Le budget de l'état pourrait être posté sur internet, accompagné d'explications, et avec un niveau de détail réglable par le visiteur du site.
REVENDICATION : Une allocation famillialle dès le premier enfant, basée sur les ressources et permettant réellement de subvenir aux besoins de l'enfant. Cette allocation devra être versée dès le troisième anniversaire et au moins jusqu'aux 20 ans de l'enfant, s'il est à la charge de son ou ses parents, et aussi longtemps qu'il sera scolarisé, y compris dans une université, une grande école ou un centre de formation professionnel. Les parents d'un enfant faisant de longues études la toucheront donc encore après le 20ème anniversaire de leur enfant. Elle devra commencer après la PAJE (déjà perçue par les familles mono-enfantales dont l'enfant a entre 0 et 3 ans) et augmenter ensuite avec l'âge de l'enfant, car les besoins d'un adolescent ou d'un jeune adulte ne sont pas les mêmes que ceux d'un jeune enfant. les allocations familiales sont versées dès le 1er enfant dans les départements d'outre-mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Mayotte, Réunion), mais le montant est ridicule : 24.10 euros par mois pour les familles les plus modestes. CONTEXTE : Fin 2017, on nous avait annoncé des allocations familliales dès le premier enfant. Deux députés, Guillaume Chiche (LREM) et Gilles Lurton (LR) devaient rédiger un rapport à ce sujet et le rendre fin mars 2018. Malheureusement, ils n'ont pas réussi à s'entendre. Guillaume Chiche a proposé de supprimer le quotient famillial pour financer cette mesure et du coup Gilles Lurton a refusé de signer le rapport, ce qui a fait que ce rapport n'a pas pû être déposé à l'Assemblée Nationale. D'après Gilles Lurton, "Le fondement (de notre poitique familliale), la redistribution horizontale, veut que, quel que soit le milieu social des parents, le niveau de vie des familles ne diminue pas à l’arrivée d’un enfant dans un foyer par rapport à une famille sans enfant et à revenu identique". Il prétend défendre ce principe alors que son refus de signer a, au contraire, fait en sorte que le niveau de vie des familles monoenfantales les plus modestes, donc non-imposables, baissent lorsque leur enfant atteint l'âge de 3 ans! Il dit plus loin que le coût d’une allocation dès le premier enfant est estimé de 3 à 4 milliards d’Euros. Il est possible de faire en sorte que le coût soit bien moindre. FINANCEMENTS POSSIBLES : a) Supprimer le quotient famillial pour financer des allocations familliales indexées sur le revenu est une solution possible, mais elle est peut-être trop polémique. b) Une autre solution existe, qui pourrait être complémentaire : ne pas augmenter les allocations des familles déjà nombreuses quand elles ont un nouvel enfant. Par exemple, la limite pourrait être fixée à quatre enfants. Au-delà, les allocations n'augmenteraient plus en montant mensuel. Elles augmenteraient en revanche dans la durée, car les familles en question auront durant plus longtemps quatre enfants à leur charge. c) Aucun budget supplémentaire pour la mise en place de la troisième solution de financement. Il s'agirait de compter le nombre d'enfants par tranche de revenus de leur famille et de distribuer équitablement le budget existant, sans l'augmenter : ce budget serait simplement divisé par le nombre d'enfants pour savoir combien les parents toucheraient par enfant. JUSTIFICATIONS : a) Dans un contexte de crise écologique majeure, où de nombreux problèmes ont pour cause directe la surpopulation de la planète, il est totalement irresponsable d'encourager les gens à avoir plus de quatre enfants. Le leur interdire serait inacceptable, mais une incitation économique ne l'est pas. b) Comme tous les parents le savent, les enfants ne font pas toujours volontier leurs devoirs. De la primaire au lycée, il n'est pas inutile de vérifier que les leçons soient apprises et que les devoir soient faits. Le succès scolaire en dépend. Or, celà prend du temps et le temps parental disponible est à diviser par le nombre d'enfants. Dans les familles trop nombreuses, les parents n'ont pas le temps de suivre de près la scolarité de chacun de leurs enfants, ce qui met leur avenir en péril. D'après un rapport de l'INSEE, un quart des jeunes entrés en 6e en 1995 n'ont pas terminé avec succès leur formation dans l'enseignement secondaire. Ce sont plus souvent des enfants de famille nombreuses (29% vivents dans une famille de 4 enfants ou plus, contre 15% pour les non-décrocheurs). Source : Les décrocheurs du système éducatif : de qui parle-t-on ? Dans INSEE-references, 2013. c) Plus les familles sont nombreuses, plus elles sont exposées à la pauvreté, surtout si elles sont monoparentales. 