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Faire payer tout le monde de manière progressive, sans paliers : point d'effet de seuil. Redistribuer clairement l'argent des impôts : nous devons savoir à quoi est employé notre argent, de manière précise.
Les impôts injustes de la consommation courantes : TVA, taxes à la consommation.
Développer l'accès au soin préventif, cesser de soigner à tout prix, ne pas vouloir vivre le plus longtemps possible dans un état de dépendance insupportable, développer le choix de mourir dans la dignité, contrôler les dépenses de santé, s'attaquer à la souffrance dans le travail, informer sur des alternatives de soin plus doux et naturels, s'inspirer des médecines holistiques, rembourser les psychothérapies, offrir des lieux de repos au travail, rendre le travail plus cohérent, développer l'aide à la réorientation professionnelle, soutenir les familles quand les enfants sont malades et que les parents travaillent, crèches dans les entreprises, partage des tâches entre hommes et femmes en ce qui concerne la garde des enfants, temps de travail compatible avec l'école, souplesse dans les horaires... Bref, s'occuper du bien être des gens dans la vie quotidienne et les soutenir : les actifs souffrent ! Les vieux n'en peuvent plus de mourir en EPAD... Rendre la retraite attrayante : valoriser le bénévolat, soutenir les associations , développer le travail des jeunes.
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Accompagnement des enfants en difficultés sociales, des jeunes gens en carences psychologiques et sociales, des adultes handicapés.
Toutes si elles sont justes, étayées, pérennes et visibles. Soutien aux réfugiés, aux pauvres, aux exclus. Accompagnement à l'intégration des personnes en situation de précarité. Soutiens éducatifs.
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En des personnes qui représentent mes opinions... enfin.
Oui
Assemblées de citoyens qui débattent et choisissent leurs représentants pour défendre leurs propositions.
Que les élus n'appartiennent pas essentiellement à la partie de la population qui a fait l'ENA ou sciences Po. Le hiatus existe quand les citoyens sont dirigés par des personnes qui ne savent pas ou plus ce que c'est que la vie quotidienne des personnes qui vivent modestement une vie de labeur et de responsabilités familiales. Le parisianisme cessera, le mépris des classes dirigeante cessera quand la responsabilité de la nation sera portée et représentée par tout un chacun. Que chaque citoyen concerné par la politique puisse avoir un espace d'action et de débat. La coopération et la reconnaissance sont essentielles dans notre monde divisé, vertical et violent.
Je ne sais pas
Député et maire est peut-être une bonne chose afin d'élaborer de la continuité entre le terrain et la politique.
Vote blanc et proportionnelle.
Oui
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Nous voterons en masse quand nous sentirons que nos votes nous ressemblent et ont une réalité. Le déni de nos votes nous ont considérablement marqués. Et voter contre.... est particulièrement frustrant.
Oui
Il s'agit de comptabiliser les votes blancs, comme les autres. Une voix, un vote. Le vote blanc indique la non-adhésion aux représentants qui se font candidats : à partir d'un certain seuil, il faudrait recommencer la votation car elle montrerait un décalage entre les attentes de la population et la qualité de la représentation.
En permettant aux citoyens d'influencer les débats. Inventer un maillage territorial de lieux de débats où il serait possible de voter pour que des sujets sociétaux soient pris en compte par nos représentants.
Non
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Des questionnaires comme celui-ci permettraient d'entendre les points de vue des citoyens.
Annuler le Conseil Economique et social. Réduire le nombre de sénateurs.
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En rester à la loi de 1905 qui sépare la cité de la religion. Arrêter d'avoir peur de l'autre et accepter les cultures que chaque français porte en lui : distinguer la culture de la religion. Manger du porc est insupportable à bon nombres de musulmans ? L'accepter car c'est une culture qui imprègne en profondeur. Des femmes portent le voile ? L'accepter car cette habitude va bien au-delà de la religion et chacun s'habille comme il le désire. N'interdire que ce qui entre en conflit profond avec les valeurs de notre démocratie : le nikap empêche de reconnaitre l'identité de la personne, impossible donc de l'accepter. L'excision ampute l'intégrité physique de la personne : impossible à accepter. Etc. Permettre la construction des mosquées, des temples, des synagogues et laisser la cité vivre ses choix politiques à un autre niveau. Nos hommes et femmes politiques ne doivent pas faire allusion à la religion dans leurs propos. la démocratie est fragile : tous propos qui utilise la religion pour asseoir un point de vue est à éviter.
Les valeurs intangibles de la République ? Rien est intangible dans ce monde. Il s'agit plutôt de se mettre d'accord sur l'essentiel et quand une république ne nous convient plus, on en change. Pourquoi pas une 6ème république ? Pour avoir envie de respecter, il faut se sentir respecter : ce n'est pas le cas quand nos actionnaires empochent la mise tandis que d'autres galèrent au sic...
