Date de publication : 2019-01-23
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Envers des individus légitimes (recevant une réelle adhésion des citoyens), formés pour ce poste (compétences notamment au sein du domaine) et agissant pour l'intérêt général (et non pour faire carrière)

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Toute association loi 1901 mérite que sa voix soit entendue et réellement prise en compte dans les débats la concernant, il en est de même pour les organisations syndicales. Le CESER pourrait ainsi avoir un véritable pouvoir contraignant, au lieu d'être simplement consultatif. L'enjeu n'est pas tant la représentativité, que la négociation entre une diversité d'acteurs (en termes d’âge, de sexe, d’origine socio-économique et socio-culturelle, de lieu de résidence et d’engagement dans l'enjeu porté à l'agenda politique), formés pour négocier collectivement une prise de position qui dépasse leurs intérêts particuliers

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

La légitimité des solutions politico-administratives classiques est remise en cause. La gouvernance (outils, mesures et processus collectif) dépend des contextes de gouvernabilité (la nature des problèmes et la structuration des acteurs) et des stratégies politiques (gouvernementalité) face aux tactiques citoyennes. Le questionnement se pose sur le degré d’implication des citoyens (de l’information à la co-construction), ainsi que la temporalité de leur implication (en amont des politiques publiques jusqu’à l’évaluation a posteriori). Cela nécessite une formation des citoyens au-delà de l’expertise usagère, ainsi qu’un tiers pour éviter la réalisation de quelques intérêts particuliers. L'efficacité d'une politique publique dépend de son acceptabilité, donc de la modernisation de l’action publique vers la mise en confiance, la création de mécanismes de coordination complexes (pour gérer une pluralité d’acteurs), l’innovation en termes d’instruments, la redistribution des pouvoirs et rôles entre les institutions, les opérateurs économiques et les citoyens. L'incertitude du contexte et des individus est relative à une crise de l'ordre urbain, où la confiance doit se reconquérir envers les édiles et autres systèmes experts (laissant des marges de manoeuvre pour accepter un équilibre entre maîtrise et non-maîtrise du contexte et des comportements). Alain Touraine écrivait déjà en 2013 : "Le creusement des inégalités et l'incapacité des pouvoirs publics de résister aux crises ébranlent pour leur part la confiance dans l'action politique. Dans tous les domaines, la logique des institutions semble dépassée ou même contredite par les pratiques". La mise en confiance des participants aux débats n'est pas effective, rendant délicate l'adhésion aux réformes. La mise en confiance suppose d'agir pour la liberté en desserrant certaines contraintes et en prenant acte de ce qui s'oppose à la liberté. Or, jusqu'à aujourd'hui, seul le second volet est développé : les sanctions envers ceux agissant contre la liberté des élites, contre le "vivre ensemble" défini par les autorités urbaines (un sentiment de liberté dans la reconquête de l'espace public qui correspond à un être lisse, à une jouissance ou appropriation en sourdine). Cependant, redonner de la confiance ne peut pas être dicté par le politique. Cela nécessite la création d'un climat de confiance à la base des futures relations de confiance à établir. Cela implique une reconquête des valeurs de la coopération, une quête de sens ; se sentir légitime pour pouvoir pérenniser son engagement. Entre gouverneurs et gouvernés, la gouvernance participative peut permettre l'entretien de la confiance, via une reconnaissance réciproque dans ce type de dispositif. Néanmoins, cela implique de la mener à bien, or les élus ne représentent qu'une partie des gouvernés et ceux qui ne sont pas organisés en collectif administrativement deviennent des sans-voix : les classes socio-économiques défavorisées, les non résidents mas usagers, les marginalisés, etc. Il est donc impossible de rencontrer un consentement mutuel, et ceci est d'autant plus délicat que les participants aux débats sont étiquetés élus, riverains, exploitants, etc., empêchant la formation d'un "nous". Au niveau identitaire, la mémoire doit être vivante, sans reléguer les actions révolues dans un passé dépassé qui est tantôt oublié, tantôt muséifié, constituant une illusion sur le passé suite à une reconstruction biographique. Il s'agit donc de co-construire la politique publique avec une implication de citoyens formés et de toutes les parties prenantes (et pas d'afficher une co-construction en effectuant plutôt de l'information), de montrer que leur voix est prise en compte concrètement pour amener vers leur adhésion mutuelle, avec une implication en amont des politiques publiques jusqu’à l’évaluation a posteriori, qui soit en permanence suivie par des chercheurs.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Cela permet d'éviter de favoriser un territoire du fait d'un pouvoir plus important d'un parlementaire par rapport à un autre (diversité de voix/visions sur un même territoire et entre territoires), ainsi que de donner du temps pour remplir correctement sa fonction

