Faire un bilan annuel, transmis aux citoyens, sur la répartition des impôts dans les différents secteurs de la société.
Mettre en place un système de TVA proportionnelle aux revenus de chacun. Dans le système actuel de TVA, considérer que le carburant est un produit de première nécessité et donc le taxer à 5,5%. Dans le système actuel de TVA, taxer les produits de luxe à 30%. Mettre en place un nouveau système d'imposition pour tous, dès le premier euro, afin d'impliquer tout le monde dans un principe de contribution participative solidaire. Mettre en place un prélèvement à la source sur tous les profits issus de la spéculation.
Dans le système actuel de TVA, baisser les taxes sur les carburants qui devraient être considérés comme produits de première nécessité et, à ce titre, taxés à 5,5%. Adapter le niveau de la TVA aux revenus de chacun selon son type de foyer fiscal (les revenus cumulés d'un même foyer fiscal étant considérés comme le revenu global des membres composant ce foyer). Dans le cadre d'un impôt direct sur tous les revenus dès le premier euro, baisser le niveau d'imposition des ménages les plus modestes sans les exonérer totalement (principe de la solidarité nationale).
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Augmenter le temps de travail
Adapter le niveau des allocations familiales en fonction du niveau du revenu de chaque foyer fiscal. Minorer ou suspendre les aides sociales si les bénéficiaires ne respectent pas les conditions et devoirs inhérents à leur attribution (principe du droit et du devoir). Minorer les aides allouées aux familles d'accueil d'enfants en difficultés qui crée une discrimination entre ces enfants en difficultés qui en définitive ont droit à plus de choses que ceux des ménages moyens qui élèvent normalement et correctement leurs enfants (aider les mauvais élèves à s'améliorer : oui ... les récompenser : non). Supprimer les allocations familiales des parents dont les enfants sont placés en famille d'accueil (sinon c'est du pousse au crime ni plus ni moins...)
Aide aux personnes âgées. Aide aux personnes en situation de dépendance. Aide aux soins.
Politique de santé publique.
Diminuer les dépenses de fonctionnement de l'état en diminuant le nombre d'élus et de grands fonctionnaires de l'état (ministres, secrétaires d'état, chefs de cabinet, conseillers, préfets et sous-préfets, sénateurs, députés, conseillers départementaux et régionaux....) et en diminuant le niveau de leurs rémunération. Supprimer tous les privilèges liés à leur fonction. Il serait également souhaitable pour une plus grande justice sociale qu'une retraite minimum soit instituée comme il existe déjà un salaire minimum d'activité. On pourrait, par exemple, décider qu'une retraite minimum de 12 000 Euros nets par an soit nécessaire pour pouvoir vivre décemment. On peut dans ce même esprit fixer un plafond maximum de retraite par exemple de 120 000 Euros/an pour éviter de se retrouver avec des disparités de retraite honteuses de 8000 Euros/an pour certains et de 800 000 Euros/an pour d'autres... un ratio de 10 au lieu de 100 entre une retraite minimum et une retraite maximum cadrerait beaucoup mieux avec l'esprit de solidarité qui convient à une démocratie comme la nôtre. Le montant de ces retraites serait lié au foyer fiscal en faisant le cumul des retraites des individus le composant, et c'est ce cumul qui serait soumis à ces plancher et plafonds. De plus la pension de réversion pour le conjoint(e) veuf(ve) serait égale au montant de la retraite du foyer fiscal jusqu'à concurrence de, par exemple, 3000 Euros. Au delà une dégressivité s'appliquerait au montant initial de la retraite du foyer fiscal. La retraite serait indexée sur l'augmentation du coût de la vie avec un minimum de revalorisation fixé à 0,5%.
Le maire et ses conseillers municipaux.
Oui
Créer un système d'organisations syndicales non politisées qui représenteraient, chacune, un secteur d'activité nationale (banques, industrie automobile, industrie du textile, santé publique, transport...).
Que les élus décident d'abandonner tous les privilèges liés à leurs fonctions et s'attachent uniquement à améliorer les conditions de vie de leurs concitoyens. Que l'entrée en politique soit comme un sacerdoce laïque ; on entre en politique comme on entre en religion, sans esprit d'avantages ou de privilèges personnels mais avec seulement la volonté profonde d'améliorer le quotidien de ses concitoyens et de faire son possible pour améliorer les conditions de vie des moins privilégiés pour une société démocratique plus juste et plus solidaire. Que les élus de tous niveaux vivent au milieu de leurs concitoyens et comme leurs concitoyens afin de connaître les difficultés journalières auxquelles ces derniers sont confrontés. Il faudrait également fixer une limite d'âge aux élus pour éviter que des certains s'accrochent à leur mandat et aux privilèges qui y sont parfois associés malgré un âge qui ne soit plus compatible avec la lucidité, le dynamisme et la disponibilité que leur fonction exigerait...
Je ne sais pas
Ça peut être une bonne chose qu'un maire soit également député ou sénateur pour défendre plus efficacement la cause de ses concitoyens à l'assemblée nationale ou au sénat, à condition qu'il reste suffisamment près de ses administrés... (qu'il ne prenne pas la grosse-tête et ne s'habitue pas un peu trop aux "ors de la république" et aux privilèges accordés aux parlementaires...).
Peut-être introduire un peu plus de proportionnelle dans les élections...
Oui
A tous les niveaux...
