Il est grand temps de faire la distinction entre les dépenses de fonctionnement et les dépenses d'investissement. L'Etat ne cesse d'accroitre ses dépenses, et surtout ses dépenses de fonctionnement, sans se soucier de leur efficacité. L'Etat se doit d'investir pour les generations futures; ses dépenses de fonctionnement doivent être contraintes en fonction de ses investissements et du remboursement de sa dette. L'Etat dépense mal, sans préparer l'avenir. De trop peu nombreuses analyses d'impact sont réalisées et quasiment aucune concernant l'efficacité des mesures prises n'est effectuée. Pour chaque taxe ou impôt prélevé, la répartition de son utilisation devrait être présentée. Tout impôt prélevé devrait aussi permettre de réduire la dette, et ce jusqu'a ce que le ratio dette/PIB soit revenu a 60% ou moins, comme le prévoit les traités européens.
L'Etat peut imposer les particuliers et les entreprises. Mais l'Etat doit s'imposer de contraindre ses dépenses et meme d'avoir un budget a l'équilibre, et ne peut ponctionner sans limite particuliers et entreprises sans s'interroger sur la rationalité de ses dépenses et de la fiscalité qu'il met en oeuvre. Les grandes entreprises disposent de moyens leur permettant d'optimiser leur fiscalité. Des efforts doivent permettre d'exonérer les petites entreprises d'une fiscalité trop pénalisante afin de s'assurer qu'elles bénéficient réellement de mesures d'accompagnement permettant leur développement car elles sont le premier créateur d'emplois. Or plus il y a d'activité, plus il y a de recettes fiscales, et plus la redistribution est possible... Chaque citoyen devrait disposer d'un compte virtuel ou serait présenté ce qu'il reçoit de la collectivité et ce qu'il verse. Un montant maximal devrait être institué, a la hauteur de 10 SMIC nets par exemple par an, toutes allocations confondues (familiales, maladie...). Au delà de ce plafond, seules les allocations maladie seraient versées. S'il est normal de contribuer a hauteur de ses capacités contributives, toute personne exonérée devrait être redevable a la collectivité de plusieurs heures de travaux d'intérêt général. La fiscalité liée a la transition énergétique doit tenir compte du lieu d'habitation de chacun et de l'offre de transport; les exonerations accordées par le biais de la prise en charge des frais kilométriques devrait tenir compte de cette offre de transports publics. La taxe pour le recyclage devrait être proportionnelle au prix du bien considéré et les frais de fonctionnement des entreprises chargées de ce dispositif, ainsi que l'utilisation des fonds récoltés devraient faire l'objet d'un vote annuel a l'Assemblée. Chaque produit créé devrait disposer d'une empreinte carbone et voir sa fiscalité adaptée en fonction, afin d'inciter les consommateurs a s'orienter vers les produits ayant l'impact le plus faible sur l'environnement ou les producteurs a adapter leurs outils pour ce faire.
Les impôts ne pourront être baisser que lorsque l'Etat aura résorbé son déficit et générera des excédents. Les impôts prélevés sur les propriétaires de logement sont trop lourds, surtout lorsqu'on tient compte des frais de notaire ou des frais de succession qu'ils génèrent. Tous les produits favorisant l'emploi en France devraient disposer d'une fiscalité minorée afin d'assurer la production du plus grand nombre de biens sur le territoire français. Ainsi, les entreprises disposant d'unités de production en France disposeraient d'une compétitivité prix par rapport a leurs concurrentes dont les biens seraient importés. Cela permettrait de lutter contre le dumping fiscal et social, notamment en Europe, et de favoriser l'emploi, ce qui permettrait d'enclencher un cercle vertueux, qui permettra a terme de baisser les impôts. Il est grand temps de revoir certaines niches fiscales qui ne permettent qu'a des secteurs sous perfusion de se maintenir en l'état, en favorisant les acteurs actuels qui bénéficient de ces subventions, au détriment de nouveaux entrants ou des consommateurs.
