Faire participer les citoyens directement aux projets dégagés ensemble; montrer la cohérence des dépenses publiques en regard du projet de société partagé jusque chez les plus pauvres - une équipe qui gagne tous ensemble!
Voici mes trois premières propositions fiscales de PARTAGE pour dégager les resources budgétaires pour une politique plus équitable, sans excuses et sans regret: 1. L’ISF est à rétablir et aussi l’IR est à augmenter progressivement (tous deux chaque année pour retrouver peu à peu le niveau de taxation des années 1970–80); 2. La fin du CICE - 42 milliards d’euros budgetisés en 2019, paraît-il - au moins pour toutes les grandes entreprises bénéficiaires; 3. Chasse à l’évasion fiscale; interdiction formelle et criminalisation des paradis fiscaux; taxation des transactions financières (speculatives ou non, mais à distinguer pour surtaxer la pure spéculation à court terme).
Les seuls impôts à baisser iraient éventuellement vers ceux qui n'arrivent pas à dégager de bénéfices
Chercher l'argent où il se cache (nous n'avons jamais été aussi riches et pourtant nous n'arriverions plus à financer les dépenses sociales?i?)
à SIMPLIFIER, de grâce; d'abord en discuter ensemble, les citoyens avec le concours de vrais spécialistes (pas les technocrates hauts fonctionnaires qui copinent avec les lobbies, se cachant derrière la COM/langue de bois, la langue de savant spécialiste qui se perd dans les méandres étatiques!)
A discuter, citoyens et vrais spécialistes ensemble, pour dégager un projet
ECOLOGIE par nécessité... A discuter, citoyens et vrais spécialistes ensemble, pour dégager un projet qui inspire autant qu'il oblige à faire des sacrifices
Voici mes propositions argumentées: une nation qui arbore ostensiblement la devise “Liberté, Egalité, Fraternité” doit faire face à la colère des plus pauvres, les oubliés des politiques des 40 dernières années. Par manque de fraternité, de grandes richesses se sont accumulées chez une minorité. Au nom de l’efficience économique, une politique en faveur de privilégiés s’st développée et l'avarice triomphe. Désormais, le déséquilibre inégalitaire et élitiste renvoit à une société de classes porteuse de dérives de toutes sortes à venir (comme nous le pressentons, l’Histoire se répète volontiers, et ce n’est pas l’orgueil de la technologie moderne qui offre des facilités nouvelles qui en nous immunisera, au contraire, les moyens de nous tromper sont simplement décuplés) Il y a environ 10 générations la Révolution Française a changé le régime monarchiste/aristocratique et les Droits de l’Homme sont nés dans la lutte et le sang. Aujourd’hui, le cri du coeur du “petit” peuple des Gilets Jaunes n’exige pas la démocratie contre le roi mais plutôt un aménagement du système de démocratie représentative (qui a failli à bien des égards), voire réclame un changement de constitution pour briser la politique d’austérité de l’oligarchie financière européenne et mondialiste. Certains se sont emparés du rêve d’instaurer une démocratie plus directe, une démocratie vraiment participative. On voudrait ré-inventer la démocratie avec le RIC - Réferendum d’Initiative Citoyenne - pour que nous puissions impulser et décider concrètement de ce qui nous convient au niveau local et national! Pour “transformer les colères en solutions”, comme nous le demande le Président Macron, il est nécessaire de trouver les financements pour les projets d’intérêt général comme pour tout ce qui relève encore de services publics (pour combien de temps?) Prenons une juste part de l’argent là où il est - je propose donc de rétablir l’impôt sur la fortune, pour commencer. Serait-ce si tabou aujoud’hui en politique que de demander le PARTAGE des efforts et des richesses de TOUTE LA NATION ? Nous sommes un pays riche à cause des efforts de toute la nation, n’est ce pas? Alors, comment tolérer les régimes de faveur (les privilèges si convoités) et en quoi est-ce juste que le travail local soit taxé plus que le capital extra-territorial, que la secrétaire