> Envoyer annuellement un document indiquant la répartition par poste de l'utilisation des impôts. On verrait ainsi que certaines dépenses publiques sont ressenties injustement comme très importantes (le RSA par exemple) et au contraire d'autres minorées, cela éclairerait le débat politique en évitant les fausses informations, les arguments partisans,... > Indiquer aussi où nous en sommes du remboursement de notre dette et ce que cela représente comme pourcentage sur notre budget, cela paraîtrait moins abstrait. > Un récapitulatif de ce que nous avons coûté personnellement à la collectivité sur certains postes (santé par exemple) serait aussi un moyen pour les administrés de se rendre compte que rien n'est gratuit et que les impôts ont une utilité.
Prendre tous les revenus en compte, être plus réactif face à un changement de situation, adapter la TVA aux revenus pour les produits et services de première nécessité. Pour être plus efficace et ne plus être ressenti comme double, triple,... imposition, ne pas multiplier les sources d'imposition sur tous les actes de la vie comme par exemple sur les successions (on a déjà été imposé sur le revenu et aussi sur l'achat de notre maison qu'on lègue à nos enfants).
La TVA sur les produits et services de première nécessité (énergie, eau,...). Les impôts sur les petites entreprises pendant les premières années de création pour leur permettre de se développer et d'investir.
Faire des économies, limiter l'évasion fiscale légale, rembourser notre dette par un emprunt national
L'attribution du RSA et d'une couverture santé pour les jeunes de 18 ans à 26 ans qui ne peuvent pas toujours compter sur leur famille pour les aider. Une plus grande transparence dans l'attribution des logements sociaux.
La construction de logements sociaux et l'accès de ceux-ci aux actifs à faible revenu pour amener de la mixité. L'accès à la santé des jeunes de 18 à 25 ans et des habitants de territoires ruraux.
Pour le remboursement de notre dette qui plombe nos budgets et que je ne veux pas laisser à mes enfants. Pour un vrai partenariat gagnant/gagnant avec les pays en voie de développement qui ne soit pas qu'économique mais aussi humanitaire, environnemental,... L'aide à l'électrification de l'Afrique par exemple en échange d'un contrôle de leur émigration,...
Il faut arrêter de faire des constats/analyses/reproches et passer à l'action en faisant passer l'intérêt collectif avant l'intérêt individuel, c'est le sens de notre système de redistribution dont on doit être fiers et que l'on doit préserver.
Si ils jouaient pleinement leur rôle : aux députés. Ils sont sensés connaître leur territoire et les problématiques particulières de leurs habitants.
Non
None
> La mise en place d'emplois du temps permettant d'alterner présence sur le territoire et à l'Assemblée avec développement d'outils de télé-travail pour éviter les déplacements inutiles et permettre le maintien du lien avec les citoyens. Moins de débats spectacles et plus de commissions de travail avec vote à distance pour certaines lois. > La possibilité pour les élus de questionner les habitants de son territoire (via des sondages, questionnaires,...) afin d'être plus près des citoyens que des consignes de vote de son parti... > Sanctionner les députés fantômes!!
Une bonne chose
Le non cumul des mandats devrait encourager les députés à s'investir pleinement dans leur fonction. Ce n'est pas un titre honorifique et il est totalement impossible de cumuler plusieurs fonctions de façon efficace, les fauteuils vides de l'assemblée en sont la preuve. Accepter toutes ces fonctions en sachant qu'on ne pourra pas les assumer, c'est trahir la confiance des citoyens qui vous ont élus. Renouer le lien, c'est avant tout, respecter les citoyens.
Une petite dose de proportionnelle.
Oui
les conseillers généraux et les conseillers régionaux.
La participation aux élections devrait être une obligation pour pouvoir bénéficier des prestations des services publics.
Oui
Si le vote blanc est majoritaire, l'élection est annulée et un premier tour est organisé à nouveau. Si à nouveau le vote blanc est majoritaire, les candidats ne peuvent plus se présenter à cette élection.
Pouvoir consulter les citoyens en cours de mandat tel que cela est fait ici mais de façon plus simplifiée pour un traitement rapide. Mettre à disposition des lieux d'échange pour la tenue de débats, conférences, discussions informelles entre citoyens, formation de groupes de travail afin que les citoyens puissent s'investir sans adhérer à un parti. Le but étant plus de faire des propositions que de lister les problèmes en cherchant un coupable. Il y serait plus question de l'intérêt général en cherchant des solutions gagnant-gagnant que de défendre des intérêts particuliers et les participants s'engageraient à respecter certaines règles de modération afin que chacun se sente respecté dans ses convictions (l'Assemblée Nationale pourrait s'en inspirer...).
