Donner de la clarté et de la lisibilité à la dépense publique, avec des objectifs à atteindre détaillés et les résultats obtenus, comme dans toute entreprise privée qui se bat pour sa survie.
Ne plus accepter l'inepte situation fiscale des grands groupes internationaux (GAFA notamment). Faire prendre conscience aux consommateurs du poids qu'ils peuvent avoir pour peser sur les marges scandaleuses de l'immatériel générées à leur insu.
Les impôts reposant sur de seules questions idéologiques qui poussent à l'exil des richesses, tout en assurant une stabilité fiscale de nature à redonner confiance au contribuable. La CSG telle que conçue actuellement.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Remettre en cause le statut de la fonction publique pour la rendre plus dynamique et de facto moins coûteuse.
Prioritairement toutes les aides dispensées individus sans statut légale, ainsi que celles allouées aux familles de délinquants notoires. Supprimer la gratuité des soins : on n'attache de la valeur qu'à ce qui a un prix.
Elle est déjà extrêmement généreuse.
Aucun. Tout le monde en est très largement saturé, sous toutes leurs formes. En revanche des arbitrages devraient avoir lieu, en faveur de la sécurité des personnes et des biens, en particulier.
La réinstauration de la double peine pour les délinquants étrangers permettrait d'évidence de réduire cette charge inacceptable pour le contribuable et de répondre en grande partie à la question de la surpopulation des prisons toujours plus coûteuse par ses coûts directs et les nouveaux investissements à engager.
Les doutes sont nombreux sur les stratégies du monde politique : comment des responsables élus sont-ils incapables de s'entendre sur l'essentiel ? Les jeux de pouvoir sont insupportables pour des électeurs qui se sentent pris en otage par des luttes entre factions et courants politiques discutailleurs et trompeurs.
Oui
Des organisations pouvant avoir accès aux données chiffrées détaillées, produites bien trop globalement par l'état et les administrations pour en permettre une analyse et une appréciation objective par le contribuable. Des organisations dont les analyses critiques soient prises en compte, commentées par les pouvoirs publiques et dont les points saillants feront l'objet de débats suivis d'axes d'amélioration précis et chiffrés, avec points d'étape réguliers et responsabilités engagées, le cas échéant. La Cour des Comptes, avec des analyses et conclusions claires sur les déficiences des services de l'état ne semble pas peser dans la poursuite des gabegies. Mais surtout pas d'organisations militantes ultra politisées et tournées sur elles-mêmes !
En réduire drastiquement le nombre pour recentrer les débats sur l'essentiel (stop aux propositions de loi absurdes du type lutte contre la glottophobie) et donner une meilleur lisibilité à la qualité des interventions et des propositions en épargnant notamment aux citoyens les fréquents spectacles pitoyables donnés à l'Assemblée Nationale qui n'est ni un cirque ni un ring d'improvisation de quartier. Sanctionner durement et de façon définitive les élus et responsables politiques indélicats.
Une bonne chose
Pas de mélange des responsabilités, qui doivent être bien identifiées et consacrées à ce pour quoi elles ont été confiées.
Pour commencer, apprendre à faire respecter l'ensemble des opinions, sans suffisance et ostracisme de principe ou de circonstance. Rappeler fermement aux médias bien trop politisés ce qu'est leur mission première. Aux médias, publiques en particulier, qui biaisent l'organisation et/ou les règles du débat par des partis-pris évidents (constitution des plateaux, temps de parole inéquitables des invités, interruption systématique des argumentations n'allant pas dans le sens recherché.....
Oui
Il serait bien intéressant avant tout d'en connaître l'étendue, entre élus au suffrage universel et élus "entre-soi" (par ex : les inter collectivités territoriales). Combien de citoyens ont l'esprit clair sur ces strates d'influence et les budgets alloués à ces assemblages diffus mais puissants qui se rejettent constamment les responsabilités (criant dans les communes) ?
Les élections sont un luxe de la démocratie. Ne pas voter est contre nature mais est sans doute le fruit d'un débat politique sans repères pour les électeurs, avec un mélange des questions sociétales portées fréquemment par des minorités agissantes, d'une part, et économiques auxquelles il faudrait apporter des réponses de fond vitales, d'autre part.
Non
None
Commencer par rendre des comptes sur des objectifs clairs, chiffrés et suivis pour leur donner un véritable outil de réflexion critique. Recentrer les sujets sur l'essentiel et bannir la surenchère des promesses intenables, sans lendemain. Il en va de la responsabilité première des prétendants aux responsabilités - malheureusement très rarement endossées et sanctionnées.
Je ne sais pas
None
Commencer en premier lieu par leur indiquer ce que ceux-ci coûtent individuellement au pays, poste par poste et non plus de façon globalisée : gratuité de l'éducation, de la santé, de nombre de prestations de tous ordres (y compris pour les personnes vivant de tout cela dans l'illégalité la plus complète).... Ceci pour ne pas rendre stérile et idéologique toute forme de débat. A l'heure d'internet, pas de problème pour trouver le canal de consultation. C'est le contenu qui importe.
Quelle est leur valeur ajoutée ? Personne ne le sait vraiment (notamment celle du CESE). On pense instinctivement à une pompe pécuniaire shadokienne. Commençons à bien redéfinir les rôles et utilités effectives de ces assemblées, en faire comprendre la raison d'être de façon pragmatique, et publier ce qu'elles coûtent à la nation, pour quels résultats.
Oui
Leur donner une réelle transparence et en dégager l'utilité concrète pour le bien commun et non pour les seuls intérêts bien compris des partis ou organisations syndicales dominantes.
