Adosser à la feuille de déclaration de revenus un compte rendu de cette utilisation.
Que tout citoyen quel qu'il soit contribue fiscalement, à hauteur de ses moyens, au budget de la Nation; Que tous les revenus, quels qu'ils soient, y compris les indemnités d'élus, de missions pour les militaires, les pensions d'invalidité, les allocations chômage, etc., soient assujettis à l'impôt; Que l'on réforme ce système fiscal qui constitue une "usine à gaz", à la faveur d'un impôt unique : l'impôt sur le revenu;
L'urgence n'est pas de baisser, mais d'introduire une justice devant l'impôt. Il inacceptable d'exonérer les bas et les hauts revenus et de reporter tout l'effort sur les classes moyennes en les matraquant. L'urgence est ensuite d'affranchir la pression fiscale du poids du remboursement de la dette. Enfin, l'urgence est d'adopter un budget national plus vertueux et qui s'interdise tout dépassement de dépenses, tout déficit.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Les aides sociales ne doivent être attribuées qu'aux familles résidant sur le territoire national et justifiant de la nationalité française. les remboursements de frais et d'arrêts médicaux devraient être mieux contrôlés. Certains ne sont assurément pas justifiés.
Aucun
pour une politique tournant le dos au consumérisme et prônant la sobriété en matière d'exploitation des individus, des ressources, de l'énergie.
None
à priori personne, dans la mesure où, d'expérience, le système de désignation des représentants au suffrage direct conduit à une surenchère de fausses promesses et qui ne sont donc jamais tenues.
Non
le lobbying, quel qu'il soit, même des associations, n'a pas sa place dans une société qui se veut égalitaire, en accordant le même traitement à tous. Le lobbying procède d'un forcing de quelques uns pour obtenir des avantages, souvent au détriment de l'intérêt général
réintroduire plus de proportionnelle dans les scrutins pour que chacun puisse mieux trouver à se reconnaître dans sa représentation; faire en sorte que les représentants soient plus accessibles pour leurs représentés; que leurs prises de positions, leurs votes, soient plus transparents , qu'ils en rendent compte régulièrement
Une bonne chose
Un mandat mérite que l'on s'y consacre pleinement. L'assemblée nationale est sensée incarner la nation. Il est difficile et peu raisonnable pour un député de passer intempestivement du coq à l’âne, de l'intérêt de la Nation à celui parfois contradictoire de son village. Un mandat local nécessite disponibilité et proximité à l'égard des administrés. Le cumul de mandat va à l'encontre et constitue une des raisons de la rupture du lien entre les habitants et leurs élus. Sans compter l'anomalie du cumul des indemnités.
il convient au contraire de s'affranchir des considérations d'appartenances politiques qui ne conduisent qu'à ce "qu'il n'y ait pas une tête qui dépasse" , qu'une candidature à un scrutin ne soit plus portée par un parti politique.
Non
je pense au contraire qu'il est heureux que toujours plus de citoyens s'impliquent dans toutes sortes d'instances. Cela ne doit pas automatiquement entraîner une indemnisation.
L’abstention massif constatée lors des différentes élections atteste de la crise de la représentativité. Aussi, la consultation populaire (référendum) est sans nul doute le moyen de raviver le sens civique et l’intérêt pour la chose publique. Et prévenir plutôt que guérir, car il n’est plus acceptable d’attendre, pour que leur parole soit entendue, que les gens descendent dans la rue, avec les débordements que cela peut engendrer. Bien évidemment, il peut exister un danger à ce que certaines des décisions soient prises directement par un peuple parfois insuffisamment pourvu de sens critique. Et, à ce seul égard, la représentation peut constituer un garde-fou. Je demande donc une consultation populaire régulière sur le fonctionnement économique et institutionnel.
Oui
La légitimité du résultat d'un scrutin suppose qu'il soit obtenu par un nombre conséquent de votes favorables. A défaut de pouvoir, l'expérience en atteste, asseoir ce résultat sur au moins 50% des électeurs votant dans le même sens, il y a lieu de revenir au suffrage indirect.
si jusqu’au XXème siècle, il était encore concevable, dans une démocratie, que le peuple s’exprime par la voix de ses représentants, il n’en est plus ainsi aujourd’hui. Avec les moyens de communication modernes, possibilité il y a désormais de l’associer plus directement aux décisions.
