- La publication des avis de la cour des comptes sur la dépense publique et la publication par l'Etat des moyens pris en réponse aux observations - la question ouverte des citoyens sur l'utilisation de l'impôt
De plus en plus de gens démunis vivent en France et sont exonérés de l'impôt sur le revenu ce qui est normal et rentre dans la mission de l'Etat de redistribuer la richesse fiscale. Du coup, Les classes moyennes sont plus impactées par chaque réforme. Dans ce contexte, le retour à l'impôt sur la fortune serait vécu comme normal.
La TVA, les droits de succession
Augmenter le temps de travail|controler que les aides sociales versées profitent aux bonnes personnes plutot que de revoir les conditions d'attribution
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l'enfance, les handicapés
la contribution à la création de crèches, le suivi des enfants en difficulté, les centres d'adaptation des jeunes handicapés, les maisons de retraites et centre pour personnes âgées
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La question est mal posée : nos politiques nous representent ils de façon efficace ?Même si nous sommes en démocratie et non sous une dictature, Il est clair que non si l'on en juge la méfiance des français vis à vis de leurs politiques qui ne se retrouvent plus dans la politique du gouvernement. Est ce parce la Vème république a vécu? je pense que OUI. L'assemblée nationale n'est plus force de propositions et le gouvernement paraît prédominant. Il faut redonner la parole aux citoyens pour une meilleure participation et prise en compte. La Suisse est un exemple en termes de démocratie réelle. Sans aller jusqu'à la création d'états fédéraux qui risquent de mener à une France à plusieurs vitesses, il faut donner la parole aux citoyens par le référendum
Non
Je dis non, car il y a déjà un trop fort corporatisme en France qui conduit au blocage
OUI, c'est évident, les députés sont censés representés les citoyens mais s'en éloignent car ce ne sont pas eux qui donnent les orientations politiques générales. Il serait souhaitable d'inverser le processus : faire travailler nos représentations nationales sur la base de choix proposés par les citoyens et décidés par voie référendaire. Comment expliquer que 35 députés en période de congés scolaires parviennent à faire votre en catimini, pour des raisons évidentes budgétaires, une loi sur la réforme du primaire pour confier la gestion au secondaire, sans que les professionnels en aient été consultés ? Par ailleurs nos députés, si j'estime qu'ils ne sont pas trop nombreux, ne sont pas suffisamment présents aux sessions budgétaires. Il ne doit pas pour eux y avoir de conflit entre présence à l'assemblée nationale, et permanence parlementaire qui peut être confiée à leur suppléant. Je propose une forte perte d'indemnité à chaque manquement à l'assemblée nationale.
Une bonne chose
les mandats doivent être effectifs
La proportionnelle est un moyen, avec le risque que cela comporte de voir émérger des forces qui ne soient pas réellement démocratiques mis c'est l'absence de prise es compte des besoins et des situations des Français qui facilitent ces émergences, à force de ne rien faire.
Oui
Il faut s'interroger sur la superposition des structures locales, entre communes, agglomérations et communautés de communes, département et région. Les citoyens ne s'y retrouvent plus. N'y a t'il pas des échelons de trop, en sachant que les français sont attachés à la proximité de leurs élus. Question à débattre en référendum à l'occasion de modifications contitutionnelles
Le désintérêt est dû en grande partie à ce sentiment que les politiques ne les représentent plus. D'où la nécessité de redonner la parole aux français à chaque fois que de besoin. Par exemple, recourir aux budgets participatifs comme dans le Gers, susciter des axes de travail prioritaires des parlementaires décidés par référendum, soumettre à référendum du citoyen des décisions dès lors que des" motions de censure citoyennes" au delà d'un certain seuil le requierent.