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Modifier la manière de prendre en compte les votes en classant les candidats par préférence (ce qui change le résultat final) et mettant en place une gouvernance qui représente ces préférences (vision relative et non absolue : proportionnelle), ce qui impulsera de vrais débats, des dynamiques, au lieu de clivages entre deux chapelles qui amènent à s'échanger les voix pour faire réussir son projet individuel, au lieu de penser à un récit et projet collectif

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

"Si voter, changeait quelque chose, il y a longtemps que ça serait interdit" (Coluche) Cf. réponses précédentes sur la nécessité de recréer un climat de confiance, dont donner au citoyen la preuve que sa participation est utile, qu'elle compte dans la prise de décision politique, et travailler avec le citoyen (à la manière de Ché Guevara) et non pour l'image publique

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Si une majorité de votes blancs est exprimée, l'élection devrait être reconduite. En cas de proportionnelle : le pourcentage de votes blancs devrait être pris en compte (nombre de sièges) amenant à reconduire une élection partielle pour remplir ces sièges (après compréhension de ce que signifie ce vote blanc). Dans l'analyse des résultats électoraux : prendre en compte le nombre de votes blancs pour définir le score. Il est inconcevable de suivre un programme (quand cela est effectué) à partir du moment où le vote d'adhésion s'élève à 8-10 % des votes exprimés (malgré une majorité en termes de résultats aux urnes).

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Il faut prendre en compte l'échelle politique : tous les citoyens n'ont pas besoin de participer à toutes les décisions, mais à celles qui le concernent. D'autres éléments à avoir en tête : fixer des objectifs clairs sur les degrés de prise en compte de la parole des citoyens (de la mise à l'agenda politique = choix des sujets, à l'évaluation des politiques publiques) ; communiquer, informer publiquement et gratuitement (open data généralisés, réunions locales organisées et ouvertes à tous...), aller vers la constitution de panels hétérogènes (en termes d’âge, de sexe, d’origine socio-économique et socio-culturelle, de lieu de résidence et d’engagement dans l'enjeu porté à l'agenda politique), former à la participation et aux enjeux sus-cités (en laissant le temps de débattre), sortir le débat des instances politiques (violence symbolique), distribuer également le temps de parole et ouvrir l'accès aux débats + surtout, montrer aux citoyens (suivi) que sa participation compte dans la prise de décision politique. Les TIC sont un moyen permettant le débat, mais des limites communes semblent émerger avec d'autres formes de participation : ce sont les individus déjà actifs qui participent, ceux ne possédant pas les ressources nécessaires peuvent être exclus du débat et l’articulation entre la concertation et le projet ne paraît pas toujours évidente. La Maîtrise d’usage (introduction d'un tiers neutre en termes d'intérêts) implique de prendre en compte les besoins et les attentes des usagers en s’appuyant sur l’expérience et la proximité. La légitimité de la parole citoyenne nécessite de construire une reconnaissance mutuelle. La reconnaissance, selon A. Honneth (2010), passe par la visibilité sociale : l’existence sociale aux yeux des autres. Se comporter intentionnellement comme si l’autre n’existait pas, revient à être indifférent à l’autre en tant qu’humain, à mépriser son humanité. Il s’agit donc de travailler une citoyenneté active et responsable, face aux usagers consommateurs, passifs, normés et disciplinés (Dreyfus, 1976). C’est, pour les autorités urbaines, une autre manière d’organiser le programme des citadins, des services et des cycles urbains. Les citadins sont, eux, impliqués dans le débat public. La ville devient conviviale et adaptée aux arts de faire quotidiens, à travers la co-production à haute valeur d’usage ajoutée.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Cf. réponses précédentes : en créant des panels hétérogènes, informant et formant au débat, pour mener à la constitution d'un "nous" et éviter le rapt du débat par un groupuscule.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

La mise en place d'Etats généraux sur la répartition et la distribution de l'argent public.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

La prise de décision politique verticale est remise en cause pour passer à une gouvernance horizontale articulant démocratie représentative et participative, où l’élu-l'édile prend un rôle d'accompagnateur des parties prenantes, de facilitateur du débat (et non de décisionnaire final).

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Donner un pouvoir contraignant au CESER et l'ouvrir davantage aux citoyens. Supprimer le Sénat sous cette forme et le remplacer par des citoyens tirés au sort qui seront formés.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Considérer les religions comme étant une croyance individuelle, intime, et ne pas les inclure dans la prise de décision politique en tant qu'acteur car nous sommes dans un Etat laïc, ni permettre le financement public de ces organisations au-delà des autres associations.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Cela passe par un investissement massif dans une éducation menant à la formation d'un esprit critique et actif, ainsi que dans la culture (et pas seulement savante).

