Date de publication : 2019-01-30
Code postal : 69330

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Suivi d'action gouvernementale pour le climat dont le vecteur de force serait la conversion écologique de l'agriculture et de l'agroforesterie. Et par là même la refondation des territoires ruraux comme des richesses en réserve d'emplois agroécologiques et agro-alimentaires. Conjointement à la création de lieux d'intérêt publique liés à la "repopulation écologique" des territoires (écoles, antennes de sécurité sociale et d'allocations familiales, maisons médicales, restauration et lieux de rencontre et d'échange social, le retour des bistrots ... ?). Pour de tels changements, il y a besoin de cette vision d’État à long terme, et de la puissance financière de l'impôt national.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Le questionnement à suivre sur le modèle agricole interroge la fiscalité _ à savoir : si l'hypothèse de diminution des charges grâce à l'agroécologie était vraie ; ce changement de regard sur activité, serait il possible pour les impôts ? Concernant l'agriculture conventionnelle, l'emploi de pesticides dans l'agriculture et d'antibiotiques dans l'élevage, entraîne des facteurs pathogènes dans notre alimentation : des frais de soins et de médication, des maladies, des antibiorésistances, etc ... De plus le modèle d'agriculture conventionnelle nécessite d'irriguer beaucoup. Et cet ensemble pollue les nappes phréatiques, et conjointement des coûts rajoutés à la dépollution de l'eau. En agroécologie, des spécialistes invitent à mieux comprendre la nature et les écosystèmes, et à limiter les charges inutiles : par une agriculture limitant le travail du sol (en maraîchage, voir les travaux de Jean Martin Fortier, ou de Maraîchage Sols Vivants, en agriculture Claude et Lydia Bourguignon)... En limitant le travail du sols avec des pratiques agroécologiques, quelles charges seraient évitables ? le désherbage (coût en temps et en travail) ; la fertilité (travail mécanique du sols, intrants de fertilisation, temps de travail … 5000€ l'hectare) ; l'irrigation (coût en eau, temps de suivi et de maintenance, imprévus des coup de sec...) ; maladies (produits phytosanitaires). Des spécialistes de l'agroécologie et du maraîchage en sols vivants, disent que l'agroécologie sans travail du sol permet d'économiser ces coûts … un long chemin de connaissance, de pratique, et d'expérimentation. Revenant à l'impôt, une meilleur économie pour la collectivité est elle possible en améliorant et en harmonisant nos pratiques de vie ? La conversion écologique de l'agriculture inviterait elle de nouveaux modes de vie à explorer et des améliorations pour la santé par l'alimentation aussi ? Et donc une meilleure économie de l'impôt ? Enfin, dans les relations entre les gens et dans la réglementations des usages commerciaux, sociaux, et professionnels, un meilleur devenir est il possible et une meilleure économie en sortie d'acte ? (L'impôt, la santé, et les charges publiques, tiennent ils de nos usages ?)

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Comment favoriser une activité vertueuse ? Alléger les charges et les impôts de cette activité ? Et notamment pour favoriser les emplois dans sa branche ? Et qu'en est il des charges dont la paysannerie en agroécologie doit s'acquitter ? Quand la Politique Agricole Commune subventionne l'agriculture industrielle et les achats de glyphosate à l'hectare cultivé _ sans aider les emplois dans l'agroécologie ? Si l'agroécologie est d'utilité publique et d'intérêt général, quand sera t elle déclarée telle par l'Etat et les collectivités _ aux écritures, et de fait et d'acte ?

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Reculer l'âge de la retraite|Développer à échelle nationale l'agroécologie par un vrai engagement national et Etatique _ refonder l'équilibre de ses territoires quant à elle _ créer des emplois et leur vie quotidienne et sociale associée _ changer le cadre de vie, alléger la ville, développer la campagne pour ses valeurs intrinsèques : celle de la vie rurale et agroécologique à faire devenir.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Les emplois dans l'agroécologie ne sont pas accessibles pour tout le monde. La première aide sociale serait déjà pour l'Etat de voir vrai tout son territoire agricole possible à convertir en agroécologie, et d'y préparer part de son peuple.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Pour la conversion agroécologique du pays.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

L'impôt pour le climat, c'est contribuer à fixer le carbone de l'air par la végétalisation de chaque sol. L'agroécologie et l'agroforesterie écologique sont des urgences climatiques et écologiques. La pollution de l'air tue chaque année des milliers de personnes en France. Comme la déforestation affole le climat. L'impôt pour le climat passe obligatoirement par la conversion agroécologique de l'agriculture et de l'agroforesterie. Un bien pour le climat, pour notre environnement, pour notre alimentation, pour nos emplois ... pour la santé publique certainement..