Reculer l'âge de la retraite|Augmenter le temps de travail|Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Réduire les avantages indus des fonctionnaires, d'Etat ou territoriaux, a commencer par les retraites, la suppression du délai de carence pour les congés maladie et les avantages en matière de mobilité. De meme, les salaires des "hauts-fonctionnaires" doivent être limités a 150 000 euros bruts annuels. Certains élus ne devraient percevoir leurs émoluments qu'a hauteur de leur présence dans leurs hémicycles ou assemblées respectifs, et accepter une transparence totale en matière de rémunération et d'avantages liés a leurs fonctions. Il est également scandaleux que certaines commissions "fantômes" comme la Commission du Grand Débat abrite des fonctionnaires qui y perçoivent des émoluments sans rapport avec le travail réalisé et ce uniquement grace a la bienveillance d'un réseau d'amitiés politiques... Mme Jouanno ne continue-t-elle pas de percevoir un salaire colossal de plus de 176 000 euros bruts annuels sans effectuer le travail qu'elle est censée y faire ???
Un pays qui attribue davantage d'aides sociales aux étrangers qu'a ses propres ressortissants est un pays qui n'a pas d'avenir. Il est grand temps de revoir la politique d'immigration pratiquée en France, sachant que toute personne candidate a l'entrée devrait disposer des ressources ou d'un emploi pour s'installer durablement dans le pays. Pour les étudiants, ceux-ci pourraient être accueillis selon un certain nombre de conditions (presence a l'université, a l'école, aides limitées, apprentissage obligatoire de la langue française, respect strict des lois et usages en vigueur). Pour les ressortissants Français, certaines aides sociales devraient être attribuées sous contrainte d'un montant maximal annuel et en contrepartie de travaux d'intérêt général. Une reflexion doit être également menée sur un sujet épineux: l'universalité des droits: peut-on concevoir que certains ressortissants n'aient droit a aucune aide de l'Etat sous prétexte qu'ils gagnent bien leur vie?
L'apprentissage et l'accès aux soins doit être assuré. Cependant, afin de limiter les abus, il est impératif de reformer l'Assurance Maladie en fusionnant l'ensemble des Caisses et de lutter contre la fraude aux prestations. Le système français se meure car il est trop généreux et non-financé. Tout abus doit être réellement sanctionné, quitte a suspendre les droits de certains assurés.
Pour accroitre les ressources de notre système de santé, et notamment augmenter les moyens alloués aux urgences, mais a condition de pénaliser les personnes qui y viennent sans raison ou trop souvent. Un compte individuel des dépenses des uns et des autres devrait être instauré avec des limites aux remboursements afin de responsabiliser chacun. Trop d'abus nuisent a l'équilibrera de notre système. La lutte contre la fraude doit être renforcée avec des saisies systématiques et la recuperation des sommes soustraites aux cotisations. Afin de doter les policiers, gendarmes et les pompiers des moyens nécessaires a l'accomplissement de leurs missions, il est souhaitable de relever les contributions de chacun et de poursuivre tous les auteurs de degradations, quitte a les priver de leurs droits de bénéficier des avantages auxquels ils ont théoriquement droit.
