Tous ces problèmes sont intimement lié, nous ne pouvons en régler un en en écartant un autre
Le point le plus impactant est le changement nécessaire des modes de production et de consommation
Non
C'est bien le problème. Aujourd'hui, nous avons l'impression que notre quotidien n'est pas vraiment impacté par le changement climatique, bien que le désastre écologique soit bien présent, par exemple, le fait que nous ayons détruit près de 90% des gros poissons ou 97% des forêts anciennes n'est pas impactant dans notre quotidien (si l'on ne prête pas attention aux problèmes environnementaux). Cependant, le désastre écologique auquel on assiste est bien réel et il a un impact direct sur nos vies (augmentation du nombre de cancers, de maladies respiratoires, immigré environnementaux, etc.).
Oui
Les initiatives personnels ne sont hélas plus suffisante aujourd'hui du à l'urgence de la situation (véganisme, "conduite éco-responsable" et aux actions), en effet, elles ne mettent pas en cause les modes de production de manière assez radicale ou encore les attitudes des états face à l'urgence climatique. Elles servent simplement à noyer le poisson comme le dit l'expression, et n’empêche en rien le modèle économique libérale actuel de détruire ce qu'il reste à sauver.
A titre personnel, rien, mais à une échelle plus large, une réelle information délivré à la population pour lui permettre de mieux saisir la nécessité d'agir de manière radicale et rapidement.
Les changements de comportements individuels ne sont plus suffisant aujourd’hui. Mais par exemple, une rationalisation des quantités de viande que peuvent acheter les français par semaine (par exemple 250g/semaine/personne)
Oui
None
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
Les transports en commun|Le vélo|Le covoiturage
Encore une très bonne question
Je ne maîtrise pas assez ces problématiques pour donner une réponse "utile", c'est bien le métier des politiques je pense que de convaincre les autres pays et instances que l'urgence climatique est belle et bien présente et que nous sommes déjà dos au mur.
None