La personne que je connais. A l'instant, je ne peux pas la nommer: je ne connais pas le député de ma circonscription, je ne l'ai jamais rencontré et il ne me connait pas non plus. Les seules personnes que je penses connaître sont le président de la République, le Premier ministre, les ministres et les représentants de l'opposition. Et, s'ils disent parler en mon nom, me connaissent-ils vraiment? Les élus devraient passer plus de temps dans leurs circonscriptions et il faudrait que cela soit facile pour leur électorat de les rencontrer.
Oui
Je ne sais pas lesquelles, mais il faut impliquer les personnes qui veulent s'impliquer et ne plus les laisser avec comme seul recours de manifester sans que rien ne change.
Le contact régulier et l'investissement personnel. Les élus devraient être responsables devant leur électorat et devraient se concentrer sur eux et non sur leurs propres ambitions de ré-élection. Les mandats ne devraient plus être consécutifs, enlevant ainsi la nécessité de mettre les ré-élections en priorité. Les élus devraient être tenus de remplir leur fonction sous peine de sanctions et une motion de rappel devrait être à la disposition des constituants; non pas de remplacement, mais de rappel. Si la motion est suivie par un certain pourcentage de la circonscription, l'élu (comme un député) serait contraint de rendre des comptes à son électorat sur ses actions en notre nom.
Une bonne chose
Cumuler les mandats n'a d'autre efficacité que d'éloigner les élus de leurs constituants et de délaisser des charges pour lesquelles ils ont été élus par les Français. Toutes les charges devraient être concernées par le non-cumul des mandats
Une nouvelle assemblée, sans doute en remplacement du Sénat, qui aurait une fonction de 'regard': plutôt qu'ayant le droit de contrer le passage d'un projet ou une proposition de loi, elle pourra commenter la loi et rendre un projet annoté pour un nouveau vote à l'Assemblée nationale. Cette assemblée pourrait être ouverte à tous, notamment les personnes qui ne sont pas représentées à l'Assemblée, et inclure professionnels de la politique et du service public ainsi que particuliers de la société (soit tirés sur le volet à l'image d'un service de juré, ou choisi par les circonscriptions). Cela permettrait également aux représentants des sensibilités politiques de rencontrer ceux qui partagent leurs convictions.
Oui
Réduire n'est pas nécessairement la solution: plutôt changer. Rendre les assemblées et organismes élus plus représentatifs et ne pas permettre l'établissement d'une classe politique immuable qui est difficile à joindre ou à intégrer.
Le vote reste quelque chose de personnel et ne devrait pas être une obligation. Cependant, le refus de participer à la vie publique ne devrait pas être encouragé. Si nous contraignons nos élus à accomplir leurs devoirs (être présent pendant les votes, par exemple), les citoyens devraient également être tenus de participer. Au bout d'un certain nombre d'absence au scrutin, la perte du droit de vote devrait être envisagée. Après, seul un examen ou une vérification devrait permettre de le récupérer.
Oui
Le pourcentage d'un vote blanc devrait avoir une influence sur les résultats d'une élection. Il faut arrêter de vanter la domination des majorités si la majorité du pays n'a pas votée. Et si les politiciens élus encouragent cette perception dans leurs discours, à quel stade sommes nous du mensonge d'Etat? Le vote blanc permettrait au minimum de tenir compte de ces déclarations.
Inclure les citoyens dans la vie publique et ce dès que possible. L'introduction d'un service civique pour remplacer le service militaire serait une bonne première étape. Les stages auprès de membres des assemblés et des élus seraient une excellente manière d'impliquer dès le début les jeunesses et de créer un intérêt pour la participation. L'éducation nationale devrait jouer un rôle de première importance dans ce contexte, et les élus devraient visiter de manière régulière les établissements scolaires de leurs circonscriptions.