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Donner une vraie place au citoyen au coeur de la société, notamment politique, et aller voir tous les citoyens sur des sujets le concernant pour l'associer à cet engagement constructif, en sus des éléments déjà développés.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Ne pas nuire à la liberté d'autrui ; se battre contre l'injustice ; respecter l'équité = reconnaissance morale, juridico-éthique (principes de l'amour, de la solidarité et de l'égalité définis par Honneth).

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Permettre le développement d'associations et donner les moyen de leur développement : visibilité, locaux, moyens humains et financiers.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Considérer les expériences associatives au même titre que des expériences professionnelles : la non-rémunération ne doit pas signifier une moindre valeur.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Ce qui relève de l'injustice, des discriminations socio-économiques, racisées, genrées, générationnelles... la lutte passe par l'éducation et la culture.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Un discours politique fort et des mesures cohérentes contre ce type d'incivilité (notamment avoir une cohérence avec la politique migratoire), montrant des valeurs d'altérité plutôt que d'entre soi.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

De la bienveillance continue les uns envers les autres, favorisant la commensalité au lieu de l'entre soi.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Homophobie, racisme, genrée, sexuée, générationnelle.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Idem que précédant.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Un investissement dans la vie citoyenne : associatif, salarial, ou autre ; payer ne serait-ce qu'1 euro d'impôt implique un acte d'engagement, de solidarité, de participation à la vie collective.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Le nombre d'immigrés en France n'est pas préoccupant contrairement à ce que l'on veut nous faire croire. Cependant, il y a une politique invraisemblable de fermeture (alors que nous avons besoin économiquement d'un solde migratoire, mais surtout humainement : nous avons la chance d'être né ici, donc ceux qui n'en ont pas eu la chance n'auraient pas les mêmes droits et potentiels que nous ?, quel beau jeu de loterie... (ironique) ; nous revendiquons notre droit à nous installer où bon nous semble, mais d'autres venant d'ailleurs ne pourraient pas ?). Il s'agit donc plutôt de réfléchir à la manière d'intégrer socialement les immigrés au sein de la société d'accueil (langue, valeurs, logement, emploi... + participation à la vie collective).

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Non. Nous devrions plutôt travailler à l'ouverture généralisée des frontières.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Déjà répondu.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Ne pas enclaver les immigrés entre eux et ne pas les mettre à la rue : leur permettre une intégration à la vie collective, à l'économie, au confort et leur donner les mêmes chances que n'importe quel non-immigré.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

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Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La dégradation du paysage (au sens de la Convention européenne du paysage, ratifiée en 2006 en France) jouant sur la qualité de vie

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Repenser toute la politique d'aménagement du territoire en impulsant concrètement les plans paysage à se développer au niveau local (articulation entre démocraties représentative et participative pour prendre en compte les actions émergentes), en contraignant à la végétalisation (corridors écologiques pour une biodiversité et l'imperméabilisation des sols), en repensant les fonctions urbaines et polarisations (ville compacte et pôles relais pour repenser les mobilités domicile-travail et la distribution des services, commerces, etc.), en contraignant à une qualité architecturale et urbaine (entrées de ville, promotion immobilière, etc.) + en contraignant à la prise en compte de la valeur d'usage (au lieu du primat de la valeur d'échange), de l'humain

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Recherches sur la thématique / Formations à l'environnement / Utilisation des transports en commun et de la marche / Résidence en ville dense / Consommation raisonnée...

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Repenser l'aménagement de l'espace en termes de fonction et développer des espaces urbains qualitatifs pour une vie urbaine riche d'expériences (protection climatique, contre les perceptions sensorielles désagréables, espaces confortables pour les activités élémentaires (marcher, observer, bavarder, s'asseoir...) en tout temps, qualité du design et de l'architecture, ouvrir les façades, super ilots, créer des contacts interpersonnels)

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Par exemple : revoir la tarification des transports en commun (notamment grandes lignes) et les horaires (bus, tram, métro, etc.) pour s'adapter aux modes de vie Tout cela ne se réglera pas financièrement, mais par la volonté politique d'impulser une autre manière de penser le monde dans lequel nous vivons, en prenant en compte l'usager, l'humain !

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Ne plus être locataire...

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

La collectivité locale

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Ne pas être un donneur d'ordre, mais devenir un véritable exemple (agir au-delà des discours) montrant que cela peut fonctionner vertueusement ; les autres suivront

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faut dépasser le seul terme d'écologique (qui relève de questions juste techniques) pour passer à la transition durable !