35% des couples avec quatre enfants ou plus vivent sous le seuil de pauvreté, et six familles monoparentales sur dix avec trois enfants ou plus sont touchées. Plus les familles sont nombreuses, plus elles subissent le surpeuplement dans leur logement. En effet, les familles de quatre enfants ou plus habitent le même nombre de pièces en moyenne que celles de trois enfants. (Source : Le Parisien 13 janvier 2015). d) Le temps où avoir une famille nombreuse était considéré comme vertueux était le temps où il était de bon ton pour une femme d'être mère au foyer. C'est totalement dépassé. La natalité baisse en France ; si le but du système actuel est d'encourager les parents à avoir de nombreux enfants, c'est un échec. Une incitation économique pourrait, en revanche, convaincre les jeunes couples d'avoir leur premier enfant. De nombreux jeunes disent qu'ils désirent un enfant, mais qu'il attendent pour cela une stabilisation de leur situation financière. Lorsque la stabilisation tarde à venir, ces couples se séparent souvent avant d'avoir eu un enfant, maternité et paternité sont alors remis à un "plus tard" indéterminé. Si ces jeunes avaient l'assurance que l'Etat ne les laisseraient pas tomber, ils hésiteraient peut-être moins à avoir leur premier enfant. e) Finalement, un argument d'origine emotionnelle. Les familles aux revenus modestes vivant en métropole touchent 131 euros par mois si elles ont 2 enfants, et cette somme augmente de 168 euros par mois par enfant supplémentaire. Une majoration de 65 euros par mois est également versée à la famille par enfant de 14 ans ou plus, sauf s'il s'agit de l'aîné de 2 enfants à charge. (Pourquoi? Cet enfant-là ne va pas réclamer un smartphone?). On a l'impression que, pour le gouvernement, un enfant vaut 168 euros par mois s'il a au moins 2 frères ou soeurs, qu'un enfant qui a un seul frère ou bien une seule soeur vaut 131 euros par mois, et qu'un enfant unique de plus de 3 ans ne vaut rien. Ca parait très injuste. La seule exception est la PAJE, la Prestation d'Acceuil du Jeune Enfant, 170,71 euros par mois pour les familles monoenfantales modestes, mais cette prestation s'arrête au 3ème anniversaire de l'enfant. Tous les parents bénéficient d'avantages, soit par le biais des allocations, soit par le biais du quotient famillial, sauf les familles monoenfantales non imposables. Conclusion A mon avis, les allocations familliales devraient se composer d'une somme fixe, indépendante du nombre d'enfants à charge, et d'une majoration, inférieure au fixe, par enfant supplémentaire à partir de deux et limitée à quatre. Il y a en effet des dépenses qui ne dépendent pas du nombre d'enfants (par exemple les familles ont en général une console de jeux pour tous leurs enfants, elles n'achètent pas une console par enfant). Au pire, on n'instaurerait pas la limite de quatre enfants et toutes les familles modestes recevraient le même montant mensuel par enfant (avec la "prime smartphone" à partir de 14 ans pour tous les enfants). Mais qu'il n'y ait plus d'enfants qui, aux yeux du gouvernement, ne valent rien!
La taxe foncière
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Les allocations familliales. C'est profondément injuste que, pour les familles les plus modeste, le premier enfant ne vaille rien, que le second vaille 131 euros par mois et que les suivants vaillent 168 euros par mois. Il faut une distribution équitable, tant par enfant!
Les familles monoenfantales non imposables. Tous les parents bénéficient d'avantages, soit par le biais des allocations, soit par le biais du quotient famillial, sauf les familles monoenfantales non imposables.