Oui
Si nous voulons des référendums plus fréquemment et plus faciles à déclencher, les propositions ne peuvent pas être de simples questions ou des démarches simple à l'image du Brexit (qui n'était constitué que d'une question sans aucune proposition): il faut des propositions contraires et une démarche derrière avant même que le vote soit organisé. Les réponses ne doivent pas être apportées après un référendum, mais avant.
Avant chaque vote ou décision, des rassemblements devraient avoir lien pour expliquer quels seront les nouvelles dépenses et pourquoi. Les citoyens devraient pouvoir poser des questions et soumettre des requêtes ou même des propositions. La complexité de fonctionnement du système fait que les gens se découragent rapidement. Expliquer et commenter les décisions, ainsi que de savoir concrètement ce qui va changer et comment, devrait être une priorité.
Le Conseil constitutionnel devrait également changer. Il exerce une influence considérable sur nos lois sans rendre de véritables comptes et sans que l'on sache vraiment qui sont ses membres (hormis les anciens présidents de la République).
Oui
Donner un rôle plus consultatif au Sénat et le rendre plus accessible qu'aux seuls représentants de la fonction publique elle-même. Les personnes impliquées, venant de la vie active, devrait pouvoir avoir une tribune où ils peuvent expliquer leurs attentes et commenter les décisions prises en notre nom avant un vote final sur les propositions de loi.
L'interdiction du port des insignes religieuses dans les lieux publics devraient être abrogés, ou du moins, changée. Isolé les pratiquants de différentes religions est une incitation au communautarisme et à l'isolation. Si certaines extrêmes ne doivent pas être encouragés, il faut arrêter de prendre ses gens à part parce qu'ils ne se conforment pas au principe de laïcité. Et, surtout, il faudrait accoutumer les citoyens français à ses pratiques, comme donner des cours enseignant les tenants de ses religions dans les écoles. Pourquoi ne pas inclure les élèves représentant ces mêmes religions dans cet apprentissage, leur permettant d'expliquer pourquoi il choisissent cette voie.
Inciter avant toute chose à la participation et au partage plutôt qu'à l'uniformité. Il y a de la place pour tous dans notre système et il ne faut pas créer un climat où il est facile de croire que l'on n'est pas inclut. Et il faut commencer à inculquer ces mesures dès le début, dès l'école, non seulement dans le théorique mais de manière pratique. Les jeunes sont curieux pendant longtemps et utiliser cette curiosité permettrait de leur enseigner des leçons qu'ils n'oublieront pas.
Le service civique est une première étape fondamentale, et il devrait commencer dès l'école. La proposition de remplacer le service militaire avec un service civique est une excellente idée, mais il faudrait le commencer longtemps avant que les jeunes n'atteignent l'âge de la majorité. Et, surtout, il ne faudrait pas qu'il s'achève une fois le service de trois mois accompli. Un service civique, avec un seuil de participation minimum (un engagement tout les ans, ou tout les deux ans au minimum) devrait être exigé.
Encourager la participation et les idées, ainsi que les bénévolats surtout parmi les jeunes. Les associations devraient jouer un rôle de première importance dans cette idée.
Je ne sais pas quelles seraient les meilleures mesures mais une me vient à l'esprit: réduire les rythmes scolaires pour qu'ils s'alignent plus avec ceux de nos voisins. Contraindre les jeunes a passer la majeure partie de leur temps à l'école n'est pas une situation viable sur le long terme. Réduire les rythmes scolaires leur permettrait de passer plus de temps à développer leurs passions et ne pas les comprimer dans une vie limitée aux cours et aux devoirs.
Une fois de plus, encourager la participation, notamment des jeunes. L'idée de stages entrepris dans la fonction publique serait bien évidemment de première importance.
Je ne sais pas
Je ne sais pas
Sans doute montrer l'exemple, et insister sur l'idée d'une deuxième chance. Cependant, la moindre récidivité devrait être immédiatement punie sans chance d'appel ni de troisième chance.
