Un peu d'honnêteté dans la communication gouvernementale. Et arrêter de culpabiliser les gens quant à la dépense publique, cesser de la diaboliser.
Nous n'avons jamais été aussi riches qu'actuellement, tout est question de répartition. Commencer par en donner moins aux grosses entreprises. Et taxer plus toutes les activités qui ne répondent pas à un drastique cahier de charges de développement durable (environnement/social/économie). Evidemment, je ne vois pas notre petit banquier en chef capable de mener une telle révolution philosophique et morale.
TVA sur les produits viables d'un point de vue environnemental et social.
Je répète : taxer plus toutes les activités qui ne répondent pas à un drastique cahier de charges de développement durable (environnement/social/économie).
Trop facile de s'attaquer aux plus fragiles. D'abord s'attaquer aux niches fiscales et à l'évasion fiscale.
L'accompagnement du handicap.
L'accompagnement au développement d'une économie viable sur les plans social et environnemental.
L'économie n'a pas de sens en soi, déconnectée d'objectif sociaux, voire sociétaux. L'économie (et l'argent en général) est un outil au service de la société, pas une fin en soi. La financiarisation sans foi ni loi est le meilleur moyen d'assassiner notre société. Il faut avant tout recréer du lien social. Ré-impliquer les gens dans un projet sociétal durable. Et pour ça, le meilleur moyen est sans doute d'alléger le fardeau du budget mensuel. Donc créer le revenu universel, qui bénéficiera à toutes les strates de la société. Moins de pauvreté sécurisera les plus riches (moins de délinquance). Plus de trésorerie globale favorisera l'économie en général... etc.
Les élus - maire et conseiller départemental -, qui ont une réelle connaissance de leur territoire. Éventuellement les députés, à condition qu'on ne les éloigne pas de la réalité du terrain en augmentant inconsidérément le périmètre de leur circonscription (le meilleur moyen pour dégoûter les citoyens de l'exercice démocratique).
Oui
On n'a rien inventé de plus efficace que la représentation salariale, à moins de vouloir flinguer une bonne fois pour toute les droits des salariés. Et dans des domaines comme la transition écologique, les associations reconnues, par leur connaissance du terrain, sont des précieux partenaires des services de l'Etat.
Que les Préfets cessent de court-circuiter la vie démocratique.
Une bonne chose
On ne peut raisonnablement pas être partout à la fois. Il y a suffisamment de compétences parmi les citoyens pour se partager les tâches.
Ça n'est pas tant un problème de sensibilités politiques que d'écoute en général. Et pour entendre les territoires, l'Etat ferait bien de commencer par ne pas assassiner la décentralisation.
Non
Plutôt que de s'attaquer à la représentation démocratique, on pourrait très bien se dispenser des Préfets, petits gouverneurs absolus qui ont oublié que les services de l'Etat sont au service des territoires - et pas l'inverse.
Donner un vrai pouvoir aux élus. Encore une fois, supprimer les Préfets. Le Conseil départemental est tout à fait en mesure de gérer le territoire et d'assurer le bon fonctionnement des services de l'Etat. C'est à force de déshabiller les élus que l'on dégoûte les citoyens de la démocratie.
Oui
Je n'en sais rien. Chacun son travail. Les services de l'Etat sont sensés disposer des compétences capables de proposer des solutions intelligentes.
Les communes sont un maillon essentiel d'information et de concertation. Et le département doit pouvoir synthétiser les éléments collectés par les communes. On remobiliserait peut-être aussi les citoyens si on arrêtait d'insulter les collectivités locales avec le fameux "mille-feuilles administratif". Encore une fois, la seule couche nuisible au bon fonctionnement de la démocratie est le préfet.
Je ne sais pas
Donner plus de pouvoirs consultatifs aux maires me semblerait un bon début. Ce sont eux qui connaissent les citoyens, bien mieux que les parlementaires. Ils peuvent aisément organiser des commissions extra-municipales sur moult sujets, consulter leur population...
Il faudrait commencer par informer !
Commencer par gagner en visibilité... !
Oui
Qui sont leurs interlocuteurs auprès des municipalités ? Quel souci ont-ils réellement d'un contact direct avec les communes ou communautés de communes ?
Education - éducation - éducation - éducation... Ne pas baisser les moyens de l'Education nationale. C'est par là que commence le respect de la laïcité.
Même réponse que pour la question précédente.
Renforcer le pouvoir des communes pour rendre la démocratie plus accessible, moins centralisée. Favoriser la proximité de lieux d'échanges citoyens. Que toute mairie puisse devenir une maison de la citoyenneté. Avec des débats réguliers, des budgets à gérer directement par des groupes volontaires de citoyens pour des actions locales concrètes. Et bien sûr remplacer les sénateurs par des citoyens tirés au sort.
L'engagement associatif, l'engagement municipal... Tout engagement au service de l'intérêt commun.
Indemniser mieux les élus. Et EVIDEMMENT, créer le revenu universel pour que les gens puissent dégager du temps au service des autres, au bénéfice de l'intérêt commun. La société a impérativement besoin que les gens aient la disponibilité pour recréer du lien social.
Supprimer les préfets castrateurs ! Donner plus de marge de manœuvre aux conseils départementaux : aller plus loin dans la décentralisation plutôt que de se replier sur une centralisation stérile. Faire confiance à la créativité des territoires. Et créer un vrai revenu universel pour encourager chacun à des actions constructives au-delà de la simple nécessité de boucler son budget à la fin du mois.