Il est étonnant que ce grand débat ne cherche pas a définir les raisons qui nous ont menées a une telle situation. L'irresponsabilité de nos politiques est grande, avec le souhait de plaire a un électorat pour favoriser leur réélection au détriment de l'intérêt général. Ainsi, le financement des retraites des actuels retraités n'est pas assuré. Ces derniers se permettent d'afficher leur colère, alors que les générations qui les paient n'auront meme pas le niveau de retraite de ces derniers !!! Il est grand temps d'en finir avec les exceptions françaises que sont les déficits systématiques, le statut des fonctionnaires et leurs systèmes de retraite d'un autre age, le nombre de fonctionnaires, le millefeuille administratifs, les avantages des hauts-fonctionnaires, les 35h, la retraite a 60 ans a taux plein, l'accès aux aides de tout ordre aux étrangers, l'aide médicale d'Etat... La France n'est pas en mesure de baisser les impôts avant de mener des réformes que d'autres pays ont su mener ou de réduire les avantages indus que des politiques avides de pouvoir ont accordé a des corporations pour se maintenir au pouvoir. Trop d'impôts tue l'impôt, mais il est surtout important et nécessaire d'avoir des personnels politiques responsables et ayant le sens de l'Etat et de la responsabilité pour mener a bien les reformes dont le pays a besoin pour continuer a compter dans le monde de demain plutôt que de faire croire que la France peut continuer a dépenser sans compter cet argent qu'elle n'a pas. Sinon, dans les mains de créanciers, qui pourront d'un instant a l'autre exiger davantage, elle court droit a la faillite, comme la Grèce avant elle.
Malheureusement, l'intérêt général est rarement privilégié dans la société française et le pragmatisme ne fait pas le poids face a la démagogie de nos personnels politiques...
Oui
Les organisations professionnelles sont théoriquement apolitiques, et devraient donc être "favorisées" par rapport aux syndicats qui poursuivent souvent des luttes d'un autre temps et qui ne sont plus en phase avec les évolutions de la société, a l'exception des problématiques salariales... Ces organisations devraient être consultées et avoir un pouvoir de veto, avec obligation de négocier des compromis en cas d'utilisation de ce dernier.
Que les élus fassent preuve de transparence dans leurs avantages, leurs rémunérations, leur travail effectif, les mesures prises, leurs relations avec d'éventuels lobbies.
Une mauvaise chose
En interdisant ce cumul, on se prive d'un historique. Dans le même temps, il n'est pas admissible d'avoir des personnels qui cumulent des postes pour lesquels ils ne peuvent assurer un travail a temps complet: leurs rémunérations devraient tenir compte de leur capacité a assumer leurs charges de travail: un député ou un sénateur devrait être systématiquement présent a au moins 75% des débats parlementaires. le travail en circonscription est assuré par ses assistants et les 25% restants. Un âge limite doit être instauré, de même qu'un seul renouvellement de mandant. Le régime de retraite des parlementaires doit être revu car il n'est pas normal qu'il soit si avantageux.
Le scrutin majoritaire est un frein a cette représentation, mais permet également de dégager des majorités. Sinon, on pourrait mettre un peu de proportionnelle au niveau local et régional afin de favoriser la recherche de consensus.
Oui
Il faut que les communes se regroupent au sein d'intercommunalités car il y a moins d'habitants dans les zones rurales. de façon générale, il y a trop d'élus... Notamment au niveau cantonal, départemental et régional.
Le vote devrait être obligatoire ou la participation aux 4 dernières élections assurée a hauteur de 75%. Il convient de reconnaitre le vote blanc ou nul dans le décompte des voix. Toute élection pour laquelle le vote blanc et le vote nul est supérieur aux votes exprimés devrait être reconduite.
Oui
Il doit être pris en compte dans le décompte des voix exprimés et les calculs de seuils de validation d'une élection.
La démocratie participative peut se concevoir au niveau local. Au niveau national, elle est source d'instabilité, le consensus étant difficile a obtenir. Toute loi devrait faire l'objet d'une analyse après 2 ans avec possibilité de l'abroger si elle n'a pas rempli les effets escomptés.
Oui
Oui, mais au niveau local. Pour un RIP au niveau national, le sujet et l'intitulé doivent être validés par une commission adhoc et un quorum de 500 000 votants atteint.
Permettre a des citoyens de se saisir de ce sujet en leur permettant de porter en justice la mauvaise utilisation de l'argent public et notamment en interdisant le surendettement de l'Etat et des collectivités.
Le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental ne sont pas assez a l'écoute de la société civile, et ont peu de comptes a rendre. Il faudrait qu'ils puissent être moins politiques...
