En plus du prospectus habituel répartissant le budget de l'Etat suivant ses différentes missions et ministères, présenter un schéma explicatif montrant la feuille de route à 5/10 ans pour réduire la dépense publique.
- Assujettir la notion de citoyenneté à la notion de contribuable. - Rendre l'impôt universel en soumettant l'ensemble des citoyens à l'impôt, même de façon symbolique. - Respecter l'article 2 de la Déclaration des droits de l'Homme et du Citoyen sur le droit de propriété, combattre la précarité en rendant plus attractive l'accession à la propriété, notamment pour les plus vulnérables. L'accession à la propriété privée, enracinant le citoyen sur son territoire est aussi une véritable école de la responsabilité sociale, facteur d'intégration également pour les citoyens les plus jeunes ou issus de l'immigration. - Rétablir une justice fiscale entre les territoires en mettant en relation les taxes locales (foncières, habitation) sur l'immobilier avec la valeur foncière réelle (c'est à dire la valeur locative) - Cette mesure aurait pour vertu de faire cesser la désertification et l'appauvrissement de la "France périphérique". - Faire participer l'ensemble des habitants aux charges des communes et des collectivités en rétablissant une taxe d'habitation révisée et plus justement réparties entre les foyers fiscaux. - Moderniser l'impôt, sur le modèle des assurances, en récompensant le civisme sur le long terme (Bonus) et en pénalisant dans la durée les contribuables se rendant coupable de fraude ficcale (Malus).
- La taxe foncière sur la résidence principale devrait être supprimée. (Au profit d'une taxe d'habitation modernisée.) En effet, la taxe foncière fragilise les propriétaires les plus vulnérables et devient rédhibitoire, notamment dans les territoires les moins favorisés ou l'immobilier n'offre que des revenus très faibles. - Tout en maintenant l'incitation à passer sur de nouvelles énergies moins polluantes, rendre du pouvoir d'achat au particulier en cessant de surtaxer les énergies destinées aux besoins essentiel comme l'alimentation électrique ou le chauffage des habitations.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Augmenter le temps de travail
La politique familiale doit encourager au maintien d'une natalité au dessus du seuil de renouvellement des générations, en incitant à la création de nouveaux jeunes foyers (Prie de mariage ou de PACS?) et en redonnant un caractère universel et égalitaire aux prestations familiales.
- Inciter à la natalité par une politique familiale égalitaire (notamment protectrices pour les mères de famille, par rapport à leur rémunération salariale durant les mois de grossesse et leurs espérance de carrière professionnelle) - Encourager la solidarité familiale pour diminuer le coût de la prise en compte des personnes âgées sur la dépense publique. Subventionner le maintien de nos aînés dans leur famille sera toujours moins cher que la construction et l'entretien de nouveaux EPHAD.
- L'éducation nationale et l'enseignement supérieur. - Justice et sécurité publique. - La Défense. - La recherche et développement (Pour des projets d'intérêts publics uniquement) - La culture et le patrimoine.
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Les élus de terrain sont les plus à même de représenter les intérêts de leurs administrés.
Non
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Il paraît nécessaire de renforcer le pouvoir des maires, notamment pour peser dans le processus legislatif; En effet, le plebiscite des élus de terrains renforcerait la légitimité d'un projet de loi ou de décret face à des assemblées très "parisiennes"
Une mauvaise chose
Le non-cumul des mandats a définitivement marqué la césure entre les élus des territoires et les parlementaires.
Instaurer la proportionnelle pour les assemblées consultatives et parlementaires. Instaurer une proportionnelle limitée au dessus du seuil de blocage pour les assemblées dotées d'un pouvoir exécutif.
Non
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Comme pour l'impôt, la participation à une élection revêt un caractère obligatoire. Une amende significative pour absence injustifiée pourrait être mise en place. Cette disposition irait de pair avec l'instauration du vote blanc en lieu et place de la notion d'abstention.
Oui
Le Vote blanc doit devenir un candidat comme les autres. Un score de vote blanc supérieur à celui des deux premiers candidats d'un premier tour pourrait invalider ce premier scrutin.
Les citoyens pourraient remplacer une institution comme le CESE en reprenant son rôle consultatif sur un périmètre étendu à toutes les questions intéressant la Loi. Ainsi, en mettant en place en permanence un site inrenet tel que celui du grand débat, chaque citoyen pourrait répondre à des questions sur les projets de loi ou les questions politiques traitées par le gouvernement. Pour garantir une transparence et s'assurer de questions pas trop orientées, celles ci-pourraient être validées en amont par le Conseil d'Etat ou le Conseil constitutionnel. La mise en place d'un seuil critique de participation (comme le CESE) pourrait permettre le déclenchement d'un référendum. Ainsi, sans influence de Médias ou du pouvoir, les citoyens pourront choisir de se saisir des questions qui leur semblent les plus importantes pour un scrutin national.
