Date de publication : 2019-01-22
Code postal : 74370

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Il est difficile sur bien des sujets de connaître la part dédié à ce que l'impôt finance directement et la part qui permet de soutenir le même objet avec des des financements transversaux. Par exemple, dans qu'elle mesure le soutien à l'industrie soutient-il la transition écologique?

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Rétablir un plus grand nombre de tranches fiscales avec éventuellement des coefficients de calcul de l’impôt variable. Tout le monde devrait s’acquitter de l’impôt même pour une participation modique. Chacun doit se sentir concerné par les finances publiques à l’exception des petits retraités qui ont déjà, toute leur vie professionnelle durant, participé au bien commun de la collectivité.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Il faut supprimer les impôts locaux de façon générale parce qu’il est le plus injuste des impôts dans certains territoires où l’économie est en jachère. Il faut le maintenir pour les résidences secondaires et les propriétaires de bateaux qui occupent une boucle dans un port (on pourrait imaginer de soumettre à l’impôt les propriétaires d’une grosse unité (de luxe, à partir d’un certain tonnage, plus taxé si non respectueuse de l’environnement).

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Revenir sur le versement du RSA à vie. Coupler systématiquement l’accompagnement social avec un accompagnement économique et en insertion professionnelle. Les travailleurs sociaux dans les Pôles Médio Sociaux devraient soit être davantage formés au domaine de l’insertion professionnelle et/ou apprendre à travailler davantage avec des chargés de mission de l’action économique.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

None

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

La protection sociale des microentrepreneurs

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

- Le soutien aux politiques de développement de transports en commun et multimodaux de proximités. - Développer un accès numérique pour le plus grand nombre. La fracture numérique est trop importante pour ne compter que sur des services en lignes.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- Afin de baisser la charge de l'impôt et réussir plus vite la transition verte, une reconversion du milieu bancaire est attendue par les entreprises innovantes en la matière. De nouvelles compétences financières sont recherchées par rapport aux montages de nouveaux produits financiers. L’innovation est nécessaire pour trouver de nouvelles sources de financement (notamment pour la rénovation urgente de l’ancien bâti - exemple des copropriétés des années 1975). Il manque des investissements d’amorçage pour financer des projets de réhabilitation énergétique des bâtiments. Nous pouvons donc citer le besoin de créer des nouveaux business model. La recherche sur l’innovation d’affaires devrait être renforcée. Un autre exemple est celui du développement de l’installation des panneaux photovoltaïques. Le potentiel du marché ne serait-il pas moins dans leur fabrication et production à l’échelle industrielle (actuellement dominée par la Chine) que dans la conception et le montage de projets performants, permettant la réalisation de projets de réhabilitation habituellement rendus difficile par un manque de consensus entre des propriétaires. - Les solutions les plus supportables sur un plan financier devraient passer par des modèles économiques innovants où les rapprochements entre le secteur public et privé offriraient de nouvelles opportunités moins pesantes pour le contribuable. Par exemple, la réhabilitation des copropriétés composées de petits propriétaires peu fortunés pourrait passer par l’intervention de fournisseurs qui auraient intérêt à promouvoir leurs technologies respectives (photovoltaïque, isolation, domotique, …) sur ce type d’habitat. Les banques s’intéresseront au projet de réhabilitation dans les outils qu’elles sont capables de mettre en place pour diminuer le coût du crédit accordé aux propriétaires. Ce dernier peut être plus facilement supportable si la part dédiée à l’emprunt est diminué substantiellement par ce que rapporte la location de la terrasse de leur immeuble à un établissement de recherche dans le solaire sur un bail emphytéotique. Aussi, la part de production d’énergie solaire utilisée ou revendue ne peut que diminuer le coût final des travaux et convaincre certains propriétaires hésitants à voter la rénovation de leur patrimoine avant qu’il ne soit trop abîmé. Cet exemple évoque un type de collaboration qui peut se décliner sur d’autres tranches de réhabilitation.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Le pouvoir des élus me pose question.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

None

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

L’Etat doit mettre en place des outils permettant de prendre le pouls de ce qui se passe sur le terrain. Il pourrait organiser la remontée des informations au travers d’un « carrefour de l’innovation » qui serait chargé de thématiser, de catégoriser et d’agréger les initiatives ou les idées portées et labellisées au niveau des territoires.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

L'élu-e doit se consacrer entièrement à son mandat

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

La proportionnelle au sénat.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Dans les communautés de communes et/ou le Départemental. Nous avons en France un réel mille feuilles qui démultiplie les states de pouvoir et de décision, parfois sur des même sujets. Tout cela coûte cher.

