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Rétablir l'équilibre ! Il est inadmissible qu'une majorité de foyers français ne payent pas d'impôts sur le revenu. L'impôt, c'est la République ! Comme vous le rappelez dans la lettre, l'impôt sert à financer les services publics et nombre d'autres biens communs. C'est un symbole (allez voir dans les pays, nombreux, où il n'est pas collecté correctement !). Bien sûr, il faut contribuer en fonction de ses possibilités, mais il faut que tout le monde contribue. C'est aussi ça la justice fiscale. Inversement, si l'on supprime un impôt, comme cela est prévu pour la taxe d'habitation, il faut le supprimer pour tous. Je n'arrive toujours pas à croire que le gouvernement envisage de ne pas le faire.
Pour répondre à cette question, il faudrait savoir s'ils peuvent ou doivent être baissés ou non. Tout ce que je peux dire, c'est que le train de vie de l'Etat reste trop élevé et je n'entends pas par-là les salaires versés aux fonctionnaires. Non, je pense aux dépenses liées à la vie politique (je n'ai toujours pas digéré les quelques centaines de milliers d'euros dilapidés par notre premier ministre ayant affrété un vol long courrier pour gagner deux heures à l'arrivée à Paris, alors qu'un avion militaire allait de toute façon le ramener avec son équipe). Et ce n'est qu'un exemple dont nous avons eu connaissance. Combien y en a-t-il d'autres? Donc, je veux bien payer des impôts, éventuellement élevés, à condition d'être convaincu que tout est fait par ailleurs pour éviter qu'ils augmentent davantage ou, du moins, qu'il n'y a pas d'autres solutions. Or, je n'ai pas ce sentiment.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales
Le système d'aides (comme le système fiscal) est devenu tellement opaque que même les spécialistes ont du mal à s'y retrouver. Actuellement, les aides interviennent à de multiples niveaux, certains bénéficiaires engrangeant des revenus (aides, allocations cumulées) supérieurs à certains revenus du travail et il faudrait mettre fin à cette situation. Tous ceux qui travaillent devraient déjà payer des impôts (pourquoi pas une flattax ?) et pourraient ensuite bénéficier d'une seule aide dont le montant tiendrait compte par exemple de la présence d'enfants et de toute autre situation justifiant une aide. Ce serait beaucoup plus clair, transparent et sûrement plus juste !
L'assurance maladie doit être maintenue à un niveau élevé de prise en charge car de toutes les inégalités et injustices, la maladie est bien celle qui est la plus grande, surtout que dans 99% des cas, le malade n'est pas responsable de sa maladie. Mais ce niveau élevé de prise en charge doit être accompagné, pour être accepté, d'un contrôle renforcé à la fois des acteurs de l'offre (médecins) et des assurés, car il y a des abus (arrêts-maladie injustifiés par exemple). L'introduction de jours de carence dans la fonction publique, où je travaille, à été en ce sens une bonne chose ! Sur ce même chapitre et parmi les choses qu'il faudrait changer, il y a les règles d'installation des médecins: quelle autre profession cumule les avantages des professions libérales tout en puisant son revenu dans les caisses publiques (assurance-maladie) et en fixant elle-même le montant de sa rémunération (pas à travers le prix de la consultation certes, mais du nombre d'actes réalisés etc.). Puisque ceci est possible dans le cadre d'un accord entre les pouvoirs publics et les associations de médecins, il ne me paraîtrait pas aberrant d'exiger en contrepartie de cette situation pratiquement unique, que tout le territoire soit couvert par l'offre médicale et de mettre fin aux déserts médicaux. On ne peut pas revendiquer le statut de profession libérale d'un côté (liberté d'installation etc.) et en même temps s'alimenter d'argent public sans contrepartie !
Comme je l'ai dit plus haut, je ne souhaite pas payer plus d'impôts tant que je n'ai pas acquis la conviction que les gaspillages et les inégalités devant l'impôt ont été réglés.
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Je ne me sens représenté par personne en particulier, mais je n'attends pas de l'être. J'attends seulement un système juste (ce qui ne veut pas dire égalitariste comme on le confond souvent en France, car en réalité l'égalitarisme en cherchant toujours à sur-compenser ce qui n'a pas toujours lieu de l'être, crée de l'injustice). Les règles de vie en société doivent être les mêmes pour tous et, partant, un camp, une tendance, des individus, n'ont pas besoin d'être spécifiquement représentés.
Oui
Les organisations syndicales doivent être consultées pour tout ce qui relève du monde du travail; pour le reste, je suis moins sûr et cela vaut aussi pour les associations car leurs positions souvent militantes ne garantissent pas toujours le respect de la diversité des points de vue. Les associations ne représentent pas nécessairement la majorité.