Oui
Renouveler leur composition (limite d'âge et renouvellement d'un mandat au maximum) et favoriser l'accès de la société civile pour 1 mandat.
La loi sur la laïcité doit être revue, notamment en ce qui concerne les principes de base que sont le respect de l'autre et le principe du mariage. La liberté de culte s'entend, a condition que l'on respecte les principes qui ont fonde notre nation: la religion chrétienne reste la religion majoritaire et ses principes doivent être respectés par défaut (la polygamie est interdite).
Pour que ce respect existe et que les valeurs de la République soient garanties, l'école doit reprendre a son compte leur enseignement a l'école primaire. Le salut au drapeau, l'apprentissage de l'hymne national... doivent être instaurés.
Tout citoyen recevant une aide de l'Etat devrait être redevable d'heures d'intérêt général pour nettoyer les forets, les rues de sa commune...
La liberté s'arrête la ou commence la gêne des autres... Vivre ensemble et avec le respect de l'autre sont des apprentissages fondamentaux que l'école doit se ré-approprier.
Chaque citoyen devrait donner au moins 10 heures de son temps a la Nation, des lors qu'il reçoit quelque chose de celle-ci... Chaque mairie devrait organiser des taches d'intérêt général en fonction de ses besoins et planifier les actions a mener avec ses administrés.
Les idées de citoyens pourraient être relayées par les mairies au niveau local et l'adhésion a certaines d'entre elles faire l'objet de mesures concrètes.
Le manque de respect d'autrui. Il faut réintroduire l'éducation civique, et s'assurer que ceux qui ne respectent pas les autres soient punis (privation de droits civiques, condamnation a des travaux d'intérêt général...)
S'assurer que la justice passe réellement lorsque de tels actes sont perpétrés.
Mieux éduquer et mieux informer de ce qu'il risque, en partant du principe que les sanctions seront effectivement prononcées, alors chacun s'autodisciplinera ou se mettra a l'écart...
Racisme, sexisme, ignorance, manque de respect...
L'éducation ne doit pas être un vain mot, mais la sanction doit s'appliquer des lors que les règles selon lesquelles l'ordre est garanti sont bafouées.
Oui
Des heures de travaux d'intérêt général au profit de la commune dont vous êtes originaire.
Politique trop laxiste, qui permet surtout a certains de profiter d'aides sociales bien trop avantageuses. Il faut permettre a un certain nombre d'étrangers de venir en France a condition qu'ils aient les moyens de vivre sur place ou s'ils disposent d'un travail décent. Il faut limiter le regroupement familial et le droit d'asile. Enfin, chaque personne qui souhaite venir en France doit s'engager a respecter les droits et usages de notre pays, et notamment mettre entre parenthèses ses convictions religieuses si celles-ci sont en contradiction avec les pratiques de notre pays. Tout immigré passant devant la justice doit pouvoir être expulsé. Les aides sociales ne devraient être accessibles aux étrangers qu'a la condition qu'ils aient contribué au moins 1 an au système de cotisations en vigueur. Le regroupement familial doit être limité. L'acquisition de la nationalité française ne doit pas être automatique mais soumise a des conditions de présence sur le sol français durant une période d'au moins 1 an (problème des naissances a Mayotte) et a un engagement de la personne considérée vis-a-vis de la France. Tout immigré devrait être contraint de suivre des cours de français afin de mieux pouvoir s'intégrer, et faire l'objet d'examens pour savoir s'il sait lire et écrire afin de pouvoir acquérir ces savoirs le cas échéant.
