Maires et Sénat . Le Sénat, ne l'oublions pas, est composé d'élus locaux au contact du terrain, moins inféodés à une politique partisane et au pouvoir exécutif d'Etat. C'est pour cela que je reste favorable au maintien au moins partiel (élu local pouvant être ministre par exemple) du cumul des mandats qui est assurément un gage de compétence.
Non
Non. Avec les associations le lobbying n'est pas loin ainsi que l'intrusion dans la vie démocratique nationale de représentations parasites, étrangères voire nuisibles . N'oublions pas que l'article 2 de la loi de 1901 sur les associations fixent un but social à l'association que chaque adhérent doit suivre, du club de foot à celui des adorateurs de l'oignon. Cela ne peut donc s'appliquer à tel ou tel citoyen. Pour quels objectifs fumeux ? Quels contrôles de la gouvernance de ces associations déjà trop souvent gangrénées par moult dérives dont en premier lieu le lobbying politico-financier ?
Redonner le pouvoir de décision, dont ils ont été dépossédés, aux élus locaux en faisant que l'Etat sous contrôle des Cours régionales des comptes redonnent aux collectivités locales les finances dont il s'est accaparé le produit ou a négligé la couverture des dépenses sans état d'âme.
Une mauvaise chose
Question primordiale de la compétence et de l'expérience au plus près des citoyens à faire remonter au plan national
La sensibilité politique c'est comme une affaire de coeur entre partenaires infidèles à leurs engagements : à géométrie variable avec des acteurs qui avancent le plus souvent masqués devant l'opinion. Sensibilité politique ou intérêts politiques bien compris ? Plutôt la dernière expression. Pour mieux représenter les sensibilités politiques il conviendrait tout d'abord d'interdire les jeux d'alliances électorales qui cocufient la démocratie et font galoper le vote blanc qui est un des marqueurs fondamentaux du dégoût de l'opinion face à ces dérives.
Oui
Doublons entre Conseillers départementaux et Représentants d'agglomérations ou de communautés de communes. Ce n'est pas le nombre des élus à proprement parler mais les compétences similaires voire identiques qui se chevauchent dans un coûteux embrouillamini. Mais il faut redonner un sens politique aux Provinces au lieu des Régions qui n'ont plus aucune cohérence identitaire ( Hauts de France ? Grand Est ? etc...alors que Nord-Picardie, Lorraine, Alsace, et Champagne-Ardennes, par exemple, sont historiquement et géographiquement ancrés dans notre vécu. Et que dire de l'Occitanie qui fait fi de la Catalogne dans sa désignation ?...)
Que les élus se présentant aux suffrages fassent preuve d'honnêteté vis à vis de l'électorat. Rendre le vote obligatoire donnerait actuellement la part belle aux candidats les plus superficiels ou aventureux
Oui
Comme un marqueur qui invaliderait en deux points le scrutin dont la participation obtenue serait trop faible (premier marqueur) avec un vainqueur au trop faible score (second marqueur)
Il est grand temps que l'Europe des règlements communautaires cède la place à une Europe où la décision nationale serait plus forte, une Europe qui doit se débarrasser des dumpings sociaux, fiscaux et d'échanges commerciaux et financiers non traçables dont elle fait jusqu'alors ses choux gras et son lobbying Si l'Europe peut survivre aux errements qui précèdent (?), elle pourrait donner des orientations, c'est tout, voire un Plan communautaire voté à l'avance. En tenant compte de ces orientations il appartiendra à la représentation nationale d'adapter ces orientations aux besoins du plus grand nombre de citoyens.
Non
C'est justement le comment qui apparaît impossible. Si le RIP était applicable nous en aurions déjà en 2019 tout un panel d'initiatives concrétisées.
Les Cours des comptes devraient prendre l'attache du Conseil économique et social au rôle revalorisé
Sénat : voir ma première réponse. Conseil économique et social : réponse qui précède et réponse qui suit.
