pratiquement plus personne
Oui
associations de quartier, associations d'entr'aide, aux sdf, aux démunis, aux migrants
qu'il y ait au parlement des représentants de toutes les couches sociales, parité hommes/femmes, formes de participations par des débats bien informés
Une bonne chose
on ne peut faire correctement son travail de représentant, et cela nourrit une forme de néo-féodalisme
une dose de proportionnelle, suffisante pour représenter, sans rendre le pays ingouvernable
Oui
instances intermédiaires qui se chevauchent. Mais on pourrait réduire le nb de sénateurs, voire supprimer le sénat
leur rendre confiance, en retrouvant la possibilité de faire des réformes sociales, ce qui suppose une Europe totalement différente de l'actuelle, trop centrée sur les équilibres financiers. Pas de souveraineté sans europe sociale
Oui
cela permettrait de rendre le vote obligatoire. Il faut pouvoir signifier qu'on ne se sent représenté par personne, pour éviter de voter pour des raisons négatives, par défaut.
en organisant des débats sur les questions importantes dans des termes compréhensibles. En faisant à l'école une véritable instruction civique, histoire (et non le roman national) et étude de la constitution, des institutions etc. Et les responsabiliser dès le primaire (type pédagogie freinet ou institutionnelle)
Oui
A condition qu'il soit réellement informé, par textes lisibles et débats, et respectueux des droits humains aujourd'hui considérés comme fondamentaux.
leur expliquer mieux les enjeux. Ainsi pour la transition écologique, qui semble à beaucoup un produit de luxe pour bobos tant ils sont démunis financièrement.
Le parlement devrait retrouver sa véritable fonction, l'exécutif voir diminuer ses prérogatives, les lois votées plus vite mises en oeuvres, et les institutions de "retraite" des anciens élus inutiles supprimées.
Oui
le sénat tel qu'il fonctionne me parait dispendieux et inutile. Le conseil constitutionnel, même redéfini, suffirait à dire si la loi est conforme ou non à nos principes politiques. J'ignore à quoi sert le conseil économique et social.
éviter les débats stupides comme sur le foulard islamique (qui n'est pas le tchador). La seule chose intolérable à mon sens est qu'on ne voit pas le visage. Pour le reste, on change les moeurs par l'exemple, non par la loi, disait Montesquieu, et la façon dont la pub exhible le corps féminin ne les respecte pas plus. Etablir une égalité de traitement entre religions, en prenant en compte la place, désormais, de l'islam; quitte à l'engager à se réformer. Ne pas privilégier le catholicisme, abusivement assimilé au christianisme dans son ensemble. Et respecter l'incroyance. Re-séparer plus nettement le religieux du politique., en un mot, ce qui n'est pas toujours le cas.
Par une véritable éducation civique, non un simple bla-bla "citoyen", mot mis à toutes mes sauces et qui ne veut plus rien dire. Ce qui commence par l'éducation au respect de chacun (anti-racisme, anti-sexisme,), l'apprentissage de l'histoire , de l'argumentation rationnelle, l'intérêt pour les probèmes globaux, pour montrer que la République n'existe pas seule au monde, mais insérée dans l'Europe (à rendre proche), et par delà dans le monde.
en montrer l'intérêt, pour lutter contre le sentiment légitime d'impuissance qu'expriment par exp les Gilets jaunes, mais pas seulement. Ce qui suppose le courage politique de renoncer à l'entre-soi de l'oligarchie qui nous tient lieu, en réalité, de démocratie. je rappelle qu'oligarchie veut dire pouvoir de quelques uns. Montrer que l'enfermement dans les frontières nationales ne permet plus d'avancer, qu'il faut résoudre les problèmes à l'échelle européenne, puis mondiale. Contrer le toute puissance de la finance internationale, dont le citoyen fait les frais, on l'a vu récemment...
discussion, écoute réciproque, accord sur ce qui semble juste, capacité de changer d'avis. La notion de l'intérêt général s'est perdue, chacun lutte pour soi, l'ultra-libéralisme a totalement perverti l'individualisme en ce qu'il a de légitime.
