La confiance dans les politiques est limitée par leur implication, leurs ambitions personnelles, leurs connaissances des problématiques et leur communication. Un travail est à mener pour que les experts s'expriment plus, et apporter plus professionnalisme. Les polémiques du niveau d'une cours d'école n'intéressent personne et contribuent à la théorie du complot. Il est toujours plus facile de faire confiance à notre entourage ou à une personne qui semble maîtriser les sujets qu'elle aborde. La politique est un métier, il ne faut pour autant pas s'en servir pour escroquer. Oui à la représentation d'un politique qui s'engage personnellement, et professionnellement. Non aux politiques de façade.
Non
En France, les syndicats ne représentent plus les travailleurs, le système a été détourné. Pourtant, il est nécessaire que des organisations puissent représenter les salariés et discuter à la fois avec les patrons et les politiques. Un monde plus agile, implique plus de communications et moins de lien hiérarchiques.
créer un conseil citoyen comme en Islande, au niveau local, et national. La mise en place d'un conseil citoyen permettrait d'apporter des avis et des compétences plus diversifiées. Avoir la possibilité de s'impliquer dans l’organisation du pays est enrichissant pour tous les acteurs.
Une bonne chose
Un personne impliquer dans un poste est plus performante. En revanche, cette organisation n'empêche pas que certain politiques travaillent plus pour leur partis ou carrières que pour le poste pour lequel ils sont élus.
None
Non
Il est souhaitable d'avoir des élus impliqués et productifs.
Un lien plus proche entre politique et citoyen est certainement une piste pour changer le comportement des citoyens aux élections.
Oui
comme un échec de communication des politiques. A partir d'un certain seuil, il doit pouvoir annuler l'élection.
En plus du conseil citoyen, nous pourrions imaginer l'organisation d'un service citoyen, obligatoire à certaine étapes de la vie : 18ans (1ans), 50ans 10% du temps, 60ans (2ans).
Non
None
Les citoyens n'ont pas l'expertise pour gérer les budgets de l'état. En revanche, pourquoi pas permettre aux citoyens de trancher entre 2 ou 3 axes de dépenses stratégiques.
Chaque instance doit pouvoir apporter une expertise et des solutions : du local au global. Intégrer plus d'agilité dans le fonctionnement. Penser comme un consortium de PME, où les instances supérieurs apporte une expertise pour le prise de décision local, et apporte une vision global du fonctionnement du territoire. Plus de liberté, implique plus de responsabilité à chaque étage.
Oui
voir ci-dessus.
L'état doit interdire toute forme de radicalité, et bien définir ce qu'est un signe ostentatoire. Chaque citoyen devrait apprendre en éducation civique les différents cultes et cultures religieuses.
un peu plus de sagesse et de réflexions dans le traitement des sujets, au sein de médiatiques et des politiques, serait bénéfique. Il est important de comprendre qu'à force de tout vulgariser, et stigmatiser, nous nivelons au plus bas la culture général des citoyens. Il est temps de tendre vers le modèle nordique, et non vers le modèle américain.
créer des services citoyens tout au long de la vie.
respect d'autrui, de l'environnement et des équipements et des institutions de l'état
comprendre que ces biens ne sont pas des acquis, et qu'il tient à chacun de les entretenir et les améliorer
L'implication d'un citoyen, pourrait lui apporter une réduction des impôts.
dégradation de matériel, violences. Solution : l'éducation, et l'accompagnement des personnes.
remettre de la discussion, car la violence entraîne la violence.
None
Raciale, religieuse, territoriale (les riches désertes les quartiers pauvres)
le modèle d'urbanisme de villeurbanne est intéressant. Les discriminations se construisent sur la peur de l'autre, et bien souvent dés l'enfance. Le travail est à mener au cours de la scolarité, en mélangeant plus les enfants. Les colonies ou centre de vacances de jour sont des moyens pour apprendre à vivre en collectivité tous ensemble.