La participation est lamentablement faible quand on sait ce qu'il en a coûté à nos aïeux pour obtenir ces droits fondamentaux liés à une réelle démocratie. Rendre le vote obligatoire pour tous les citoyens en âge d'être électeur et prendre en compte les votes blancs lors des élections.
Oui
Si le vote blanc est majoritaire dans une élection, on doit considéré que les candidats qui se présentent ne sont pas représentatifs pour une majorité de citoyens et que leurs propositions ne correspondent pas à l'attente d'une majorité de français. En conséquence de quoi on demande à ce qu'un autre tour de scrutin soit organisé à l'issue d'une nouvelle "campagne électorale de rattrapage" présentant des arguments électoraux plus en phase avec les aspirations des citoyens. Ces aspirations citoyennes étant issues du travail de synthèse de la "Commission de Veille Démocratique -> voir ci-dessous.
Maintenir une communication permanente avec les citoyens telle que cela est fait lors de ce grand débat national avec derrière une commission paritaire permanente de veille (Commission de Veille Démocratique) qui assure le dépouillement des remarques et des idées de tous ceux qui veulent participer à l'amélioration permanente de la société et en font une synthèse afin qu'elles puissent être étudiées régulièrement par le gouvernement et soumises éventuellement au vote de l'assemblée nationale et du sénat pour modifier ou créer de nouvelles lois profitables à tous. Si l'enjeu de l'une de ces propositions citoyennes est de nature à impacter fortement le système démocratique en place, un référendum populaire de consultation des citoyens (RIP) peut être organisé. Je pense qu'il serait souhaitable qu'à la fin de son mandat de 5 ans de chef d'état et s'il n'a plus de majorité à l'assemblée nationale, un plébiscite sous forme d'avis des français sur sa politique menée durant les 5 années passées soit nécessaire pour permettre au président de la république de se représenter pour un autre mandat. Il serait souhaitable également qu'un âge limite soit fixé pour se présenter à l'élection de président de la république.
Oui
Une commission paritaire et indépendante de veille (composée d'élus de la majorité et de l'opposition ainsi que de spécialistes du droit constitutionnel) étudie les propositions citoyennes faite en flux continu à travers internet ou par courrier et elle décide, après analyse et synthèse de ces propositions, et ce bien sûr en accord avec le gouvernement, celles qui sont susceptibles, de par leur impact sur la vie démocratique des français, d'être soumis au référendum d'initiative partager.
Utiliser des moyens permanents équivalents à ceux mis en place pour le grand débat national (formulaires sur site internet ou papier à remettre en mairie).
Elles doivent être les garantes du bon fonctionnement de nos institutions et de leur évolution au regard des propositions citoyennes retenues et analysées par la commission de veille démocratique et étudiées avec le gouvernement.
Oui
En diminuant le nombres de parlementaires de ces assemblées et en sensibilisant ses membres à une présence plus assidue aux réunions de travail. Un quorum établit le nombre de parlementaires devant être présents pour que l'assemblée puisse travailler démocratiquement. S'il n'est pas atteint la réunion est reportée et les absents dans l'obligation de justifier leur absence si cela n'a, bien sûr, pas été déjà fait avant la réunion.
Tout signe ostentatoire d'appartenance à une religion doit être interdit pour éviter tout risque d'être ressenti comme du prosélytisme "déguisé" ou une atteinte aux autres convictions, voire une provocation même involontaire vis à vis des autres citoyens ne partageant pas les mêmes opinions religieuses (la kippa, le voile sur le visage, la burka, le turban etc... doivent faire partie de ces signes ostentatoires interdits dans notre société laïque). Faire respecter à la lettre la loi qui interdit d'avoir le visage dissimulé dans les lieus publics. Ces symboles religieux vestimentaires ne doivent être portés que dans les lieux de culte ou a proximité immédiate. Peuvent être toléré à l'extérieur des lieux de culte les symboles religieux (croix, croissant, main de bouddha, étoile de David etc...) lorsqu'ils sont utilisés dans un but décoratif, éducatif ou informatif. La construction d'un lieu de culte doit être approuvé par une majorité des citoyens appartenant à la région administrative où doit être édifié ce lieu de culte. Les dépenses d'entretien de ce lieu seront soumises à la même règle. Le mécénat privé permettant bien sûr de s'affranchir de cette démarche en ce qui concerne l'entretien de l'édifice. Aucun prosélytisme actif ou passif ne doit être toléré en dehors des lieus de culte.
Toute incitation à la haine contre une religion doit être interdite et sévèrement punie. Toute démarche cherchant à discrédité une religion, ses représentants ou adeptes doit être interdite et sévèrement punie. Dans le cadre de la laïcité l'évocation d'une religion doit se faire avec toute la rigueur, l'impartialité et le respect auxquels ses adeptes ont droit. La religion chrétienne source d'inspiration de notre démocratie actuelle doit rester l'interlocutrice privilégiée avec laquelle l'état laïque doit pouvoir dialoguer lors de consultations relatives à la création ou à la modification de lois impactant notre société civile dans le domaine du respect valeurs humaines.
Mettre à sa disposition permanente des moyens d'expression simples (par internet ou formulaires courrier) équivalents à ceux mis en place pour le grand débat national.
Le respect des autres dans tous les domaines (éducation, religion, relation avec l'autorité publique, relation avec les services publiques...).
