Le maire et les conseillers municipaux car ils vivent dans les territoires et semblent plus conscients des réalités des territoires.
Oui
Toute association politique ou non à partir d'un certain seuil d'adhérent et pour une thématique liée à l'activité de l'association, c'est à dire en rapport aux statuts de l'association.
D'avantage de concertation avant un vote. Nous devrions mettre en place des plateformes internet permettant aux élus de consulter les citoyens de leur circonscription avant un vote important.
Une bonne chose
Il faut d'avantage de personnes différentes pour assurer une réelle représentativité.
Il faut ajouter une bonne dose de proportionnelle au niveau des chambres de représentants, notamment au niveau de l'assemblée afin que toutes les sensibilités politiques puissent s'exprimer dans les débats. Même un parti politique dit "extrême" , s'il respecte certaines règles et s'il représente des citoyens, doit pouvoir prendre part aux débats. Il doit pouvoir peser autant que l'influence qu'il a réellement (adhérents, sympathisants etc....). Mais il faudrait également, pour toutes les lois importantes pratiquer la consultation citoyenne (RIC).
Oui
Députés et sénateurs
Il serait bon que les élus s'engagent sur une liste exhaustive de points et d'orientations politiques pour lesquels ils recevront "mandat" de leurs électeurs. Il faut que ces élus rendent compte ensuite à leurs électeurs de la réalité de la mise en oeuvre des programmes et des actions mises en oeuvre. Si ces élus doivent se prononcer pour des questions qui n'avaient pas été prévues préalablement à leur élection, il faut qu'impérativement qu'ils puissent consulter à nouveau leurs électeurs avant de voter. Ce qui éloigne les citoyens des élections, c'est le sentiment que des élus sont élus d'après un programme qu'ils ne tiennent pas ou qu'ils prennent ensuite des décisions et des positions qui n'ont jamais été présentées aux électeurs avant leurs élections. C'est le sentiment que les programmes servent à se faire élire et qu'ensuite, les élus font ce qu'ils veulent. C'est insupportable.
Oui
Si le vote blanc dépasse un certain seuil, les programmes ou les candidats doivent être modifiés.
Il faudrait mettre en place 2 choses : 1/ Le Référendum d'initiative citoyenne 2/ Un droit de "Veto" du peuple sur les grandes décisions, les grandes lois qui touchent à l'impôt, à la constitution ou à la souveraineté nationale.
Oui
En imposant le RIP pour certaines questions touchant à la souveraineté nationale notamment.
Mise en place de plateformes internet de consultation sécurisées.
Rôle d'intégration : faire participer des non élus "tirés au sort" et des "volontaires qualifiés" à des groupes de travail comprenant également des élus des assemblées et du conseil économique, social et environnemental. Ces groupes seraient un complément aux travaux parlementaires préalables à la rédaction des propositions de lois et de règlements. Mais aussi un rôle de "tisseur de lien" : il faudrait mettre en place les conditions permettant à ce que les assemblées soient plus en "prise directe" avec les préoccupations réelles des populations.
Oui
Réduction du nombre de membres. Fonctionnement imposant "une prise plus directe" avec les citoyens.
Il faut tout simplement faire appliquer les lois existantes. Le problème n'est pas une absence de loi mais une mauvaise application de la réglementation existante. J'ajouterais qu'il faut protéger le pays de l'influence de puissances étrangères. L'état doit pouvoir interdire certaines pratiques inacceptables comme l'abattage rituel. Si la République est laïque, l'Etat ne doit pas oublier les racines chrétiennes de la France. Enfin, il serait intéressant de créer un Conseil des Sages composé de représentants de toutes les confessions et philosophies représentatives. Ce Conseil des Sages aurait pour mission de travailler à rechercher les points de convergence entre les différentes Confessions et organiserait les échanges, serait consulter notamment en ce qui concerne l'application du principe de Laïcité. Il aurait également un rôle d'arbitrage et de résolution des conflits entre les communautés. Enfin il aurait comme mission de rapprocher les communautés par la recherche des dénominateurs communs.
Il ne faut de la fermeté. Un diplôme de citoyenneté doit être créé, indispensable à la poursuite de la scolarité et à la reconnaissance comme "citoyen". Ce diplôme serait la garantie que le titulaire ait bien intégré les valeurs communes de la République.
Il faut que les volontaires qui s'engagent aient le sentiment qu'ils apporteront réellement leur "pierre à l'édifice". Ce qui nuit à l'engagement, c'est le sentiment que tout est décidé ailleurs, et que la consultation est une mascarade. Si on a le sentiment de pouvoir changer les choses réellement, alors on s'engage. Si on sait d'avance que l'action sera vaine parce que les règles du jeu sont tronquées, on ne s'engage pas.
Respect, entraide, exemplarité.
Un diplôme de citoyenneté doit être créé.
Il faudrait que cet engagement soit réellement reconnu par les entreprises et les administrations au même titre qu'un diplôme ou une expérience professionnelle. Ces engagements doivent être enregistrés et validés par une commission locale avec délivrance d'un "certificat d'engagement citoyen".
None
fermeté et exemplarité
fermeté et exemplarité
écart entre les femmes et les hommes.
Il faudra plusieurs générations et de la patience. L'éducation nationale a également son rôle à jouer. Un diplôme de citoyenneté doit être créé.
Oui
diplôme de citoyenneté, respect des règles de la république. Non condamnation. Exemple : si les consommateurs de drogue se verraient privés de leur droit de sécurité sociale, on baisserait le nombre de consommateurs.
L'immigration est trop importante et pas assez sélective. Nous devrions préserver notre modèle de civilisation. Nous devons accueillir seulement les populations ayant un modèle de civilisation semblable et respectant nos valeurs. Nous devons sélectionner les migrants avant leur départ de leur pays d'origine : connaissance et respect de nos valeurs et de notre culture, connaissance de notre langue, etc... Nous devrons accepter seulement des migrants qui ont déjà décroché un emploi dans notre pays. Les nouveaux immigrés ne pourront pas percevoir de revenu de solidarité avant d'avoir suffisamment cotisé pour les percevoir + un seuil de "sécurité" permettant de protéger notre modèle de civilisation.
Oui un quota annuel devra être défini par le parlement mais il devra être lié à la situation économique du pays. Si le taux de chômage dépasse 3 % = immigration interdite.
Au lieu d’accueillir des migrants qui se déracinent et appauvrissent leur pays d'origine, il serait plus constructif d'aider les pays en difficulté en échange d'accords limitant au maximum l'immigration.
Les modalités d'intégration sont liées aux critères de sélection : valeurs communes et partagées, sélection de langue, de connaissance de la culture, niveau de diplôme et de compétences etc....
Un dispositif doit être mis en place afin que le Peuple ait une sorte de droit de Veto lui permettant de bloquer les Lois qui auraient des conséquences négatives importantes pour lui et pour la souveraineté du Pays. Le RIC (référendum d'initiative citoyenne) serait un outil permettant de répondre à cet objectif.
Votre message a bien été envoyé.