Date de publication : 2019-01-27
Code postal : 30380

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

Faire participer plus étroitement les citoyens sur les choix des grandes orientations .

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

Donner le sentiment général d'une fiscalité plus juste en réduisant par l'impôt l’écart de rémunération-revenu net entre les hauts et les bas salaires-revenus . Si les hauts salaires-revenus profitent à l'économie l'augmentation des plus bas aurait un impact encore plus important sur elle. Les besoins à satisfaire sont plus nombreux pour les bas salaires. Pour satisfaire les pourvoyeurs sans imagination de taxes en tous genres qu'ils considèrent ne pas être des impôts, instaurer une TTPRE de 50% , Taxe Temporaire Pour Redressement Économique, sur la tranches supérieure à 8.000 Euros du montant net de tous les revenus sans aucune exception. Les entreprises qui délocalisent sont créatrices de chômage. Taxer les produit qu'ils importent en retour permettrait de compenser l'augmentation corrélative des prix par une aide correspondante aux plus démunis. Réintégrer pour recettes, dés que possible, les autoroutes sottement confiées au privé qui fait des bénéfices abusifs Instaurer une taxe transit pour les transports routiers étranger qui participent sans compensation au délabrement du réseau routier national. Taxer n'est pas s'opposer à la libre circulation.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Baisser les impôts locaux dont les montants ajoutés sont parfois aussi importants sinon plus que celui de l'impôt sur le revenu, La suppression de la taxe d'habitation doit bénéficier à tous sans condition de revenu . Les collectivités locales peuvent en partie compenser cette perte de recette en maîtrisant le ratio "dépense de personnel" par habitant dont le montant ne cesse de croître pour satisfaire la mégalomanie de certains responsables administratifs. Pour le personnel qui bénéficie d'un temps de travail réduit, retour aux heures légales de travail. L'application de nouvelles normes, en particulier en matière d'isolation,pour les nouvelles constructions, entraîne une dévaluation de la valeur immobilière des anciens et aussi de leur valeur locative. Cette dévaluation devrait être prise en compte pour le calcul des impôts locaux dont l'augmentation est continue . Suppression de l'application systématique de pourcentages sur le montant précédent de ces impôts. Cette façon de procéder accroît encore injustement l'écart entre les montants de ces taxes. Les normes de calcul de ces impôts sont à revoir. Il est anormal que la présence de lavabos ,de salles de bain et du chauffage central soit encore considérée comme un luxe et donne prétexte à majoration des coefficients à la base du calcul du montant de ces taxes. L'harmonisation pour une même définition de certains codes s'avère nécessaire. La définition d'immeuble collectif est variable selon les codes concernés. Plus de deux logements pour ceux de la construction et de l'urbanisme, seulement deux pour celui des impôts. L'incidence sur les coefficients n'est pas négligeable. Une définition simple et légale de ce que doit comprendre au minimum un logement , en nombre et en affectation des pièces qui le composent, devrait s'imposer à tous et ne plus dépendre d'interprétations personnelles variables. Même si son nom la distingue de l'impôt sur le revenu, la CSG non déductible revient à une double imposition sur le revenu pour ceux qui la paient. Cette contribution contrevient à la non affectation des recettes aux dépenses.

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

En priorité suppression de toutes les aides, y compris les niches fiscales, lorsque le revenu net individuel est supérieur à 2500 euros et/ou à 4500 euros par foyer fiscal . L'incidence sur certains emplois d'une telle mesure relève pour l'instant de la simple spéculation. Suppression de l'aide à la rentrée scolaire sous forme d'une prime au bénéfice d'un bon d'achat auprès d'organismes dédiés fournitures scolaires Remboursement étalé des frais de santé engagés pour tous ceux qui n'ont jamais cotisé à la sécurité sociale en particulier pour les nouveaux affiliés adultes durant une période probatoire . Ces dépenses se font au détriment des anciens affiliés dont les remboursements devenus partiels, sont en fait soumis à une nouvelle taxe.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

Il n'y a pas de domaine prioritaire à renforcer si ce n'est la situation des services hospitaliers dans lesquels pour des motifs économiques des malades résident dans les couloirs faute de lits ..... en particulier quand ils sont de simples citoyens.

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Aucun, tant que ceux qui devraient donner l'exemple restent attachés à leurs privilèges en particulier dans toute la sphère gouvernementale, hauts fonctionnaires compris. Quand on prétend agir pour la France on doit savoir aussi se sacrifier pour elle. On peut en particulier se satisfaire sans déchoir de repas restaurant à moins de 300 Euros.

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le champ d' application de la taxe carbone est limitée aux automobilistes alors que le trafic aérien et maritime pourtant beaucoup plus pollueur n'est pas touché . Limiter le champ d'application d'une telle taxe dont le produit est affecté à d'autres domaines que celui de l'écologie, pose une interrogation sur l'urgence et la véracité du motif avancé pour justifier cette taxe. L'engouement médiatique pour l'écologie ne doit pas servir uniquement de prétexte pour imposer de nouveaux prélèvements.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

Actuellement personne . Parce que chaque type de représentant ne représente au final que lui ou elle même.