Oui
une comptabilisation des votes blancs a une signification
J'ai anticipé cette question et me contente d'un copier coller : Le désintérêt des français pour les élections est dû en grande partie à ce sentiment que les politiques ne les représentent plus. D'où la nécessité de redonner la parole aux français à chaque fois que de besoin. Par exemple, recourir aux budgets participatifs comme dans le Gers, susciter des axes de travail prioritaires des parlementaires décidés par référendum, soumettre à référendum du citoyen des décisions dès lors que des" motions de censure citoyennes" au delà d'un certain seuil le requierent.
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Pourquoi ce déclenchement du RIP ne serait déclenché que dans ce seul contexte? D'abord c'est compliqué pour le corps électoral, et il faudrait pouvoir simplifier les règles de saisine. La preuve, combien de fois y a t'on fait recours ? D'autre part, n'est ce pas trop minimaliste? Toute proposition recueillant un seuil minimum devrait pouvoir être soumise à référendum populaire.
Les citoyens doivent pouvoir s'emparer de ces questions indépendamment de la consultation par l'Etat ou les collectivités locales. Pourquoi ces instances le feraient aujourd'hui si elles ne l'ont pas fait jusqu'ici? probablement en l'absence d'un cadre juridique, ce qui reste à définir. Le référendum d'initiative populaire, sur la base d'un socle minimal constitue une solution également Par ailleurs, Il est une grande institution en France qui formule chaque année des propositions sur les dépenses publiques : la cour des comptes. Or ses avis ne sont que des avis... La première des choses serait de rendre obligatoire les rectifications qui s'imposent et de rendre officielles les mesures prises . (Exemple : la dénonciation par le passé des bénéfices des sociétés d'autoroutes françaises qui continuaient cependant à augmenter leurs tarifs, ou bien la dénonciation des dépenses publiques des administrations )
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Le principe de laicité à l'égard des religions n'est pas remis en cause à ce jour.
La République impose des droits et des devoirs. Et il ne faut pas oublier les devoirs comme notre société moderne a tendance à le faire. Ce qui passe par l'instruction du civisme dès le primaire dans les écoles, par l'information du citoyen par les instances concernées, la prévention et si besoin une répression.
Un peu plus d'écoute du citoyen et la facilitation de cette écoutepar le biais de consultations sous diverses formes, par internet, par les maires
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Du temps citoyen, ….
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Notre société ne peut vivre sans l'immigration, le Japon qui mourra par sa natalité insuffisante et son rejet total d'immigration en est l'exemple. La France a besoin des immigrés mais elle doit mieux les intégrer en favorisant une intégration réussie au sein de la population et non en créant des quartiers de ville complets au sein desquelles la République et ses valeurs ne sont plus reconnues, ce qui est certes inadmissible. Cela passe par une politique d'habitat adaptée et métissante car la France sera à terme métissée que nous le voulions ou non. Le rejet des populations immigrées est dûe en grande partie par cette politique de l'habitat. Mais la France ne peut jouer seule sa carte d'immigration : la politique d'intégration doit être européenne.
….par le parlement européen !
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L'intégration par l'habitat et par l'économique.
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L'Etat s'est dessaisi de beaucoup de ses missions sans donner pour autant les moyens financiers correspondants aux collectivités locales.. Il en est ainsi du domaine de l'action sociale, de l'aide à l'enfance....En outre, si la décentralisation est globalement une bonne chose, elle a ses limites car il y a des domaines de compétence qui n'auraient pas dû être données aux maires qui se trouvent trop souvent sous la pression des administrés, comme par exemple l'urbanisme.
