C’est au nom du marketing que l’on nous vend du vent avec certains produits alimentaires au 2/3 remplis et donc que l’on gaspille des emballage et de l’espace. Depuis plusieurs année, je me désole de voir tant d’espace vide dans l’emballage alimentaire de certains produits alors que d’autres produit remplissent bien tout l’emballage.
L’écoemballage traite déjà du sujet des emballages, mais pas sur le gaspillage : http://www.ecoemballages.fr/sites/default/files/perception_de_lemballagedu_recycle.pdf Pour éviter de nous vendre de l’aire, pour ne pas dire du vent, est-il possible d’envisager quelques mesures qui seraient simples à mettre en place tel que : – Afficher le pourcentage de volume du produit par rapport à l’emballage ; – Suivant les produits, mettre une taxe proportionnelle à l’espace perdue et l’afficher ; – Suivant les produits, une taxe sur la non optimisation de l’emballage.
Au nom du « marketing », toujours pour certains produits, on nous présente de belle grosses boites, mais avec 4/5ème, 3/4 voir les 2/3 de produits. Il m’est arrivé d’acheter une salade emballée dans du carton dont une partie était visible et le reste vide à 1/3. Il y a aussi des paquets de pâtes avec 1/5ème de vide, de la semoule au 2/3ère remplis tout comme la purée en sachet et les boites de céréales ou les Pastabox. Il en va de même pour certains biscuits apéritifs, même s’il faut prendre en compte la forme qui peut contenir du vide du fait de la caractéristique du produit, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut qu’un quart du sachet soit vide. La palme revient aux boites en chocolat. Il doit exister une super formule pour optimiser la position des chocolats afin d’en mettre le moins possible. Il ne dois pas exister d’étude, mais on doit trouver des boites où le chocolat représente 50 % du volume de l’emballage.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
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Contrôle d'attribution des droits, mais ça s'améliore il me semble. Afficher clairement le montant total des dépenses, même celles remboursé pour la prestation, voir un bilan mensuel ou annuel affiché dans le DMP.
N’y a-t-il pas tromperie sur la marchandise. Et en poussant la réflexion un peu plus loin, c’est aussi de la place perdue, à la fois dans les rayons, à la maison, mais aussi dans les entrepôts et les campions/train/bateau de transport jusqu’à notre coffre de voiture. Pour ces derniers, cela veut dire des transports plus grands que nécessaire et qui consomment donc plus de carburants. D’autres produits sont présentés de tel manière à gâcher de l’emballage en les présentant en longueur plutôt que superposés pour couvrir plus de surface, toujours au nom du « marketing ». Cela n’est peut-être rien, mais cela gâche du carton, de l’encre et tout le nécessaire pour fabriquer l’emballage. Ceux qui veulent un emballage plus beau (par là, plus visible et donc plus grand) peuvent se payer le luxe de payer une taxe. Mais a-t-on besoin de luxe pour vendre de la semoule, des cordons bleus ou des céréales ?
Donner les moyens à l'ONF d'assurer sa mission de protection de notre forêt qui fait partie de notre patrimoine. Notre association organise une rando VTT comme tous les ans. Nous contactons les forestiers, mais pas de réponses quoi que l'on fasse. De plus, la pratique des coupes blanches dénature complètement nos forêts ce qui donnes des futés régulières. Il me semble qu'en IDF, il est prévue de passer à une gestion de coupe sélective pour donner des futés irrégulières et plus naturelles. Qu'en est il actuellement?
Oui
Être au plus près de la gestion locale, mais avec une supervision nationale pour garder une cohérence et équité nationale.
Non
Certains services reste difficile d'accès sans possibilité d'escalader notre demande.
La gestion des forêts et des demandes à l'ONF. Cela demande des personnes faisant le lien entre le monde numérique et les forestiers qui font très bien leur travail, mais ne sont pas familiarisé avec le numérique.
Non
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Formulaires de demande de manifestations sportive à l'ONF et préfecture.