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

Non

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

Revoir le mode électoral "Sommes-nous en démocratie" et est-elle "représentative". Un examen critique du mode actuel d'élection assis sur un programme, tend à montrer que cette affirmation est loin d'être la réalité tant sur la forme que sur le fond. Si la représentativité de ce mode était réelle, un mouvement comme celui des gilets jaunes n’aurait pas vu le jour. Sur le fond : la démocratie actuelle n'est jamais que l'expression d'une philosophie politique d'un nombre restreint d'individus, et qui demandent aux citoyens de la partager. Sur la forme : N’avoir d’autre choix que de voter pour un programme qui énumère des propositions, c'est accepter toutes les propositions qu'il contient y compris celles non souhaitées ce qui donne lieu à des rejets ultérieurs. Un vote par propositions serait plus représentatif des opinions des citoyens et de ce fait plus démocratique. Un système basé sur le classement des propositions, selon le nombre de voix qu'elles auraient obtenues et sans tenir compte de la couleur politique de ceux qui les auraient émises, serait plus représentatif des réelles aspirations citoyennes. Le candidat élu serait dans l'obligation de mettre en œuvre les propositions retenues, dans l'ordre de leur classement, que ces propositions émanent ou non de sa famille politique. Le parlement ne devrait pouvoir s'opposer à la mise en œuvre des propositions avalisées par les votes des citoyens. Il aurait pour tâche, en ce qui les concerne, de les rendre applicables selon le souhait citoyen. Pourrait n'être retenues, dans le respect de leur classement, qu’un nombre préfixé de propositions, en adéquation avec la durée d'une mandature. Dans l'éventualité ou deux propositions contradictoires recueilleraient exactement un même nombre de voix elles seraient écartées. Pour celles qui recueilleraient un nombre proche de voix il conviendrait de définir une règle de majorité pour déterminer celle à retenir. Se présenter à une élection ne doit pas être rechercher un emploi pour faire carrière. La limitation du nombre de mandat pour un même élu permettrait de renouveler la synergie.

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Les élus nationaux doivent être présents dans les assemblées lors des votes et non dans les manifestations locales au prétexte de soigner leur image.Les élus locaux sont à même de représenter l'état

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

Revoir le mode électoral comme ci-dessus.

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

Niveau départemental et régional .

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Revoir le mode électoral comme exprimé ci-dessus

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

Quelle question! En le comptabilisant bien sûr et en tirant les bonnes conclusions à savoir que les programmes présentés sont en tout ou en partie hors propos et qu'ils sont donc à revoir.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Revoir déjà le mode électoral comme exprimé ci-dessus

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Je ne sais pas

15. Si oui, comment ?

None

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Instaurer le vote par propositions. Il permettrait au citoyen des choix plus précis.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

Prendre en compte les revendications citoyennes et non uniquement celles des sectes politiques que d'aucun appellent partis

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Réduire le nombre des représentants dans ces assemblées , mettre en place l'élection au vote proportionnel, plus représentatif par définition n'en déplaise à ceux considèrent le populisme comme une hérésie.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

Ne pas faire du principe de laïcité une religion sectaire. Avec le temps un équilibre naturel s'est instauré. Remettre en cause cet équilibre au nom d'un principe c'est chercher à provoquer des réactions . En ce qui concerne toutes les religions, rejeter toute emprise sur le domaine public (piscines publiques réservées ,consultations médicales selon le sexe du praticien, etc ..) par respect avec le principe de laïcité.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

En ne modifiant pas l'équilibre existant . Toute action entraîne une réaction. La liberté de pensée n'est pas liberté d'expression ou d'action.

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

Donner au citoyen l'impression qu'il n'a pas affaire à des élus sourds aveugles qui se comportent comme les nobles de l'ancien régime attachés à leurs privilèges et à leurs propres convictions.

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

Le premier des comportements civiques est celui des parents qui doivent inculquer les valeurs civiques à leurs enfants et en particulier apprendre à ces derniers, dés leur plus jeune âge, qu'ils ne peuvent pas tout se permettre en vertu des préconisations de spécialistes à courte vue par définition.

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

Éviter de se faire l'écho des préconisations de spécialistes formés à ne voir le monde qu'au travers du petit bout de leur lorgnette et dont les arguments sont pris comme justification de comportements laxistes en réponse aux pressions de la vie courante actuelle.

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

Inviter certaines administrations à ne pas seulement motiver des décisions mais aussi à conseiller les administrés. Par exemple les services fiscaux se cantonnent dans la répression pour non conformité , mais ne savent pas ou se refusent à conseiller pour rendre conforme ce qu'ils considèrent répréhensible .

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

Il n'y a pas d'incivilité plus pénible qu'une autre. Il y a seulement un manque d'éducation bien trop répandu.

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Définir en premier lieu ce qu'est une incivilité : cracher sur le sol ou casser une vitrine ?

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

La société est un ensemble. Ses orientations sont confiées à des représentants. A eux de définir une forme d'action compatible avec les aspirations de ceux qu'ils représentent.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

Comme retraité, victime de la discrimination de l'état en matière de CSG.

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

Ne pas porter atteinte volontairement aux us et coutumes parvenus à un niveau d'équilibre satisfaisant, sous prétexte du respect de principe d'un règlement ou d'une loi dans des domaines où la nécessité ne se fait pas sentir.

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Oui

32. Si oui, lesquelles ?

Faire participer d'au moins 1 Euro les bénéficiaires, par principe de solidarité avec ceux qui sont ponctionnés à leur bénéfice et leur rappeler que les allocations dont ils bénéficient ne sont pas un dû.

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Poser non comme principe mais comme obligation que l'immigré doit se conformer aux us et coutumes du pays d'accueil et ne pas imposer les siennes. Voter une loi en ce sens.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

Pourquoi obligations d'asile ? En vertu de principes ? Soumettre l'immigration sauvage à des objectifs c'est créer de nouvelles inégalités. Soit on l'accepte soit on la refuse. Et si on l'accepte on impose des obligations légales applicables sans aucune concession.

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Ce n'est pas un défi mais une réponse à un phénomène qui ne peut être résolu que par l'abandon de principes humanitaires d'une société en perte de vitalité pour assurer à terme sa propre survie.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

C'est à l'immigré de s'intégrer et non à la société de se transformer.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

non