Que le fait d'être élu ne soit pas associé à tant de privilèges auquel la plupart des gens n'ont pas accès.
Une bonne chose
Le mandat confié par les électeurs est à temps plein !
Théoriquement, il faudrait introduire un scrutin proportionnel.
Non
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Il faudrait peut-être rendre obligatoire le respect par les élus des programmes qui les ont fait élire d'une part; d'autre part, pourquoi ne pas prendre en compte les abstentions et les considérer comme des votes négatifs comptant autant que les votes pour tel ou tel candidat ? Si les abstentions sont trop importantes, alors les élections doivent être renouvelées.
Oui
Si les abstentions sont trop importantes, alors les élections doivent être refaites.
Je ne suis pas favorable au RIC (il n'y a qu'à regarder outre-Manche ce qui peut se passer quand on demande leur avis à des gens qui n'ont aucune idée de la problématique concernée et qui pour beaucoup ne se sont jamais préoccupés du problème qu'on va leur soumettre). Nous avons des instances qui sont là pour ça; si ce ne sont plus elles qui décident des grandes orientations, mais le premier militant de telle ou telle cause qui passe, alors ce sera la lutte d'un militantisme contre un autre ! Il y aura toujours des gens qui seront loin des groupes de pression, des milieux associatifs, des partis etc. et qui n'auront pas le temps, les moyens financiers ou simplement intellectuels, de participer à ce genre d'initiatives. Ils risquent d'être encore plus invisibles qu'ils ne le sont déjà si tout le monde, sauf eux, y va de sa petite revendication ! Seuls des représentants élus peuvent, dans leur diversité, garantir qu'aucun militantisme particulier l'emportera sur l'intérêt général.
Je ne sais pas
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Qu'entendez-vous par "renforcer les principes de laïcité"? La laïcité telle qu'elle est pratiquée en France me convient parfaitement. Je ne souhaite pas qu'elle soit remaniée en faveur de tel ou tel culte. Ce serait oublier que les athées font partie intégrante de cette laïcité bien qu'en tant que groupe sans lobby, ils ne retiennent jamais l'attention des responsables politiques. Bref, assouplir le rapport (qui n'est d'ailleurs pas aussi neutre qu'il le devrait) entre l'Etat et les cultes, reviendrait à déséquilibrer encore davantage la laïcité au détriment des non-croyants !
La question n'est pas très bien formulée (peu claire). Si elle porte sur le respect des valeurs de la République, il faut que nos responsables politiques, nos administrations soient exemplaires.
Il y a déjà beaucoup de gens qui s'impliquent en n'attendant rien en retour et il y en aura toujours qui ne s'investiront pas, pour différentes raisons.
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les sanctionner ! On a du mal en France avec les sanctions ! Or, les incivilités sont un mal insidieux, des petits désagréments qui gonflent sous l'effet de la répétition et de l'absence de sanction. Elles peuvent rapidement empoisonner l'existence et prendre des proportions qu'elles n'auraient jamais dû prendre si elles avaient été traitées. En tant qu'élu de mon conseil syndical, résident en centre ville, je fais régulièrement l'expérience que les particuliers sont laissés seuls, même quand ils s'impliquent et attirent l'attention des autorités, et se voient souvent répondre "qu'on ne peut rien faire". Comment s'en étonner dans un pays où, même quand la police interpelle des casseurs, les prennent en flagrant délit, ceux-ci sont souvent relâchés "faute de preuves suffisamment tangibles", comme le rappelait, il y a quelques jours, la présidente du syndicat de la magistrature sur un plateau télévisé ! On croit rêver ! Alors évidemment, par rapport à ça, les incivilités quotidiennes....
Encore une fois, les sanctionner et ne pas se contenter de gentils
Alerter les autorités et trouver leur appui quand il fait appel à elles. Dans ma ville (Strasbourg pour ne pas la nommer), les pouvoirs publics ont avec le temps piétonisé une grande partie des espaces du centre ville, ce dont nous nous réjouissons; Mais depuis l'arrivée d'idéologues de la bicyclette au conseil municipal, ces espaces ont été repris aux piétons et donnés aux cyclistes. Evidemment, personne ne vous le dira de cette façon (on vous parlera d'un partage entre piétons et vélos), mais mon analyse, fondée sur mon vécu, est que les cyclistes ont tous les droits, y compris celui de dévaler à toute vitesse les rues du centre ville, ne respectant absolument pas les piétons qui doivent prendre garde ! Les choses ne vont pas mieux la nuit où au moins un cycliste sur deux circule sans éclairage ! Le développement des services de livraison de plats à domicile (Deliveroo and Co) est venu depuis peu ajouter sa contribution au problème. Or, ces incivilités (en fait souvent des infractions au code de la route!), ne font l'objet d'aucune répression. Idéologie quand tu nous tiens !