Oui
Focaliser les compétences des personnes du terrain, et leur donner le support nécessaire: secrétaires, numérique, commercial…
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1er enfant dans le public. Une grève s'annonce, je téléphone à l'école qui m'indique qu'il faut voir avec la mairie qui m'indique qu'il faut voir avec le rectorat qui demande à sa collègue «Ah bon, il y a une grève?». => j'ai mis mes enfants dans le privé…
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J'ai subit une opération assez lourde en accident du travail. Mais je n'ai jamais su combien ça a couté au total. Pour responsabiliser les personnes et montrer l'effort de la France en matière de santé, il faudrait que les personnes aient un bilan des soins qu'ils ont eu. Peut-être possible avec le DMP?
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Garpillage des ressources
L’écoemballage traite déjà du sujet des emballages, mais pas sur le gaspillage : http://www.ecoemballages.fr/sites/default/files/perception_de_lemballagedu_recycle.pdf Pour éviter de nous vendre de l’aire, pour ne pas dire du vent, est-il possible d’envisager quelques mesures qui seraient simples à mettre en place tel que : – Afficher le pourcentage de volume du produit par rapport à l’emballage ; – Suivant les produits, mettre une taxe proportionnelle à l’espace perdue et l’afficher ; – Suivant les produits, une taxe sur la non optimisation de l’emballage.
Non
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Oui
Prendre les transports et moins la voiture. Utiliser une monoroue électrique.
Augmenter la circulation douce sécurisée sur les grands axes.
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Non
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Oui
Monoroue électrique
Monoroue électrique
Du fait de la centralisation de la fiscalité, l'État.
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C’est au nom du marketing que l’on nous vend du vent avec certains produits alimentaires au 2/3 remplis et donc que l’on gaspille des emballage et de l’espace. Depuis plusieurs année, je me désole de voir tant d’espace vide dans l’emballage alimentaire de certains produits alors que d’autres produit remplissent bien tout l’emballage. Au nom du « marketing », toujours pour certains produits, on nous présente de belle grosses boites, mais avec 4/5ème, 3/4 voir les 2/3 de produits. Il m’est arrivé d’acheter une salade emballée dans du carton dont une partie était visible et le reste vide à 1/3. Il y a aussi des paquets de pâtes avec 1/5ème de vide, de la semoule au 2/3ère remplis tout comme la purée en sachet et les boites de céréales ou les Pastabox. Il en va de même pour certains biscuits apéritifs, même s’il faut prendre en compte la forme qui peut contenir du vide du fait de la caractéristique du produit, mais ce n’est pas pour cela qu’il faut qu’un quart du sachet soit vide. La palme revient aux boites en chocolat. Il doit exister une super formule pour optimiser la position des chocolats afin d’en mettre le moins possible. Il ne dois pas exister d’étude, mais on doit trouver des boites où le chocolat représente 50 % du volume de l’emballage. N’y a-t-il pas tromperie sur la marchandise. Et en poussant la réflexion un peu plus loin, c’est aussi de la place perdue, à la fois dans les rayons, à la maison, mais aussi dans les entrepôts et les campions/train/bateau de transport jusqu’à notre coffre de voiture. Pour ces derniers, cela veut dire des transports plus grands que nécessaire et qui consomment donc plus de carburants. D’autres produits sont présentés de tel manière à gâcher de l’emballage en les présentant en longueur plutôt que superposés pour couvrir plus de surface, toujours au nom du « marketing ». Cela n’est peut-être rien, mais cela gâche du carton, de l’encre et tout le nécessaire pour fabriquer l’emballage. L’écoemballage traite déjà du sujet des emballages, mais pas sur le gaspillage : http://www.ecoemballages.fr/sites/default/files/perception_de_lemballagedu_recycle.pdf Pour éviter de nous vendre de l’aire, pour ne pas dire du vent, est-il possible d’envisager quelques mesures qui seraient simples à mettre en place tel que : – Afficher le pourcentage de volume du produit par rapport à l’emballage ; – Suivant les produits, mettre une taxe proportionnelle à l’espace perdue et l’afficher ; – Suivant les produits, une taxe sur la non optimisation de l’emballage. Ceux qui veulent un emballage plus beau (par là, plus visible et donc plus grand) peuvent se payer le luxe de payer une taxe. Mais a-t-on besoin de luxe pour vendre de la semoule, des cordons bleus ou des céréales ?
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