Non
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Oui
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Non
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les impôts grâce à une dématérialisation très avancée et efficace
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Oui
Non
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Oui
délégation, adaptation des règles de procédure
Non
NON, car il faut continuer de faire évoluer les choses en favorisant les dématérialisations sans pour autant remettre le service public auquel je suis attaché
par l'écoute des besoins des citoyens,
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Le
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
En partant du postulat de base que ces dérèglements sont dûs au réchauffement climatique lui-même engendré par la pollution et l'exploitation irrationnel de l'homme sur la planète, il faut investir sur les moyens d'influer sur un abaissement du taux de pollution : - favoriser le transport collectif et le rendre plus économique que le transport individuel: est il normal qu'un billet SNCF Paris Marseille soit plus cher qu'un déplacement automobile à partir de 2 personnes en prenant l'autoroute et pourquoi le trajet en avion est moins cher qu'en train. Aujourd'hui, on se pose encore la question pour les déplacements longs du transport en train ou voiture, ce qui n'est pas norma. Le co voiturage demeure encore la solution la plus économique -développer les OUIGO qui sont plus abordables et permettent de renoncer à la voiture individuelle - tant que le transport collectif sera aussi cher, inciter les automobilistes à recourir au co voiturage avec la création de nouvelles aires de co voiturage - instituer de fortes taxes aux poids lourds pour les détourner des autoroutes et instituer des allègements fiscaux pour ceux qui acceptent le rail - route : le modèle suisse est interessant avec une forte utilisation du rail route. A l'inverse, l'exemple allemand pointe la situation catastrophique d'encombrement des autoroutes à hauteur d'Aix la Chapelle - développer en France les energies renouvelables comme les panneaux solaires qui pourraient figurer dans l'équipement de base des nouveaux logements , - produire à moindre coût de logement à basse consommation dit à énergie positive
Non
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Oui
investissement dans un chauffage central au sol par pompe à chaleur moins polluant que la chaudière à mazout et plus écologique, lampes économiques, utilisation de peinture à l'eau
les déductions fiscales pour une évolution vers un chauffage plus écologique sont incitatives mais condamner dans les 10 ans l'utilisation du fuel pour les chaudières est une hérésie : les nouvelles chaudières à condensation technique sont très performantes et moins polluantes que par le passé et à notre niveau de technologie, il n'y a pas aujourd'hui une énergie d'avenir véritablement prépondérante et intégralement non polluante pour l'environnement. L'electricité est contestable tant dans sa production que dans les composants des batteries , idem pour les panneaux solaires, l'essence verte est une solution partielle mais surtout pas planétaire, le gaz est cher et soumis à des contraintes….En résumé, il ne semble pas que l'on dispose d'une energie prépondérante mais en revanche, c'est plutôt la diversité des énergies qu'il faut rechercher au travers des technologies les plus performantes. Inciter les automobilistes à recourir aujourdhui au véhicule électrique par le biais des primes d'Etat est la même erreur que celle des précédents gouvernements qui n'ont pas su endiguer par le passé le choix des Français vers le diesel. En matière de transport, mieux vaut donc inciter au recours au transport collectif, bus, trains, covoiturage que d'investir dans des aides aux particuliers pour le transport individuel. En matière de chauffage, l'incitation ne doit pas se fonder donc sur une aide au mode d'energie du logement mais sur des investissement en matière d'isolation denature à diminuer les dépenses energétiques et de pollution, voire même pour les nouveaux logements, vers des bâtiments à energie positive.
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Non
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Non
NON, car en milieu rural il est le plus très difficile de se passer de voiture pour les déplacements quotidiens. Le co voiturage est utilisé pour des déplacements très précis et ponctuels
Les transports en commun|Le covoiturage|Le transport à la demande
Le service public avant tout, donc l'autorité d'Etat qui en est chargé en milieu rural.
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La génération de demain paiera les pots cassés de notre passivité d'aujourd'hui et du manque d'intervention de nos politiciens car tout ne repose pas sur la seule action des particuliers. Cela passe par une plus grande prise de conscience qui doit se traduire par des investissements budgétaires qui ne se fondent pas exclusivement sur une taxe écologique mais par des choix de societé : l'appui à une production agricole de proximité et raisonnée, la production de biens de consommation durables et non à destruction programmée, des choix sociétales en matière de transport publique et une politique de constructions de logements sociaux intellgents
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