L'éducation parentale des enfants est la source de l'épanouissement d'une société plus fraternelle et plus respectueuses des valeurs démocratiques et républicaines. Les parents doivent être au cœur du système d'éducation pour développer les bons comportements civiques. Dans cet objectif il faudrait instaurer un "salaire du conjoint au foyer" permettant aux familles modestes et moyennes de pouvoir élever leurs enfants eux-mêmes tout en maintenant un revenu suffisant au sein du ménage sans avoir à travailler à deux pour s'en sortir. Cette prestation familiale permettrait à ceux qui souhaiteraient rester à la maison pour élever leurs enfants, et qui aujourd'hui ne peuvent pas le faire financièrement, d'économiser les frais de garde (crèche, nourrice) et éventuellement ceux afférent à un deuxième véhicule voire simplement des frais de carburant. Cette "allocation de conjoint au foyer" pourrait être versé jusqu'aux 20 ans du dernier enfant à charge. Ensuite l'éducation nationale doit permettre à chacun de s'épanouir dans une société plus juste et plus respectueuse du citoyen.
Il vaut mieux s'attacher à faciliter l'engagement citoyen en mettant à disposition des dispositifs simples et rapides pour que les remarques ou doléances puissent remonter effectivement vers les responsables du gouvernement plutôt que de chercher à valoriser cet engagement. Dans un engagement citoyen la satisfaction personnelle vient des résultats obtenus.
Le manque de respect et l'agressivité des citoyens entre-eux et bien sûr également vis à vis des personnes dépositaires de l'autorité publique ou (et) de la protection des biens et des personnes ainsi que les fonctionnaires des administrations au service des usagers (pompiers, médecins et personnel soignant, policiers, gendarmes, personnel de l'administration publique...).
La seule prévention possible reste une éducation parentale de qualité. Aujourd'hui et ce depuis des décennies on constate qu'un certain nombre de familles baissent les bras devant la difficulté à bien éduquer leurs enfants et les laissent, dès leur plus jeune âge se débrouiller seuls. Un noyau familial de qualité est la base indispensable d'une éducation de qualité. Les familles qui sont incapables d'assumer la bonne éducation de leurs enfants doivent être mises sous tutelle de l'état avec une obligation de résultat dans ce domaine. Dans l'état actuel des choses, cette phase préventive n'est malheureusement plus de mise et seule une répression efficace, sans faille et sans faiblesse (la fameuse tolérance zéro si souvent évoquée mais jamais mise en pratique...) permettrait peut-être de limiter les dégâts. On voit aujourd'hui tous les jours des personnes de plus en plus jeunes insulter, agresser, injurier, malmener leurs concitoyens et, encore plus grave, ceux qui sont sensés les protéger de ces incivilités et de ces agressions, j'ai nommé les forces de l'ordre. Les personnels de ces forces de l'ordre voient leur autorité bafouée chaque jour par des personnes qui se savent quasiment intouchable de par la lourdeur et la complexité du système judiciaire qui est en face d'eux. D'ailleurs, les policiers et gendarmes eux-mêmes reconnaissent que ces agressions verbales et gestuelles ne sont pas sanctionnées du fait que la procédure qui permettrait d'éventuellement les sanctionner est beaucoup trop lourde avec une chance infime qu'une condamnation soit prononcée. Il faut créer le "délit d'outrage à un représentant de l'état dans l'exercice de ses fonctions" quel qu'il soit (représentant des forces de l'ordre, fonctionnaires des services publiques, pompiers...) et que ce délit d'outrage puisse déclencher systématiquement un séjour en centre de rétention dont la durée serait proportionnelle à l'outrage constaté. Pour ces délinquants il faudrait un système rapide et quasi immédiat de sanction administrative ou pénale qui réponde à ces attitudes méprisantes vis à vis des forces de l'ordre. Des centres de rétention en semi liberté pour très courtes peines (quelques jours à quelques semaines) de type caserne dans lesquelles on leur ferait comprendre qu'aucun manque de respect ne sera toléré envers quiconque et encore moins envers des représentants de l'autorité publique et qu'à chaque infraction dument constatée, ils seraient punis. En cas de récidives les peines pourraient se durcir. Concernant les multi-récidivistes considérés comme "irrécupérables" un système de bagne pourrait être remis en service au milieu de nulle part (île du pacifique par exemple) garantissant leur mise à l'écart de la société pour un coût minimum.
Assurer une bonne éducation des enfants au sein de leur famille et leur servir d'exemple chaque jour. Mise en place du"salaire du conjoint au foyer" pour les familles modestes et moyennes pour qu'elles aient réellement le choix que l'un des deux parents puisse être présent quotidiennement aux côtés de leurs enfants pour assurer leurs éducation.
Discrimination sexiste envers les femmes par des hommes pour qui, malheureusement, elles gardent l'image de la femelle soumise devant le mâle dominant... Celle qui doit écouter docilement ce que l'homme a à dire et acquiescer sans contester. Et bien sûr discrimination envers tous les fonctionnaires représentants de l'état qui, rémunérés par nos impôts, sont considérés comme des gens payés pour tout entendre et tout subir sans répliquer.
Comme précédemment.... l'éducation des enfants par leurs parents au sein de leurs familles.
Oui
Respecter au minima les conditions liées au versement de ces allocations et demander régulièrement des comptes sur les efforts consentis pour continuer à toucher ces aides qui faute de bonne volonté avérée des bénéficiaires pourraient être graduellement supprimées. Par exemple, les parents des enfants placés en famille d'accueil ne doivent plus percevoir d'allocations familiales !!!... sinon c'est les encourager à continuer dans ce sens...
