Date de publication : 2019-02-02
Code postal : 30126

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Dans chaque mairie et circonscription, installer une salle de consultation informatique gratuite avec personnel dédié (service civil, stagiaires, TUC, etc...) pour aider les personnes ne sachant pas utiliser ces technologies. Sur un site gouvernemental dédié, pour informer le citoyen, publier en continu au rythme mensuel, l'utilisation des impôts, de façon claire et lisible, que ce soit au plan local, territorial, national.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

- Établir une peine de prison incompressible et immédiate pour tout "évadeur" fiscal, proportionnelle à ses gains illicites, assortie du remboursement complet du montant évadé. - Réinvestir les sommes récupérées dans le fonctionnement et le matériel déployé pour lutter contre cette dérive, notamment au profit du fonctionnement et des emplois dans la Justice et les opérations de contrôle. - Rendre l'impôt obligatoire pour tous à raison d'1 euro par an, afin de rendre tout citoyen acteur et soutien des services publics dont il bénéficie. - Faire signer à tout Français majeur, naturalisé ou non, un engagement à participer à la vie collective en payant cet euro symbolique. - Exiger que soient supprimés les Paradis fiscaux intra-européens : Luxembourg, Irlande, Autriche, etc...). -

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Ceux sur les produits médicaux de base, indispensables et coûteux. Assortir cette baisse d'une exigence de moralité et d'honnêteté des laboratoires (sans conflits d'intérêts, notamment). Ceux sur l'emploi de personnes handicapées.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|- Former, employer un personnel suffisant et adéquat pour contrôler les bénéficiaires d'aides sociales. - Rendre facile l'obtention des aides auxquelles on a droit. - Ces deux actions ne peuvent être dissociées. - Imposer les grands groupes (CAC 40, GAFA...) en proportion de leurs bénéfices réalisés sur le territoire français.

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

Allocations familiales, Allocation logement, Allocation transport (en fonction du territoire), ... mais surtout exercer un contrôle réel et efficace avec un personnel suffisant en nombre et en qualité de formation.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Les "vrais" handicapés, les enfants en danger (pédophilie), les SDF, les malades psychiatriques, les aidants de malades incurables dépendants ou des personnes âgées dépendantes.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucun impôt supplémentaire, mais une meilleure gestion de nos ressources publiques en supprimant les projets pharaoniques, style Grand Paris, Centres commerciaux ou de loisirs uniquement tournés vers le profit exclusif des grands groupes et fonds de pension étrangers. Aucun fonds public français pour un investisseur ne payant pas d'impôts de façon proportionnée en France. Exigence d'une déontologie tournée vers un aménagement du territoire cohérente approuvée par les acteurs vivant dans ledit territoire. Aucun interventionnisme de lobbies financiers ou économiques dans les projets nationaux.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- La suppression des paradis fiscaux intra-européens (Luxembourg, Irlande, etc...). - Une meilleure répartition des aides économiques : ex. réserver CICE aux TPE et PME, établir des tranches supplémentaires d'imposition proportionnelles aux revenus effectifs, ex. soutien spécifique aux auto-entrepreneurs dans le domaine de l'écologie (énergies renouvelables, agriculture bio, etc...). - Une participation symbolique annuelle de tout citoyen bénéficiaire des aides et des services publics ou sanitaires français.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Au Président de la République, s'il nous écoute comme c'est le cas actuellement (mais je serai attentive aux résultats), en aucun cas aux Sénateurs, trop installés dans leurs privilèges et trop sujets aux influences des lobbies, peu aux Députés, trop attachés à leur gloriole locale et au pouvoir que leur confère leur mandat. Seuls les Maires des petites communes proches des habitants peuvent être fiables, mais pas du tout ceux des grosses communes riches (type Balk...y), où s'installent vite les conflits d'intérêts et les ententes illicites, et encore moins les présidents d'intercommunalités aux pouvoirs exorbitants pour qui les petites communes n'ont aucun intérêt.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Oui

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Aux associations dont le président ou la présidente sera élu par les adhérents. À celles qui sont habilitées à gérer des fonds publics délégués, aux organisations de défenses des droits (logement), aux établissements d'enseignement public, mais toujours sous une tutelle vigilante et bienveillante. Autrement dit celles qui gèrent de l'humain avec des finances publiques. Leur rôle doit être reconnu au même titre que celui d'un élu local (adjoints au maire et conseillers municipaux).

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Les adouber en fonction des résultats obtenus en matière de mieux-vivre ensemble. Les reconnaître pour leurs qualités de bienveillance collective et sociale.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Je ne sais pas

6. Pourquoi ?

Ce que je sais par contre, c'est qu'en cumulant deux mandats, ils ne devraient pas cumuler deux rémunérations: les journées font 24 heures pour eux comme pour nous. Remboursement des frais réels et indemnité unique de la charge la plus importante.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Une dose de proportionnelle non "bloquante" (cf. le système italien).