Oui
Le Sénat accomplit pleinement son rôle de garant national du jeu démocratique par sa stabilité institutionnelle qui doit beaucoup aux élus locaux qui le constituent. Sous son égide ou en participation démocratique , le Conseil économique, social et environnemental apporterait son expertise de la société professionnelle, dont ses membres sont issus afin d'assurer, en collaboration avec le Sénat, la supervision des engagements pris sur orientations budgétaires tant nationales que locales dont les dépenses, par les Cours des Comptes, seraient vérifiées régulièrement, puis faire l'objet de comptes rendus publics réguliers et au besoin d'être sanctionnées en cas de dérapages au-delà des budgets affectés (abandon du principe de budgétisation générale)
Le respect du principe de laïcité est me semble-t-il, sauf minoritairement, bien respecté par la religion catholique en application des règles strictes de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Le problème vient du fait que toutes les religions n'ont pas eu à connaître en France cette histoire commune qui est désormais à peu près stabilisée entre l'Eglise catholique et l'Etat. Frédéric Ozanam ne professait-il pas au XIXe siècle que "Liberté, Egalité, Fraternité" étaient aussi des vertus de l'Evangile. Or si certaines religions (à l'exclusion des sectes) ne posent guère de problème en terme de police (au sens large des règles établies relationnelles entre individus), les principes républicains sont largement battus en brèche sinon combattus par d'autres branches et familles religieuses, elles-mêmes sous-ensembles d'une religion qui n'est pas uniforme : l'Islam. C'est une affaire d'éducation citoyenne, de police et de justice : il faut appliquer la loi républicaine : rectifier par l'éducation et au besoin la sanction toute discrimination liée aux pratiques religieuses. Mais il faut aussi aller plus loin en bannissant de France toutes les familles (car il s'agit de familles entières !) qui militent par leur obédience salafiste dans les banlieues contre la France, encourageant au meurtre des "infidèles" que sont donc tous ceux qui ne sont pas des leurs.
L'éradication de France des appelants aux meurtres , et l'éducation citoyenne pour le plus grand nombre ,heureusement, même si l'éducation apparaît plus difficile à mettre en oeuvre pour un résultat (comptons sur les mères et les filles...)
Rétablissement du service national militaire ou civil obligatoire de un an. Ce serait apprendre à mieux connaître les autres et à apprendre tout court ce que l'école n'a pu inculquer.
Je me méfie du terme "solidarité" qui a été galvaudé par tous les gouvernants successifs qui avaient ainsi l'argument banalisé pour puiser davantage dans notre portefeuille. La solidarité commence par soi-même, à condition que ce soit par soi-même que l'on fasse preuve de l'empathie discrète à destination de l'autre (la charité médiatisée n'est que de l' exhibitionnisme) . L'ancienne sagesse hébraïque énonce : " Oublie ce que tu as donné, n'oublie jamais ce que tu as reçu" : précepte fondamental à suivre.
Protester, s'insurger, contacter, s'organiser et agir en bonne entente et sans stupide violence
Simplifier les possibilités d'accès des citoyens aux services publics, les informer sur leurs rôles et leurs actions, ce qui présuppose qu'il y ait encore des services publics qui puissent décemment et loyalement encore accomplir leurs missions au contact des usagers alors qu'ils disparaissent progressivement de nos villes et de nos campagnes
L'insulte et la bêtise crasse qui semblent donner de l'importance à ceux qui les profèrent et qui propagent la haine. Ce n'est plus de l'expression mais de l'excrétion immonde...Rien à faire contre la haine si ce n'est que retrouver collectivement le sens de l'amour qui ne doit rien à l'action publique, mais à la colère, à la révolte ensemble contre l' infâmie
Eduquer , sanctionner si l'éducation ne suffit pas
S'insurger en démontrant l'insignifiance, l'inanité des causes à l'origine des incivilités. Ceux qui profèrent des âneries ne peuvent être que des ânes. CQFD
Je ne me considère pas comme une victime. Témoin indirect, je vois ce qui est fait aux pauvres morts par des lâches dans certains cimetières...