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Le rendre le vote obligatoire.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Il faut reconnaître le vote blanc à condition de rendre le vote obligatoire.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Avec les modifications effectuées au niveau National pour une évaluation plus grande du citoyen grâce à une élection à la proportionnelle indirecte des sénateurs-trices, les citoyens pourraient mieux contrôler le mandat confié à leur sénateur-sénatrice et agir sur les grandes questions nationales. Au niveau local, le citoyen devrait pouvoir agir davantage sur certaines décisions qui parfois impactent la vie locale dans un sens non souhaité par une quantité non négligeable d’administrés. Je crains le pouvoir qui est confié au niveau local a des citoyens, certes volontaires pour s’occuper de la vie de leur commune. Faut-il regretter parfois les décisions prises par manque de compétences et de vision au-delà du mandat. Avec la complexité croissante des règlementations dans beaucoup de domaines, les élus locaux ne sont pas assez formés pour faire face aux décisions à prendre. Quand le manque de communication et de pédagogie existent, l’incompréhension entre les élus et les administrés peut déboucher sur des relations conflictuelles sans possibilité de contre-pouvoir. C’est pourquoi, le RIC pourrait est mis en place au niveau local et territorial.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

Éventuellement en baissant significativement le seuil correspondant au nombre minimum de citoyens représentant le corps électoral pour mettre en place un RIP.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