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Supprimer l'échelon du Canton. Ce n'est pas compris dans la question mais je suis pour la suppression des Sénateurs et leur remplacement par un conseil des Sages sans rémunération et sans privilège. Ces Sages seraient issus du réservoir de retraités valides, volontaires, et prêts à réinvestir au profit de la collectivité leur expérience passée. Revaloriser le Volontariat avec le seul remboursement de leurs frais réels limités à des sommes raisonnables et sans luxe inutile (=bonne gestion de l'argent public).

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Elle est bien sûr insuffisante. Il faudrait rendre le vote obligatoire, sauf pour les grabataires et les handicapés mentaux. Sans tomber dans l'excès ou les dérives au profit de tel ou tel parti (cf La journée d'un scrutateur d'Italo Calvino).

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

En les comptant!... Avec annulation du vote si le résultat en leur faveur est de 50% + 1. À moduler en fonction de l'objet du vote, en "annonçant la couleur" avant.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

En proposant aux citoyens des débats, et non des référendums, sur les questions d'ordre sociétal, et en écoutant les citoyens qui s'expriment dans des débats en ligne (Ségolène Royal avait raison, mais comme disait Edgar Faure, "on a toujours tort d'avoir raison trop tôt"). La France n'est pas la Suisse.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Non

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Les consulter en ligne (type ce grand débat), de manière permanente et régulière (mensuelle? trimestrielle? annuelle?... à déterminer en fonction du sujet et de la collectivité concernés.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Le Sénat est complètement à réformer, puisque trop abreuvé de privilèges sans exigence de retour à la hauteur, et trop enclin à jouer l'obstruction pour exister. Le CESE est lui aussi à revoir mais semble (?) plus efficace, car avec des gens plus compétents et actifs. En tout état de cause, supprimer les privilèges injustifiés.

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

cf précédente réponse.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Un service civil périodique pour toute personne valide. Sa durée? à moduler selon les situations. Une semaine minimum, une fois par an. Renouvelable, et au maximum 1 semaine par trimestre, pour minimiser ou éviter les dérives de toute sorte. Ne privilégier aucune religion.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

Accepter le débat entre adultes, élus ou simples citoyens, au sein des collectivités institutionnelles, en condamnant effectivement toute violence récidiviste.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

L'établissement d'un impôt minimum de 1 euro annuel, une période de service civil, l'équité, la transparence, la justice, l'efficacité dans les engagements publics.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

L'acceptation de l'autre, l'écoute, l'échange, le respect. Mais aussi la sanction, le paiement des amendes, et la lutte drastique contre toute forme d'exil fiscal aux effets délétères injustifiables.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Faire respecter par tous les lois, à commencer par ceux qui les violent impunément (exilés fiscaux en tête et encore!...). Développer le volontariat civique.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Continuer ce qui se fait déjà, et bien, dans les établissements scolaires, en y impliquant davantage les parents et les adultes en général. Une meilleure formation des citoyens en la matière, mais aussi de ceux qui sont censés faire cette formation.

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Les insultes gratuites, la saleté des lieux publics, le non-respect des espaces publics (écoles, stades, piscines, etc...).

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Obtenir réparation financière ou morale de la part des responsables, ou de leurs parents quand ils sont mineurs, y compris et surtout dans les établissements scolaires. Responsabiliser le citoyen quant à l'impact social de ses actes. TUC, réparation, nettoyage, etc... à moduler.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Jouer son rôle d'adulte responsable de ses actes, avec tout ce que cela comporte, sans passe-droit.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Je suis rarement témoin de ces discriminations. Quand je l'étais, je m'élevais contre les insultes des jeunes envers les adultes qui n'osaient pas se faire respecter (démission de leur rôle d'éducateur).

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Remettre les auteurs de ces discriminations à leur juste place, avec explication et pédagogie. Juger, condamner et appliquer la sanction, et pas seulement en cas de dérive ou d'excès.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

L'euro annuel de participation au budget de l'État, Une demi-journée par mois de participation à une action collective locale (qui aurait l'avantage d'aider à la socialisation des personnes isolées), L'instauration d'actions collectives propices au volontariat, etc...

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Situation ambiguë et peu propice à l'intégration. A chaque immigré doit être demandé d'apprendre le français en échange des aides (Vérifié et attesté comme en Allemagne). Une demi-journée, voire une journée par semaine, quinzaine ou par mois, de participation à une action ou rencontre collective locale, avec engagement et suivi. Sous la tutelle d'un fonctionnaire national ou territorial sur la base du volontariat (qui pourrait être son service civil). Etc...etc... Les idées ne peuvent manquer.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Pourquoi pas?