Freinet avait institué le conseil de classe, où l'instituteur guidait et incitait à l'autonomie des apprenants, qui le faisaient avec joie pour le peu que j'en ai vu. Informer, surtout en matière de sciences, lutter contre les fantasmes tout en pointant les dangers, afin que les citoyens puissent donner un avis rationnel sur les avantages et inconvenients de l'intelligence artificielle, par exp, ou les limites à donner aux "augmentations" de l'humain, les acceptables et les iniques (celles sui creusement les inégalités). Dénoncer sans cesse les inégalités les plus illégitimes. Lutter, surtout, contre l'influence délétère des écrans si on n'apprend pas à s'en servir avec discernement.
Qu'on aie des interlocuteurs humains, et pas des serveurs téléphoniques. J'admire les assistantes sociales, qui s'occupent de tous ceux qui ne savent pas se servir d'un ordinateur ou n'en ont pas. Rien de plus insupportable que de passer vingt minutes à accéder enfin à une personne au bout du fil ! Outre que cela réduirait le chômage. Plus personne à la poste, sauf pour aider aux machines, plus personne à la sécu... pour ne rien dire de l'abandon des services publics dans les campagnes.
le chacun pour soi, en toutes occurences.
éduquer, éduquer, éduquer. Ça passe par l'école et les écrans, télé ou autres, où les parents n'en sont plus capables pour des raisons diverses. Sanctionner intelligemment les contrevenants. Mais déjà, s'attaquer à leurs raisons sociales, dans la société du mépris et du chacun pour soi où nous vivons.
La politesse ordinaire, l'entr'aide, le sourire.... et le respect, surtout. Rien de pire que l'humiliation pour susciter la haine.
sexisme et racisme. Je constate un recul généraliser de l'image que l'on donne des femmes (et dequelques hommes) dans les pubs. Le peu de place fait aux étrangers, de "couleur" en particulier, dans nos institutions, notre culture, le mépris social, qui se porte toujours bien, l'indifférence pour les "exclus" qui hantent nos trottoirs et que l'on traite d'une façon indigne, et la liste serait encore longue...,
se soucier de justice dans la sobriété plutôt que de croissance à tout prix, qui conduit au gachis, au désastre écologique et à l'inégalitarisme le plus extravagant, si ce n'est à la guerre... Du travail pour tous, et décemment payé. Moins de machines, plus d'humains au travail.
None
ça dépend lesquelles, impossible de répondre par oui ou non. Ne pas responsabiliser les chômeurs en les traitant de paresseux ou d'assistés, ils préfèreraient, dans l'ensemble, gagner leur vie et par là l'estime d'eux-mêmes.
c'est simple, j'ai honte. Honte qu'on refuse d'accueillir quelques centaines ou quelques milliers de gens contraints à l'exil au péril de leur vie, surtout quand on sait notre passé colonial et que la plupart des "migrants" vont dans les pays limitrophes, voir le cour de Me Herrand au collège de France.
Je suis pour l'hospitalité généralisée, on ne peut en période de globalisation ne permettre qu'aux capitaux et aux marchandises de circuler librement. La plupart des humains préfèrent rester chez eux. La seule exigence est d'apprendre la langue, et le travail ne manquerait pas, s'il était mieux réparti.
de s'y préparer. D'accueillir dignement les gens, de les aider à s'insérer, et surtout, d'aider vraiment les pays de départ et non les despotes qui "nous" arrangent. Nous avons spolié, surexploité, tué une large part des habitants du monde, il n'est que décence d'accueillir l'infime partie d'entre eux (3% selon Herrand, qui fut directeur de l'INed)...
leur enseigner la langue s'ils l'ignorent, les insérer selon leurs compétences, les former, bref, faire preuve d'humanité.
Que notre république cesse d'être une sorte de monarchie élective, les élus régionaux ou locaux des sortes de "féodaux" . Le "fief" n'est plus aujourd'hui une métaphore mais une réalité, qu'on limite la durée et surtout le nombre de mandats successifs, qu'on élise nos représentants sur leurs compétences et leur sens de la justice... utopie ?
Votre message a bien été envoyé.