- L’Assemblée Nationale pourrait bénéficier d’une baisse significative de représentants dans la mesure où les sénateurs seraient élus à la proportionnelle, toujours par les grands électeurs. La fréquence de leurs renouvellements pourrait être raccourcie à 3 années (au lieu de 6) afin de garantir le renouvellement des élus sénateurs, en mission. Avec cette évolution le renouvellement du Sénat (348 membres élus) ne se ferait plus par moitié mais en totalité tous les 3 ans. Nous éviterions ainsi la professionnalisation de la vie politique et une meilleure représentation de la société civile. Ceci faciliterait l’implication du citoyen dans la vie de la cité. Proposons même de financer une partie du poste de celui ou celle qui remplacera l’élu(e) sur son ancien poste de travail devenu vacant. Le montant de sa rémunération de l’élu(e) devrait rester incitative mais pourrait être diminuée au profit de frais de missions substantiels, versés à la hauteur des actions engagées au service des citoyens et évaluées majoritairement par ces derniers. C’est à cet endroit que le Référendum d’Initiative Citoyenne pourrait intervenir pour valider, relativiser ou faire abandonner le soutien à certaines actions ou initiatives portées par l’élu(e). C’est le(a) sénateur(trice), dont l’action serait soutenue(e) par le résultat du référendum qui devrait alors faire exemple auprès de la collectivité d’élus-es et des citoyens. Le rôle du sénateur serait toujours de participer au travail législatif et au travail de contrôle du Gouvernement mais avec une évaluation plus directe du citoyen. - Ne faudrait-il donc pas mettre plutôt la proportionnelle au niveau du sénat pour que la navette avec l’Assemblée Nationale permette une meilleure prise en compte de minorités insuffisamment entendues, tout en gardant le filtre de la démocratie représentative, élargie aux élus de groupes moins représentés.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Mis à part le nombre des députés revu à la baisse (économies) rien ne serait changé dans le fonctionnement actuel pour garder l’efficacité que l’élaboration des lois exige. Leurs applications dans la société doivent être la plus rapide. Le mandat de cinq années serait garant d’une certaine stabilité dans les institutions. Toutefois, les décrets d’application doivent paraître peu de temps après le vote d’une loi, pour en mesurer, valider ou invalider ses fondements.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Cf.: Propositions précédentes.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Il ne faut pas craindre de défendre nos valeurs de laïcité comme le font certaines religions avec bcp de prosélytisme. Il n’y a pas à proprement parler de "droit au blasphème" dans la loi française. La liberté d’expression compte, en France, parmi les libertés fondamentales, puisqu’elle est l’objet des articles 10 et 11 de la Déclaration des droits de 1789 qui laissent au législateur le soin d’en établir les limites. Il faut donc que le législateur français augmente le seuil de tolérance du blasphème pour dénoncer ce qui devient insupportable quand les libertés de l’être humain sont menacées par la religion. L’irrespect de la norme des dieux est tout à fait défendable quand elle résiste au droit, au partage culturel et à l’ouverture d’esprit.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En ne se rabaissant pas à la pensée facile, unique et qui nous ferait oublier qui nous sommes. L’intransigeance vis-à-vis de nos valeurs devraient être notre point de mire. La République devrait toutefois instaurer plus fréquemment des rendez-vous où les citoyens devront exprimer leur avis sur la mise en œuvre de certains choix politiques. Nous avons vu précédemment que l’avis du citoyen serait sollicité au niveau des communes pour améliorer si besoin les décisions prises avant de faire valider, afin de gagner l’adhésion des administrés. Certes, le primat de l’intérêt général doit l’emporter sur l’intérêt individuel ou celui de petits collectifs, mais sans pédagogie, ni explication donnée sur les enjeux de certains projets, les administrés se sentent trop souvent exclus de toute décision prise. Les réunions publiques donnent trop souvent le sentiment que tout est décidé avant même que l’avis du citoyen n’ait pu s’exprimer. Les enquêtes publiques semblent également intervenir à un moment du processus de l’élaboration d’un grand projet, à une phase trop avancée pour subir s’il le fallait, les modifications pourtant nécessaires. En tant que citoyens, nous avons le sentiment que les élus locaux se sont tellement engagés, y compris sur le plan financier quand ils s’entourent de cabinets conseils très coûteux, que le moindre recul ou abandon n’est même plus envisageable pour prendre en compte les propositions pertinentes d’administrés ou encore, de lanceurs d’alertes. De la même manière, l’avis du citoyen serait constitutionnellement instauré à l’échelon national et plus particulièrement au niveau du Sénat, afin de rappeler que les citoyens, lorsqu’ils sont majoritaires, peuvent infléchir les politiques publiques mises en œuvre. C’est la somme des évaluations régulières et individuelles des sénateurs et sénatrices que permettrait le RIC institué au sein de cette assemblée, qui légitimerait le contrepouvoir manquant dans notre démocratie.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Chaque citoyen possède une force de proposition qui est trop souvent ignorée de ses représentants élus, quel que soit leur niveau d’intervention territorial. Valoriser les expérimentations qui font leur preuve sur le terrain et celles et ceux qui les portent. Il faut reconnaître ceux qui apportent des solutions concrètes aux problèmes de société. Si le pacte social est une convention par laquelle chacun accepte de renoncer à l’exercice de sa force et de sa liberté individuelle sur autrui, il faudrait que tous ceux qui contribuent au bon fonctionnement de la collectivité soit mieux identifiés, écoutés par les élus. Les priorités : - Intégrer les citoyens sur un marché du travail de plus en plus exigeant (pas seulement par le statut de salarié mais aussi par entrepreneuriat) - Initier l’esprit d’entreprendre à toutes les étapes de la formation et de la vie professionnelle, - Soutenir les initiatives d’accompagnement des profils seniors vers l’emploi, - Soutenir les initiatives d’accompagnement des plus jeunes contribuant à une orientation choisie et privilégiant une bonne appréhension du niveau d’exigence des compétences à développer, Il faudrait que tous ceux qui ont des propositions à faire dans ces différents sujets majeurs pour se faire une place dans la société puisse le faire en ayant le sentiment d’être entendu. Il faudrait une plateforme « Boîte à idées et propositions » permettant aux citoyens de communiquer ses propositions. A ce propos, il faut dénoncer la manière avec laquelle les appels d’offres du Pôle Emploi sont rendus inaccessibles pour les petites structures d’accompagnement vers l’emploi. C’est pourtant celles qui très certainement font preuve de plus d’innovation.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