paie davantage proportionnellement que le patron, que les rentiers et les banques et les fonds d’investissement spéculent par algorithme, souvent sur et avec l’outil de travail des gens comme gage? Dans une société démocratique/libérale avancée, l’argent a-t-il vocation à être grandement accaparé par une petite minorité pour créer des inégalités criardes, pour payer le luxe extravagant, pour finir par dormir dans les paradis fiscaux, pour créer des fortunes colossales qui alimentent la corruption internationale dans un cycle infernal? Pour y rémédier, l’Etat doit jouer pleinement son rôle de régulateur et d’investisseur, à nouveau (Pourquoi attendre une nouvelle guerre d’envergure?) Il existe bien des sources de financement de services publics qui peuvent être mises à contribution, si l’on cherche… Cf les 3 premières propositions brutes énoncées précedemment (d’autres propositions suivront dans les jours qui viennent) Reprise avec arguments supplémentaires: * L’impôt sur la Fortune est à rétablir d’urgence en France (et en Europe, ensuite, sachant qu’en 2018 au niveau mondial la fortune de seulement 26 individus multi-milliardaires équivaut aux richesses de 50% de la population mondiale la moins riche, soit plus de 3,8 milliards de personnes! Quant aux milliardaires français… ?) Aussi, il me semble qu’il est aussi hautement souhaitable d’augmenter progressivement l’mpôt sur le revenu (au niveau où il était à la fin des année 1970, par exemple) * Revoir le CICE au résultat sans garantie aucune (le CREDIT d’Impôt Compétitivité Emploi a coûté largement plus de 100 milliards depuis 2013) pour obtenir une contre-partie réelle garantie en investissements et en création d’emplois * Faire la CHASSE à la triche à grande échelle, notamment pour tout ce qui a trait aux PARADIS FISCAUX, avec une INTERDICTION pour les citoyens français - employés de banque française ou même étrangère - D’Y ÊTRE IMPLIQUES DE QUELQUE MANIÈRE QUE CE SOIT
Peu de confiance en des hommes politiques qui font carrière dans la politique (encore moins à ceux qui font les allers-retours entre le public et le privé à des postes de forte rémunération)!!
Oui
Aux associations qui ne sont pas noyés par l'argent - Il faut régulièrement se rappeler: "l'argent corrompt"
Aucun cumul de mandats, et, pourquoi pas, limitation à un seul mandat (partageons le travail démocratique, jeunes, "actifs" et "inactifs", séniors!) Ce qui compte, ce sont les débats désintéressés et les décisions pour l'intérêt général (en évitant les "histoires de personnalité" stériles, et les controverses de diversion)
Une bonne chose
Mais il faut aller beaucoup plus loin pour éviter les carrières et les "renvois d'ascenseurs" entre les "décideurs"
Une bonne dose de proportionnel... et surtout encourager l'implication d'un électorat qui se préoccupe de l'intérêt général dans la vie civique et économique, et qui élit ceux qui proposent des bonnes idées à expérimenter
Oui
Abolition du Sénat et tirage au sort de la moitié de l'assemblée nationale, par exemple, pour ouvrir largement le parlement... Que ceux qui ne se préoccupent pas de jeux de pouvoir aient voix au chapitre!
Obligation de voter (sous peine d'amende?)
None
Finir avec un système majoritaire et miser dans un système proportionnel sans 2e tour (évitons la perte de temps avec les calculs électoraux mesquins) avec l'obligation de voter (sauf cas de force majeure). Donner du sens, et il y aura sûrement moins de votes blancs
le RIC - un réferendum à l'initiative des citoyens - est une proposition intéressante pour que l'agenda politique ne soit plus instrumentalisé par le seul gouvernement oligarchique. Que les citoyens proposent (éventuellement en synérgie avec l'assemblée) et que les citoyens disposent, en fin de compte!
Oui
QUESTIONS: pourquoi ça n'a pas été fait depuis 2015? Pourquoi limiter l'initiative parlementaire et citoyenne de manière trop restrictive?
Que les citoyens votent en faveur de projets élaborés ensemble (gare aux technocrates et au verrou de Bercy!)