Dans les années 1950 une forte politique de l'immigration existait pour satisfaire notre industrie qui avait un besoin énorme de main-d’œuvre non qualifiée pour produire et reconstruire notre pays durement éprouvé par la seconde guerre mondiale. Cette immigration n'a pas été suffisamment accompagnée socialement et sociétalement et ces familles d'immigrés ont dû se débrouiller pour s'intégrer tant bien que mal dans une société de consommation en pleine croissance dans laquelle ils étaient un peu trop considérés comme des sous-citoyens (l'esprit colonial français était encore très fortement ancré dans les mentalités). Le résultat 70 ans plus tard se traduit par des zones périurbaines où les enfants et les petits-enfants de ces immigrés ont grandi dans des conditions de vie difficiles et où le chômage a gangréné la vie sociale et sociétale en y favorisant la délinquance et les trafics en tous genres... Ces familles marginalisées trop longtemps ont été le creuset de notre société actuelle pleine d'incivilités et de discriminations. Aujourd'hui il faut absolument que l'immigration soit choisie (conditions à remplir pour la demande d'un droit d'asile ou d'un changement de nationalité pour devenir français à part entière), limitée et encadrée afin qu'on ne recommence pas les erreurs du passé. L'accueil des étrangers en France doit se faire en tenant compte du contexte économique et donc des possibilités offertes à ces derniers de vivre correctement dans notre société tout en acceptant d'en respecter les règles et les lois et de participer chacun à leur niveau à l'effort collectif d'amélioration des conditions de vie pour tous dans notre pays.
Oui bien sûr et ces objectifs doivent tenir compte des possibilités d'intégration en fonction du contexte économique dans lequel nous évoluerons. Ils faut également s'entendre avec nos partenaires européens pour pouvoir optimiser cette immigration en offrant des possibilités de placement dans les différents pays de l'union européenne en respectant dans ce cas les regroupements familiaux indispensables à une intégration réussie.
Adapter les flux migratoires à nos possibilité d'accueil dans les meilleures conditions d'intégration. Inciter les immigrés, autant que faire se peut, à rester dans leur pays d'origine pour prendre leur destin et celui de leur pays en main. Cela commence évidemment par réussir à pacifier les pays en guerre source d'immigration familiale massive.
En premier lieu s'assurer que les personnes intégrées soient prêtes à accepter de respecter les lois, le principe fondamental de laïcité et le mode de vie de notre société française. C'est le préalable indispensable à l'accueil d'étrangers dans notre pays. Ensuite il faut rapidement que ces étrangers soient en mesure de trouver un travail pour faire vivre leur famille et contribuer ainsi au fonctionnement de notre système social sans passer par un assistanat social systématique et coûteux qui s'avère rapidement contre productif dans le domaine d'une intégration réussie.
Pour qu'une intégration soit réussie et qu'elle vienne enrichir notre société par la diversité de ses individus il fait absolument éviter le phénomène de ghetto tel qu'il s'est mis en place au fil du temps par un phénomène de repli de l'étranger mal intégré vers sa communauté. On se retrouve ainsi aujourd'hui avec des quartiers noirs, magrébins, chinois, italiens, polonais... Il faut que la mixité ethnique et sociale joue à plein pour que des rapports fraternels s'établissent entre les gens d'horizons et de cultures différents. Il serait également souhaitable pour une plus grande justice sociale qu'une retraite minimum soit instituée comme il existe déjà un salaire minimum d'activité. On pourrait, par exemple, décider qu'une retraite minimum de 12 000 Euros nets par an soit nécessaire pour pouvoir vivre décemment. On peut dans ce même esprit fixer un plafond maximum de retraite par exemple de 120 000 Euros/an pour éviter de se retrouver avec des disparités de retraite honteuses de 8000 Euros/an pour certains et de 800 000 Euros/an... un ratio de 10 au lieu de 100 entre une retraite minimum et une retraite maximum participerait à l'esprit de solidarité qui convient à une démocratie comme la nôtre. Ces retraites serait liées au foyer fiscal et non pas à l'individu? c'est à dire qu'il n'y aurait pas de cumul possible par foyer fiscal soumis à ces plancher et plafonds. De plus la pension de réversion pour le conjoint(e) veuf(ve) serait égale au montant de la retraite du foyer fiscal jusqu'à concurrence par exemple de 3000 Euros. Au delà une dégressivité s'appliquerait au montant initial de la retraite du foyer fiscal.La retraite serait indexée sur l'augmentation du coût de la vie avec un minimum de revalorisation fixé à 0,5%. Je pense qu'il serait intéressant également concernant l'affichage des prix qu'apparaisse à chaque fois et pour chaque produit, le prix coutant (produit à la sortie de l'exploitation agricole, produit de la pêche à la débarque du bateau, produit manufacturé en sortie d'usine de fabrication...) et le prix de vente au consommateur. Cela permettrait de mieux se rendre compte de la part verser à l'agriculteur, au pêcheur, à l'industriel et la part répartie entre les grossistes, les transporteurs et les distributeurs...