- L’Etat doit mettre en place des outils permettant de prendre le pouls de ce qui se passe sur le terrain. Il pourrait organiser la remontée des informations au travers d’un « carrefour de l’innovation » qui serait chargé de thématiser, de catégoriser et d’agréger les initiatives ou les idées portées et labellisées au niveau des territoires. - Il faudrait créer des comités de l’innovation au niveau des Conseils départementaux ou des EPCI qui seraient chargés de repérer et faire connaître les initiatives qui marchent des « citoyens acteurs ». Les initiatives réalisées au niveau des territoires devraient faire l’objet d’une attention toute particulière de l’Etat. Ce serait à l’Etat de designer les projets qui marchent afin de pouvoir les dupliquer sur certains territoires qui pourraient en bénéficier. C’est au sein des « carrefours de l’innovation » implantés à l’échelon départemental que les projets, une fois thématisé et catégorisé devraient être pris en charge par l’échelon territorial le plus compétent. Il faudrait entendre par prise en charge la capacité d’attribuer un label pour être éligible aux appels à projets de l’Etat, quand des financements substantiels sont nécessaires, selon l’ampleur du projet à conduire.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Un vrai suivi personnalisé du bénéficiaire en matière d'insertion professionnelle et/ou d'accompagnement économique pour les porteurs de création d'activités et travailleurs Indépendants.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Systématiser l’apprentissage du Français et créer des habitats temporaires et réutilisables à d’autres fins. Nous aurions la possibilité de construire des habitats mobiles (structures en bois respectueux des normes environnementales et énergétiques) que nous pourrions réutiliser pour les salariés saisonniers, équiper des lieux d’hébergement temporaires (style refuge) sur des sites touristiques (départ de randonnée, site de départ kayaks, arrivée des parapentistes, logement d’étape pour les cyclotouristes, etc…). Ces hébergements temporaires et mobiles pourraient également être proposés dans le cas de catastrophes naturelles suites auxquelles il faut reloger les gens en urgence. Il faudrait raisonner en optimisant les utilisations diversifiées de ce type d’hébergement temporaire plutôt que de continuer à payer des sommes astronomiques de nuitées d’hôtel a des migrants statutaires. L’investissement de départ serait sans doute coûteux mais serait vite rentabiliser par les utilisations multiples qui viennent d’être décrites. Enfin, et une fois la problématique de l’hébergement réglée, l’accompagnement social rendu possible,…il faut impérativement mettre en place un accompagnement professionnel adapté pour construire un avenir économique à quelqu’un qui vit un réel déracinement.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Si elles sont remplies comme décrites ci-dessus, il faudra bien envisager de fixer des objectifs annuels de capacité d’accueil définis par le parlement. L’accueil de migrant sans perspective d’intégration sur le marché du travail est l’erreur qui est en train de se profiler aujourd’hui. L’évaluation des besoins d’emplois, de création d’entreprises dans certains secteurs d’activités doit faire l’objet d’une évaluation en continue au niveau européen.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Un plus grand partage des charges et contributions au niveau Européen. Une ingérence européenne dans les pays d’origines où la corruption fait loi. Les trafiquants en tout genre exercent leurs forfaits (drogue) sur notre territoire avant de repartir chez eux investir dans l’immobilier (ex. ALBANI). Ils gèrent tout un pan de l’économie à un point où les citoyens qui souhaitent entreprendre légalement chez eux ne le peuvent plus sans se soumettre à des corrupteurs très actifs. Ils partent donc de leur pays pour tenter de réussir ailleurs. Pouvons-nous parler de réfugiés politiques dans ce cas précis ?