J'accorde peu de crédit au mille-feuilles institutionnel actuel... Passons d'abord par une nouvelle constitution pour rabattre les cartes!
Oui
Dé-professionnaliser ces instances (gage de fraîcheur et d'honnêteté)! Se rppeller l'évidence (quand on y regarde): beaucoup d'argent et de pouvoir corrompent à la longue. Ainsi, il faut avoir des garde-fous puissants pour éviter les conflits d'intérêt
Ne pas se crisper... L'administration reste laïque en veillant à l'égalité de traitement et de devoirs. Toujours viser, sans relâche, la Liberté, l'Égalité et surtout beaucoup plus de FRATERNITÉ, SVP
Veiller à l'égalité de traitement et de devoirs dans la fermeté bienveillante et patiente - c'est croire en nos valeurs de Liberté, d'Égalité et de Fraternité qui doivent s'imposer par l'exemple à la longue
Une démocratie où le citoyen peut contribuer directement aux décisions qui ont une incidence réelle sur nos vies
Comportements qui incarnent la bienveillance... à conjuguer par un maximum de fonctionnaires et de citoyens (qui y gagneront tous par l'exemple, à la longue!) Nous visons, sans relâche, la Liberté, l'Égalité et surtout beaucoup plus de FRATERNITÉ dans nos rapports
Gare au pharisianisme et à l'exclusion "méritocratique"... Oeuvrer pour la réussite ENSEMBLE (pas seulement les "premiers de cordée" :-(( Que la Police fasse partie de la population; évitons les oppositions simplistes et l'escalade dans la violence en réservant les armes à des unités spéciales qui n'agissent que dans les cas de nécessité absolue... Fonctionnaires et citoyens aspirent tous à la Liberté, à l'Égalité et surtout à beaucoup plus de FRATERNITÉ, SVP!
les "administrés" doivent investir l'administration et les "pouvoirs" à tous les niveaux (par ex. dans les AG: un tiers d'employés, un tiers d'usagers et un tiers de payeurs/investisseurs)
Les crottes de chien sur les trottoirs/devant chez soi! Ou est-ce le bruit? Et la vulgarité (vivre les uns sur les autres dans une promiscuité de "pauvres!")?
Education continue ferme et bienveillante
Bla bla bla... il n'y a guère de "chacun" possible, soyons un peu réalistes! Encore une fois, cherchons à pratiquer la bienveillance... Pour ce faire, il y aurait beaucoup à dire, à commencer par le système éducatif qui classe et juge impitoyablement les élèves dès la maternelle... Evitons les jugements peremptoires... Donnons le temps, et le bénéfice du doute, à ceux qui ne sont pas "les premiers de cordée"!
Mépris pour les étrangers dans les préfectures? Contrôles d'identité par la Police/les CRS?
Education des fonctionnaires qui tous doivent savoir comment faire en contact avec le public
None
Oui et non - faire des choses qui ont un SENS pour TOUS les concernés, oui, c'est une idée d'intégration. (NON pas pour "occuper" les uns et soulager les ressentiments des grippe-soux de l'autre; nous ne voulons pas finir par culpabiliser et stigmatiser les chômeurs/pauvres/défavorisés de toutes sortes)
Générosité, mais ferme quant à nos limites à définir ensemble
Non
Oeuvrer pour la paix dans le monde... Enfin répondre avec URGENCE et FORCE aux défis écologiques sans précédent. Choisir maintenant pour nous-mêmes et nos voisins la préservation de l'environnement que nos entreprises empoisonnent pour notre consommation effrénée (et leurs profits à court terme)
Le tutorat? Les sponsors? ... Expérimenter une implication de citoyens qui va au-delà des services mal-financés/mal-réputés!
