emploi est l'endroit le plus déprimant que j'ai rencontré dans ma vie. Et pourtant je travaille en psychiatrie. Aucune offre d'emploi disponible, des conseillers perdus face à ce vide de propositions adaptés. Bac +5 en poche et de multiples diplômes du second et troisième cycle (B.T.S., D.U.,... 4 diplômes d'études supérieurs en plus du BAC +5). Des formations non diplomates toujours dans le même milieu... Et avec tout ça, aucune offre au pôle emploi. Et quand il y a en a, il y a entre 200 et 300 candidats pour une place... qui parfois est un 20% ETP. Je suis psychologue clinicien. J'ai souffert d'une forme de dépression (épisode dépressif modéré) pendant la recherche de travail. C'est gravissime ce manque de travail dans un pays qui aurait largement les moyens de donner un job à chacun.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Mes proches l'ont fait. Ils ont travaillé durement toute leur vie pour avoir 700€ de retraite, 200€ de complémentaire... Soit 900€ pour vivre... Obligé de vendre la maison de famille car plus les moyens de l'entretenir et donc à devoir payer un loyer... C'est quoi l'ironie, d'avoir passer sa vie à payer une maison que l'on doit revendre à la retraire alors qu'avoir une maison était le moyen de plus payer de loyer.... Ce genre de cercle vicieux n'est pas supportable. Les classes populaires et moyennes basses sont en train de vivre un enfer économique. Moi, je ne compte même pas avoir un jour de retraite. J'espère mourir au moment au je ne pourrai plus travailler. Parce que vivre avec 900€... et être vieux... non merci. Devoir demander à mes enfants de me payer à manger, je préfère mourir et je dis cela sans aucune colère, je pèse et réfléchis mes mots. C'est triste, affreux, inhumain mais c'est une réalité et à ce rythme là cela sera pire pour notre génération. J'en connais tellement à la retraire, d'anciens travailleurs, qui demandent à leurs enfants de les nourrir.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Ma peur c'est que la sécurité sociale et surtout l'assurance maladie disparaisse ou se transforme en commerce privé. Jusqu’ici malgré de nombreuses maladies graves pour ma famille, je n'ai jamais eu à payer de ma poche. Néanmoins, les qualités de services aux urgences et en maternité en hôpital public sont gravissimes et affreuses. Je souhaite que les services de maternité soient maintenus dans les hôpitaux locaux, qu'il y ait des créations de services d'urgences pour les enfants dans les hôpitaux de petites communes. Il faut non seulement être rembourser intégralement mais que la qualité et la quantité des soins soient améliorés. La France n'a jamais été aussi riche, elle a les moyens, c'est juste qu'il faut que les plus riches partagent leurs richesses.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Dans mon travail, j'ai toujours travaillé avec des personnes en situation de handicap, je trouve que les aides de base sont données assez facilement mais vivre avec une A.A.H. est quasiment impossible et surtout pour certains soins associés au handicap, ça ne suffit pas. Des appareils nécessaires à l'autonomie pour le handicap physique, des thérapies pour les handicaps cognitifs ou psychiques, et d'autres aides sont inaccessibles économiquement avec une A.A.H..

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

J'aurais aimé monter mon cabinet de psychologie en libéral mais premièrement, on a l'impression qu'il faut absolument se débrouiller tout seul et deuxièmement, la quantité de frais de charges rend l'aventure à peine viable économiquement.

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Je ne sais pas.

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

J'ai donné des formations universitaires et je n'ai rien à redire.

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'eau, de la terre et de l'air. Les 3 éléments vitaux.