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

None

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

La France à elle seule ne peut défendre la démocratie dans le monde. Une collaboration

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Illisible! Plus personne n'y comprend plus rien

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

La transition écologique et environnementale

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Oui

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

None

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

None

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Non

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

Déclaration de travaux. Pas inutiles sauf qd l'administration semble vouloir exercer ce que nous pourrions identifier comme un abus de pouvoir.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

Pour éviter qu'il ne se cache derrière la complexité des lois et que la décision ne lui revienne pas directement.

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

- L’Etat devrait mettre en place des outils permettant de prendre le pouls de ce qui se passe sur le terrain. Il pourrait organiser la remontée des informations au travers d’un « carrefour de l’innovation » qui serait chargé de thématiser, de catégoriser et d’agréger les initiatives ou les idées portées et labellisées au niveau des territoires. - En faisant en sorte que les décision soit au plus près du contexte locale. Les agents des administrations devraient être valorisés quand ils apportent de l’innovation dans les pratiques, de la simplification dans les procédures, de l’efficacité dans les réponses aux usagers.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Les initiatives réalisées au niveau des territoires devraient faire l’objet d’une attention toute particulière de l’Etat. Ce serait à l’Etat de designer les projets qui marchent afin de pouvoir les dupliquer sur certains territoires qui pourraient en bénéficier. C’est au sein des « carrefours de l’innovation » implantés à l’échelon départemental que les projets, une fois thématisé et catégorisé devraient être pris en charge par l’échelon territorial le plus compétent. Il faudrait entendre par prise en charge la capacité d’attribuer un label pour être éligible aux appels à projets de l’Etat, quand des financements substantiels sont nécessaires, selon l’ampleur du projet à conduire.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Les interlocuteurs ne savent jamais quel est le collecteur du fonds dont on dépend. C'est un vrai parcours du combattant pour obtenir la bonne information et quand on l'obtient, la date du dépôt de dossier est dépassée. Cela m'est arrivé en décembre 2018.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Le reste à charge sur les lunettes est trop élevé. La Sécurité Soiale ne rembourse pratiquement rien proportionnellement au coût final de la paire de lunettes de vue.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Vécue par un de mes enfants micro-entrepreneur : Il n’est pas normal que des jeunes micro entrepreneurs ne puissent pas se loger dans un logement social parce qu’ils ne peuvent encore justifier d’une année complète de revenus…même si au terme de plus de 6 mois, les revenus cumulés dépassent d’une fois et demi celui d’un salarié qui démarre sa vie professionnelle avec un bac +5. Que penser alors du nécessaire rapprochement de ses clients qui se trouve entravé par une problématique de logement. Elle pourrait être si simplement réglée… car en la matière, Il ne s’agit pas ici de demander une aide financière quelconque mais d’un problème de confiance vis-à-vis de jeunes qui démarrent une vie d’entrepreneur. Pourtant, il est d’évidence que le développement du chiffre d’affaires d’une structure en création, dépend directement de la possibilité de se loger à proximité de ses clients potentiels.

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

J'ai formé pendant plus de 16 ans des artisans à la fonction de Maître d'apprentissage. Le rôle est insuffisamment valorisé et pris en compte dans les conventions collectives et par les branches professionnelles. La mission de transmission des "ficelles du métier" devrait reconnue dans la rémunération des salariés formateur en entreprise.