Non
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Il faudrait intégrer ces questions au processus de consultation proposé ci-dessus.
Pourquoi ne pas imposer au parlementaire porteur d'un projet de loi de le faire légitimer au sein de sa circonscription au préalable, par un vote des grands électeurs et des interventions publiques dans lesquelles ces projets seraient présentés aux citoyens.
Non
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Une stricte application de la Loi suffit. Cessons de consulter les soi-disant responsables d'"associations de quartier" qui sont généralement de faux nez pour des gourous autoproclamés qui imposent d'autres valeurs que celles de la France et de la République.
Mettre fin au laxisme en réprimant systématiquement les violations de la loi lorsqu'elles sont constatées par la personne publique. Soutenir les agents de terrain dans l'application de ces consignes.
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La politesse et la courtoisie sont malheureusement devenus désuètes. Pourtant, ces vertus sont d'abord celles qui permettent le "vivre ensemble" Cessons de subventionner la notion de "tolérance" qui excuse systématiquement celui qui trouble l'ordre public et faisons plutôt la promotion des comportements de personnes bien élevées, de toutes origines sociales et culturelles et sanctionnons plus durement le vrai manque de civisme qui consiste d'abord à manquer de respect à son voisin et au reste de la société.
Rétablissement des cours de savoirs vivre à l'école, dès la petite enfance. Ces cours pourraient en plus être de bon relais pour éduquer les moins favorisés ou les concitoyens d'origine immigrée qui ont choisi la France à nos us coutumes. le fait de savoir permet de se comprendre, de diminuer les cloisonnements communautaristes et de donner une vrai chance d'intégration aux plus fragiles.
Récompenser par des distinctions honorifiques et la communications les gestes remarquables de civisme.
- La dégradation du mobilier urbain et les graffitis qui se répandent impunément sur les murs de toutes les constructions. - Les lieux publics ou privés squattés par des bandes. - Les bruits (musique à pleine puissance, vrombissements de moteur) générés dans la rue et à toute heure, même de nuit. - Les déchetteries sauvages qui pullulent dans les rues et les zones rurales.
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Une immigration se doit d'être acceptée à défaut d'être choisie. Pour être acceptée, une immigration doit être équilibrée et réellement de tous horizons, paraître maîtrisée et donner le sentiment d'un enrichissement réel, par des talents et des compétences. L'immigration vécue en France depuis les années 70 tend à ressembler davantage à un projet de colonisation qu'à une immigration assumée. Par ailleurs, la prédominance de certaines communautés dans cette immigration tend à dissuader d'autres possibilités d'immigrations.
Oui.
La France a un devoir de faire face à la réalité. Sans mise en place de quotas et de statistiques, il paraît impossible d'initier une véritable politique maîtrisée en termes d'immigration. En effet, seule la mise en place d'un principe de "discrimination positive" permettra d'équilibrer les flux entre les origines culturelles. Pour cela: - Suppression de l'accession automatique de la nationalité pour les enfants nés en France de personnes étrangères. - Supprimer la double nationalité: l'acquisition de la nationalité française suppose le renoncement définitif à sa nationalité d'origine. - Suppression ou modulation des prestations sociales éligibles aux étrangers afin de réduire l'immigration économique. - Mise en place de statistiques officielles sur les flux migratoires, détermination des quotas annuels par un vote au parlement. - Suspension de la notion de regroupement familial.
L'accueil de nouveaux concitoyens d'origine étrangère exige que les motivations soit testées au travers de: - quel est le projet de vie associé à l'accession à la citoyenneté française? - quel est le degré de connaissance des droits et devoirs d'un citiyen français? - le nouvel arrivé sait-il si ses croyances et coutumes sont réellement compatibles de nos règles et de nos valeurs? Saura t'il les accepter?
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L'Etat doit se recentrer sur ses missions régaliennes et déléguer ses missions de service public à des EPIC ou des échelons territoriaux comme les département ou collectivités. Les missions régaliennes doivent être Justice, Sécurité extérieure et intérieure, Finance, souveraineté économique. Les ministères doivent se concentrer uniquement dessus. Le reste, encadré par la loi et éventuellement par une "haute autorité" d'arbitrage, pourrait être confié aux Régions ou départements.
Oui
Education, patrimoine, culture, environnement, logement, etc. En effet, ces missions ne sont pas régaliennes et leur priorisation est fortement dépendante de la réalité et de la diversité des territoires.
Oui
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Non
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Le Trésor public (le site internet est un exemple de réussite en termes de simplification des démarches et de fiabilité)
L'éducation nationale.
Non
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Oui
En renforçant le pouvoir et l'autonomie de décision. En effet, le manque d'autonomie conduit souvent à des délais de traitements et des circuits administratifs non visibles et non compréhensibles qui décrédibilisent les agents de terrain.
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