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Un quota et un respect de nos règles d'intégration énoncées plus haut.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Cf. plus haut.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Cette question doit être prise à bras-le-corps, pour le bien et la survivance de la société française. La vie est dure mais nous vivons dans un pays riche (à de nombreux points de vue), éduqué certes, mais qui s'est lassé aller, par le mauvais exemple des élus, au laxisme et à l'injustice par négligence et irrespect des valeurs humaines fondamentales. Cf le titre unique de mes 4 contributions "4x4 Équité+Transparence+Justice+Efficacité". La crise actuelle est le résultat de 50 années d'inconséquences et d'égoïsmes divers qui ont favorisé les dérives économiques ultra-libérales qui ont, à leur tour, contribué au dérèglement autant climatique que sociétal. Malgré les avantages que nous avions, la vie est devenue insupportable pour une majorité de Français. Seule une gouvernance humaine, équitable, rigoureuse et intelligente pourra redresser notre pays. En outre, à un moment où l'on critique les réseaux sociaux et leur anonymat pourvoyeur de haine, je ne vois pas pourquoi ces contributions au Grand Débat sont obligatoirement anonymes. Comment être un citoyen responsable dans ces conditions??

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

Les 4 à la fois, tout autant causes et conséquences, selon les points de vue. Il faut donc s'attaquer à tous les problèmes, à tous les échelons de responsabilité, qu'elle soit individuelle ou collective. En outre, le faire au niveau européen et international.

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Tout est à traiter EN URGENCE! Les experts existent mais il faut en exclure, après contrôle drastique et continu, ceux qui sont sujets à des conflits d'intérêts et les lobbies d'entreprises ne payant pas d'impôts en France. Poser les vrais diagnostics avec priorités. Question de méthode puisque des solutions existent qui en feront émerger d'autres. Le tout, en impliquant tous les citoyens sans exclusion, à tous les niveaux: local, territorial, régional, national, européen, international. Un vrai programme global et rigoureux à mettre en place à l'aune de l'être humain en devenir et non à celle des élus ou de leurs mandats électoraux. Retrouver le sens commun de l'humain dans son évolution pérenne.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Pollution de l'air avec maladies en conséquence, pollution de l'environnement visuel et-ou chimique cachée, matières plastiques et produits toxiques non recyclés et non recyclables, affectant les générations futures, dégradation de la qualité alimentaire par les ultra-transformations non maîtrisées et non encadrées des groupes alimentaires, etc...

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

- Utilisation de la voiture réduite au minimum. - Réduction des déchets non organiques. - Refus des emballages plastiques inutiles. - Refus général des matières plastiques, recyclables ou non. - Refus d'hyper consommation, quel que soit le domaine. - Refus d'acheter en super et hypermarchés à gestion mondialisée (qui détruisent les emplois et l'environnement et conduisent à la manipulation du consommateur et à l'esclavage moderne légalisé). - Achat de denrées alimentaires en vrac, de proximité, de saison. - Gestion culinaire locale et en adéquation avec la tradition territoriale.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Je le fais déjà, mais tout ce que je pourrai faire en plus pour réparer notre environnement et assainir notre planète, je le ferai. Je me battrai aussi pour pousser nos élus à avoir un comportement plus moral et altruiste, comme cela aurait dû toujours être. L'État doit d'abord être exemplaire et ses représentants également, cela va de soi!!!

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Que mon propriétaire soit obligé par la loi et l'engagement civique d'isoler mieux l'appartement, sans augmentation de loyer: le locataire, ne possédant pas, ne doit pas assumer ces dépenses qualitatives d'un bien qui ne lui est pas propre..

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Une aide ponctuelle mais non totale pour une véritable économie d'énergie (électricité et gaz en l'occurrence).

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Une tarification raisonnable, ex gratuité pour les - de 18 ans, réduction, voire gratuité, pour ceux qui ne possèdent pas de voiture (avec attestation contrôlable), pour les personnes âgées, handicapées reconnues, demandeurs d'emploi officiels. Avec des contrôles efficaces et convaincants, toujours.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

None

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

La collectivité locale, territoriale, régionale, nationale ou européenne, selon le périmètre de circulation.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

Donner l'exemple, pour commencer. Travailler en ce sens, à Bruxelles autant qu'à Strasbourg. En outre, mettre en application les initiatives internationales votées auxquelles elle a adhéré, c'est un minimum. Se battre pour la disparition des paradis fiscaux européens (Luxembourg, Irlande, etc...). L'injustice et l'iniquité institutionnelle génèrent beaucoup trop de dérives sociales et environnementales. Lutter contre les cabinets d'avocats fiscalistes générateurs de ces dérives.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Un aménagement du territoire cohérent ne dépendant pas des mandats électifs: un élu, quelle que soit son orientation, doit continuer à consulter les citoyens avant tout grand projet, et non imposer par une majorité sous sa tutelle. L'élu local (maire) ne doit pas décider avec sa seule majorité d'un projet qui engage sa circonscription tout entière sur une longue échéance (au-delà de 12 mois). Il doit gérer essentiellement le quotidien. À décliner de la sorte à tous les échelons de responsabilité. Principe à décliner aux autres niveaux de collectivités.