Les organisations administratives sont trop souvent "lourdes" voire opaques. Il faut souvent fournir plusieurs fois les mêmes informations ou les mêmes documents à différents services alors qu'une base de données commune à tous les services administratifs pour chaque administré leur permettrait de les d'obtenir directement sans avoir à les réclamer à la personne concernée. Quelquefois les démarches faites sur internet sur les sites de ces administration ne suffisent pas à l'obtention du document demandé et des courriers papiers doivent être fournis en sus sans que cela soit spécifié au départ sur le site (exemple: transfert de carte grise des parents vers leur enfant pour cession d'un véhicule il est réclamé, en plus des démarches faites sur internet, un courrier manuscrit des parents daté et signé confirmant que leur fils est bien domicilié à telle adresse est qu'il est bien le bénéficiaire de la cession du dit véhicule). Il arrive aussi qu'en fonction de l'interlocuteur que l'on a au téléphone ou par mail les documents demandés ne soient pas tous les mêmes ou bien qu'ils soient demandé par l'un et pas par l'autre d'où des démarches plus ou moins complexes selon l'interlocuteur de l'administration concernée. Quelquefois aussi l'administration fait des erreurs et l'administré qui en subit les conséquences doit faire toutes les démarches pour prouver au service administratif en cause qu'il y a bien eu erreur de sa part. Par exemple : votre tracteur a été flashé à 180 km/h sur l'autoroute du soleil alors qu'il n'a jamais quitté son exploitation agricole depuis les années 1950 dans une petite commune perdue au fin-fond du Finistère et on vous réclame durant des mois, avec toutes les tracasseries administratives possibles, de régler l'amende et les pénalités de retard de paiement... Ou encore on vous réclame le paiement de plusieurs PV + pénalités pour une voiture qui n'est pas la vôtre et qui roule avec une fausse plaque identique à la vôtre du côté de Marseille où vous n'avez jamais mis les pieds et c'est à vous qu'on demande de faire les démarches pour prouver que c'est une erreur et en plus on vous demande de faire changer votre numéro de plaque d'immatriculation et donc votre carte grise alors que vous n'êtes pour rien dans le délit initial d'usurpation de plaque minéralogique et des contraventions qui y sont liées... Ou aussi, vous êtes déclaré décédé par l'administration qui demande à votre veuve de lui rembourser le trop perçu des indemnités de retraite du défunt mari alors que celui-ci se porte comme un charme et n'est pas décidé de si tôt à passer de vie à trépas et là encore c'est à l'administré de faire toutes les démarches pour prouver qu'il est bien vivant et qu'à ce titre il a le droit de continuer à toucher sa retraite bien méritée... On pourrait en citer des centaines comme celles-là et c'est comme toujours l'administré, victime de l'erreur administrative, qui est harcelé par l'administration et qui doit prouver sa bonne foi et faire toutes les démarches souvent longues et laborieuses pour prouver au service administratif concerné qu'il s'est trompé !!! Il faut absolument que tout cela change et que l'administration assume ses erreurs et fasse toutes les démarches nécessaires pour les réparées dans les plus brefs délais sans ennuyer l'administré qui, lui, est une victime du système et n'y est pour rien. L'administré victime de ce genre d'erreur devrait pouvoir être mis en relation directe avec un médiateur de l'état afin de trouver une aide et un soutien dans les cas de conflits avec l'administration ou de tracasseries administratives insolubles. Ce dernier prendrait contact en tant que représentant privilégié de l'état avec la ou les services de l'administration concernés pour résoudre en interne les problèmes des administrés victime d'un dysfonctionnement du système administratif.
Non
Je ne sais pas... Il faudrait que cela soit discuter entre les collectivités territoriales et l'état. Sachant que, qui dit transfert de missions ou de compétences, dit la plupart du temps augmentation des effectifs pour le traitement de ces nouvelles missions et donc des budgets territoriaux qui ont de moins en moins d'aide financier de compensation de l'état. Donc en résumé, transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales oui, pourquoi pas à condition qu'elles soient subventionnées par l'état. Dans le cas où l'état ne subventionnerait pas le transfert de ces missions, il faut absolument que l'augmentation des impôts locaux permettant le financement par les collectivités territoriales soient intégralement compensée pour chaque contribuable par une baisse équivalente de ses impôts directs au niveau national. Mais si c'est pour un désengagement financier de l'état sans subventions versées aux collectivités pour ces nouvelle missions, la question se pose vraiment différemment... et la réponse devient beaucoup moins affirmative.
Oui
Mais l'accès à l'internet devient indispensable pour simplifier l'accès aux services publics du fait de la disparition progressive des services publiques dans nos petites villes et nos campagnes (poste, hôpital et maternité, sous-préfecture, écoles, trésor public, gare, tribunaux...). De plus aujourd'hui bon nombre de personnes pour des raisons diverses ne peuvent pas utiliser cet outil (se situe en zone blanche, ne veux pas ou n'a pas d'ordinateur à la maison ou ne sait pas l'utiliser ce qui est le cas souvent des personnes âgées ou n'a pas confiance en cet outil informatique en ce qui concerne la protections des données...) et il aimerait pouvoir compter physiquement sur un agent administratif pour les aider dans leurs démarches.
Avoir accès à un site permettant d'être mis en relation directe avec un médiateur de l'état afin de trouver une aide et un soutien dans les cas de conflits avec l'administration ou de tracasseries administratives insolubles. Ce dernier prendrait contact en tant que représentant privilégié de l'état avec la ou les services de l'administration concernés pour résoudre en interne les problèmes des administrés victime d'un dysfonctionnement du système administratif.