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Cette enquête publique sera t elle suivi ? Aura t elle un rôle dans la définition de ce qu'est l'État et de son action quant aux citoyen-ne-s qui y auront participé ? Le mandat est un outil d'action d'organisation politique du territoire dont il a la charge. Une personne est élue pour s'en acquitter selon ce que les électeurs ont choisi dans son programme mais aussi selon les changements de situations et de perception des situations par ses co-citoyen-ne-s. LA CAPACITÉ DE REPRÉSENTATION DES CITOYEN-NE-S DÉPEND DE CETTE PERSONNE ÉLUE, DE SES DISPOSITIONS À LES ÉCOUTER, ET DE SES INTENTIONS DE BIEN LES COMPRENDRE ET RÉFLÉCHIR AU TOUS LES MOYENS ACCESSIBLES À LA MISE EN ŒUVRE RÉALISTE DES SOLUTIONS, QUI TRADUIRONT SON ÉCOUTE ET SA COMPRÉHENSION DE SES CO-CITOYEN-NE-S. Cela dépend des personnes mandatées, avec la veine politique qu'elle représente et le courant d'idées qu'elle porte.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Il y a une lutte concurrentielle entre les associations et les syndicats ... Dans l'agriculture, la FNSEA et la Confédération Paysanne ont des orientations politiques et des visions de l'agriculture différentes. Le syndicat majoritaire des agriculteurs est la FNSEA qui représente les plus puissants agriculteurs du pays, et une force de pression sur le gouvernement ; d'avantage que la Confédération Paysanne, qui porte une agriculture à taille plus familiale, paysanne, et artisanale. En est il de même de la difficulté d'accord entre tous les syndicats de travailleurs ? Pourtant les syndicats et les associations sont les corps intermédiaires et devraient être des régulateurs au fait de l'évolution des lois et de la gouvernance de l'État. Enfin pourquoi commencer par les syndicats agricoles et paysans : parce que pour moi l'enjeu principal et urgent de chaque pays est la conversion agroécologique de son agriculture. Ce que je vois est que les États s'en montrent incapables et n'y sont pas prêts. À espérer que les associations citoyennes environnementales puissent aider. Mais des doutes sont permis. Biodiversité et sols vivants sont des enjeux de préservation de l'agriculture actuelle.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Des rencontres, des discussions, des partages, des explications, rendre concernés et pesants dans les décisions, être des citoyens éclairés des desseins portés par leurs représentants et continuer à avoir part d'expression et au débat. Il manque une chose à laquelle les citoyens ne sont pas forcément associés et amenés à conscience sur leurs territoires : quand des grands travaux impactent des terres agricoles et naturelles, se sont des réserves agroécologiques d'emploi et de biodiversité qui sont détruites. Quand ces terres sont vendues à de tels projets, ces ventes passent par l'aval de l'État et de l'administration. Cette chose qui manque, c'est le principe de précaution quand à la préservation de la biodiversité et des emplois agroécologiques que la préservation de tout espaces agricole et naturel sous-tend. Cette chose qui manque, c'est l'absence d'esprit de projet à cet égard, aussi bien au sein de l' état et de ses forces représentantes et associées, que parmi les grands acteurs de la distribution alimentaire, et parmi ceux de l'agriculture. Ce principe de précaution et cet esprit de projet agroécologique populaire manque et n'est pas, il n'est traduit par aucune action d'envergure et de masse. Il ne reste aux citoyen-ne-s que leur choix individuels et ^personnels _ mais aucun esprit de projet ni aucun projet territorial d'ensemble qu'ils partagent. Quelle discussion en ce sens ?

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

En prenant l'exemple d'un esprit de grand projet agroécologique nourricier à porter par tout notre pays : il faudrait qu'il soit porté par les députés, les régions, et les communes, et dans tout le territoires par l'État. Sa réussite dépendrait d'une cohésion de projet, et d'action : le cumul de mandats la permet il ? Le cumul de rémunération peut bien séduire en tout cas. Dans tous les cas ce qui est à espérer est une communication honnête et efficiente pour la meilleure réalisation d'un grand projet populaire agroécologique de qualité à coordonner sur tout le territoire. De cette qualité de communication de projet dépend la réussite des projets. Avec cette qualité de communication, quelle utilité publique revêt le cumul des mandats ?