Oui
Il faut qu'une fraction conséquente du parlement, peut être un tiers de la chambre, puisse impulser une consultation populaire sur un sujet relevant du domaine de la loi (donc non constitutionnalisé).
en-dehors des consultations populaires, il importe que les parlementaires s'emploient à évaluer systématiquement toutes les mesures législatives d'ordres financier et fiscal, qu'ils tiennent compte de cette évaluation mais aussi des rapports du Conseil économique, social, environnemental et de la Cour des comptes pour remettre en question tout ce qui s'est avéré ne pas être probant.
L'assemblée nationale et le sénat font quelque peu doublon. Les parlementaires de l'une ou l'autre des deux chambres sont désignés dans des circonscriptions locales. Il n'est d'ailleurs pas rare qu'un même personne passe de l'une à l'autre. Si bicaméralisme il doit y avoir, il serait bon de ne garder que le Sénat (émanation des territoires de la Nation) et le conseil économique social et environnemental (émanation de la société civile) Au niveau institutionnel, il convient de procéder à une réhabilitation du fonctionnement parlementaire avec la fin du lobbying sur les parlementaires et celle des groupes parlementaires. Les parlementaires, doivent être en mesure de voter les lois en âme et conscience, sans influence lobbyiste ou mot d’ordre d’un quelconque parti politique. Il importe à ce titre qu’ils ne soient plus désignés au titre de cette appartenance politique. En outre, une part prépondérante de l’action parlementaire doit être attachée à l’évaluation des lois en vigueur plutôt que de continuer concourir à l’inflation des normes. De son côté, il serait de bon ton que Président de la République n’interfère plus, même indirectement, sur cette action parlementaire (en dehors de son pouvoir de dissolution) et s’en tienne davantage à son rôle de garant du fonctionnement des institutions. Une plus grande indépendance de chaque organe est donc à apporter à nos institutions : indépendance du parlement, de la justice, de la presse, mais aussi de la police. Pour les dérives que cela représente potentiellement, cette dernière ne doit plus rester l’instrument du pouvoir en place. En revanche, pour une meilleure articulation et un meilleur suivi des condamnés (lutte contre la récidive), il apparaît pertinent que celle-ci soit rattachée au parquet.
Oui
Sénat: les sénateurs désignés par les Grands électeurs, fin des groupes parlementaires. Amplification du travail en commissions Conseil Economique Social Environnemental: les Conseillers désignés par le peuple parmi les composantes de la société civile
Que l'Etat soit plus intransigeant et montre l'exemple en écartant toute compromission y compris avec le culte catholique (pas d'affichage de nos élus lors des célébrations religieuses, à commencer funèbres)
cesser de diviser pour régner en stigmatisant chômeurs, fonctionnaires, gilets jaunes, etc; cultiver et aménager le temps libre, en relançant la vie associative, l'engagement bénévole, en favorisant les lieux et temps de convivialité.
Développement et promotion de Conseils de quartiers, de Conseils municipaux des jeunes; Favoriser de véritables débats égalitaires au sein des Conseils municipaux avec une révision à la baisse de la prime majoritaire accordée au Maire et à son équipe Permettre le recours au, et la prise en comte du, référendum local
L'entraide, La contribution à, et l'égalité véritable devant, l'impôt (fin des exonérations, que chacun contribue en fonction de ses moyens, que tous les revenus soient imposables); Que chacun puisse contribuer à la société par son travail (droit au travail opposable), fut-ce des travaux d'intérêt général; Le respect de la nature et de la biodiversité; Le retour à une vie plus sobre
Tendre vers une société plus égalitaire; Mettre en place un accompagnement des familles (ou donner plus de moyens aux assistants sociaux), afin de les aider à ne pas se laisser submerger par des dépenses inutiles; Promouvoir davantage l'économie circulaire.
Donner à chaque actif ou demandeur d'emploi un crédit d'heures, à l'instar du crédit d'heures accordé aux élus municipaux, pour donner la possibilité de participer à un service civique local;
La principale est la dégradation de l'environnement qui nécessite davantage de pédagogie
Revenir à une police de proximité, mois répressive, plus proche des individus et donc plus pédagogue; Renforcer le rôle de l'école; Favoriser la participation de tous à un service civique.
Chacun doit avoir conscience qu'aucun de ses actes, aucune de ses décisions, ne sont anodins, qu'ils ont des conséquences démultipliées, additionnés les uns aux autres.
L'inégalité des citoyens et des revenus (y compris les indemnités de toutes sortes) devant l'impôt. Cela rejoint la question des droits et des devoirs: le droit de vote, le droit à la protection sociale, par exemple, doit être tributaire du devoir de contribuer financièrement aux dépenses collectives.