Je n'apprécie pas beaucoup de ces questions, trop-ciblées, dirigistes/enfermantes, technocratiques à souhait! Ce que je voudrais dire, c'est: pour relever les défis énormes du renouveau démocratique mais aussi du gigantesque défi inédit de la création d'une écologie de "Défense du Vivant" afin de SAUVER LES ESPECES de l'extinction, et vraisemblablement une bonne part de l'HUMANITE elle-même avant qu'il ne soit trop tard, il nous faut d'urgence un changement de direction radical, un changement de paradigme réel que seuls des citoyens désintéressés / bien intentionnés peuvent impulser. En effet, et bien malheureusement, notre système économique basé sur le dogme de la croissance et l'avarice méthodique d'une l'exploitation grossière de la Nature et des Hommes par des multi-nationales quasi-criminelles dans leurs efforts pour externaliser les coûts, nous oblige à porter nos espoirs ailleurs que sur une caste politique asservie au Marché, aux "investisseurs" milliardaires et aux autres financiers (banques et fonds d'investissement/de spéculation, à la finance "too big to fail" dit-on). Le politique s'est très largement décrédibilisé par son impuissance manifeste dans la 'guerre contre le chômage' (entre autres "guerres"), et ses slogans ridicules de nature publicitaire tels que "Le changement, c'est maintenant!" achèvent l'oeuvre de destruction du pacte de confiance/gouvernance avec le peuple. Notre meilleur espoir réside-il dans une nouvelle constitution pour une démocratie plus directe qui permettra ensuite de décider de vraies actions, comme le partage des efforts et des richesses? Et, surtout, nous avons grand intérêt à agir enfin dans "l'Affaire du Siècle" pour limiter les dégâts écologiques et sauver ce qui peut l'être encore (sachant que les conséquences climatiques et les multiples pollutions actuelles finiront par bien des conflits dus aux migrations inévitables)?
tous ces points - c'est un tout! - mais aussi le risque de substances toxiques utilisés dans la fabrication de produits courants, par exemple les nanoparticules... L'accumulation des chimies avec des seuils estimés approximatifs fait craindre les cancers et autres mutations en augmentation constante
Vos "questions rapides sur l’écologie” sont surtout des questions fermées/à choix multiples, réductrices, très insuffisantes face au défi du sujet, au désastre des pollutions actuelles (Vous abordez d’abord les économies! Puis les aides et dispositifs de l’Etat… taxes sur le diesel et sur l’essence, puis les recettes liées aux taxes sur le diesel et l’essence… "transition écologique”... Qui doit être en priorité concerné par le financement de la transition écologique? … Vous mettez en concurrence la protection de la biodiversité et du climat avec le maintien d’activités agricoles et industrielles compétitives… !!!) = “A côté de la plaque!”... Surtout des mesurettes qui ne concernent que les particuliers à l’exclusion des industries et leurs pratiques commerciales?) A travers ces questions réductrices, c’est évident que le gouvernement n’a aucunement pris la mesure de l’exigence absolue de changement rapide pour l'écologie qui est “l’affaire du siècle”! Definition de l’ECOLOGIE = « le rapport triangulaire entre les individus d'une espèce, l'activité organisée de cette espèce et l'environnement de cette activité » ; l'environnement est « à la fois le produit et la condition de cette activité, et donc de la survie de l’espèce (humaine, qui nous concerne en premier chef!) » Cécité politique? Ignorer la “souffrance”de la Nature et la disparition rapide des espèces dans l’environnement de plus en plus dégradé, c’est aussi méconnaître la catastrophe climatique de l'activité économique débridée qui en est directement responsable. "Après moi le déluge” - Ce déni des conséquences HUMAINES très graves frise une attitude criminelle que nos enfants ne nous pardonneront pas dans un avenir trop proche. Il faut "sonner le tocsin"! Au lieu de cela, les questions proposées "noient le poisson", et nous endorment trompeusement. L'écologie ? Une urgence absolue! Objectivement, nous n'avons pour vivre qu'une seule planète, cette planète recèle des ressources, ces ressources ne sont pas illimitées, il est donc indispensable que l'humanité s'ajuste à cette réalité. Sans