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

1) Certains parlent de la proportionnelle. De mon côté je suis surtout attaché à l'idée de projet, qui est influencé par les sensibilités politiques. Réussir un projet d'intérêt général, par exemple la conversion agroécologique de pays, est à la somme de tous les équilibres : science pour la crédibilité des projets et des actions entreprises et du but poursuivi ; et acte d'équilibre économique à concevoir et établir. 2) Faut il de la croissance économique à tout prix ? Ou établir l'art du maintien des essentielles pour entretenir la vie et le bien-vivre, est il le but à chercher ? Enfin ; est ce que la croissance est la condition du maintien de ces essentielles ? 3) La science dit que maintenir ses sols vivants en agriculture est essentiel. De nombreux pionniers réussissent en maraîchage en travail limité des sols, du Canada jusqu'en France. Pourtant il s'agit d'entrepreneurs à titre individuel et privé, soit issus du milieu agricole, soit artisan de leur reconversion personnelle. Il n'y a aucun projet de réforme agroécologique d'un territoire en France, impactant la formation populaire de nombreuses jeunesses en vue de l'installation collective de la réforme agroécologique d'un territoire entier. Alors comment parler de la France entière ? Quelle sensibilité politique peut porter un tel projet et le rendre possible ? Est ce que la proportionnelle pourra aider ? Est ce que ces questions aident ? Est ce que leurs réponses seront lues ? Est ce qu'elles sèmeront et influenceront l'avenir en leur sens ?

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

None

9. Si oui, lesquels ?

Je ne sais pas : tout est question de projet, et je ne sais pas avoir les paramètres d'avoir avis sur cette question. Beaucoup de vos questions (et surtout dans le questionnaire rapide), nous demandent de trancher sans laisser un espace d'explication ou de recherche dans le questionnaire _ et c'est comme si ces questions devaient mener vers une interrogation unique et une réponse binaire orientée par le questionnaire lui-même : la France coûte t elle trop cher aux classes moyennes et aux petites gens dans l'état ? La France peut elle se payer son système d'aide sociale ? ... Mais la fiscalité en paradis fiscal semble rester hors d'atteinte _ et surtout hors sujet quant à ces questionnaires pour ce grand débat national déclaré. Dans son débat télévisé avec Plenel et Bourdin, le Président Macron interrogé par les deux journalistes sur l'évasion fiscale, corrigea ces deux interviewers politiques, en précisant que c'était de "L'OPTIMISATION FISCALE"... Nombre de députés et de sénateurs, quand les paradis fiscaux sont dit récolter 100 milliards d'euros par an ... Qu'y fait le Président Macron ? Est il dans les pas du Président Sarkosy contemporain de l'affaire Clearstream et de la mise en accusation de son lanceur d'alerte ? Du Président Hollande qui laissa enregistrer des lois permettant de faciliter les mises en accusations des lanceurs d'alertes ? Que fait le Président Macron _ va t il plus loin et plus fort que ces prédécesseurs dans ce sens ? Le Président Macron annonça t il la création d'une Ministère de la Vérité pour traquer tout individu Lambda non habilité à communiquer une quelconque vérité ? Des questions dirigées donc dans ce grand débat national _ et d'autres questions d'intérêt publique qui se posent à la démocratie concernant l'aménagement agroécologique des territoires _ mon souhait est que le nombre d'élus répondent au mieux à ces interrogations publiques et au défi vital qu'elles portent.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

La participation des citoyens aux élections est insuffisante _ pour les inciter, il faudrait être capable de les appeler et les interpeller par un projet qui leur parle et réponde aux préoccupations du temps présent _ mais cela est il possible ? Peut être au final chaque personne fait ce qu'elle peut.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

None

12. Si oui, de quelle manière ?

Comment prendre en compte le vote blanc _ je ne sais pas.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Sur la décision de grands travaux par exemple, il faudrait vraiment laisser tous les courants de pensée, toutes les sensibilités politiques et associatives, toutes les familles de conviction s'exprimer publiquement et à destination des gens concernés par l'édification de ces grands projets. Les incidences, dérangements, dommages environnementaux et écologiques, les pertes de potentialités d'activités autres que ces grands projets annulent, voir détruisent pour l'avenir une fois ces projets bâtis. Les projets autres, sont souvent des opportunités agroécologiques populaires détruites par la mécaniques des gains immobiliers, après que les administrations et l'Etat vendent leurs terres à ces grands projets immobiliers et de construction. Donc, l'idée serait d'associer en sensibilisant les gens concernés à toutes les visions de société, et notamment celles contrariées par ces grands projets. Des consultations référendaires locales pourraient avoir leur utilité. Enfin, un débat publique est un débat publiques, d'échange, d'expression, de communication. Des questions _ et d'autres questions d'intérêt publique qui se posent à la démocratie concernant l'aménagement agroécologique des territoires.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Je ne sais pas comment mais si le référendum d'initiative partagée a été rendu applicable depuis 2015, il serait bien que les citoyens soient clairement informés de ses modalités, et des droits qui les concernent, et quant à quelle orientations et décisions de la collectivité publique et de l'Etat.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Une politique de grands travaux concerne les grandes entreprises et leur gros porte-feuille _ et souvent l'Etat la promulgue en mettant en avant les partenariat publique privé qui sous-tendent une concession des terres publiques à ces grands travaux, et d'autres engagements et endettements publiques concédés pour la réalisation de ces grands travaux. Consulter et instruire le publique sur ces questions ! Et dernière question : qui consultera le public sur le manque à gagner agroécologique pour la population de son territoire, si il n'en est pas instruit ? Il n'y a pas de grand projet agro-écologique de pays, c'est comme ça. Je ne sais pas ce que veut le grand débat publique : qu'est ce qu'il veut changer ?