Commencer par faire appliquer les règles existantes à ceux qui les forcent sans vergogne (hôpitaux, occupation de la voie publique...).
Par la simple application des règles existantes, sans concession. Bannir le leurre de la compréhension réciproque : il s'agit de faire respecter la loi française, et aucune autre.
Cesser de n'agir qu'en fonction de sondages réducteurs, biaisés et à la représentativité très contestable, en en tirant des conclusions abusives ("les Français pensent que, disent que, sont pour ou contre ceci ou cela...). Permettre à la "majorité silencieuse" de s'exprimer en dehors du champ des idéologies captives des médias. Faire ressortir et accepter l'expression de la majorité silencieuse des classes moyennes, et pas seulement celle autorisée par les caciques professionnels de la communication. Des questions plus ouvertes le permettraient.
Le simple respect des règles existantes et un rappel incessant que chacun n'est pas libre de tout faire car il serait interdit d'interdire.
Commencer par en faire une préoccupation constante dans les écoles, aussi bien vis à vis des élèves que des parents. Rien ne peut remplacer l'éducation, à condition que ne s'y substitue pas un prosélytisme activiste "hors sol". Rehausser le niveau général d'une culture économique minimale, seule capable de sortir des débats de sourds.
Donner à ces entités la réceptivité qui s'impose à toute activité privée devant faire face à la concurrence. Bien s'assurer aussi que toutes les franges de la population sont écoutées, et non pas seulement les activistes professionnels qui étouffent les débats qui ne leur conviennent pas.
Le bruit, l'agressivité grandissante, la lâcheté engendrée par la crainte de la violence... Une fois de plus, la simple application des règles existantes permettrait d'en réduire fortement la portée.
Prendre leur responsabilité sans visée idéologique ou de calcul partisan (la jeunesse est intouchable par ex.). Puiser dans le vivier très large des victoires rapides, faciles à mettre en oeuvre. Par exemple, neutraliser les scooters/motos émettant délibérément des nivaux sonores insupportables, ou faire résolument respecter la quiétude d'un quartier par les commerces festifs.
Faire s'exprimer régulièrement les édiles sur ce sujet, avec un suivi d'effet transparent. A eux d'approcher leurs électeurs au niveau local sous forme de questionnaires précis sur des thèmes précis, et pas seulement leur adresser des brochures marketing vendant leurs seuls mérites : si les incivilités ne reculent pas, quelles en sont les causes et quelles barrières de quels types ne permettent pas de les réduire ?
Avoir à subir l'agression sonore urbaine jour et nuit : a-t-on encore le droit de vivre tranquillement chez soi, en respectant les autres ?
Toujours la même réponse : appliquer les règles existantes. Etre tolérant est-ce devoir accepter toujours plus d'agression ? Ne serait-ce pas au contraire aux fauteurs de trouble de l'être en acceptant de cesser leur nuisances ?
Oui
La moindre des choses : se conformer aux lois et au respect des autres. Perdre ces allocations dans le cas contraire.
Il n'y a plus de maîtrise de l'immigration depuis longtemps par veulerie politique : le développement de l'industrie du brigandage est effarant (les campagnes sont désormais aussi livrées aux réseaux maffieux) et encouragé par l'irresponsable lâcheté européenne sur ce point.
Encore faudrait-il que le peuple soit partie prenante de la définition de ces fameuses obligations. Bien entendu, il faudra revenir à un contrôle stricte de qui il est souhaitable ou non de recevoir. Pour mémoire, l'immigration économique était très encadrée dans les années 60. Il n'y était pas question du droit du sol incontrôlable.
Couper les ressources de toute nature aux arrivants non désirés et reconduite effectives dans les pays d'origine. Restauration de la double peine pour tous les délinquants multirécidivistes. Abaisser l'âge de la responsabilité pénale.
La question n'est plus là. Aux politiques d'assumer sans faille l'application de la loi.
Cesser d'entretenir le conformisme bien commode pour fuir les responsabilités et les risques politiques.
La stérilisation des terres, la pollution des eaux et de l'air.
Revenir à l'exploitation raisonnée des terres, en réduisant drastiquement les traitements chimiques et l'élevage intensif générant des tonnages d'épandage de lisiers considérables et une très préoccupante pollution des eaux. Accélérer la reconstitution des bocages. Retrouver le bon sens de nos parents en bousculant en profondeur les mentalités des instances publiques/parapubliques et des agriculteurs surendettés pour redonner du sens à la culture (permaculture par ex.).... et repeupler les campagnes. Favoriser la structuration d'un réseau large de distribution de l'hydrogène pour tous les véhicules à moteur.
Oui
Fortes tempêtes, montée des températures, développement des espèces d'insectes nuisibles.
Oui
Marginalisation de l'usage de l'auto et recours aux transports collectifs. En ville, essentiellement des déplacements à pied ou en bicyclette. Limitation de la consommation en général aux strictes besoins d'usage (eau, électricité, textile, alimentation...)
Une accélération de la création de voies de circulation dédiées et bien entretenues pour vélos, trottinettes, en les faisant strictement respecter par les automobilistes et livreurs.
Faire strictement respecter les règles du bien commun à l'ensemble des usagers.
Non
None
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
None
La trottinette électrique avec le développement d'un réseau propre sécurisé.
L'état et la ville (Paris en l'espèce).
Donner l'exemple, à tous les niveaux (citoyen, politique).
Ne pas mettre de coté la pollution sonore : faire respecter réellement les règles en la matière (lieux publiques festifs, motos/scooters à échappement trafiqué....). Augmenter les incitations à passer à l'usage des transports électriques sans les traditionnels plafonnements de ressources trop limitatifs pour permettre un basculement massif des usages.
Votre message a bien été envoyé.