Oui
Si la proposition de loi n'est pas incompatible avec notre constitution.
Les questionner sur la répartition en pourcentage qu'ils souhaitent voir appliquée en les informant qu'en dessous d'un certain seuil, ils devront renoncer à certains services. Mais avant de dépenser, le remboursement de la dette devrait être la priorité absolue quitte à lancer un emprunt national pour ne pas que notre Etat soit sous emprise de la Finance.
Je ne sais pas quelles sont exactement les fonctions du Conseil économique, social et environnemental...
Oui
Rendre plus lisible leurs actions et leur mode de fonctionnement car malgré mon intérêt pour le sujet, je me sens incompétente à juger et à faire des propositions réfléchies. Pour avoir regardé le mercredi les questions à l'Assemblée, je peux toutefois dire que leur rôle n'est certainement pas de se comporter comme il le font et que le respect de l'autre ne pourrait qu'être bénéfique au débat !!
Que l'Etat affirme que la liberté de culte ne pourra s'exercer que si ce culte respecte les lois républicaines. Il ne peut y avoir de compromis, il faut renforcer l'unité autour de la République au risque de voir les radicalismes de tout bord émerger.
En appliquant les lois votées par nos députés déjà, en affirmant nos valeurs fermement et fièrement, en conditionnant le séjour prolongé et l'acquisition de la nationalité à une adhésion totale à ces valeurs avec période probatoire. Par contre, une fois le respect de nos valeurs intangibles assuré, lutter activement contre toute discrimination pour maintenir l'unité du peuple français dans toute sa diversité.
Valoriser l'engagement dans des associations d'utilité publique (bonus droit à la retraite, crédit d'impôt). Arrêter d'infantiliser les citoyens et pouvoir leur dire qu'il n'y a pas que des droits mais aussi des devoirs (vote obligatoire, respect des règles,...). Leur montrer ce qui se passe dans le monde pour qu'ils réalisent que même si notre société est imparfaite et quelques fois injuste, nous bénéficions d'un système de répartition qui fait souvent oublier que ce que nous considérons comme des acquis sont des privilèges dans d'autres pays (développés ou non) comme l'accès à l'école, à la santé,... N'être que dans la revendication de droits supplémentaires et non dans la recherche de solutions pour l'intérêt général me semble dangereux tant nous sommes isolés dans le monde.
L'investissement dans les associations, la participation à des débats comme celui-ci, le vote.
voter déjà et contribuer selon ses moyens à la vie des communes. Certaines communes proposent aux habitants de donner un peu de leur temps pour aider à organiser des évènements ou autre. Cela pourrait être généralisés et étendues à d'autres tâches afin de rapprocher les gens et cela pourrait peut-être encourager à plus de solidarité.
quelques points en plus à la retraite, un crédit d'impôt indemnisant le temps passé sur le terrain dans des associations d'utilité publique comme on le fait pour les dons financiers aux oeuvres caritatives.
Dans les transports en commun, en Ile de France, je suis régulièrement témoin et quelques fois victime de marques d'irrespect d'hommes dont je ressens le rejet de nos valeurs d'égalité hommes/femmes, de notre liberté de femme occidentale. La passivité des témoins de ces incivilités me choquent tout autant et je pense qu'actuellement il n'y a que la vidéo surveillance qui puisse faire baisser le nombre des agressions. Afin de responsabiliser davantage les citoyens témoins de ces agressions, la non assistance à personne en danger pourrait être invoquée si l'alerte n'est pas donnée, à défaut d'intervenir directement.
Faire cesser l'impunité en permettant le traitement rapide de petites infractions avec mise en place d'une sanction rapide (TIG, réparation), Avoir un discours ferme, respectueux mais ne laissant pas la place au faux copinage comme on le voit souvent dans les banlieues. Développer la police de proximité et réinvestir les zones de non-droit. Sanctionner plus durement certaines incivilités comme le stationnement sur des places handicapés par exemple.
Déjà ne pas en commettre soi-même, montrer l'exemple!! Etre plus solidaire lorsque l'on est témoin d'une incivilité car le chacun pour soi ne peut que montrer à nos jeunes que c'est l'individualisme qui est la clé du pouvoir dans notre société alors que c'est tout le contraire qu'il faudrait promouvoir. Pour les malotrus incurables, l'union fait la force, on ne peut pas tout attendre de l'Etat!!