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

L'écologie, la lutte contre le réchauffement climatique, la création d'emploi, la lutte contre l'abandon des campagnes par les services publiques, la lutte contre la pression immobilière et foncière sur les espaces agricoles et naturels … Le Conseil économique, social et environnemental s'est saisi de sujets de nombreuses fois et a alarme depuis de longues années la population et les pouvoirs publiques de la consommation excessive des espaces agricoles et naturels. Le problème n'est il pas « comment entendons nous le conseil de ces assemblées modératrice et de veille sur les pouvoirs exécutifs ? Les sols végétalisés agricoles et naturels fixent le carbone de l'air, et participent à modérer le réchauffement climatique. Par ailleurs, les terres nourricières se raréfient. Quelle action de la loi et du gouvernement ? L'agroécologie emploient d'avantage de personnes à l'hectare cultivé que l'agriculture conventionnelle qui diminue les coûts de production et s'appuie sur les subventions européennes d'une agriculture conventionnelle agressive pour les sols cultivables. Quel est l'avis du Conseil économique, social et environnemental sur cette question ? Comment la gouvernance peut elle en tenir compte ? Et la population ?

18. Faut-il les transformer ?

None

19. Si oui, comment ?

Les avis de ces assemblées sont ils entendus et influencent ils la gouvernance dans ses choix ? À quoi servirait il de es transformer si leur avis et leur parole n'a pas plus d'effet sur les politiques publiques et territoriales, et sur les mode de production etc … ? Ces assemblées devraient représenter des forces alternatives à la puissance des lobbys sur le gouvernement et les intentions de transformation écologique du pays _ dont l'axe reste pour moi la conversion agroécologique de l'agriculture, créatrice d'emplois et nourricière. Si ce n'est pas qu'un discours d'illusion répété par qu'un monsieur impuissant à changer quoi que ce soit dans ce domaine, il s'agit d'un plus grand chantier national, qui appellerait le concours du privé et du publique dans un grand projet de transformation de la ruralité _ sachant que la grande distribution est l'acteur privé prépondérant pour l'alimentation du grand publique. De même certainement certains grands propriétaires et exploitants agricoles. Créer des emplois par une transformation agroécologique de l'agriculture appelle le concours de tous les acteurs et une très puissante réflexion de conception en amont. Un rôle pour ces assemblées ? Mais un tel grand projet national est il possible ?

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La nature est le fruit de la création de Dieu dans chaque religion. Le respect de la création c'est le respect de la vie et de la biodiversité. Un espoir : en principe, l'écologie, l'agroécologie, devrait mettre tout le monde d'accord : les maraîchers en agroécologie y deviendraient ils enseignants dans les métiers du respect de la création ? La foi est un cheminement de vie qui évolue avec l'expérience vécue.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Passer au sujet commun du respect de la vie et de la biodiversité, dont la pratique de l'agroécologie nourricière locale est une action partagée qui lie à la terre, à la nature, à la biodiversité et à la création pour les croyants ?

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Les gens sont souvent engagés dans et par leur emploi et la nécessité de s'acquitter de leur factures quotidiennement. La laïcité ou la nécessité du vivre ensemble se pratique dans la vie professionnelle autant que faire ce peut.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Les comportements liés au respect et à la conscience de la fragilité de la vie sous toutes ses formes, et du soin, de la précaution, du respect en connaissance et en prudence qu'elle demande.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Des questions qui dépassent le regard d'un simple citoyen _ je me permets quand même puisque ces questions du grand débat national nous invitent en citoyenneté : avoir un grand but but poursuivi, qui raconte une aventure de peuple et de nation, en phase avec toutes les préoccupations internationales et planétaires, autant qu'intelligente des enjeux locaux dans sa territorialité, et y répondant par son action de peuple, projetée dans ce grand but. Pour moi le grand but serait la conversion agroécologique de l'agriculture de pays.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Les gens sont occupés à gagner leur salaire à la fin de chaque mois. Je n'ai aucune idée sur cette question.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