Non
None
None
La numérisation des services publique a permis un accès rapide aux différents services et dans la plupart des cas une simplification des démarches administratives. Par contre la déshumanisation de ces services pose problème en cas d'erreur ou de conflit car on n'a pas d'interlocuteur unique qui connaisse bien votre dossier pour traiter le problème avec vous. D'où l'idée d'un médiateur de l'état pour jouer ce rôle entre les administrés et les services administratifs. Ce problème de perte d'un interlocuteur physique et identifiable (au guichet ou au téléphone) est d'autant plus sensible pour les personne n'ayant pas accès à l'internet.
Le transport ferroviaire me parait ne pas à la hauteur de ses obligations vis à vis de sa clientèle. Des retards récurrents et fréquents sont constatés tous les jours pour des tarifs qui paraissent, du coup, injustifiés. La qualité des conditions de transport sont également à revoir quelquefois. Quand on voit qu'on fait voyager des gens debout dans les soufflets ou les couloirs des trains et ce quelquefois durant plusieurs heures pour un prix de billet identique à celui qui peut voyager confortablement assis... pour un service public, ce n'est pas normal !!! Quand on voit que sur des trajets à correspondance on ne signale pas à l'avance aux voyageurs qu'une correspondance ne sera pas assurée et que l'usager se retrouve sur le quai d'une gare sans solution de transport, et qu'on ose lui répondre lorsqu'il se plaint que c'est tout à fait normal... pour un service public, ce n'est pas normal !!! Quand pour un cas de force majeure (maladie, accident ou hospitalisation... avec document à l'appui) on refuse de rembourser un billet à l'usager lui expliquant qu'il fallait qu'il se présente la veille du départ pour avoir droit à ce remboursement... pour un service public, ce n'est pas normal !!! 1025 heures de retard cumulé sur la ligne Cherbourg-Caen-Paris en 2018 sans tenir compte des trains supprimés... pour un service public, ce n'est pas normal !!!
Oui
Non
None
La limitation à 80km/h sur toutes les voies de circulation ne possédant pas de séparation centrale. Il aurait été beaucoup plus pertinent dès le départ, et ce pour éviter toutes polémiques sur le sujet, de demander à chaque département ou région en charge de l'entretien des routes de définir des limitations route par route en fonction de la réelle dangerosité de chacune. Cette démarche beaucoup plus efficace aurait été beaucoup mieux comprise par les français et admise par tous comme étant un plus pour la sécurité des usagers de la route. Je pense également que dans le cadre du renforcement de la sécurité routière, il serait efficace de mettre en place des "boîtes noires" sur les nouvelles automobiles afin d'enregistrer les paramètres de conduite et bien sûr les infractions commises dans le cadre du "pas vu, pas pris" (pas d'arrêt au STOP, franchissement de ligne continue, pas d'arrêt au feu rouge, vitesse excessive, non respect des distances de sécurité, non utilisation du clignotant lors d'un changement de direction ou lors d'un dépassement,, stationnement dangereux ou interdit...). Ces paramètres pourraient être accessibles aux forces de l'ordre lors d'un contrôle suite à une infraction constatée et pourraient donner lieu à des verbalisations concernant les différentes infractions enregistrées. Les paramètres seraient rasés chaque mois afin d'éviter un phénomène de cumul trop important des données exploitables par les forces de l'ordre. Cette épée de Damoclès calmerait les ardeurs des moins enclins à respecter les règles de conduite et par la même la sécurité es autres usagers de la route... Il faudrait également interdire de fumer en conduisant comme il est déjà interdit de boire, manger et téléphoner sans bluetooth pour qu'en cas d'événement imprévu le conducteur puisse ne pas être gêné en ayant une main occupée et éviter également que la chute accidentelle du mégot embrasé ne crée une situation de stress et donc de manque de vigilance du conducteur sur ce qui se passe sur la route. Il faudrait enfin que les personnes qui pratiquent la conduite accompagnée suivent une formation minimum pour réacquérir les bonnes attitudes de conduite et de respect du code de la route car on voit trop souvent des pratiques de conduite accompagnée qui sont loin d'être respectueuses des bonnes règles de conduite et du respect du code de la route. Les futurs conducteurs prennent donc les mauvaises habitudes de leurs accompagnateurs qui sont bien souvent leurs parents...
Oui
En leur permettant de faire directement et facilement remonter vers les preneurs de décision des propositions d'amélioration de leur service public fonction de leur expérience personnelle et des remarques éventuelles des usagers avec lesquels ils sont en contact dans leurs missions quotidiennes.
Non
Je ne sais pas. Mais il faudrait que lorsque l'usager est mécontent d'un service administratif, il puisse le faire savoir rapidement à l'administration concernée afin de voir comment pourrait être améliorer la qualité du service public mis en cause. Peut être utiliser les services du médiateur de l'état....
On ne peut pas faire toujours plus et mieux avec de moins en moins de personnel. C'est impossible de remplacer l'humain par des machines dans les métiers de relation public. Alors partout où la relation avec le public est un des éléments déterminant qui caractérise le service rendu, il faut y mettre du personnel en suffisance pour que la qualité du service public soit à la hauteur de l'attente du public (forces de l'ordre, hôpitaux, écoles, Ehpad,, maisons de retraites...).