La France n'a d'obligations d'asile que parce qu'elle le souhaite. La politique migratoire peut être restrictive ou en tout cas mieux contrôlée et il convient de fixer des objectifs annuels mais surtout de faire appliquer les lois. Des quotas doivent être mis en place mais surtout une politique européenne coordonnée doit voir le jour car toute personne vivant dans l'UE est censée pouvoir s'y déplacer sans contrainte. Tout demandeur d'asile qui se voit refuser son entrée en France doit être reconduit dans son pays, sans aucune indemnité et s'engager a ne pas revenir durant au moins 2 ans; dans le cas contraire, il sera prononcé contre lui une incapacité a venir en France et la déchéance de tout droit sur notre sol. Chaque demandeur d'asile ne doit pas avoir d'activité politique en France avant au moins 5 ans de présence
La France, et l'Europe par extension, ne peut se permettre d'accueillir toute la pauvreté du monde et ne peut surtout accueillir toutes ces populations d'Afrique ou du Moyen-Orient a la recherche d'une vie meilleure. Plus important, ces populations n'ont pas les mêmes moeurs, croyances et modes de vie que nous, ce qui accroit les problématiques d'intégration de ces populations dans nos régions. On ne peut continuer a créer des zones ou l'on entasse ces populations, zones qui deviennent des zones de non-droit ou émergent quantité de maux (insécurité, chômage, pauvreté, intégrisme, non respect des femmes...) qui mettent a mal notre République et ses valeurs. Une aide doit être offerte aux pays d'Afrique et du Moyen-Orient desquels viennent ces populations, afin que soient créées, sur place, les conditions de développement qui leur permettront de rester sur place.
On ne peut s'intégrer si l'on accepte pas les règles de vie du pays dans lequel on souhaite s'installer. Partir de ce postulat devrait permettre de fixer d'emblée les règles a respecter pour tout candidat a l'immigration. S'insérer, cela passe aussi par la langue, qui doit être maîtrisée le mieux possible, ainsi que par la lecture et l'écriture. Pour ce qui est des convictions religieuses, si elles sont tolérées, elles ne peuvent être un frein a l'intégration et au respect de l'autre. Tout immigré ne devrait pouvoir accéder a des aides sociales qu'en contrepartie de sa participation au système de redistribution en place, ou après la fourniture de travaux d'intérêt général qui permettrait de justifier au minimum sa motivation.
Une minorité a récemment mis a mal le modele français. Cela est inacceptable en démocratie et si le droit de manifester doit perdurer, toute violence ou dégradation doit être punie sévèrement. Il est grand temps qu'une personne condamnée a 5 ans de prison fasse effectivement 5 ans de prison voire qu'elle bénéficie d'une réduction de peine, mais cela ne doit en rien être automatique et donner lieu a un laxisme généralisé ou a une banalisation des violences qui pourraient être perçues comme ayant une source légitime. La démocratie est également en danger lorsque les médias et notamment les chaines de télévision d'information continue participent a la manipulation des foules et a l'émergence d'idées ou propos qui mettent a mal la démocratie. Le CSA est étonnamment absent sur ces sujets pourtant cruciaux. Etre français, c'est avoir une ambition commune pour notre pays. Cela s'exprime notamment par le vote et non par la violence ou l'intimidation. Il conviendrait de rappeler qu'une minorité, aussi violente soit-elle, ne peut imposer sa loi au peuple. Nos dirigeants seraient bien inspirés de le rappeler et de faire respecter la loi. Si le peuple souhaite autre chose, le vote démocratique est possible, alors pourquoi ne pas le rendre obligatoire et interdire ces manifestations qui perturbent la vie de notre Nation sans apporter aucune solution ni proposition réaliste? En démocratie, il convient de faire respecter l'ordre et les lois, sinon on laisse la place a l'anarchie...
L'Etat est trop centralisé et n'utilise qu'une partie des évolutions technologiques récentes. La constitution d'un seul et meme dossier d'un citoyen devrait permettre de pré-remplir les formulaires de toute administration et accélérer ainsi toute démarche. Les visites sur place du public devraient être limitées a des categories spécifiques de la population (handicapés, personnes âgées...) pour lesquelles l'usage des nouvelles technologies n'est pas aisé. Pour les autres, des didacticiels spécifiques devraient être créés afin de permettre aux agents de se consacrer au traitement et au suivi des dossiers. Des centres en région devraient être créés et permettre d'apporter une réponse a toutes les problématiques susceptibles d'être proposées par les citoyens, avec la consultation de référents pour chaque sujet.