Changer les mentalités...
Oui
Oui très nuancé. Une allocation de solidarité est forcément temporaire (ou devrait l'être) et correspondre à un objectif de "rétablissement" pour lequel elle est octroyée (exemple : allocation de solidarité à des sinistrés) : la contrepartie existe alors : elle est dans l'engagement de son bénéficiaire à oeuvrer à son rétablissement . Quand elle est systématisée et durable, elle pallie une carence financière, alimentaire, sanitaire que le travail et la juste rémunération qui devrait en découler n'a pu combler. Absence de travail temporaire ? Travail , mais faible rémunération ? Impossibilité définitive ou temporaire de travailler ? ...Trop d'occurrences pour une réponse uniforme qui exclut en principe dans ces cas toute forme de contrepartie. Sauf que un travail trop faiblement rémunéré pose questions : Le travail est-il justement rémunéré, à faible rémunération, par rapport aux compétences mises en oeuvre ? Si oui, l'allocation de solidarité n'a pas de juste contrepartie et il constitue un revenu de substitution dont la collectivité doit demander de rendre compte à son bénéficiaire à due concurrence de l'octroi de l'allocation Si non, c'est à l'employeur de rembourser financièrement à la collectivité le prix de l'allocation attribuée au bénéficiaire pour lequel cette allocation demeure néanmoins un revenu de substitution. Dans ce cas l'employeur a en effet exploité son personnel en le sous-rémunérant, et ce n'est pas à la collectivité d'en payer le prix car elle ne bénéficie d'aucune contrepartie. Enfin il y a des allocations de solidarité qui ne sont pas liés au travail sans participer d'un processus indemnitaire. Souvent liées à l'éducation familiale, comme les allocations du même nom, la contrepartie à obtenir est l'éducation : les attribuer directement à un bénéficiaire qui a failli par lui-même ou ses enfants dans le parcours éducatif, sanitaire, moral de ses rejetons est une hérésie. Sans supprimer l'allocation, elle devrait revenir aux organes de tutelle pour être utilisée conformément à sa destination au bénéfice des enfants.
La France a de tout temps été une terre d'accueil et de mixité sociale...Soit, mais à condition d'en respecter lois, règles, usages et coutumes. L'ingénue doctrine de l'indigénisme en banlieues (dérives de "Touche pas à mon pote") a conduit à créer des territoires hors des lois de la République, comme la situation en Seine-Saint Denis (sur tout un département !) en est maintenant l'exemple le plus flagrant. Il convient donc de récupérer les territoires perdus à toute possibilité d'intégration. Et pour cela, il n'y a pas d'autre solution primordiale que de contrôler les origines géographiques des flux d'immigrants sur le territoire national pour endiguer des situations de "trop-plein" localement critiques
Oui
Pérenniser une politique d'immigration contrôlée. Supprimer l'acquisition de la nationalité française par la simple naissance sur le territoire français.
Apprendre, écrire et parler le français. Obligation de prêter serment à la France et au respect de ses institutions.