Celles faites aux femmes, aux personnes en situation de handicap, aux personnes d'origines ethniques différentes et là, actuellement, toutes les communautés sont discriminées et discriminantes...
Mieux comprendre la cause de l'émergence d'une discrimination pour mieux la combattre. On a vu trop d'angélisme autour de ces sujets, de moralisation bisounours, qui ont empêché la résolution des problèmes qui si on les ignorent s'amplifient. La politique de l'autruche et de victimisation systématique de ces dernières décennies ont amplifié les discriminations en ne permettant pas à chacun d'exprimer librement ses difficultés à "vivre ensemble". On ne peut être tolérant et solidaire que si on se sent respecté sinon c'est la peur et le rejet qui dominent. Analyser aussi pourquoi tant de personnes ont besoin de désigner des souffre-douleurs ou des boucs émissaires pour se sentir bien dans le groupe/société serait intéressant. Dans nos sociétés, le rejet de la différence soude le groupe plus que la solidarité et c'est tout ce fonctionnement qu'il faut appréhender plutôt que chercher des raisons à telle ou telle discrimination.
Oui
Le respect total des lois de la République, le vote obligatoire, des TIG. Parallèlement, je souhaite que ces allocations soient augmentées et plus largement distribuées. Un subtil équilibre entre droits et devoirs en somme!!
Il est légitime d'émigrer pour chercher une vie meilleure en France mais il est aussi légitime que la France puisse s'assurer que ces futurs résidents respecterons les lois et les valeurs intangibles de la République. La situation n'est pas maitrisée et favorise le rejet de par et d'autres. La politique migratoire pourrait s'accompagner d'une aide au retour au pays non pas en donnant une enveloppe qui servira sans doute à payer un passeur pour revenir mais plutôt une aide dans le pays d'origine par la mise en place de partenariats autour de projets de développement intégrant l'embauche de cette personne par exemple. Pour les demandeurs d'asile, toute notre aide bien sur et même amplifiée pour qu'ils puissent retrouver bonheur et sérénité en France. Par contre pour ceux qui cherchent seulement à profiter du système français, qui crachent sur nos valeurs et qui ne donnent rien en échange, retour au pays. La générosité aveugle avec l'argent de la communauté fait le lit des extrêmes prônant le repli sur soi.
Pourquoi pas mais que ces objectifs intègrent nos possibilités d'accueils en terme de logements sociaux. Pourquoi accueillir de nouvelles personnes si on ne peut ni les loger, ni leur permettre de gagner leur vie. Donnons-nous un peu de temps pour intégrer les personnes déjà présentes sur notre territoire sinon gare au sentiment d'envahissement propice là encore à la montée des extrêmes.
Mettre en place des accords avec les pays d'origine pour trouver des solutions gagnant/gagnant car il est illusoire et inhumain de penser que nous pourrons nous claquemurer derrière nos frontières. Par exemple, pour éviter la fuite des cerveaux, on forme à nos frais leurs futurs médecins, ingénieurs,... mais ils rentrent au pays pour permettre son développement. L'instruction des demandes dans le pays d'origine via les ambassades et la non prise en compte des dossiers en France sauf pour les ressortissants de pays où le statut de réfugié politique est avéré.
Pouvoir proposer des formations pour pouvoir parler le français, pouvoir connaître l'histoire et la culture française par des visites de sites historiques, proposer des séjours dans le milieu rural afin de limiter le repli sur sa communauté qui tout en étant légitime ne facilite pas l'intégration.
Balayer les peurs des citoyens les plus en difficulté d'un revers de main arrogant et moralisateur n'a fait que faire monter les extrêmes dans toute l'Europe. Celle-ci a déjà connu des régimes autoritaires mais l'alternance entre ces régimes meurtriers et une démocratie mollassonne incapable de défendre ses valeurs n'est pas une fatalité. Ce sera un véritable défi pour nous que de se concentrer davantage sur ce qui nous rassemble plutôt que sur ce qui nous divise mais je crois que le peuple français en est capable.
