Tous ces problèmes ne sont pas séparable, ce questionnaire ne commence pas de la meilleure des manières.
Ce n’est évidemment pas l’unique problème, et les autres sont tout aussi importants. Mais en ce qui concerne l’écologie scientifique, c’est que pour être efficace, elle n’aurait jamais dunse transformer en écologie politique. L’écologie est une science, pas un rassemblement de militants. Et pour commencer à régler les problèmes liés à l’écologie, je propose la création d’un ministère pluricéphale, avec à sa tête un comité de scientifiques, non pas des politiciens dont la principale préoccupation et la réélection. Le « courtermisme » politique n’a rien à voir avec le sauvetage de la planète.
Oui
Jardinier amateur, vivant à la campagne et étant entouré de terres paysannes, je constate régulièrement la dégradation des terres tout autour de chez moi.
Oui
Je trie mes déchets (même si je ne suis pas sûr de la bonne efficacité de toute la chaîne), j’emprunte souvent mon vélo au lieu de la voiture, je milite, je sensibilise, j’essaye de rester informé sur l’actualité scientifique, j’ai installé de la domotique chez moi afin de réguler l’éclairage et le chauffage, je composte, je jardine mon potager sans aucun produit phytosanitaires de synthèse, je recouds mes vêtements, je limite l’apport de viande dans mon alimentation à 3 ou 4 fois par semaine…
Déjà en cours Mais il serait aimable de votre part de mener une politique volontariste afin d’augmenter la quantité de pistes cyclables, de mettre en place non pas une fiscalité avantageuse (trop complexe et usine à gaz pour les petites gens qui n’ont pas d’avocat ou de gestionnaire de patrimoine pour s’occuper de tout récupérer) mais des primes à l’achat d’un vélo simple (en plus de la prime dans beaucoup de villes déjà pour le velo à assistance électrique)… Pour inciter la population à l’effort sur le chauffage, des incitations financières qui ne soient pas anecdotiques.
Les prix en baisse La stabilité du prix des énergies
Oui
Des recherches afin d’améliorer l’efficacité des installations de méthanisation agricole, afin de miniaturiser les procédés et d’en équiper les maisons indoviduelles. Ainsi, une auto-production de méthane est possible pour 1) cuisiner, 2) chauffer la maison, 3) rejeter moins de gazs à effets de serre dans l’atmosphère, et 4) récupérer du lisier efficace et moins odorant pour l’épandage sur les cultures Une technologie connue pour du chauffage au gaz, mais avec des bénéfices en plus
Oui
Pour les transports en commun, déjà il faudrait qu’il y en ai… et pas un bus toutes les 3 heures Pour cela, il faut de l’invest Public, et rien d’autre. Seul le bien public peut être géré pour être utile au plus grand monde, et pas seulement à celles et ceux qui en ont les moyens
Le vélo
Les institutions locales, sur fonancement de l’état
Déjà, en avoir des plus forts La France est à des années lumières de la place de leader du monde en matière d’écologie. Le titre de Champion de la Terre de Mr Macron est un délire hallucinatoire de haute voltige promulgué non sans honte par quelques experts auto-proclamés complètement hors-sol
Mettre le paquet sur la recherche scientifique, et notamment dans les supra condensateurs et les nanotechnologies (stockage de l’énergie) Renforcer la protection de la nature par le financement des associations qui s’en chargent. Sensibiliser, grâce à l’instruction nationale, aux problèmes de l’écologie dès le plus jeune âge. Lutter contre la désinformation et les fake news écologiques, en redenant du crédit scientifique à cette lutte. Réorganiser de fond en comble l’agriculture, viser une autosuffisance alimentaire et des terres saines; faire de l’Inra et des associations agricoles (crédibles car basées sur la science) des référents dans la recherche, la gestion des espaces agricoles et l’entretien des bocages; nationaliser des exploitations agricoles pour en faire des fermes pilotes dans l’agriculture biologique et respectueuse pour l’avenir Distribuer pu favoriser l’acquisition de poules, matériel pour potager et serres chez les citadins, pour augmenter la part d’autoproduction de nourriture et vacuer une partie des déchets Créer des potagers et vergers municipaux. Et enfin : changer de paradigme économique afin de ne plus considérer le gaspillage comme paramètre inéluctable à la croissance.
Votre message a bien été envoyé.