Service national ou civique obligatoire
Le service public d'Etat fonctionne efficacement, n'en déplaise aux détracteurs et aux tartuffes. Mais une optique budgétaire globale et destructrice conduit à supprimer à l'aveugle ce qui a fait preuve d'efficacité au service de nos concitoyens sous prétexte de réduction des dépenses publiques. Ce n'est qu'un prétexte directement inspiré par une volonté de démanteler le service public afin d'en partager les attributions, à l'encan du libéralisme, par mise en vente à des groupes privés dirigés automatiquement, par le jeu des prises de participation, par des puissances étrangères. C'est ainsi que les plus beaux fleurons de nos entreprises françaises ont déjà été livrés en pâture (Aéroport de Toulouse, Alcatel) ou volontairement affaiblis (fusion Alsthom Siemens interdite par les instances européennes, définitivement gangrénées par les lobbies ) avec toutes les suppressions d'emplois en résultant. Il faut absolument empêcher que le service public d'Etat soit démantelé à son tour, ce qui a déjà commencé puisque l'Etat se désengage progressivement de ses missions y compris régaliennes : police de la circulation (verbalisation) actuellement confiée à des sociétés privées , bientôt l'établissement, le contrôle et le recouvrement de l'impôt gérés, pourquoi pas, depuis une plateforme en Chine , ou des prisons administrées par des gestionnaires de fonds de pension américains. Que l'on nous oppose pas l'argument hypocrite que maintenir un service public d'Etat coûte cher (c'est vrai), mais en brandissant l'épouvantail qu'il faudrait alors plus d'impôts, ce qui est faux. Il faudrait que les impôts existant soient tout d'abord mieux recouvrés , ce qui suppose que des moyens juridiques efficaces soient créés pour cela, alors qu'actuellement, de par la réglementation laxiste, molle, aux procédures qui sont offertes interminables , le mauvais payeur est plutôt tranquille sur le tas d'euros qu'il ne cesse d'accumuler par fraude au Trésor Public, ou par évasion fiscale ou "optimisation fiscale", ce qui revient au même (fiscalité avantageuse des stock-options par exemple, que tout quidam ne peut se permettre d'utiliser, alors qu'il s'agit d'un pillage anticipé du rendement d'une entreprise qui est dû avant tout au travail des employés). En suite logique, il faudrait donc que les impôts existant puisent être assis et liquidés sur une matière fiscale mieux contrôlée, ce qui supposerait que l'on ne supprime pas des postes de vérificateurs fiscaux au profil très rentable (25000 € de droits d'impôts rappelés en moyenne basse pour une vérification de comptabilité, à raison de treize vérifications de comptabilité par an) alors que l'évasion fiscale coûte 40 milliards d'euros par an au Trésor Public ! Imaginez donc l'importance de ces recettes fiscales que l'on laisse échapper par année...alors que l'on supprime partout des postes de fonctionnaires d'Etat indispensables au fonctionnement d'un bon service public, ce qui n'est pas forcément quantifiable en euros mais qui est d'une qualité enviée à l'étranger. Enfin que nos gouvernants cessent de nous bassiner avec les avantages du soi-disant "ruissellement" causée par la suppression de l'ISF et l'instauration du CICE (Crédit d'impôt compétitivité emploi). Bobards purs et simples : s'il devait y avoir eu un ruissellement en terme d'améliorations de l'investissement productif et de l'emploi en France, nous n'aurions pas actuellement ce taux de chômage, ces suppressions d'emplois et fermetures d'usines. Le problème est qu'ils y croient, mais qu'a posteriori ils se gardent bien de mesurer l'insignifiance en efficacité productive et sociale, par rapport de cause à effet, des dispendieuses mesures en terme budgétaire de ces cadeaux fiscaux. Sans évoquer la grogne qui monte contre l'injustice fiscale...
Non
Non. En l'état actuel, il est constaté que les transferts de missions par l'Etat aux collectivités territoriales ne se sont jamais accompagnés des transferts en sources de moyens financiers et humains pour accomplir ces missions.
Oui
Mais arrêtons de développer la dématérialisation déclarative obligatoire par internet qui est un obstacle au contact avec le service public de beaucoup de populations et cause de pertes de la confidentialité que le contact avec un agent public, non dématérialisé, au contraire permet (particulièrement pour les personnes âgées ou en situation de handicap)
Aucune
Non
None
Que l'on cesse de considérer à tort que les fonctionnaires sont incompétents dans leurs métiers au point de prétendre leur faire tenir des fonctions "bouche trou". Cela me fait penser au "Blues du plombier" de Boris Vian où un plombier remplace au pied levé son voisin chirurgien-dentiste avec les conséquences désastreuses qui en résultent
Si cette question est destinée à obtenir une réponse qui chanterait les mérites de la dématérialisation et des formidables applications informatiques "usines à gaz" qui les sous-tendent, révisez le sens de votre question en l'état inadaptée
Même remarque que précédemment
Oui
Oui
Dans mon métier . Ce droit à l'erreur existait déjà avant qu'on en fasse l'étalage comme sur une tartine. Il était déjà prévu par l'article L.62 du Livre des procédures fiscales en matière de vérifications de comptabilité et utilisé par ailleurs sans problème dans les services en matière de recours administratif gracieux. Rien de neuf donc si ce n'est beaucoup d'effet d'annonce et de poudre aux yeux, ce qui se confirme être une manie tenace de la Haute Administration ...