La malhonnêteté, l'hypocrisie ayant intention de tromper et de léser, la violence visant à détruire et à soumettre quelqu'un en l'obligeant à abandonner son droit légitime et citoyen, etc etc.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Même au travail, ou à l'école, ou à l'assistance publique pour les pupilles de nation, les responsables en charge, des patrons aux éducateurs, sont incapables bien souvent, de gérer les abus du quotidien dans leur communauté en charge. Je crois que ce soit la doctrine de la main invisible du marché.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Sans s'exposer lui même ? Et que font les responsables en charge ? Y a t il une régulation de la main invisible du marché ? N'est ce pas un peu pareil tout cela ?

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Dés qu'une personne est minoritaire dans un groupe, il y a un risque. Merci.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Un grand but et la conscience à instruire et partager des besoins de soin de toute forme de vie. Par exemple, l'agroécologie est une agriculture soucieuse de la vie des sols et des écosystèmes, cela veut dire aller chercher ses nécessités alimentaires et donc vitales, dans le respect et le soin à son environnement naturel _ à cet égard, la culture de la conscience écologique est une éthique de vie, qui puisse s'étendre à la citoyenneté. Mais le grand but de la conversion agroécologique de son agriculture toucherait elle assez la nation et sa gouvernance, pour que la motivation et l'intérêt pour l'enjeu commun de l'avenir et du présent nourriciers et environnementaux, enterre les haches des guerres passées et de leur rémanence dans chaque présent ?

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

Compliqué n'est ce pas _ c'est un peu comme les pollueurs payeurs et la main invisible du marché.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Fonder un grand projet de la conversion agroécologique de pays, qui puisse permettre à chaque migrant d'acquérir une culture de métier qui ne connaisse que le soin nourricier à la terre mère, à cultiver et faire vivre et partager où que ce soit, y compris dans sa terre natale évidemment _ si le réchauffement climatique l'a encore épargnée assez pour re-faire vivre sa terre et ses sols nourriciers.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Un asile et un grand but : la lutte contre les effets du réchauffement par la pratique partagée de l'agroécologie et de l'agroforesterie. Et un espoir que ses savoirs faire puissent être utiles au sud. Un grand but de nation se poursuit par la veille et l'orientation du Parlement.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Le grand but de l'agroécologie à échelle de nation, de peuple, et de pays.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Avoir sa place et son rôle utile vivant dans un grand but nécessaire à tous, bon, autant que réfléchi et pensé, conçu et élaboré avec science et connaissance, expérience et partage de savoir _ pour semer, élever et cultiver tous les savoirs faire utiles et nécessaires à ce grand but _ ce grand but pour moi est la conversion agroécologique de pays, (et que cette conversion agroécologique invitent au changement chaque pays voisin _ autant qu'elle puisse être utile à tout pays en plus pauvre condition.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La création des maisons de service publique récemment déclarée par le premier ministre Edouard Philippe est un début pour faire retrouver sa force à la ruralité française. Je crois que sa conversion agroécologique impliquant tous les acteurs de pays, les paysans, les citoyens en devenir néo-paysans, la grande distribution, l'Etat et les collectivité locales, redonnerait à la ruralité française sa nature dans la lutte contre le réchauffement climatique et pour l'emploi et l'alimentation des populations.

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Tout est basé sur la ville et l'urbanisation. La valeur de la ruralité s'est perdue autant que l'agriculture s'est mécanisée et industrialisée et que la paysannerie s'est réduite et se réduit à des exploitations agricoles concurrentielles. La population des villes ne cessa pas d'augmenter, des métropoles. Chaumage, gentrification des villes, quartiers de la république en plein doute laïque ... et la valeur ancestrale du lien à la terre pour se nourrir, part le lien commun à toutes les cultures et origines, s'oublie avec la diminution du nombre de paysans chaque année qui passe. Comment depuis la révolution verte de l'agriculture intensive et industrielle avec son agrochimie et ses labours profonds, les territoires et les populations rurales, ont elles été conçues et organisées par l'Etat et les administrations en France ? Qu'est ce qui a changé dans les découvertes agronomiques sur l'agriculture sur sols vivants, sur l'agriculture biologique, sur les besoins de main d'oeuvre et de qualifications de le domaine ? Des emplois et une repopulation néo-paysanne des territoires ruraux de France est elle possible à imaginer, à concevoir, à planifier, à orienter vers un futur durable ?