prise de conscience de cette réalité de grave menace imminente, nous ne serons pas à même d’investir massivement dans un un nouveau mode de production pour un nouveau mode de vie. C’est le moment d’explorer un maximum de solutions alternatives! Il faudra innover “vert” pour reverdir la Nature. L’exploitation à court terme n’est plus une option licite. Il faudra viser non pas une croissance continue impossible mais rechercher la modération et l’équité dans un équilibre soutenable. C’est une voie de la décroissance qui est théorisée par de grands penseurs universitaires - à (re-)découvrir! Il s’agit d’INVENTER de nouveaux modèles d’action en adoptant une véritable vision humaniste, au plus près des valeurs humaines... Citons Pierre Rabhi: "Il est temps de mettre en perspective la nécessité absolue de construire un nouveau paradigme sur la réalité que nous observons aujourd'hui. Au lieu de voir notre planète comme une opportunité extraordinaire, belle et généreuse, nous la voyons comme un gisement de ressources qu'il faut épuiser jusqu'au dernier poisson, jusqu'au dernier arbre. C'est en quelque sorte la sacrifier à la cupidité et au lucre. C'est moralement totalement intolérable. Je n'ai jamais critiqué les politiques pour ce qu'ils sont, ils sont comme tout le monde, empêtrés dans une logique d'une complexité telle qu'elle handicape même les initiatives positives. Mais si j'ai un reproche à leur faire, c'est de ne pas mettre en perspective la logique de la modération. Nous sommes dans le toujours plus, toujours plus, et nous ne sommes jamais dans un retour réaliste à la modération (Une ‘sobriété heureuse’) ... La politique, globalement, n'est pas du tout en phase avec les réalités du monde d'aujourd'hui et toutes les mutations gigantesques qui sont en train de se faire, ou ces séismes, pas seulement telluriques mais sociaux. Je ne crois vraiment pas que l'on puisse donner une réponse crédible et durable à l'Histoire sans mettre en question le paradigme de la croissance et de la puissance de l'argent." => Il y a “quatre critères à considérer: il faut changer de paradigme, mettre définitivement et résolument l'humain et la nature au coeur de nos préoccupations; pour qu'il y ait changement de société, il faut qu'il y ait changement humain, d'où une autre éducation qui ne soit pas seulement dans la compétitivité, mais dans la complémentarité; la reconnaissance du féminin comme étant une composante très importante de l'histoire et qui ne doit plus être subordonnée; une belle civilisation de la modération, exalter la beauté de la modération; quatrième critère, un peu plus délicat mais qu'on ne pourra plus continuer à évacuer : reconnaître le caractère sacré de la vie... Notre devoir premier est de prendre soin de la vie!" Gageons qu’être à l’avant-garde de la mise en oeuvre de solutions économiques nouvelles nous évitera bien des désagréments, et nous réservera même quelques surprises agréables, espérons-le. Concernant le financement de la “transition écologique” nous sommes tous concernés, bien sûr, mais c’est bien l’Etat et les finances publiques qui doivent en assurer le pilotage contraigant notamment vis-à-vis des entreprises qui n’ont pas d’intérêt immédiat à la chose. Investissons dans le pays et dans l’espoir de mieux vivre ensemble!
Oui
Vivant à l'étage, nous avons dû déménager en été pour dormir au frais ailleurs... La belle-mère de 90 ans a été hospitalisée...
Oui
Nous évitons la climatisation... Nous mangeons rarement de la viande... Nous consommons bio, en circuit court, local... Solutions modestes - il nous reste à... militer!
None
Pour nous, heureusement, il est plus question de motivation que de finances
Oui
la technique du puits canadien en été mais aussi en hiver (climatisation naturelle)
Oui
train TER plus économique (moins cher pour ceux qui ne bénéficient pas d'un abonnement de travail)
Tous, selon le cas de figure
Public et privé
Piètre question technocratique, ou souci conformiste? => Faisons pour le mieux en France, tentons le mieux pour nous-mêmes (et arrêtons de chercher à convaincre autrui)
voir la réponse "Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses... à ce problème?" => car c'est bien plus qu'un simple problème! Un CHOIX de société, finalement
Votre message a bien été envoyé.