Notre fils s'est inscrit au Pôle Emploi de Cherbourg et sa conseillère ne l'a jamais aidé dans ses démarches personnelles pour trouver un emploi ; il a dû se débrouiller tout seul... Cette conseillère Pôle Emploi a même refusé de le recevoir sans rendez-vous alors que, n'ayant aucune nouvelle de sa part, il s'était rendu sur place pour essayer de la rencontrer. Il a dû passer par une autre conseillère du Pôle Emploi de Carentan, contactée grâce à une amie collègue de cette dernière, pour réussir à obtenir un stage de formation de 10 mois à l'AFPA en maintenance industrielle financé à hauteur de 17000 Euros/stagiaire par le département, stage qui malheureusement a été un échec du fait du peu de compétence et de présence de son animateur principal signalés au directeur de l'AFPA par les stagiaires à qui il répondait qu'il fallait faire avec car il n'avait personne d'autre à mettre à la place.... Suite à cet échec il a réussi à s'inscrire toujours sans aide de Pôle Emploi à un stage de formation au métier de testeur de jeux vidéos de 8 mois, 2 mois de formation chez Créajeux à Nîmes puis 6 mois de stage chez Ubisoft à Montpellier qu'il a financé avec ses propres économies (1850 Euros). Il à fallu bien sûr que de notre côté nous l'aidions à assurer ses frais personnels de transport, de logement et de nourriture. En résumé, Pôle Emploi et l'AFPA de Cherbourg... un échec total et donc 17000 Euros x Nbr de stagiaires de dépenses inutiles pour le département de la Manche dans le cadre de son aide à la formation et à l'emploi.
Après son brevet des collèges notre fils n'a pas été accepté dans les établissements publics contactés en région cherbourgeoise à cause de ses résultats globaux trop faibles. Nous nous sommes tournés vers le privé où il a été accueilli sans difficulté au Lycée Ingénieur Cachin de Cherbourg et où il a pu s'épanouir dans le domaine de la maintenance industrielle et obtenir son BEP MSMA (Maintenance des Systèmes Mécaniques Automatisés) avant de vouloir continuer dans ce même lycée dans un Bac pro dans la même filière MSMA qui malheureusement a été supprimé. Suite à quoi, il a demandé a reprendre une filière technique normale pour passer un Bac électrotechnique dans un lycée public de Granville qui n'a pas pu l'accueillir cette année là faute de désistement sur les listes d'admission. Faute de mieux, il a donc repris une seconde Bac pro au lycée public Alexis de Tocqueville en attendant l'année suivante pour pouvoir cette fois intégrer le lycée granvillais où il est entré en première électrotechnique. Il y a suivi ses deux années de formation avant d'obtenir son baccalauréat d'électrotechnicien. Il a décidé ensuite de changer de filière et de s'orienter vers une formation DUT SRC (Systèmes et Réseaux de Communication) il n'a, à nouveau, pas trouvé d'établissements dans sa région prêts à l'accueillir et il a finalement suivi cette formation à Blois. A la fin de ses deux ans d'IUT il a obtenu son DUT avec d'excellentes notes et appréciations de la part de ses formateurs et il a décidé de poursuivre une licence au même endroit qu'il a obtenu brillamment également. Il a voulu ensuite faire un master à Caen pour compléter son cursus de formation dans cette filière informatique, mais son admission à Caen a été refusée car, je cite, son parcours de formation était trop atypique et ne correspondait aux critères habituels de sélection dans cet établissement !!!... Il a donc dû abandonner cette idée de master pour rechercher du travail...
Notre fils s'est inscrit au Pôle Emploi de Cherbourg et sa conseillère ne l'a jamais aidé dans ses démarches personnelles pour trouver un emploi ; il a dû se débrouiller tout seul... Cette conseillère Pôle Emploi a même refusé de le recevoir sans rendez-vous alors que, n'ayant aucune nouvelle de sa part, il s'était rendu sur place pour essayer de la rencontrer. Il a dû passer par une autre conseillère du Pôle Emploi de Carentan, contactée grâce à une amie collègue de cette dernière, pour réussir à obtenir un stage de formation de 10 mois à l'AFPA en maintenance industrielle financé à hauteur de 17000 Euros/stagiaire par le département, stage qui malheureusement a été un échec du fait du peu de compétence et de présence de son animateur principal signalés au directeur de l'AFPA par les stagiaires à qui il répondait qu'il fallait faire avec car il n'avait personne d'autre à mettre à la place.... Suite à cet échec il a réussi à s'inscrire toujours sans aide de Pôle Emploi à un stage de formation au métier de testeur de jeux vidéos de 8 mois, 2 mois de formation chez Créajeux à Nîmes puis 6 mois de stage chez Ubisoft à Montpellier qu'il a financé avec ses propres économies (1850 Euros). Il à fallu bien sûr que de notre côté nous l'aidions à assurer ses frais personnels de transport, de logement et de nourriture. En résumé, Pôle Emploi et l'AFPA de Cherbourg... un échec total et donc 17000xNbr de stagiaires de dépenses inutiles pour le département de la Manche dans le cadre de son aide à la formation et à l'emploi.
Globalement mes dossiers de demande de retraite (Carsat, Agirc-Arrco) ont été bien traités et ont aboutis tout juste au bon moment de mon départ en retraite sachant que j'avais commencé mes démarches à la Carsat au mois de novembre 2017 et en janvier 2018 auprès des caisses de retraite complémentaire pour un départ effectif le 01 octobre 2018... Lez reproche que je pourrait faire c'est qu'une partie des informations demandées au futur retraité pourraient être obtenues autrement par ces administrations, par exemple pour certaines auprès des services administratifs de son employeur, en l'occurrence COGEMA-AREVA-ORANO concernant les salaires et cotisations et pour d'autres auprès de l'administration publique concernant l'état civil et les informations du livret de famille. De plus les caisses de retraite publique et complémentaires pourraient s'échanger les informations nécessaires à l'établissement des dossiers de retraite afin de supprimer la redondance des informations demandées au futur retraité qui est obligé de renvoyer plusieurs fois les mêmes documents aux différentes caisses alors que sur internet il existe des passerelles permettant de passer directement d'un site à l'autre...