La dématérialisation des déclarations de revenus. Le prélèvement à la source de l'impôt sur le revenu, en réalité prélude probable d'une fusion de celui-ci avec la CSG et d'autres prélèvements sociaux, alors que, s'il avait fallu s'en tenir au seul impôt sur le revenu, la mensualisation obligatoire de son paiement aurait suffi ...
Oui
Oui car c'est sur le terrain que le travail de contact, de recherche et d'investigation s'opère pour faire appliquer la loi, mais modulé par le fait que le fonctionnaire doit avoir les moyens de son action sur le terrain, à commencer par celui de pouvoir avoir la garantie de sa protection et d'une responsabilité automatiquement assumée par l'Etat dans les limites de l'exercice des fonctions
Oui
Dépoussiérons la Haute administration des hiérarques irresponsables plus politiques que fonctionnaires et des aventuriers d'alcôves à l'instar de l'ex-conseiller en sécurité de l'Elysée. Si vous imaginez les bureaux des administrations centrales dirigés par des sages, vous vous trompez. L'ambiance imposée oscille entre celle d'internés à l'hôpital Sainte-Anne et de celle de courtisans à la Cour des Borgia En outre un "oui" à votre question appellerait-t-elle une réponse autrement orientée, du genre qui tendrait à faire accroire que le fonctionnaire serait un profiteur privilégié ? Je décevrai donc ceux qui penseraient cette ignominie : le recrutement par concours des fonctionnaires et la prestation de serment sont les deux gages de la neutralité et de l'efficacité des services publics, la contractualisation et la précarité de l'emploi public en seraient fatalement les fossoyeurs...Un recrutement à l'aveugle ne ferait que multiplier les cow-boys et les aventuriers dans l'administration.
Maintenir les services publics existant sur les territoires en leur donnant des moyens de qualité à accessibilité facile à horaires compatibles avec un aller-retour quotidien par transports efficaces en campagne et en périphérie
Non concerné par votre question
Non concerné par votre question
Non concerné par votre question
Non concerné par votre question
Pas de problème particulier rencontré
Non concerné par votre question
Non concerné par votre question. Ceci dit il conviendrait de supprimer la vieille loi Le Chapelier sur la liberté du commerce et de l'industrie. Loi obsolète grandement dévaluée, mais qui permet encore à n'importe qui de commercer sans garantie stable des clients, des fournisseurs et des personnels, le plus souvent de manière éphémère, parfois illicite sous couvert d'un objet social vague, et non déclarée...particulièrement auprès des administrations
Non concerné par votre question
J'ai été formateur d'agents publics au sein d'une administration d'Etat. Je ne pense pas être concerné par le sens que vous voudriez donner aux réponses à vos questions beaucoup trop orientées, ce qui ne semble pas être ma seule opinion au vu de plus d'une participation au débat. Pourquoi ne pas prévoir un grand débat au sein même de la fonction publique ? Cela manque cruellement...Mais je ne pense pas que vous le souhaiteriez vraiment
Non concerné par votre question
Non concerné par votre question
Non concerné par votre question
Organisez donc un grand débat au sein même de la fonction publique. Vous aurez des propositions édifiantes sur l'organisation de l'Etat et des services publics. Il me semble que cela est fait mais que vous n'en teniez pas compte. Alors le Grand débat national actuel n'est-il qu'un défouloir pour gogos ?
Votre message a bien été envoyé.