L'état en France est trop centralisé et, à l'image du gouvernement (quel qu'il soit !) qui en est la composante agissante, il est complètement déconnecté de la réalité que vivent les Français au jour le jour ET du parisianisme ambiant qui semblent l'emporter sur la réalité provinciale et ses spécificités ! D'autre part, il est pour moi SCANDALEUX que certaines personnes passent toute leur vie (professionnelle) dans l'activité politique (trop bien) RÉMUNÉRÉE et en font une profession pour retirer un profit pécuniaire d'abord et s'assurer un confort de vie lié aux nombreux avantages de la fonction (retraite spéciale, offre d'emprunt des plus favorables et j'en passe). Un exemple : comment justifier le salaire d'un député ou d'un sénateur 6000 euros / 7000 euros net par mois (sans parler des énormes avantages liés à la fonction) lorsque, à côté, un PROFESSEUR AGRÉGÉ par exemple gagne un tiers de leur salaire SANS les énormes avantages dont les premiers bénéficient ? Et, bien sûr, Le professeur ne pourra pas s'absenter quand bon lui semble ou piquer un roupillon dans sa classe (comme c'est souvent le cas des députés à l'assemblée, soit dit en passant). Pour mémoire, Le concours de l'agrégation est l'un des plus prestigieux et des plus difficiles concours de la fonction publique. Et je ne parle pas d'autres professions qui pourraient servir d'exemple...
Oui
La gestion des limitations de vitesse en particulier, plutôt que d'imposer BÊTEMENT un 80 km sur toutes les routes sans considérer la spécificité (et dangerosité) de certaines au détriments des autres...
Oui
....car je suis dans une ville moyenne.
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Oui
Oui
Plus de fonctionnaires dans certains secteurs par exemple (un ré-équilibrage est nécessaire)
La fonction des "urgences" à l'hôpital ne correspond plus à sa fonction première (répondre aux réelles urgences liés à divers accidents graves) et c'est devenu un fourre tout, un accueil d'une catégorie de la population proche parfois du tiers monde que des personnes ayant subi un réel traumastime dans un pays industrialisé ! Les médecins de quartiers semblent disparaître peu à peu ou renvoient aux Urgences une fois les heures de cabinet terminées. On est dans un système en complète désorganisation (prenez exemple sur ce qui se passait autrefois au niveau du fonctionnement médical) et, de même qu' à l' Éducation Nationale, ce qui se faisait autrefois était nettement plus fonctionnel et de meilleure qualité qu'actuellement au niveau de l'efficacité et du fonctionnement.
L' Hôpital (en particulier redonner aux Urgences des hôpitaux) sa fonction première. Redonner également à l' Éducation Nationale (du primaire à la Terminale) sa fonction première : Éduquer, être exigeant, donner un réel pouvoir aux enseignants et les écouter ( et ne pas faire des conseils de classes une parodie de bilan trimestriel, d' orientation...) alors que ce sont les parents qui décident actuellement de l'orientation de leurs enfants, si farfelue soit-elle, et sans tenir compte du niveau réel et des possibilités de l'enfant. Tout est dit...
Oui
Non
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Oui
Voir le détail un peu plus haut concernant les professeurs .... l' avis donné aux conseils de classe (simple parodie) et le pouvoir des parents voire des élèves SUR LES ENSEIGNANTS !
Oui
Il faut écouter et donner plus de pouvoir aux fonctionnaires sur le terrain.... alors que des ordres, des "missions", des directives sont donnés par des personnes ne connaissant pas ou peu le terrain (certains ayant perdu la réalité du terrain depuis de nombreuses années) mais voulant toujours le régenter !
En recueillant parmi les personnes de terrain, à intervalles réguliers, les avis et demander à un de ses représentants de vérifier que les réponses de terrain parviennent au plus niveau de l'état ! Ras le bol des bureaucrates, coupés du terrain, qui font barrière à une bonne diffusion des informations...
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L'éducation nationale s'est tristement transformée depuis de nombreuses années en une sorte de club educatif, d' où un réel LAXISME ambiant, mettant l'élève au centre de la classe ("Merci" M. Jospin !), à l'image de ce qu il est trop souvent devenu chez lui, ce qui n'a fait qu'empirer les choses. Je m'explique : beaucoup d'écoles, de collèges et de lycées sont devenus des lieux que l'on évite soigneusement car LES RÈGLES de savoir vivre, l'exigeance, la politesse, la Non violence ..... sont des valeurs désormais passéistes. En tant que parents, nous recherchons un enseignement de qualité dans lequel Le professeur (pièce maîtresse de l'echiquier) est RESPECTÉ à la fois par les élèves, les parents .... et son administration, ce qui est (très) loin d'être le cas un peu partout en France. Dans ces conditions là, un climat apaisé, propice aux études et aux progrès s'installe et les parents peuvent confier leurs enfants en toute confiance à l' Éducation Nationale. Or, ce n'est absolument pas le cas actuellement dans les établissements de second cycle en France ! Or, Voilà ce que veulent et recherchent les parents, Voila Aussi Pourquoi de nombreux parents se tournent vers le privé car, les élèves perturbateurs sont renvoyés manu militari (alors que c'est le parcours du combattant pour une exclusion définitive en collèges et lycées publics..... sauf sans doute à Henri IV et Louis le Grand à Paris !). Une réelle ORIENTATION (sans concession) au sortir de la 3e est nécessaire, Le Brevet des collèges doit devenir un véritable examen (où la dictée, l'orthographe, la grammaire, l'expression écrite joue un rôle primordial)et sans concession. Comment réussir en lycée lorsque l'on ne parvient pas à aligner deux mots correctement et que l'on a bénéficié d'une tolérance démagogique tout au long de sa scolarité ? Voilà le scandale qui en satisfait certains !
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Je suis' à la MGEM.... et tout se passe très Bien !
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