L'engagement des citoyens ne se fera que lorsque les idées de chacun auront des chances d'être écoutées, reconnues et débattues. La verticalité du pouvoir est bien trop arrogante, figée, implacable et violente. Que fait-on des savoirs de nos infirmières, professeurs et autres professionnels très engagés ? Que fait-on de leurs capacités de responsabilités ? Comment traite-t-on les subordonnés ? Tant que l'infantilisation des personnes continuera à s'imposer par la hiérarchie, les gens se révolteront, comme des adolescents. Normal ! Tant qu'il y aura du mépris pour des savoirs autres qu'universitaires (ou grandes écoles), le hiatus empêchera la confiance. Le maître mot est la confiance, et cela s'acquiert dans les familles et l'école...
La responsabilité. La responsabilité de sa vie et de ses actes permet de se sentir utile et reconnu. Les humiliations tuent l'être dans son estime.
Apprentissage de la démocratie (donc de la responsabilité partagée) dès l'école primaire : conseils d'élèves, votes pour gérer l'école, les règlements intérieurs, tâches communautaires, apprentissages de la solidarité... Sens de la coopération, découverte que "l'on a sa part" dans le monde et non pas que nous n'avons qu'à nous adapter à des lois pérennes et indéboulonnables : tout est discutable et modifiable. Faire découvrir ce grand pouvoir à tout un chacun.
Continuer à organiser la société comme les enfants l'auront expérimenté à l'école : responsabilités civiques de quartiers, d'environnement. Prises en charge partagées de la bonne marche de notre environnement immédiat... et plus large.
Ce ne sont pas les incivilités qui sont insupportables, c'est ce qui les générent. En posant la question ainsi, il y a les bons civiques et les pas bons. Ce regard disqualifie les uns, ce regard est violent et participe de l'exclusion.
Comprendre la violence institutionnelle et le souffrance de ceux qui la subissent. Ensuite seulement, inventer un monde et des instances qui regarde chaque individu comme un potentiel de savoir et de créativité hors pair. Utiliser les savoirs de chacun plutôt que de dénoncer des comportements qui une sont que des provocations à un monde qui ne les comprend pas.
Changer son regard.
Les phrases de nos parisiens trop sûrs d'eux sont très souvent des projectiles dangereux et discriminatoires.
Changer d'hommes et de femmes politiques, changer l'organisation de notre démocratie. Découvrir que trop de verticalité abîme le lien social et exclut.
Oui
Chercher ensemble ces solutions : je n'ai pas de réponses toutes faites.
Oser dire que le monde (et ceux qui le peuplent) n'est pas dangereux en soi. Oser penser qu'ouvrir nos frontières européennes n'est pas un risque. Oser réfléchir, au niveau européen, à un accueil digne, personnalisé et accompagnateur d'intégration. Oser !
Mais oui : réfléchissons à la manière d'accueillir toutes ces personnes dans la souffrance. Débattons sur nos "obligations".
Je ne vois pas autre chose que l'ouverture d'esprit et le partage solidaire des responsabilité en matière d'immigration. Je ne vois pas autre chose qu'une collaboration avec les pays qui souffrent et une aide non hypocrite (envoyer des armes à des pays en guerre et mal en supporter les conséquences me semblent le summum le l'hypocrisie).
Ouvrir des centres d'accueil et des protocoles d'intégration. Former à l'accueil et aider les associations. Aider les institutions qui accompagnent. Trouver des logements, permettre à la population d'aider à l'accueil. Soutenir et entretenir le maillage civique de la solidarité. Rendre possible, digne et pérenne l'accueil d'urgence.
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Tout est important : questionner nos comportements consuméristes et nos types de productions industrielles. Choix de société à débattre.
Débattre en profondeur de nos valeurs : que voulons-nous vivre et comment ?
Oui
pics de chaleur, pollution, maladies, pluies diluviennes, sécheresses. Fatigue.
Oui
tris des déchets, compostage, sobriété dans la consommation, choix de consommer des produits bio, diversifiés et locaux, réparer les objets plutôt que d'en acheter de nouveaux, me soigner de manière la plus naturelle possible, isolation de la maison, vélo et transports en commun quand c'est possible, co-voiturage, voiture propre ETC.
Une volonté claire et des engagements pérennes de nos politiques et des aides pour accompagner nos choix citoyens.
soutiens financiers à longs termes , allègements d'impôts sur les options écologiques
Oui
Informer et inciter fortement les syndics de co-propriétés !
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Le vélo|Les pistes cyclables et les parkings vélo doivent être sérieusement revus et corrigés : pour l'instant, utiliser son vélo dans ma ville est un grand bonheur pour les adeptes de la débrouille, du parcours du combattante et des prises de risques.
Ma ville et ses habitants.
Oser faire et exprimer des choix radicaux : inventer des politiques de transitions écologiques à long terme. Rien ne se fera sans une vision pertinente à long terme. Oser déplaire aux constructeurs automobiles et aux laboratoires, oser contrecarrer les intérêts des lobbies. Oser interdire les pesticides, oser aider fortement à la transition des paysans en bio, soutenir toute initiative de consommation de proximité : taxer les produits qui ont traversé le monde pour se retrouver sur nos étales : pourquoi nos bananes sont-ils les fruits les moins chers ?
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Votre message a bien été envoyé.