Non
Avant de transférer de nouvelles missions, il faudrait s'assurer que celles dont elles ont la charge soient correctement réalisées. L'Etat ne doit pas se décharger de ses missions, mais doit surtout veiller a ce qu'elles soient réalisées de façon optimale. Cela est loin d'être le cas, les études d'impact et/ou l'évaluation des missions n'étant pas ou pas correctement menées. Des technocrates trop souvent "hors-sol" empêchent la correcte compréhension des problématiques soulevées par les collectivités territoriales et la mise en place des actions permettant d'y remédier.
Non
L'information n'est pas toujours clairement présentée et le personnel administratif n'est pas toujours en mesure de comprendre la notion de service qu'il doit apporter a la population. Il y a un problème quant a l'obligation de résultats que doit apporter le personnel de l'administration.
Un certain nombre d'opérations devrait pouvoir être effectué de façon électronique et ne pas nécessiter l'envoi de courriers (ex: feuilles de maladie, qui existent toujours alors que la carte Vitale est généralisée...). L'ensemble des démarches devrait pouvoir être effectué sans nécessiter l'utilisation d'imprimante, mais des moyens techniques permettant de remplir électroniquement des formulaires devraient être mis a la disposition des usagers; de même, des moyens de signature électronique devraient être généralisés.
Non
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L'assurance maladie (lutte contre la fraude et généralisation des cartes Vitale avec photo), l'éducation (le rectorat). La correction d'erreurs éventuelles est aussi complexe.
Oui
Non
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Oui
La société évolue vers la fourniture de multiples services, ce la doit aussi être le cas de l'administration, qui n'a pas forcément la culture du résultat...
L'Etat et les collectivités territoriales doivent mieux répondre aux nouvelles problématiques posées par la désertification des campagnes au profit de certaines grandes villes... Des mesures permettant d'assurer la présence de l'autorité publique et des services de l'administration doivent être déployées pour éviter que ces populations se sentent délaissées et/ou mal considérées. Dans certains cas, pourquoi l'Etat ou les collectivités ne deviendraient-ils pas employeurs de médecins afin de s'assurer que de tels services demeurent accessibles en zone rurale?
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La fin de la carte scolaire et l'évolution des programmes depuis de nombreuses années ont tendance a accentuer le nivellement par le bas dans l'éducation nationale. Il est impératif de contraindre tout établissement a appliquer des mesures nationales pour s'assurer que des règles communes sont effectivement inculquées aux enfants et qu'ils sachent réellement lire, écrire et compter en fin de primaire. Il est inadmissible de constater un niveau d'absentéisme si élevé dans l'éducation nationale et le fait que des remplacements ne soient pas organisés en amont lorsque des formations sont organisées. Les enseignants semblent avoir suffisamment de temps pour suivre les formations hors périodes scolaires...
Pour ce qui est de Pole Emploi, certains conseillers ont une connaissance quasi-nulle des compétences nécessaires pour accompagner les personnes en recherche d'emploi, que ces compétences soient techniques ou humaines... Des personnes méconnaissant le monde du travail ne peuvent être de bon conseil, quant au suivi, il est quasi inexistant.
Il est inconcevable qu'une grossesse ne soit pas reprise dans un parcours professionnel et que la correction ne puisse être apportée avant la liquidation ! C'est pourtant a cette date que cette erreur devrait être corrigée, soit dans 15 ans...
Se déplacer et aller voir le RSI, l'Assurance Maladie reste un vrai sujet... Pourtant des progrès ont été réalisés avec la numérisation des opérations. Mais la paperasse est encore trop présente et la numérisation encore perfectible.