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Que les ultra-riches et les riches stoppent leur consommation abusives. Pour être heureux, pas besoin de prendre l'avion et aller à l'autre bout du monde. Pour être heureux, pas besoin d'acheter autant d'objets. Réduire drastiquement la consommation chez les riches et ultra-riches. Et après quand ces gens auront fait des efforts, les moyens et pauvres en feront.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

17 degré en plein mois de Février. C'est pas suffisant pour être dans l'alerte absolue? J'ai eu un cancer et ma femme aussi, nous les avons eu avant 25 ans, ça ne suffit pas comme touche au quotidien...? Mon fils était asthmatique et a failli mourir à cause de l'air polluée et aussi de la nourriture de mauvaise qualité qui sur-stimule le système immunitaire. Les prévisions alarmistes de centaines de scientifiques sur le climat nous mettent dans un état d'anxiété permanent pour nous et surtout nos enfants.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

- Alimentation : manger du vrai bio et local, utiliser le moins d'emballage possible en allant directement auprès des producteurs et petits commerçants avec nos propres contenants, nous ne mangeons quasiment plus de viande (le peu que nous consommons est local et bio en petit élevage à taille humaine), nous faisons le composte pour éviter de trop remplir les sacs poubelles d'ordures ménagères, nous faisons le maximum de plats maison pour éviter les plats industriels ou transformés, consommer de l'eau de source en bouteille en verre... - Consommation hors alimentation : repriser ses vêtements pour éviter la pollution liée à l'achat du neuf, achat de vêtement d'occasion lors de bourses ou sur des sites internet dédiés dans la même optique, achat de jouets d'occasion au Secours Populaire ou en Ressourcerie. Acheter très peu d'objets mais qu'ils soient durables, recyclables, réparables et faits à partir de ressources renouvelables (bois FSC, plastic végétal, verre, métaux brut,...). - Eviter les produits chimiques de synthèses nocifs : pour les produits d'hygiène et d'entretien, nous achetons des produits Ecocert, des produits matières premières (savon de Marseille, bicarbonate de soude, vinaigre blanc,...), des produits sans emballages et en vrac. Ne pas utiliser de glyphosate.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Que tout le monde le fasse. Pour cela il faut que les citoyens aient les moyens financiers de s'investir. Il faut que les gros groupes industriels et le PME le fassent aussi. Il faut que des lois donnent les moyens financiers et obligent à devenir écolo. Il faut que les punitions (les taxes qui obligent les citoyens) pécuniaires soient proportionnelles aux revenus. La taxe carbone sur le carburant, oui, mais pas sur le dos du petit peuple, le carburant pour aller au travail, c'est vital et déjà bien trop cher pour les salaires inférieurs à 2500€ net. Taxez déjà les avions de tourismes et les bateau de tourisme qui ne sont pas des moyens de transport vitaux.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Sur le plan financier, nous ne sommes pas imposables, donc en terme d'effort financier pour l'écologie, c'est un réel sacrifice au quotidien pour toute la famille. Nos loisirs et consommation d'objets de plaisirs sont équivalents à des gens gagnants le SMIC car tout le reste de nos salaires partent déjà dans l'effort écologique.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Obliger mon propriétaire à mettre des panneaux photovoltaïques pour chauffer la maison mais sans surcoût sur mon loyer qui est proche d'un SMIC. Les propriétaires qui ont les moyens de louer à d'autres (donc d'avoir au moins deux logements à leur patrimoine) ont bien les moyens d'investir dans de l'écologie de ce type-là de leur poche (sans faire payer le locataire).

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Avoir bien plus d'horaires de disponibles et d'arrêt de bus à proximité de mon domicile et de mon lieu de travail. J'habite en Ardèche et c'est très contraignants d'aller bosser à 40 kms du domicile. Quand je vivais à Montpellier et que mon logement et mon lieu de travail étaient en ville, c'était très commode de ne pas utiliser la voiture. La ruralité est belle mais pour cela, il faut reconnaître que c'est compliqué.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Est-ce à l'Etat ou à l'employeur de faire des efforts pour que l'on se rende au travail écologiquement?. Les deux.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Avant de faire la leçon aux autres, on devrait s'assurer que notre écologie est efficace. Pour cela, il faut demander des études scientifiques. Scientifiquement parlant, les mesures écologiques prises depuis 50 ans ont non seulement aucune efficacité mais pire le résultat global est une réelle catastrophe. Notre écosystème, notre bulle dans laquelle nous vivons est en train de mourir à grand feu.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Une transition écologique sans sortir du modèle "libéralisme économique" avec cette éternelle croissance économique est impossible. Il faut une décroissance économique pour que l'écosystème revienne à l'équilibre.