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Il faut dénoncer la manière avec laquelle les appels d’offres du Pôle Emploi sont rendus inaccessibles pour les petites structures d’accompagnement vers l’emploi. C’est pourtant celles qui très certainement font preuve de plus d’innovation. Ce sont bien souvent les gros cabinet de conseil et d'accompagnement qui sont retenus car ils permettent au donneur d'ordre tel que le Pôle Emploi, de limiter ses interlocuteurs. Il ne s'agit donc pas de proposer une démarche d'accompagnement et de suivi adaptée à la personne mais de faire rentrer les demandeurs d'emploi dans des case. La Région Auvergne Rhône-Alpes me sollicite aujourd'hui pour faire de la formation auprès des Conseillers du Pôle Emploi et autres maisons de l'emploi comme vacataire alors que je n'ai pu être retenu dans le cadre d'appel d'offre lorsque j'étais Dirigeant d'une petite société de conseil en orientation et en bilan professionnel. J'avais fait de l'accompagnement des profils seniors, ma spécialité et fait paraître un ouvrage sur cette épineuse problématique. J'avais adressé mon ouvrage et communiqué mon point de vue de sociologue en stratégie et développement des organisations auprès du Cabinet du Ministre de l'époque (M. SAPIN) sans en attendre un retour mais juste une espérance que l'on puisse changer qqchose dans les pratiques d'accompagnement des personnes vers le marché du travail. Il est désespérant de constater combien il est difficile de sortir des sentiers battus....d'innover tout simplement.

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution de l'air

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

- Re nationaliser les autoroutes afin de rendre possible l’instauration de voies prioritaires aux transports en commun. - Développer le transport en commun par câbles en milieu urbain (en pensant au plus grand nombre d’utilisateurs et non pas seulement aux touristes dans les territoires particulièrement touristiques).

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

L'impressionnante baisse du lac d'Annecy, cet été.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Participer aux politiques de partage des solutions contribuant à la valorisation proposées par l'agglomération. Utilisation de paillis distribué par les déchetteries locales et récupération de composte mûr provenant de petites copropriétés. Réutilisation de ces déchets verts dans mon jardin et expérimentation de la permaculture. Nous avons fabriqué notre propre composteur pour éviter de jeter nos épluchures afin de ne plus alimenter en déchets humides l'incinérateur dont notre territoire dépend.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Créer de nouveau modes de transports urbains plutôt que de construire toujours plus de routes ....de véritables aspirateurs à voitures.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

- Changer la réglementation pour permettre une implantation facilitée des Tiny Houses en milieu rural. Rendre ainsi possible l’accès à la « propriété mobile » et à une forme de nomadisme. Cette manière de s’implanter sur un territoire correspondrait notamment au mode de vie d’une jeune génération qui doit souvent concilier avec les plus grandes difficultés l’acte de se loger et celui de trouver un emploi. Investir dans ce type d’habitat pourrait même, dans certains cas, se transformer en un premier investissement valorisable pour l’accession à la propriété traditionnelle. Il n’est pas normal que des jeunes micro entrepreneurs ne puissent pas se loger dans un logement social parce qu’ils ne peuvent encore justifier d’une année complète de revenus…même si au terme de plus de 6 mois les revenus cumulés dépassent d’une fois et demi celui d’un salarié qui démarre sa vie professionnelle avec un bac +5. Que penser alors du nécessaire rapprochement de ses clients qui se trouve entravé par une problématique de logement. Elle pourrait être si simplement réglée… car en la matière, Il ne s’agit pas ici de demander une aide financière quelconque mais d’un problème de confiance vis-à-vis de jeunes qui démarrent une vie d’entrepreneur. Pourtant, il est d’évidence que le développement du chiffre d’affaires d’une structure en création, dépend directement de la possibilité de se loger à proximité de ses clients potentiels.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Les poêles à granulés bois (pellets). Nous avons déjà fait la démarche de remplacer nos convecteurs et autres accumulateurs électriques.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Développer des réseaux de transports multimodaux et sécuriser le gardiennage des vélos. La durée de vie d'un vélo en ville est en moyenne de 2 mois.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le transport à la demande|Le vélo|Le transport par câble. Nous avons dans notre région le fleuron en matière de fabrication de téléphérique "POMA". Cette technologie est capable de nous transporter à l'Aiguille du midi et ne serait pas une bonne solution pour transporter les administrés d'une ville d'un point bas à un point haut de l'agglomération?