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Un certain nombre d'opérations ne peuvent être réalisées numériquement. C'est le cas du traitement de certaines demandes de l'administration fiscale qui doivent être effectuées par courrier.
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Chaque service public devrait s'engager a traiter un dossier dans un certain laps de temps afin de réduire le temps de traitement des dossiers.
Les dérèglements climatiques (crue, sécheresse)
Le dérèglement climatique est la conséquence de l'incapacité de nos politiques a apporter a la nécessaire transition écologique des solutions dans des domaines très variés qui contribuent tous a la pollution de l'air, a la disparition de certaines espèces... Par exemple, il ne s'agit pas seulement d'augmenter le prix du diesel, mais il s'agit de s'assurer que les moteurs diesel en circulation, qui polluent le plus soient effectivement sortis du circuit plutôt que de participer a leur migration vers des contrées ou la législation en vigueur permet de les utiliser...
Oui
Pollution atmosphérique, températures estivales en février, conditions météorologiques particulièrement changeantes d'un jour a l'autre, violence accrue des intempéries etc...
Oui
A mon échelle, je cherche a préserver l'énergie, a réduire le gaspillage, alimentaire ou matériel, a promouvoir le recyclage... Je pourrai par contre chercher a ce qu'une politique volontariste soit mise en place pour en finir avec des habitudes consuméristes ou opportunistes qui permettent a des lobbies puissants de lutter contre la mise en place de mesures coercitives visant a réduire leur/notre impact sur l'environnement (principe du pollueur payeur)
Aider les pêcheurs en prenant en charge une partie du cout du fioul de leurs embarcations est une aberration économique et écologique. Il vaudrait mieux les aider a changer de mode de propulsion... Voila le type de mesures que l'on peut attendre d'un gouvernement sensible au sujet de l'écologie. Un certain nombre d'aides pourrait être mises en place concernant l'isolation ou les systèmes de chauffage via des réductions ou crédit d'impôts, d'autant que l'Etat s'y retrouverait par le biais de l'accroissement de l'activité lié a de telles mesures. Pour ne plus prendre son véhicule pour de très petites distances, il faudrait une politique de transport ambitieuse avec une offre alternative de qualité, pérenne et fiable (donc un contrat de service minimum afin d'éviter qu'une minorité de personnels des transports publics ne prenne en otage la population)...
La mise en place d'une TVA attractive pour les produits/solutions "eco-responsables" ou de nature a favoriser la transition écologique. A contrario, les produits importés ou provenant de géographies éloignées se verraient taxées pour leur acheminement sur place. Cela permettrait de favoriser les fameux circuits-courts, favoriseraient l'emploi local et par le biais des taxes plus élevées perçues pour davantage d'activité en France permettrait aux comptes publics de ne pas supporter les effets négatifs nés d'une baisse de la TVA
Non
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Je n'utilise pas la voiture pour des déplacements quotidiens
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Les transports en commun|Le vélo
Les pouvoirs publics doivent proposer des solutions alternatives a ceux qui ne bénéficient pas de telles solutions, en supprimant par exemple les indemnités kilométriques des personnes qui pourraient utiliser des solutions alternatives (autour de Paris notamment) mais préfèrent utiliser leur voiture par commodité. Les employeurs devraient également favoriser ces développements en mettant en place des parkings a vélos, en indemnisant ce type d'usage...
Au niveau européen la France pourrait chercher a promouvoir le développement de solutions industrielles européennes et au niveau international convaincre des pays émergents de favoriser des développements évitant les problèmes de pollution que connaissent par exemple la Chine et l'Inde en promouvant la mise en place de normes ou standards en matière d'environnement ambitieux en partageant son expertise/expérience sur de telles problématiques.
Il est temps d'arrêter de faire croire que toutes les solutions alternatives vertes coutent moins cher que les solutions actuelles... De plus, le savoir-faire n'est parfois ni français ni européen, ce qui pose le problème des marchés publics auxquels nous donnons accès alors que la réciproque n'est pas possible...
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