La discrimination prééminente dans la France actuelle est l'idée qu'il y a une majorité immuable et infaillible qui ne peux être contredite. Nombreuses sont les personnes qui s'imaginent parler au nom de tous et donnent des leçons d'un ton abusif visant à réprimander et marginaliser les 'dissidences'.
Commencer à les mettre en pratique dès le plus jeune âge: les dérives ne devraient pas être punies au premier abord, ni nécessairement au deuxième, mais ne jamais passer sous silence une discrimination supplémentaire. Les sanctions devraient également refléter la gravité de la discrimination. Par exemple, si une récidive se produit en milieu scolaire, une expulsion avec un service rendu pour l'école devrait être envisagée.
None
Je ne sais pas
L'accueil pour les personnes dans le besoin est fondamental.
Je ne sais pas.
Une solution qui devrait être envisagée, étant donné le rôle de notre pays dans la création de cette crise (notamment dans le cadre de la guerre civile libyenne), serait de commencer par prendre de vraies mesures pour assurer la sécurité des pays auxquels nous avons nuis par intervention ou négligence. Contraindre les autres pays parmi nos alliés qui ont contribuer à cette situation (comme les pays influents du Moyen-Orient) serait également une idée.
Donner à ces personnes accès à l'éducation et à des formations, ainsi qu'une assistance avec les formalités administratives pour retrouver leur autonomie et le moyen d'aller où ils le désirent.
None
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Il faut cesser de penser que seulement la nature est responsable de ces changements. Des vraies mesures devraient être prises pour éliminer les facteurs humains de l'équation. Si les petites communautés dépendent des voitures, il faut leur apporter des aides pour utiliser des véhicules qui ne contribuent pas ou le moins possible à la pollution. Les grandes villes devraient favoriser l'usage des transports en commun et interdire les grandes circulations permettant non seulement des déplacements plus faciles mais aussi réduire les émissions qui contribuent de façon importante eu réchauffement climatique.
Non
Simplement parce que ma vie n'est pas touchée ne signifie pas que je ne devrais pas m'impliquer dans un problème que je peux percevoir.
Oui
Limiter l'usage des moyens de transport polluant et contribuer à une bonne collecte des ordures. La gestion des ordures est une situation qui n'est quasiment jamais abordée par les politiques et qui devraient l'être. C'est un problème qui reviendra nous hanter si nous ne commençons pas à prendre des mesures d'urgence.
Donner des alternatives crédibles et faciles à suivre. Le plus grand défi de la transition écologique est que personne ne veux changer ses habitudes à moi que le besoin ne s'en fasse sentir. Des assistances financières seraient le meilleur moyen d'encourager les changements de comportements, rendre l'usage des vélos (surtout des vélos électriques) dans les grandes villes seraient une bonne idée. Les transports en commun dans les grandes villes devraient prendre la place prédominante et les entreprises pourraient participer en proposant des plans de covoiturages. Des arrêts, similaires à ceux des bus, devraient être dédiés au covoiturage et ainsi proposer des trajets spontanés ou même présenter des annonces pour des trajets partagés fréquents.
Je ne sais pas
Non
Je ne sais pas
Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
Même réponse que plus haut. Encourager, surtout dans les grandes villes, les transports en communs et les covoiturages.
Les transports en commun|Le covoiturage|L'auto partage
Les communes et les municipalités devraient gérer les politiques de transports. Etant sur les lieux et étant concernées par ces situations, elles devraient être au premier plan pour apporter des solutions.
Une idée serait de cesser de s'imaginer que toutes les solutions doivent commencer au niveau national et gouvernemental. La France devrait encourager les communes a développer des partenariats avec des voisins. Les programmes de jumelage des villes pour inclure des proposition communes pour gérer les problèmes de l'environnement. Des initiatives commençant au niveau local pourrait ensuite prendre une plus grande envergure.
None
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