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

1) subventionner et mandater les régions et les collectivités territoriales pour développer l'agroécologie paysanne sur le modèle étendu et selon les techniques maraîchères des microfermes _ et pratiquant une agriculture dite sur sol vivant. 2) donner les moyens aux collectivités locales et territoriales de faire respecter une déclaration d'intérêt général de toute terre cultivée en agroécologie paysanne _ et l'interdire à toute préemption pour travaux immobiliers sauf d'utilité à la vie néo-paysanne citoyenne en devenir cherchée. 3) la terre est toujours une responsabilité locale et territoriale, mais sans vision d'Etat à cet égard et sans vrai projet à cet égard, les circuits de la puissance et de l'argent ne cesseront pas leurs habitudes de captation de l'espace à vocation de sa mise en utilité asservie à leur profit.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

L'agroécologie paysanne n'est pas captée par l'Etat comme une urgence climatique, écologique, et sociétale. Elle redéfinirait pourtant l'occupation du paysage et la constellation des territoires par les services publiques _ puisque les campagnes seraient perçues comme une source d'activité économique nourricière du pays entier : les campagnes pour nourrir les villes autant que les campagnes. J'ai vu aux actualités des camionnettes aménagées avec internet mobile et une véritable officine administrative dedans, nomade, qui desservait plusieurs communes rurales isolées des services publiques. Des idées sont appelées, et les personnes qui portent leur compétence avec eux, offrent des grands possibles. J'ai entendu l'Etat prononcé cette expression récemment : "maison des services publiques". Les postes, les bistrots, avec les bureaux de tabac, les cantines de toute sorte, tout ce qui peut accueillir du publique et créer et entretenir de la socialisation, peut héberger du service publique : une question de compétences, de personnes, de moyens de transports, de moyens numériques (gsm et technologue 5G à la porte), et de gestion du temps. Mais ce qui anime est de savoir où nous allons et d'y croire. Réchauffement climatique et extinction de la biodiversité, artificialisation des sols agricoles et naturels par l'urbanisation et l'agriculture industrielle chimique _ tout cela est en point d'alerte quotidienne qui se rappelle à nous de temps en temps au journal télévisé. L'agroécologie paysanne citoyenne à échelle de pays est une réponse urgente à apporter, qui peut et doit redessiner et définir plan des services publiques sur tout le territoire national, au service de la conception d'une néo-paysannerie agroécologique citoyenne. Une planification des services publiques en lien à cette planification agroécologique nourricière nationale _ est ce possible ?

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

sécurité sociale : envoi d'arrêt maladie ou d'arrêt de travail (maladie ou accident de travail)

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

il faut voir au besoin et la conversion agroécologique de pays verrait des populations néo-paysanne devoir créer un mode d'habitation dans la campagne française et dans les espaces ruraux entre les villes et les métropoles. cette mutation démographique des campagnes verrait de nouvelles nécessités de servides punpubliques à ces populations nouvelles naître dans ces nouveaux espaces à vivre et à oeuvrer. un projet de société dessinant des besoins de services publiques à la population et à la société en état de changement l'accompagnant.

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

le traitement informatique du suivi de communication avec les allocations familiales. la recherche d'emploi avec le site pole emploi. la déclaration d'impôts par internet. certains bâtiments publiques ont évoluer en ville afin de recevoir d'avantage de public et donc traiter d'avantage de dossiers.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

avant tout je regrette l'abandon de certains bureaux postaux, la fermeture de certaines gares, la suppression de certains trains régionaux. le tout TGV et d'autres orientations prioritaires et élitistes économiques et financières ont engendré la décision de supprimer des services publiques qui laissèrent de nombreuses personnes sans recours face à leurs besoins vitaux de communications et de transports obligatoires. la crise des gilets jaunes est survenue suite à l'annonce d'augmenter le gasoil par voie de taxe immobilisante pour les plus pauvres dans les espaces péri-urbains et ruraux (ceux qui ont le plus besoin des services publiques) ; alors que la suppression de l'impôt de solidarité sur la fortune et l'instauration de la flat taxe sur les bénéfices financiers boostaient le pouvoir d'achat des plus riches (ceux qui ont le moins besoin des services publiques dans leur vie quotidienne, mais qui en bénéficient autant). avec tout ça, la fermeture de petites gares et de petites postes, et la suppression de trains régionaux ne peut que faire mal (nouvelles et actualités sur médias officiels de la télévision).