Supprimer les exonérations fiscales, ce qui permettra de contribuer à simplifier le système.
Oui
La participation à des tâches d'intérêt collectif.
L'immigration est avant tout une opportunité pour: - relancer la croissance, à travers la consommation, le besoin en logements, en services, etc; - résoudre le problème de vieillissement de la population et de financement des retraites; - dynamiser un pays qui s'endormait quelque peu sur ses lauriers. L'intégration est une question de temps, assurément de siècles. Il convient de l'accompagner, en évitant les erreurs des années 60, et plutôt que de parquer les migrants dans des cités, en périphérie des villes, d'organiser une mixité sur l'ensemble du territoire et particulièrement dans les villages en voie d'extinction. Il convient de pourvoir à la hauteur requise à l'alphabétisation des populations et à l'apprentissage diversifié d'un travail. La protection sociale ne doit être accordée qu'aux familles présentes sur le territoire national.
oui, mais les objectifs ne doivent pas forcément s'entendre en terme de quotas d'immigration, mais en terme d'intégration et de plus-value économique et sociale.
Que les collectivités locales, les Départements, les Communes par leur CCAS, s'emparent de l'impératif d'intégration des migrants, que cette dernière ne soit pas seulement une faculté, une option. Les moyens financiers et humains (y compris par le bénévolat) doivent leur être garantis pour cela.
L'acquisition de la langue française, l'offre d'emploi, l'accès à la nationalité française et le droit de vote.
La crise des gilets jaunes constitue une formidable occasion pour nos dirigeants politiques de s’approprier une aspiration profonde à une réforme de nos institutions et par là de laisser leur empreinte à la postérité. J’espère qu’ils sauront faire preuve d’intelligence politique en sachant surfer la vague.
Vers moins de concentration de pouvoir dans les mains du Chef de l'Etat, plus de déconcentration et vers un véritable régime parlementaire
Oui
Il convient d'inscrire l'intégration des migrants dans les compétences des Communes; qu'elle ne soit pas seulement une faculté au titre de l'action sociale et de la clause générale de compétence
Non
les transports collectifs vers les villages, les consultations médicales, une meilleure accessibilité des services préfectoraux et une plus grande disponibilité de leur part
la télémédecine, le télétravail, les vidéoconférences, le télé enseignement
Non
Non
ils sont le plus souvent à créer, sinon à développer
celui des autorisations d'urbanisme. Il était grand temps de freiner l’expansion urbaine, souvent dans des zones inondables ou exposées à des risques.
ceux des transports et de la santé
Non
Non
None
les déclarations d'impôt sur le revenu: une véritable usine à gaz avec tous les crédits d'impôt, exonérations, niches fiscales
Non
None
Oui
Il faut réunir les trois fonctions publiques (d'Etat, territoriale et hospitalière) en une seule afin de favoriser une plus grande mobilité et une plus grande polycompétence des fonctionnaires. Il serait intéressant, pour plus de souplesse, que ces derniers ne soient pas recrutés par (n'appartiennent pas à) une même collectivité (Région, Département, Intercommunalité, Commune, établissement public), mais soient simplement mis à disposition de cette collectivité qui, lorsqu'elle n'en aura plus l'utilité, pourra s'en défaire plus facilement.
redonner des moyens aux sous-préfectures, aux DDT.
Je suis assez satisfait de l'inscription en ligne aux formations du CNFPT.
La gratuité scolaire est un leurre, tout autant que l'égalité des chances, compte tenu que tous les parents ne sont pas en mesure d'aider aux devoirs ou d'apporter un bagage culturel solide.
la mise en concurrence des emplois fait que tous les candidats ne sont pas en mesure financièrement de multiplier les entretiens, et qui plus est, souvent à l'autre bout de la France. Cette mise en concurrence jette, après coup, les actifs sur la route ou dans les trains pour des déplacements domicile-travail qui pourraient autrement être minimisés. La famille est aussi un frein à la mobilité.
La constitution du dossier CNRACL est encore un parcours du combattant. Il est encore surprenant de devoir attester des emplois successivement occupés, dans la mesure où ils ont généré des versements de cotisation.
Rien à signaler
None
non
le guichet unique "Net entreprise" est tout-à-fait opportun
les aides de la Région sont assorties de la condition d'emploi de stagiaires, ce qui dans le principe est louable. Toutefois, les petites Communes ou intercommunalités ne disposent pas toujours des moyens matériels et humains pour accueillir ces stagiaires.