Le népotisme est beaucoup plus répandu qu'on l'imagine et veut bien le croire ! Je connais plusieurs cas dans le service public où le fils ou le mari d'une telle a été recruté, sans concours, avec la complicité de la DRH !
La société ne sera ni plus solidaire ni plus tolérante tant que des citoyens auront le sentiment d'un "deux poids deux mesures". Par contre, je suis convaincu que la plupart des Français sont prêts à être davantage solidaires et tolérants s'ils ont le sentiment que l'on s'attaque sérieusement aux abus, que tout le monde connaît d'ailleurs ! Mais au lieu de cela, nombre de responsables politiques ne cessent de réitérer que les abus sont minoritaires, bref, circulez, il n'y a rien à voir ! Il serait bon de leur rappeler la force que peuvent avoir les symboles !
Oui
Quand on apprend qu'un des leaders des gilets jaunes, au demeurant adepte des théories les plus farfelues (complotisme) est un électricien au chômage qui refuse un emploi à 80km de chez lui, on se dit que la solution la plus simple pour le remettre au travail et lui rendre service en évitant qu'il perde son temps sur internet ou les réseaux asociaux à élaborer, plus grave même, diffuser des inepties, serait de lui supprimer ses aides ! Il y a des gens qui font ce trajet au quotidien pour leur travail ou d'autres qui sont séparés de leurs proches une bonne partie de la semaine parce qu'ils travaillent trop loin pour rentrer.
Il n'y a pas de politique migratoire, juste un grand foutoir ! Il faut permettre à des gens dont nous avons besoin de s'installer et vivre en France. Dans le monde qui est le nôtre, avec le recul de la part des emplois non-qualifiés, ces migrants doivent majoritairement être qualifiés. Bien sûr, ces règles ne doivent pas conditionner le droit d'asile qui doit rester ouvert à toutes celles et ceux qui sont persécutés.
Pourquoi pas, en fonction des besoins de l'économie.
Un vrai contrôle des frontières. Si on met des règles en place, il faut s'assurer qu'elles sont respectées, sinon on perd son temps et son crédit. Ce qui est sûr c'est qu'on ne peut pas faire comme si tout le monde pouvait s'installer en France (idéologie du no-border). Il faut une immigration sélective et contrôlée (volume) afin que les chances d'intégration soient réelles. Ce que les Français n'acceptent pas, ce n'est pas l'immigration en général, mais le sentiment que finalement, les frontières, les lois ne sont une réalité que pour ceux qui veulent bien les respecter, alors que pour beaucoup d'autres elles n'existent pas vraiment. Le droit d'asile doit quant à lui permettre à toutes les personnes persécutées de trouver refuge dans un autre pays et ce, sans limite de nombre ni de temps. Mais encore faut-il savoir distinguer les vrais des faux demandeurs d'asile et procéder aux reconduites pour ceux qui sont en réalité des migrants économiques. Ne pas le faire revient à porter préjudice au droit d'asile.
L'apprentissage de la langue est capital. Actuellement, les tests de langue pratiqués au moment de la naturalisation sont une vaste fumisterie !
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Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
S'ils sont dus au réchauffement climatique, limiter rapidement tout ce qui y contribue.