Pour une politique d'égalité de tous les enfants de famille modeste vis-à-vis des allocations familliales. Les besoins d'un enfant ne dépendent pas du nombre de ses frères et soeurs!
Il est possible de redistribuer équitablement le budget existant pour les allocations familiales, il faut arrêter de dire que ça couterait des milliards.
A moi-même
Non
None
Que les députés travaillent en binôme. Ils pourraient être élus par paires. L'un irait au parlement, l'autre tiendrait la permanence (ils pourraient échanger leurs rôles de temsp en temps). Ca les rendrait plus accessibles, il y a de nombreux députés qu'il est quasi impossible de rencontrer.
Une bonne chose
Moins il y aura de cumul, plus il y aura d'élus, et plus il y aura d'élus plus ce sera facile d'en rencontrer un.
Plus de proportionnelle.
Non
None
Donner davantage de temps de parole aux petites formations
Oui
Exemple. Deux candidats, A et B, se présentent à une élection. Sur 100 électeurs, 50 votent A, 25 votent B, 25 votent blanc. Actuellement, les résultats annoncés seraient "A a gagne par 60%". On devrait annoncer "A a gagné par 50% contre 25% à B et 25% de votes blancs". Dans les cas où le vote blanc serait la majorité simple, il n'y aurait aucun gagnant.
RIC
Oui
Il suffirait que 10 députés soient d'accord pour qu'un rérérendum soit lancé. Mais ça ne servira à rien s'il n'y a pas de e changement constitutionnel rendant les résultats des référendums légalement contraignants pour le gouvernement. On a vu Sarkozy ne tenir aucun compte des résultats d'un référendum. Si on fait des référendums et que les gouvernements continuent de n'en faire qu'à leur tête, les gens vont se mettre vraiment en colère.
Par exemple, comme en Suisse.
Ecouter les gens. Il faut que chacun puisse prendre rendez-vous avec son député (ou le binôme de son député).
Oui
Voir plus haut.
Arrêtez de discriminer les religions minoritaires. Par exemple, quand le chef de l'Etat présente ses voeux aux représentants des différentes religions, qu'il invite des représentants de TOUTES les religions pratiquées en France. Annuler l'interdiction de recensement de la population suivant des critères religieux. Quel mal y a-t-il à compter le nombre de chrétiens pratiquants ou le nombre de païens celtisants?
Cessez d'exclure les gens des processus décisionnels et ils se sentiront peut-être un peu plus concernés par la République.
RIC
Respect des autres. De TOUS les autres. Et que les "élites" montrent l'exemple!
Plus de moyens pour l'éducation nationale.
Que l'engagement citoyen serve à quelque chose!
Le mépris des "élites" envers les gens normaux.
Par exemple, pour les chaines publiques, dire aux organisateurs de débats d'arrêter d'inviter des nuées d'"experts" et d'inviter des personnes directement concernées par le sujet en question.
Accepter de participer aux débats, ne pas se dire "ça ne sert à rien, ils ne nous écoutent jamais".
L'ostracisme dont sont victimes les païens. Il y a de plus en plus de païens en France, mais, contrairement à ce qui se fait par exemple en Grande Bretagne, les autorités font comme si nous n'existions pas. La seule exception que j'ai constatée est la collaboration de la mairie de Paris aux défilés hindouistes (lavage préalable des rues car les brahmans marchent pieds nus, etc).
Que le président de la République invite des représentants de TOUTES les religions pour leur souhaiter la bonne année.
Non
None
Des quotas et, en parallèle, donner le droit aux demandeurs d'asile de chercher un emploi. Au lieu de laisser venir plein de gens qui finissent dans des tentes au bord de l'autoroute, en laisser venir moins et s'occuper correctement de ceux qui viennent.
Oui, mais définis par référendum.
Financer des campagnes de planning familial dans les pays d'origine. Que chacun ait les moyens d'utiliser une contraception.
Limiter le nombre d'immigrants pour avoir les moyens de bien recevoir ceux qu'on laisse entrer. Un petit nombre se fond dans la masse et s'intègre, et grand nombre crée un ghetto et suscite un sentiment de rejet.