J'ai la chance de vivre dans un environnement très préservé. Ici, la chose la plus pénible est l'individualisme. Le moi moi moi, mon droit à moi, mon choix personnel à moi, ma liberté rien qu'à moi... Parce que je le vaux bien et les autres on s'en fout.
Donner plus de moyen à la Police de proximité, pas forcément armée jusqu'aux dents. Une Police formée au dialogue, un peu à l'instar des Bobbys anglais. Et encore une fois : le revenu universel pour permettre au plus grand nombre de réinvestir du temps dans le lien social.
La qualité du lien social, donc l'investissement de chacun, en particulier dans le tissu associatif.
En ville, l'insulte aux femmes ou aux jeunes filles. De tristes sires qui se prennent pour des grands mâles dominants et se permettent des choses (allusions graveleuses, insultes...) qu'ils ne supporteraient pas à l'égard de leur mère ou leurs sœurs. De minables individus qui n'ont toujours pas compris que les femmes n'avaient aucunement à se soumettre.
Encore une fois l'éducation. Et une réelle condamnation de ces attitudes.
Non
Depuis quand les discriminations et incivilités sont-elles l'apanage exclusif de ceux qui bénéficient des allocs ? Il faut des pénalités financières pour tous les auteurs de discriminations. Pas que pour les allocataires !
Ce qui me gêne ça n'est pas l'immigration en elle-même mais l'accroissement de l'obscurantisme religieux, notamment islamique. Quant à l'immigration, faute de pouvoir régler tous les problèmes du monde qui poussent des gens à fuir pour survivre, il est certain qu'on doit trouver un équilibre...
En quoi cela résoudra-t-il la question de l'immigration clandestine ? En quoi cela résoudra-t-il les problèmes de transit vers le Royaume-Uni ?
Notamment placer le Royaume Uni devant ses responsabilités et ne plus bloquer les candidats à "l'immigration anglaise" chez nous.
Apprendre la langue française est un préalable incontournable. Recevoir un minimum d'éducation à l'Histoire et aux institutions. Et le tissu associatif pour créer du lien, ne pas laisser les nouveaux arrivants dans une situation d'isolement ou de repli sur soi - source de bien des dérives.
Le développement durable devrait être la colonne vertébrale de notre société, intégrant à parts égales environnement, social et économique. Tant que les préoccupations financières domineront la société, la démocratie sera en danger. Tant que l'individualisme économique régnera en maître absolu, la citoyenneté n'aura pas de sens. Tant que le profit immédiat sera la religion dominante, aucun avenir commun ne pourra être construit. La financiarisation de toutes nos valeurs démocratiques est la mort de notre civilisation. Notre seul salut est le partage - du temps, de l'argent et des valeurs morales et culturelles.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Sortir de la religion du profit immédiat et de la financiarisation délétère, arrêter de tout détruire sous prétexte de faire de la croissance, être bien plus drastiques en matière de normes environnementales, contraindre l'industrie et l'agriculture à respecter la planète, financer l'amorce d'un vrai développement durable (environnement, social et économie) par les gafa et autres grands fabricants actuel d'argent... le développement durable devant à court terme être viable économiquement. C'est un nouvel équilibre à amorcer. La Transition.
Oui
Tempêtes plus marquées, rythmes saisonniers différents, sécheresse estivale clairement perceptible et qui n'est plus anecdotique... Nécessité absolue de faire évoluer nos pratiques : économies d’énergie et production d'énergies vertes.
Oui
Alimentation bio et locale. Groupement d'achats bio. Limitation au maximum des emballage (achats vrac, boycott des produits à gros blisters, etc.). Rénovation de l'habitat à partir de matériaux bio-sourcés, indépendance énergétique (production solaire et éolien), phyto-épuration... Avion le moins souvent possible. Trajets automobiles rationalisés. Compost. Boycott au maximum de la chimie pharmaceutique (phytothérapie et autres alternatives naturelles privilégiées en l'absence de pathologies lourdes). Militantisme pour la biodiversité, la protection des milieux naturels...
Auto-consommer sa production énergétique amène forcément à se réguler ! Maintenir les services publics et développer la vie locale (économique, sociale, culturelle...) permet en outre de limiter ses déplacements.
Je l'ai déjà fait, par conscience écologique. Il n'y a que le problème de la voiture qui reste insoluble : pas d'alternative satisfaisante au diesel quand on a quatre enfants à transporter parce qu'on occupe le territoire (dit rural ou périphérique)... et qu'on a pas envie d'aller s'agglutiner en ville.
Oui
Une aide financière sérieuse !!!
Non
None
Le covoiturage|Les transports en commun
A force de retirer des moyens financiers aux départements et aux régions, je ne vois qu'une volonté politique et financière de l'Etat pour renforcer la maillage du transport en commun. Un accompagnement efficace des collectivités territoriales permettrait aussi sans doute de développer le covoiturage (outil PUBLIC efficace à développer pour mettre les usagers en relation).
On sait très bien faire du lobbying international quand il y a de forts enjeux économiques. Commencer par convaincre Macron et ses acolytes que l'écologie est la seule option économique viable à court terme, remplacer de Rugy (qui est aussi écologiste que moi je suis danseuse au Bolchoï) par un vrai ministre convaincu (faute d'avoir su garder le très regretté Nicolas Hulot). Et agir de façon à être exemplaires, pour tracer la voie.
Ça n'est pas comme si nous avions le choix. Ceux qui aujourd'hui ne veulent pas comprendre que nous n'avons pas d'autre alternative que le développement durable (environnement, social et économie) seront coupables à court terme de la chute de notre société. Ceux qui s'entêtent à nous enfermer dans la logique du profit immédiat nous assassinent purement et simplement.
Votre message a bien été envoyé.