Il y a peu sur les conseils de notre dentiste ma femme qui a 53 ans a suivi trois séances de "détartrage spécifique sous les gencives" indispensables pour préserver l'intégrité de ses dents en évitant leur déchaussement prématuré d'un montant global de 300 Euros. La sécurité sociale ne voulant pas prendre en charge ces actes de soins dentaires préventifs, la mutuelle a refusé également toute participation au remboursement des frais du fait de la non prise en charge par la sécurité sociale... alors que ces soins permettent d'éviter une détérioration rapide des dents qui amènerait inévitablement à des frais dentaires bien plus onéreux pris en charge cette fois par la sécurité sociale et la mutuelle... cherchez la logique dans tout ça !!! A côté de ça, on rembourse les curistes... Il faudra qu'on m'explique....
Non je n'ai jamais eu à faire de demande d'aide pour une situation de handicap.
None
None
None
None
None
None
Je pense qu'il serait souhaitable que l'organisation des services publics dont la relation avec le public est un des éléments déterminant (police, gendarmerie, hôpitaux publics, enseignement public, maisons de retraite publiques, Ehpad...) soit à la main des régions et départements en fonction de leurs besoins propres. Ce sont les conseils régionaux et départementaux qui devraient pouvoir adapter les effectifs et les missions des fonctionnaires aux besoins locaux.
La pollution généralisée de l'air, de l'eau et de la terre...
Sensibiliser individuellement chaque citoyen en évaluant chaque année son impact sur l'environnement (impact carbone, tri des déchets, respect des normes environnementales, économies d'énergie...) à travers ses habitudes de consommation, son volume de déchets à traiter produit (eau, déchet ménagers non recyclables...), sa quantité de carburant consommée (véhicules, chauffage logement, sports mécaniques...), ses déplacements par moyens de transport collectif pour raison professionnelle ou touristique (avion, bateau, train...). A partir de ces constats individuels, instaurer un système de bonus-malus soit au niveau de l'impôt payé, soit au niveau des prestations sociales perçues. Faire la même chose au niveau de toutes les entreprises pour qu'ainsi au niveau individuel comme au niveau industriel et commerciale tous les pollueurs soient effectivement les payeurs afin qu'ils soient ainsi incités à s'améliorer.
Non
None
Oui
Nous réduisons nos consommations d'eau (douches courtes, peu d'arrosages extérieurs, peu de lavage de véhicule) et de carburants (moteur économique à faible consommation de carburant et conduite souple et anticipative), nous limitons notre utilisation de produits nuisibles pour l'environnement (bricolage, entretien ménager, entretien des espaces verts...) et nous privilégions ceux à faible impact écologique, nous privilégions la marche à pied pour les petits déplacements et nous nous garons le plus possible en périphérie des centre-ville pour s'y rendre à pied. Nous Trions nos déchets recyclables. Nous avons une maison bien isolée. nous avons choisi un chauffage individuel par pompe à chaleur. Nous ne surchauffons pas notre logement. Nous limitons les arrosages et les lavages de véhicules au juste nécessaire (j'attends toujours qu'il pleuve pour laver mon véhicule afin de consommer le moins d'eau possible). Nous évitons autant que faire se peut de prendre des moyens de transport polluants (bateau, avion, train diésel...) surtout dans le cadre touristique en évitant de partir à l'autre bout du monde. Nous évitons d'acheter des produits qui viennent de l'autre bout du monde pour éviter les impacts carbone liés au transport des marchandises (Avion, bateau, train, camion). Nous privilégions les circuits de distribution courts et achetons prioritairement les produits français et européens.
C'est déjà le cas...
Inciter l'achat d'appareils ou de biens plus économes et plus respectueux de l'environnement en généralisant le crédit d'impôt et les aides à la transition écologique afin d'aider les revenus moyens et modestes à s'équiper.
Non
None
Non
None
Automobile la moins polluante possible... avec un bon volume de chargement et une grande autonomie... et à un prix abordable bien sûr.
Les constructeurs automobiles pour la conception de véhicules dont l'impact environnemental à la construction comme au recyclage soit le plus faible possible. Qu'ils soient donc réellement attractifs et ce avec le soutien de l'état pour aider au développement de ce nouveau marché afin qu'il devienne rapidement abordable pour une grande majorité de consommateurs.
Harmoniser les conditions de contrôle et de surveillance des grands pollueurs industriels et commerciaux afin de les contraindre à prendre des mesures permettant de limiter l'impact environnemental de leurs activités et pour se faire les taxer à hauteur de leur impact sur l'environnement... Quant au niveau de chaque citoyen, appliquer l'évaluation de son impact écologique annuel avec bonus-malus tel que décrit précédemment.
Non seulement il faut aider les moins fortunés à accéder aux technologies les moins polluantes et les plus respectueuses de l'environnement mais il faut parallèlement taxer ceux qui continuent à polluer dans un souci de profit, de bien-être ou de facilité...
Votre message a bien été envoyé.