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

(résilier une auto-entreprise me fut difficile)

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

None

17. Si oui, comment ?

je ne comprends pas cette question. mais dans l'éventualité d'un homme d'Etat capable d'orienter le pays vers une vision de républiques agroécologique néo-paysanne, pour rendre accessible les service publiques à cette néo-paysannerie nouvelle population rurale et périurbaine, il faudra poursuivre dans les innovations énoncées : regroupement dans un même lieu de plusieurs services publics (Maisons de services au public) ; services publics itinérants (bus de services publics) ; service public sur prise de rendez-vous et services de transports à adapter ; agents publics polyvalents susceptibles d'accompagner leur public dans l'accomplissement de plusieurs démarches quelle que soit l'administration concernée, des agents à qui donner plus d'autonomie sur leur terrain de service.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

None

19. Si oui, comment ?

tout dépend du projet et de la vision pour la nation, pour le pays. mon rêve serait une république agroécologique en lutte contre le réchauffement climatique et soignant les gens en détresse sociale en son sein, pour ramener tous et toutes au service du grand rêve agroécologique néo-paysan et du bien vivre néo-rural, péri-urbain, et urbain, chacun et chacune à égalité de respect de sa personne, de ses savoirs, compétences et potentiels à maintenir en bonne santé.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

par un projet pour eux ; dans la réalité universelle de l'actualité, qui pour grande part est écologique, climatique, et nourricière en terme de ressources naturelles en danger : que vienne la république agroécologique néopaysanne interurbaine et rurale, à égalité et en fraternité avec la vie urbaine, oeuvrant librement et de concert au bien naturel vivant de tous et toutes, et pour la biodiversité et le climat autant.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

si je voulais me former au maraîchage à 50 ans après une vie privée et professionnelle ratée, et de très longue période de perte de santé, de compétences, de reconnaissance sociale et professionnelle de capacité, et de crédibilité à mon employabilité en société généralement : que proposez vous ? le pole emploi si ce n'est par son site internet, selon l'expérience que j'en ai, ne peux pas m'aider.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

le ministère du travail et la loi travail, la définition et les libertés contractuels que les employeurs peuvent se permettre, les contrats à durée indéterminées pour un très petit nombre d'heures qui immobiliseraient d'autres recherches d'emploi pour un temps complet etc... bref des précarités ajoutées qui font que l'individu, le demandeur d'emploi, perde à croire en un mieux pour lui même, et donc pour ce qu'il pourrait apporter autour de lui.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

l'isolement psychologique et social que provoque un chômage de longue durée peut refermer et fragiliser la personnalité, réduire et épuiser la socialisation des personnes. j'ai fait il y a un an une demande de reconnaissance de travailleur en situation de handicap psycho-social, soutenu par une assistance médicale et sociale _ cette demande faite au Grand Lyon par les services publiques sociaux et sanitaires publiques de mon quartier à Villeurbanne est restée sans aucune réponse ni aucun suivi.

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

no comment.

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

difficulté administrative. longs délais d'enregistrement. régularisation difficile avec la sécurité sociale et les droits maladie.

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

si une république agroécologique néopaysanne doit voir le jour dans la vision sincère d'une gouvernance d'Etat capable de la mener à bien, ce serait bien.

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Conversion écologique de l'agriculture, l'urgence.

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

La conversion agroécologique de l'agriculture lutte contre l'extinction de la biodiversité et absorbe le carbone de l'air en plus de nous nourrir. elle créerait autour d'un million d'emplois en France. Une urgence de société. De plus elle demande de ré-imaginer, de re-concevoir, de réorganiser une ruralité populaire ; la déficience de l'organisation du territoire français : le concept de France invisible, ou des territoires oubliés de la république, ou de péri-urbanité abandonnée par les services de l’État, a généré la crise des gilets jaunes. La conversion écologique de l'agriculture est une urgence de société, une urgence écologique, populaire, et territoriale de nation et d’État.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

respiration, canicules, précipitations perturbées, difficultés pour les paysans locaux, cultures perturbées selon leurs saisons, ... (?)

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

je suis végétarien, je me déplace en vélo, je modère mes besoins de chauffage l'hiver.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Des incitations encourageantes économiques en ce sens ? D'avantage d'information générale en ce sens : par un usage des médias à cet effet par exemple ? Pour ma part, je vais à vélo, je modère mon chauffage l'hiver grâce à mes vêtements et un effort évolutif sur mes habitudes de vie, et je suis végétarien. Mon problème est de concevoir d'aller vers une alimentation impactant moins l'environnement : cuisiner d'avantage et mieux, étudier mes plats et aller aussi vers une part d'alimentation crue (limiter la cuisson), aller vers une alimentation biologique locale. mais le temps à se consacrer à soi et les soucis de chaque jour n'aident pas à mettre en transition vers un mieux, ses propres habitudes. les limites et les obstacles : le manque de temps, le manque d'argent, le manque de connaissance et de temps de cerveau disponible, le manque d'information générale en ce sens ?