Non
NON, les riches ne sont pas surveillés sur leur comportement, alors qu'il n'est pas nécessaire bon. Pourquoi ne surveiller que ceux qui sont dans le besoin ?
il faut s'organiser pour accueillir dans de bonnes conditions (ce qui n'est pas le cas aujourd'hui). La France a toujours été pour les droits de l'homme, nous devrions accueillir décemment tous les migrants, et les aider soit à rester en France, soit à partir vers d'autre horizons. Tout commence par un bon accueil, et non par la fermeture de frontière qui aujourd'hui tuent les migrants.
non
nous ne pouvons pas nous satisfaire d'une vie confortable et regarder les autres mourir. Par fraternité, nous nous devons de partager, n'ayons pas peur des conséquences que nous ne connaissons pas. Pensons comme si nous étions dans leur situation, qu'attendrions nous ?
Pour être juste, des parcours d'intégrations doivent être mis en place pour tous, y compris les personnes qui vivent dans la rue, ou des chômeurs de longue durée et qui souhaitent changer. Arrêtons de faire des catégories pour tout et n'importe quoi . Construisons une politique globale.
L'éducation. Le développement d'un pays passe par l'éducation, il est donc primordiale de mettre l'éducation au cœur du fonctionnement de notre pays, et à tout age.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Changer notre comportement, et revenir au modèle de vie des années 50, avec notre savoir faire technique qui permet de réduire les pollutions des entreprises, voitures ... Chaque citoyen doit s'impliquer dans sa vie personnelle et professionnel, mais aussi les entreprises et l'état. Certaine lois sont nécessaire pour aller tous dans le bon sens. L'émancipation des technologie numérique est à contrôler, car elle est énergivore.
Oui
pollution de l'air dans les villes + dérèglement climatique
Oui
contrôler sa propre consommation : produits locaux, limiter les produits alimentaires transformer industriellement, limiter les trajets quotidiens en véhicules, limiter le nombre de voyage en avion (reste à définir combien par personne sur une vie), limiter les déchets, ce qui sous entend recyclage, réutilisation d'objet, réduire le nombre d'objet en sa possession, réduction du chauffage, et de l'utilisation de l'eau. Au niveau de l'entreprise : appliquer des politiques de tri des déchets, réfléchir sur les trajets en véhicule (remettre en cause les avantages salariaux : véhicule de fonction), travailler avec les acteurs locaux.
de manière général : interdire les scooter non électrique en ville, et pourquoi pas à la campagne. une meilleurs distribution des transports territoriaux, en urbain ça fonctionne bien, mais pas en péri urbain. trajet de courte distance : pousser à l'utilisation de vélo électrique, ou trottinette, ou transport en commun, ou à pied ou moyens non motorisé. adapter la circulation en ville pour que les modes doux puissent circuler en sécurité. trajet de moyenne / longue distance : proposer plus de train, plus de transport en commun, covoiturage, bus.
le déplacement individuel devrait être plus cher que le déplacement collectif.
Non
None
Oui
Mon travail implique des déplacements, la voiture m'est utile pour aller sur les lieux de rdv. Les jours où je suis au bureau, je travaille entre 10 et 12h par jour, je n'est pas la motivation de perdre du temps dans les transports. Les entreprises ne sont pas toujours organiser pour stock des vélos à long terme (alternance utilisation du vélo ou de la voiture), et n'ont pas toujours des douches...
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La commune, le département, et la région pour le déplacement dans le territoire. Au niveau entreprise, ces solutions sont difficiles à mettre en oeuvre.
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Un politique sur les emballages devrait être mise en oeuvre pour limiter les déchets. De même les déchets verts ne sont pas ramassés en ville alors qu'ils constituent un bonne part de nos poubelles. Envers les industriels, il serait intéressant de pousser le développement de produits qui se réparent, ou qui se changent partiellement. En terme de consommation, il y a encore beaucoup de trop déchets liés à l'achat quotidien : légumes, boulangerie ... Le changement de comportement est à impulser.