Non
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Oui
je le fais à ma façon, sans extrémisme aucun depuis des décennies. Je n'utilise plus de sacs en plastique depuis le début des années 1990, même quand certaines enseignes tentent de m'en refourguer à la caisse (pour quelques cents !) alors même que je n'ai rien demandé ! Pour l'anecdote: lorsque je vivais en Allemagne au début des années 1990, il fut décidé de ne plus proposer de sacs en plastique dans les commerces. Les vendeurs vous demandaient alors "si vous pouviez vous passer de sacs", une question qui avait pour but de vous inciter à réfléchir et d'aboutir à la conclusion que vous n'en aviez pas besoin. 25 ans plus tard en France, on vous demande systématiquement (cf. la Fnac !) si vous voulez un sac alors que vous n'avez rien demandé et que vous n'avez par exemple acheté qu'un cd ! Bref, on vous incite à prendre un sac ! Depuis au moins aussi longtemps, je n'achète plus d'eau en bouteille plastique et je bois l'eau du robinet. Etant donné que celle-ci est consommable à peu près partout en France, il serait facile à chacun d'en faire autant! A-t-on vraiment idée du volume de déchets produits en France par la simple consommation fort répandue d'eau en bouteille plastique ? Mieux que le recyclage (et ses imperfections, à commencer par le tri sélectif auquel bon nombre de Français ne s'adonnent pas ou mal), il y a la non-consommation là où c'est facile. C'est le cas ici avec l'eau en bouteille ! Je suis surpris de constater que personne n'en parle ! Et je n'évoque même pas les particules de plastique que nous ingérons au passage ! J'ai certes un diesel, mais je roule très peu, seulement sur de longues distances pendant les vacances (moins de 10.000 km/an). J'utilise les transports en commun pour aller au travail, en ville, je marche. Je mange très peu de viande, achète très peu de vêtements, ne change pas de mobile, d'ordinateur tous les six mois ni même tous les quatre ou cinq ans. Je ne surchauffe pas mon habitation. J'essaie de faire réparer ce qui peut l'être plutôt que de remplacer etc. Ces petits gestes écologiques sont très importants et les choses iraient mieux si tout le monde les adoptait. Mais au lieu de cela, on se focalise sur un ou deux thèmes (le diesel par exemple alors que son effet néfaste sur le réchauffement est moins important que l'essence !). Mais ce que je trouve surtout inacceptable, c'est qu'on s'attaque aux particuliers (interdictions de circulation) alors que l'on aurait dû depuis des années interdire la fabrication et la vente de certains véhicules. On ne peut pas du jour au lendemain faire comme si les gens avaient volé leur véhicule et leur interdire de l'utiliser (tout en n'entreprenant rien au même moment contre de gros pollueurs comme les navires de croisière, les avions...). mais là, il y a de gros lobbies ! Les choses étant ainsi faites, nous avons, depuis que j'ai commencé à écrire dans cette rubrique, reçu une contravention de 150 euros de la ville d'Anvers en Belgique, pour avoir circulé en centre-ville avec notre Clio diesel en janvier dernier (Anvers vous souhaite une bonne année !). Apparemment, le centre-ville est classé depuis peu en "zone à faibles émissions" et il faut s'inscrire sur le site de la ville si l'on veut y circuler (moyennant 35 euros par jour), faute de quoi on se prend une prune ! Mais encore faudrait-il être au courant !!! En réalité, nous n'avons pas circulé dans Anvers autrement que pour accéder au parking souterrain en face de notre hôtel, le jour de notre arrivée. La voiture est restée dans ce parking pendant la totalité de notre séjour de trois jours jusqu'à notre départ. Probablement n'avons-nous circulé que sur quelques centaines de mètres à l'intérieur du périmètre concerné, allez savoir ! Nous n'avions évidemment pas conscience de cette règle sinon nous aurions choisi une autre destination ! Il me semble que si une municipalité doit mettre en place ce genre de mesures, elle doit faire en sorte que tout le monde soit au courant et plutôt envoyer une lettre de rappel aux personnes en infraction (la première fois), quitte à doubler la contravention en cas de récidive. Bref, cette anecdote illustre parfaitement à mes yeux ce qu'il ne faut pas faire: frapper aveuglément, du jour au lendemain, quasiment sans prévenir, les propriétaires de certains véhicules: c'est de la dictature écologique ! Faudra-t-il à l'avenir, avant chaque déplacement en voiture, vérifier que nos destinations ou même les communes simplement traversées, ne vont pas vous tomber dessus un mois plus tard...???
J'ai déjà un comportement adapté.
Je changerais volontiers mes fenêtres mal isolées si l'Etat m'aidait; mais ceci n'arrivera pas, les aides allant toujours aux mêmes, c'est-à-dire pas aux classes moyennes (trop riches !).
Non
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Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Il faut d'urgence développer davantage les transports en commun de tous types et abaisser leurs tarifs (le train est devenu trop cher pour les particuliers qui ne peuvent pas réserver longtemps à l'avance et obtenir des billets à tarif préférentiel). Les tarifs devraient être fixés en fonction de la distance parcourue, pas du moment où l'on achète. Est-ce juste d'être assis à côté de quelqu'un qui a payé 20 euros quand vous en avez payé 100 pour le même trajet parce que vous n'avez pas la possibilité d'anticiper vos voyages avec suffisamment d'avance ?
Ce ne doit pas être la priorité. Les pays les plus pauvres ont d'autres priorités et ils ont besoin que nous les aidions en la matière.
La solution est dans une approche simultanée multisectorielle, pas dans la focalisation sur un sujet sur lequel on tente un passage en force (cf. diesel: regardons en Allemagne où l'on a bien compris que l'on ne pourrait s'en passer rapidement et l'on cherche des solutions techniques).
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