Deux axes d'amélioration : - Une décentralisation, oui, mais davantage contrôlée pour éviter les dérapages, détournements et enrichissements observés quelques soit la couleur politique au pouvoir (à croire qu'il y a pacte de non agression tacite...). L'utilisation des fonds publics de façon très discutable (emplois fictifs, copinage, marchés truqués,...) souvent observée dans les collectivités territoriales et autres organisations satellites (associations, agences,...) ne doit plus pouvoir perdurer sans que l'Etat financeur ne puisse/veuille faire cesser ces abus. Cette impunité n'est plus acceptable, l'outil de contrôle existe: c'est la cour des comptes, il faut juste passer à l'acte suite à son rapport annuel. - Le désengagement de l'Etat au profit d'associations/fondations dans des missions essentielles génère une inégalité territoriale, de qualité de service. Dans la prise en charge du handicap par exemple, on observe souvent des conseils d'administration complètement déconnectés du terrain prenant des décisions couteuses et inadaptées avec l'argent du contribuable. Sur le terrain, le personnel s'épuise à suivre des directives qui n'ont pas de sens et qui vont à l'encontre du bien-être des personnes dont ils s'occupent. Je ne parle même pas des abus, de l'argent public qui ne profite pas aux personnes en situation de handicap mais plus à des instances dirigeantes multipliant réunions et colloques mais rechignant à serrer la main d'une personne handicapée (au cas où ce serait contagieux...)... Une honte !!! L'Etat doit reprendre la main dans ces domaines et faire le "ménage" pour le bien de tous.
Non
None
Oui
None
La mise en place d'un dossier unique et partagé où toutes les administrations pourraient avoir accès aux pièces justificatives pour la constitution d'un dossier.
Non
None
Que toutes ces nouvelles formes de services publics soient développées même en milieu urbain pour les personnes en situation de précarité et/ou en difficulté avec le suivi de leur dossier (âge, difficulté de lecture/écriture, handicap,...).
La CPAM, la CAF, les impôts grâce à leur plate-forme numérique permettant d'effectuer des démarches à distance.
Les mêmes !!! Tout changement de situation entraîne des erreurs et des délais de paiement très préjudiciables pour les personnes déjà fragilisées (maladie, handicap,...) dus souvent à la superposition des méthodes d'instruction des dossiers (par internet et par courrier,...) et la multiplicité des intervenants. Un simple déménagement devient un vrai parcours du combattant malgré l'utilisation de la plate-forme "services publics" sensée prévenir toutes les administrations qui, pour la plupart, ne semblent pas en tenir compte...
Oui
Non
None
L'instruction d'un dossier de demande d'allocation par Pôle Emploi a été un vrai casse-tête. Les calculs erronés, les pièces perdues et demandées plusieurs fois, le dossier oublié puis perdu puis retrouvé et à nouveau oublié, 4 mois sans allocation juste parce qu'il a été impossible de rencontrer une personne en possibilité d'instruire le dossier (accueil transférant seulement les pièces). Ces mésaventures sont arrivées à plusieurs personnes de mon entourage.
Oui
Ils devraient pouvoir intervenir directement sur les dossiers au lieu de n'être là que pour transmettre les documents dans d'autres services, cela éviterait la perte d'information, les erreurs, les incompréhensions, la perte de temps et le coût que cela induit. La prise de RDV pourrait faciliter l'accueil des usagers.
Oui
Réfléchir leur organisation et la mise en place de procédures en terme de satisfaction usager, efficacité, utilité, économie de coût. Favoriser le partage des fichiers informatiques, des locaux (espaces multi-administrations), harmoniser les procédures. Mettre en place des formations sur des procédures qui ne changent pas tous les 6 mois car il arrive que nous, usagers, soyons plus au courant des derniers changements que les fonctionnaires sans doute lassés aussi par la complexité inutile de leurs procédures.
Les nouvelles formes de services publics citées plus haut me semblent très pertinentes et vont, selon moi, dans le bon sens : - Le regroupement dans un même lieu de plusieurs services publics (Maisons de services au public) ; - Les services publics itinérants (bus de services publics) ; - Le service public sur prise de rendez-vous ; - Les agents publics polyvalents susceptibles de vous accompagner dans l'accomplissement de plusieurs démarches quelle que soit l'administration concernée.