Dans les collectivités territoriales, les accidents de service sont très dommageables. Bien souvent, les arrêts sont répétitifs et sur de courtes périodes pour lesquelles il s'avère impossible de trouver des remplaçants.
Non
Non
Pour les dérives que cela représente potentiellement, la police ne doit plus rester l’instrument du pouvoir en place. En revanche, pour une meilleure articulation et un meilleur suivi des condamnés (lutte contre la récidive), il apparaît pertinent que celle-ci soit rattachée au parquet.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Changer totalement de modèle de société et tourner au plus vite le dos à la société de consommation
Oui
Par l'enchérissement du prix du carburant, celui-ci étant taxé à toute fin d'inciter au remplacement des véhicules à la faveur de motorisations moins émettrices de gaz à effet de serre.
Oui
Je m'abstiens de consommer viande et poisson et m'efforce à davantage de sobriété dans ma consommation en général.
Plutôt que le bâton (la taxation), je suggère de recourir à la carotte (des incitations financières), de généraliser le télétravail, de développer des circuits courts et la réimplantation de commerces de proximité, de développer le transport en commun.
Le recours au télétravail, la limitation de mes déplacements, la réduction de mon niveau d'éclairage et de chauffage
Non
Supprimer la part d'électricité d'origine nucléaire, principal frein à mon option en faveur du chauffage électrique
Non
Rapprocher les lieux de travail et de ravitaillement de mon domicile, afin que le recours à la bicyclette devienne envisageable
Les transports en commun
Les pouvoirs publics, car c'est avant tout une question de politique d'aménagement du territoire de faire en sorte que mes lieux de travail et de consommation deviennent accessibles par les transports en commun et à des fréquences adaptées
La France n'a pas à faire partager des choix qui n'ont pas toujours été judicieux, exemple : - le recours au nucléaire, compte tenu du risque, de la dépendance étrangère pour l'uranium, de la non résolution du problème des déchets, du coût du démembrement des centrales qui va ruiner l'économie nationale et constitue un cadeau empoisonné pour nos enfants; - le démembrement de son réseau ferroviaire; - la privatisation des autoroutes; - le mal-entretien des routes secondaires; - la difficulté de circulation sur ces routes, compte tenu de leur calibrage inadapté, de l'antagonisme entre les utilisateurs (on y fait cohabiter automobiles, poids lourds, convois exceptionnels, engins agricoles, voitures sans permis, vélos, etc, sans qu'il y ait de possibilités de dépassement), de la multiplication des ralentisseurs, zones trente, giratoires, des limitations discontinues et souvent non justifiées de vitesse
La crise des gilets jaunes fournit un prétexte pour tenter d’aller plus loin dans la lutte contre le réchauffement climatique. Urgence il y a d’ailleurs à engager un changement de modèle de société. Plutôt que de chercher seulement à en diversifier les sources, il peut se révéler plus pertinent de s’atteler à réduire notre consommation d’énergie. Des économies importantes ont été entrevues qui pourraient être confortées : limitation de l’éclairage public, de celui des enseignes commerciales, des administrations, meilleure isolation thermique de tous les bâtiments, circuits courts… Mais une plus ample économie sera réalisée par une véritable volonté politique à ne plus jeter autant de monde sur les routes, voire même dans les transports en commun. La généralisation du télétravail y contribuera, au même titre que la décentralisation de l’emploi (trop concentré à Paris et dans les grandes villes), ou encore la préférence donnée, lors des recrutements, à la main d’œuvre locale. Au-delà de cela, il y a lieu de remettre en cause notre productivisme. Certes, il y a d’énormes gâchis de nourriture ou de produits de toutes sortes qui restent à éradiquer. Mais, il y a avant tout une plus grande sobriété à promouvoir en évitant, par la publicité, à encourager le consumérisme au-delà des réels besoins. Une action est également à mener auprès des industriels pour une plus grande durabilité dans le temps des biens qu’ils produisent et pour leur recyclage. Il est également urgent de se soucier de la biodiversité. Le nombre des espèces animales et végétales fond à vue d’œil. Il est essentiel, non seulement de stopper l'étalement urbain, mais aussi le morcellement des forêts et zones humides. Une impulsion est à donner pour "verdir" les villes, en y insérant des arbres, en végétalisant murs et toitures. Enfin, il est essentiel, dans les différentes réserves naturelles et les zones n'ayant pas de vocation à l'élevage, de réintroduire les grands prédateurs (Loup, Lynx, etc).
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