Date de publication : 2019-02-08
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Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Aux associations que je soutiens, aux partis politiques et aux élus de terrain que l'on peut rencontrer directement.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

Les associations n'ont pas à avoir un rôle officiel. Elles ne représentent que leurs adhérents et sympathisants. Mais elles peuvent, et doivent, agir pour défendre leurs idées auprès de l'opinion publique et des détenteurs de l'autorité publique.

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Promouvoir des élus de proximité aux dépens des candidats nationaux sélectionnés par les directions des partis politiques. Et en tout cas, ne pas réduire le nombre de nos représentants nationaux, voire l'augmenter, les économies en la matière n'étant que poudre aux yeux et insignifiantes par rapport à d'autres dépenses bien moins justifiées.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une mauvaise chose

6. Pourquoi ?

Les parlementaires ne doivent pas être hors-sol. C'est une bonne chose qu'ils aient, ou qu'ils aient eu, un mandat de terrain. D'autre part, avec l'interdiction du cumul, on ne sera bientôt plus représenté que par des fonctionnaires, seuls bénéficiaires de la garantie de retrouver leur emploi en cas de non-reconduction de leur mandat électoral.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Modifier le système électoral, en introduisant une proportionnalité. On pourrait par exemple envisager l'élection des députés à la proportionnelle sur une base départementale, comme ça a déjà été fait ; ou, puisque nous avons déjà 2 chambres, pourquoi ne pas élire les sénateurs à la proportionnelle sur une base nationale, et leur octroyer le même pouvoir législatif qu'aux députés, les lois ne pouvant alors être adoptées qu'en cas de majorité des votes cumulés des 2 chambres.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Non

9. Si oui, lesquels ?

None

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

En leur donnant le sentiment que la démocratie n'est pas confisquée, que leur vote sert à quelque chose et qu'il est pris en compte (cf. autres réponses).

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

En le comptabilisant comme un vote à part entière , càd en n'annonçant plus : Macron élu par 66% des voix contre 34% à Le Pen, mais Macron élu par 58% des voix contre 30% à Le Pen et 12% de votes blancs et nuls. Et si c'est les votes blancs qui l'emportent, refaire l'élection avec de nouveaux candidats.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Rendre la pleine souveraineté au peuple en introduisant le RIC, et que celui-ci ne soit pas un hochet pour amuser la galerie mais conçu comme un vrai outil démocratique de participation à la décision politique.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

Le RIP est aujourd'hui quasi inaccessible du fait des conditions draconiennes imposées. Il ne serait pas difficile d'en faire un vrai outil démocratique ... mais nos élus accepteront-ils de se voir déposséder d'une partie de leur pouvoir ?

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Le RIC, et pas seulement sur l'utilisation de l'argent public.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Pour le Sénat, cf. ci-dessus. Quant au CESE, on pourrait espérer plus de transparence dans la désignation de ses membres, et pourquoi pas lui attribuer le rôle de représentation des territoires actuellement dévolu au Sénat.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

None

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

None

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

None

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

None

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

None

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

None

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

La France doit retrouver la maîtrise souveraine de l'immigration, et la limiter à ses seuls intérêts, définis et acceptés par une large majorité.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Absolument pas. Il faudrait pour ça que le Parlement représente vraiment la nation française. Ce sont des questions trop graves pour être confiées à un seul parti politique.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Il ne durera que tant qu'"on" voudra bien qu'il dure. Il faut décourager l'immigration en restreignant considérablement l'octroi d'aides et avantages sociaux attribués aux immigrés illégaux, et leur faire comprendre qu'ils ne sont pas les bienvenus. Il faut combattre ceux qui entretiennent, par intérêt ou idéologie groupusculaire, cette immigration. Il faut dans le même temps aider les pays sources de cette immigration, peut-être plus et mieux que l'on ne l'a fait jusqu'à présent, mais également mettre les dirigeants et les élites de ces pays face à leurs propres responsabilités Vaste chantier, j'en conviens, encore faut-il en avoir la volonté. Il faut par ailleurs durcir les conditions d'octroi de la nationalité française et la réserver à ceux qui ont fait preuve d'assimilation, ou au moins d'intégration, à notre société.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Pourquoi abandonner l'idée d'assimilation. Les Juifs, les Polonais, Les Italiens se sont assimilés. Pourquoi les nouveaux arrivants ne s'y plieraient-ils pas eux aussi ?

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None