Face au mouvement des gilets jaunes, le président a parlé des élus locaux, des associations, des syndicats... de tout le monde sauf des gilets jaunes! Il suffirait pourtant d'un tirage au sort : chaque gilet jaune peut s'inscrire et le ou les gagnant(s) est/sont reçu(s) à l'Elysée. Il n'est pas obligatoire que les gilets jaunes aient des représentants pour qu'on leur parle! Quand on veut, on peut.
Regroupement des bases de données et utilisation d'un numéro identifiant unique (comme, par exemple, en Islande). En France, ce pourrait être le numéro de sécurité sociale.
Oui
Les limitations de vitesse
Non
Un centre des finances publiques
Une centralisation des offres d'emploi (y compris les concours de l'administration). Il faudrait une base de données, librement consultable, dans laquelle il serait obligatoire de poster toute offre d'emploi rendue publique en France. Cela n'empêcherait pas les entreprises de poster également leurs offres d'emploi ailleurs, si elles le désirent.
Oui
Oui
Les personnels de la CAF qui m'ont reçu étaient aimables et utiles.
Aucun
Pole emploi
Non
None
None
Chaque administration attribue aux utilisateurs ses propres identifiants et parfois ses propres mots de passe, c'est abhérant.
Oui
Leur permettre d'utiliser leur expérience pour donner des conseils
Oui
Stages qualifiants non rémunérés dans les lycées et collèges pour les futurs profs. Autorisation pour les stagiaires d'effectuer des remplacements occasionnels.
Lors des rendez-vous, au lieu du "je vous remplis le formulaire", les utilisateurs pourraient se voir proposer "je vous montre comment remplir ce formulaire sur internet". C'est le principe du "donne un poisson à un homme, il mangera une journée, apprends lui à pêcher, il mangera toute sa vie".
Le problème principal est, là encore, le manque de centralisation des informations. Trop d'administrations sont concernées.
None
Trop d'administrations sont concernées! Il y a des offresd'emploi aux quatre coins du web, et elles sont souvent floues (par exemple, "lieu de travail = région parisienne"). Il faut une base de données unique librement consultable.
None
None
La loi qui dit que, si on a entre 50 et 70% de handicap (j'écris de mémoire) et que son handicap constitue un frein pour la recherche d'emploi on a droit à l'AAH, n'est pas appliquée. Administrations concernées : les MDPH. C'est bien beau d'augmenter l'AAH, mais si ceux qui y ont droit n'y ont pas accès ça leur fait une belle jambe.
None
None
None
None
None
None
J'ai beau chercher les offres d'emploi, je suis sûr que j'en ai ratées parce que je n'ai pas visité le bon site au bon moment. Il y a des règles pour les appels d'offres, pourquoi n'y a-t-il aucune règle pour la publication des offres d'emplois? Il faut une centralisation, et un site de recheche multi-critères doublé d'un réseau social où employeurs, employés et personnes en recherche d'emploi pourront librement échanger. Pole Emploi 2.0!
La surpopulation : tous les autres problèmes viennent de là.
Il faudrait cesser d'encourager financièrement les gens à avoir de nombreux enfants. Une allocation familiale dès le premier enfant, financée par une baisse des allocations versées aux familles trop nombreuses.
Oui
Inquiétude constante, peur de l'avenir.
Oui
Je participe souvent aux manifestations.
Les aides pour le changement de chaudière (actuellement au fioul).
Je voudrais changer ma chaudière mais je n'en ai pas les moyens.
Oui
Des sous!
Non
Aucun bus ne passe près de chez moi. Sans celà je prendrais volontiers le bus.
Les transports en commun|La marche
Dans mon coin, ce serait principalement la SAVAC et le STIF (sociétés de transport).
Faire des choix efficaces qui donneraient envie aux autres pays de faire pareil.
Il manque une grosse catégorie pour le tri des ordures : les déchets compostables. Une poubelle spécifique serait la bienvenue. Et ce ne sont pas les agriculteurs qui refuseraient des livraisons de compost.
Votre message a bien été envoyé.