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

- Contraindre les élus des collectivités territoriales à approvisionner des fonds d’investissement utilisables a posteriori de leur mandat, dédiés aux développements économiques durables. Donner priorité aux projets que porteront les acteurs des chaînes de valeurs telles que celle du traitement et de la valorisation des déchets, de la construction et des énergies durables et des mobilités urbaines et rurales. - Développer les partenariats publics / privés en impliquant le secteur bancaire dans l’économie de proximité et le soutien de projets réels.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Les filières de l’agriculture et de l’industrie devraient se considérer comme 2 chaînes de valeur qui pourraient œuvrer à la mise en place de collaborations nouvelles. Il faudrait sans doute que l’agriculture abandonne les apports néfastes de la filière de la chimie (pesticide, produits phytosanitaires nocifs, …) pour se tourner davantage vers ce qu’elle pourrait apporter comme contribution sur le plan énergétique avec par exemple la biométhanisation (700unités de biométhanisation en France contre plus de 6000 en Allemagne). Ne pourrait-on pas dédier certaines terres en jachère à de la culture dédiée à l’ « alimentation » des unités de biométhanisation. Les agriculteurs pourraient avoir d’autres revenus avec le développement des énergies renouvelables. Nous pourrions également réduire de façon substantielle la pollution des nappes phréatiques en traitant les déjections animales en les transformant en digestat.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Il faudrait former davantage de professionnels chargés de créer du lien, une meilleure communication entre des acteurs de secteurs professionnels qui travaillent trop souvent en privilégiant les raisonnements en « tuyaux d’orgues ». Incitons les secteurs d’activités à l’innovation partagée avec d’autres. Pour cela, il faut prioriser l’accès et le financement de certaines formations en : - Innovation d’affaires et de procédés, - Energies renouvelables (chaleur, électricité, …), - Performance dans l’utilisation des ressources environnementales (gestion des déchets et longévité des matériaux), - Gestion durable de l’eau, - Stockage de l’énergie, - Efficacité énergétique, matériaux renouvelables, - Mobilité durables (infrastructures, biocarburants, technologies de motorisation), - Agriculture et exploitation des forêts (préserver la forêt et promouvoir l’utilisation de bois locaux, - Biotechnologie (développement de processus alternatif réduisant la consommation de matières premières), - Technique environnementale (qualité de l’air, assainissement de sites contaminés, technique de mesures), - Conseil en cleantech (soutien financier, communication, planification). Il faut engager et encourager un partenariat entre le monde universitaire et celui des mondes industriel, artisanal, agricole et commercial. Il existe en France un déficit de profils généralistes capables de travailler avec les spécialistes des différents maillons des chaînes de valeur cleantech. Nous pouvons facilement faire le constat que les principaux obstacles pour intégrer la production plus propre sont liés aux problèmes de type organisationnel et surtout de type relationnel. Le Savoir-être est souvent considéré par les entre-prises comme la condition préalable pour obtenir la performance relative au savoir-faire technique. Le développement du cleantech demande aussi une performance dans la capacité de communi-quer et de sensibiliser sur un sujet complexe. Le mot clé de la transition vers une économie verte est « la performance ». Le défi planétaire actuel consiste à multiplier par huit notre performance dans l’utilisation de ressources environnementales et énergétiques. Dans ce cadre il faut impérativement proposer une formation d’ingénieur généraliste dans les cleantech soit axé sur le développement équilibré de 3 types de compétences : 1- Techniques cleantech 2- Transversales cleantech 3- Relationnelles et organisationnelles - Développer le concept d’une colocation adaptée aux seniors au sein de structures et d’unités d’habitation personnalisables et à énergie passive. Créer des lieux de convivialité à entrée et sortie permanentes afin de donner la possibilité aux enfants de gérer les situations complexes de dépendance, vécues par leurs parents âgés. Optimiser les moyens en personnels soignants et d’aide à domicile en créant des structures à compétences intergénérationnelles (crèche/maisons de retraite). Le partage de compétences alternant l’accompagnement et la garde des tout-petits avec celui et celle des personnes âgées peut être propice à une meilleure prise en compte des anciens et à leur respect dans notre société. Il est indispensable de prévoir les solutions qui doivent anticiper sur le vieillissement de notre population et d’une certaine façon au prolongement de la vie.