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Chèque d'encouragement pour les transports en vélo vers le travail ? Parler de taxer les pratiques polluantes est très délicat vis à vis des citoyen-ne-s ? Développer des moyens de transports alternatifs et aidés à l'achat également : des vélo-porteurs électriques, comme les triporteurs d’antan ? Des vélo-quad électriques deux places avec bagagerie inclue ... ? Sur le plan de l'agriculture biologique, baisser la TVA à la distribution de l'alimentation biologique ; et conjointement aider, co-financer, subventionner les emplois créés dans l'agriculture biologique à tous les échelons (de l'ouvrier agricole à l'ingénieur agronome).

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Je vis hébergé chez mes ascendants, qui ont une chaudière gaz aux normes vérifiée chaque années. nous ne savons pas quelles sont les offres d’État pour un mieux écologique, ni même en terme de droit à subventions et aides, quelles peuvent être nos perspectives. Mais laisser une automobile diesel ou une chaudière de qualité, très bien soignée et entretenue, pour s'orienter vers un projet pour lequel les aides ne seraient que modestes pour des personnes aux revenus moyens, ne convainc pas.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Développer l'incitation écologique par l'économie que représente les solutions de mobilité (comme d'énergie) alternatives, étayées de conseil pratique qui en éclaire les possibles. Pour le vélo, ce qui manque est de familiariser les gens à toute bagagerie possible et aux vêtements nécessaires à une intermodalité d'activité (changes, sacs à dos, douches au bureau ou au travail, des temps ménagés pour se changer et voir des espaces pour faire sécher ses vêtements en cas d'intempéries ... ?) Des conseils pratiques de sécurité destinés à la conduite de vélo au cœur de la circulation automobile (voir une éducation pratique à cette conduite pour qui le souhaita ?).

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Le vélo|une assistance en transport possible lorsqu'il s'agit d'un transport d'objet volumineux indispensable nécessaires à la vie quotidienne.

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Le vélo, l'appel du vélo, dépend d'un phénomène de culture, c'est un phénomène de culture citoyenne, passant par ses média et communications. Les autres moyens de transport alternatifs sont sanctionnés par l'accès économique à eux. Seraient utiles des aides à ceux qui n'ont pas de véhicule à moteur, d'automobile particulière, dans le cadre de transports exceptionnels, de gros objet nécessaires à la vie quotidienne de maison (avec participation à leur mesure des bénéficiaires) : Pourraient s'en charger mairies, services publiques, voir allocations familiales ? Directement avec leurs moyens, ou par le biais de services privés aidés si nécessaires _ vtc ... ?

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

C'est un combat politique très complexe livré aux concurrences _ ce qui fait douter de l'idée de communauté européenne. Parlementer au parlement européen ? Le glyphosate devait disparaître de France à 2022 ? Pourtant il y a abandon de cette détermination. La question vous est retournée : comment passer à la conversion écologique de l'agriculture et comment développer l’agroforesterie écologique populaire, étendue territorialement, et créatrice de vie locale rurale et de goût social et populaire pour la ruralité et le fait de participer à une projet global de conversion écologique "paysanne" de pays ?

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Les sols agricoles et naturels et la vie végétale préserve la biodiversité et absorbe le carbone de l'air : quoi faire d'autre sinon développer à échelle toute votre nation en charge, une planification agro-écologique et agro-forestière écologique de pays ? Quoi faire à échelle de chaque pays, pour lutter contre le réchauffement climatique, sinon la conversion écologique de son agriculture ? Certainement pas urbaniser les espaces agricoles et naturels, sauf à vocation de conversion agroécologique des campagnes ; et espaces inter-urbains ou péri-urbains. Mais l'avant dernière question de ce questionnaire, signifie t elle que rien ne soit possible pour l’État français, sans les feux verts de la FNSEA, de la communauté européenne, et d'autres groupes, forces de pression financières et économiques ? Je souhaiterais que sans qualification avérée dans le domaine de l'agriculture écologique, en tant que senior en difficulté d'emploi depuis longtemps, je souhaiterais qu'il me fut possible n'ayant pas d'origine en ces métiers, de me former et de pouvoir édifier tout mon avenir professionnel en tant qu' "ouvrier agricole écologique", dans mon pays _ dussé je pour cela quitter ma région tant qu'un hébergement et un emploi formateur put me donner ma chance. Mais verrais je jamais une telle opportunité à ma portée ? Cordialement. Daniel lorenzo.