Les formations répertoriées (CARIF, Pôle Emploi,...) sont périmées ou complètes, difficile d'avoir les bonnes infos. L'AFPA réserve souvent ses places pour les salariés car plus rémunérateur (c'est eux qui le disent) donc il faut se tourner vers des structures privées hors de prix et proposant des cours d'une qualité souvent inférieure et inégale. Selon mon expérience, Pôle Emploi ne finance les formations que si on entre dans des cadres stricts même si le projet de reconversion est dans un métier en tension (restauration, aide à la personne,...). Si on a plus de 26 ans, le bac et qu'on perd son emploi, il est très difficile de pouvoir se reconvertir malgré le discours actuel prônant la nécessité d'accepter qu'une carrière ne puisse plus être linéaire. Avec le financement public que l'on donne à des structures privées qui ne remplissent pas leur rôle (formations bidons, non diplômantes, couteuses), on pourrait renforcer l'offre de l'AFPA et du GRETA pour la formation professionnelle des adultes.
Mon fils, très bon élève mais trop curieux, a souvent "dérangé" les enseignants par ses questions et, autour de moi, j'ai beaucoup d'exemples de personnes douées mais à l'esprit non formaté qui ont été en échec scolaire. L'école n'encourage pas la créativité, la curiosité, la prise d'initiative. C'est même tout le contraire et la non reconnaissance des différentes sortes d'intelligence ont mené à la suprématie des filières scientifiques car avec un bac S, on peut aller n'importe où, ce qui est une absurdité. Que dire des filières professionnelles qui sont totalement dépréciées, de l'apprentissage dont certains patrons abusent. Mon fils, en BTS aménagement paysager en CFA, devait se rendre, à ses frais et en dehors de ses heures, sur des chantiers à plus de 200km. Son maître de stage lui a signifié qu'il était en mesure, en tant que président de jury, de compromettre l'obtention de son diplôme... Le CFA, prévenu, n'a pas bronché car ce patron prenait tout les ans plusieurs apprentis. Dégouté, mon fils a fini par abandonner. Ma fille aurait eu besoin d'être rassurée sur ses aptitudes mais l'évaluation permanente, la mise en relief des échecs et jamais des progressions et des réussites de notre système scolaire ne lui ont pas permis de s'épanouir à l'école alors qu'elle adore apprendre de nouvelles choses. Elle s'est plus épanouie en apprentissage mais la fatigue inhérente à ce mode d'enseignement l'ont mise en difficulté (3h30 de trajet journalier, 5 semaines de vacances et la même dose de cours à apprendre qu'en formation initiale sur 2 ans). Hospitalisée, la majorité de ses professeurs n'ont pas fourni les cours. De même, l'absentéisme important de ses professeurs dans le secondaire a nuit à sa scolarité. Pour quelques professeurs réellement investis dans leur mission que je remercie d'ailleurs, on en remarque beaucoup qui manque de motivation et d'intérêt pour leur métier et cela ne s'explique pas forcement par la rémunération ou le manque de moyens...
Débordés, les conseillers Pôle Emploi n'ont que très peu de temps à nous accorder et c'est dommageable pour nous mais aussi pour eux. Un échange plus approfondi pourrait leur permettre de mieux appréhender les particularités de certains domaines d'activité. J'étais très active dans mes recherches et ils ne m'ont rien apporté de plus mais je ne leur en fait pas le reproche car c'est le format de nos échanges qui n'est pas adapté, on passe plus de temps en général à échanger sur les problèmes de paiement de l'allocation que sur la recherche d'emploi!!
N'étant pas encore entrée dans le vif du sujet, j'ai fait plusieurs simulations sur le site et j'en ai été très satisfaite.
Mon déménagement d'un département à l'autre a généré une rupture dans la prise en charge de mes soins de plusieurs mois !! Idem pour le délai de paiement des indemnités en cas d'arrêt maladie qui sont très pénalisants pour les petits revenus et qui font qu'on hésite à se faire soigner. Sachant qu'une meilleure santé et un coût passe par la prévention et la prise en charge rapide d'une maladie, c'est au final une fausse économie pour la collectivité.
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Il faut se réjouir qu'en France nous ayons autant de services publics car cela veut dire que la collectivité prend en charge beaucoup de domaines : santé, éducation, infrastructures,... Cela ne me gène pas de payer des impôts si ceux-ci sont utilisés efficacement pour la collectivité, que des actions sont mises en place pour diminuer les détournements et autres abus. Parallèlement, je pense que nous devrions avoir une vision de ce que la collectivité a contribué pour l'éducation de nos enfants, pour notre santé car rien n'est gratuit et ce n'est surtout pas un dû. Mon souhait serait que cet échange entre administrés et administration soit moins ressenti comme une contrainte mais davantage comme un contrat de confiance.
Votre message a bien été envoyé.