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Tous les impôts. Le niveau de prélèvement est aujourd'hui confiscatoire, décourageant, contre productif pour l'économie depuis le niveau individuel jusqu'au niveau des entreprises.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Reculer l'âge de la retraite|Baisser les charges sociales car, bien que cela pourrait paraître paradoxal, en baissant le niveau de charges sociales, l'économie - dont la richesse est créée par les entreprises, soutenues par l’Administration (services, infrastructures…) - produirait plus de richesses et donc plus de recettes sociales (et fiscales) + Mettre en place un seul régime de sécurité sociale (toutes branches) en supprimant/fusionnant tous les régimes spéciaux de sécurité sociales + Voir champ de réponse libre à la fin du questionnaire / Thématiques « Baisser la dette de la France ».
Chasser la fraude et la sanctionner, quelle concerne les personnes physiques (les individus, leur famille) ou les personnes morales (ex : allègements de charges sociales mal employés, abus des bonnes intentions de l'Union Européenne, de l'état Français et des collectivités territoriales).
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Aucun. Cf. réponse à la question "Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace".
1. BAISSER LA DETTE DE LA FRANCE : 1.1. Sans forcement réduire les services publics. Mal gérés, mal dirigés 1.1.1. Ne pas réserver les postes de direction aux fonctionnaires formés dans les écoles de l’administration (ENA, EN3S...) mais l’ouvrir aux personnes du secteur privé. 1.1.2. Éclaircir les objectifs 1.1.3. Éliminer les doublons dans les missions / responsabilités des entités organisationnelles et des agents. 1.2. Auditer l’Etat ET les collectivités territoriales 1.2.1. Axes principaux 1.2.1.1. Moyens financiers engagés / Fonctionnement et investissements 1.2.1.2. Affectation des effectifs : qui est où, fait quoi, quand et pourquoi ? 1.2.2. Base de départ : rapports de la Cours des comptes, à approfondir sans tabous. 1.3. Code des marchés publics 1.3.1. Il est aujourd'hui un vecteur de prix déconnectés des réalités. Il favorise les ententes entre gros fournisseurs, sous couvert d’une - fausse - garantie de mise en concurrence, au détriment de plus petites structures, souvent bien plus pertinentes. Il génère des délais trop importants, couteux, rendant souvent obsolète les choix avant même la conclusion des marchés 1.3.2. Refondre les procédures 1.3.2.1. Simplifier : revoir les seuils ; revoir les instances obligatoires ; revoir les phases et délais associés. 1.3.2.2. Aucune obligation de lancer des Appels d’Offres Européens. 2. REFORMER EN PROFONDEUR LE IMPÔTS, A TOUS NIVEAU : clarifier, nettoyer et, in fine, baisser les impôts.
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Non
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Une bonne chose
A part peut-être quelques exceptions (ex : très petites communes), chaque mandat requiert un engagement total et à temps plein de la part de l'élu. Contrairement à un discours qui revient fréquemment, il est faux de croire qu'un député ou un sénateur est déconnecté de son territoire. Par exemple : rien n'empêche un député de rencontrer ses électeurs, sur son territoire. Il n'est pas obligatoire d'être député et maire pour écouter la population locale.
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Oui
En réformant l'organisation des territoires (moins de strates, moins de doublons), en diminuant le nombre d'entités et d'instances, la baisse du nombre d'élus serait mécanique.
Compte tenu des importants taux d'abstention à toutes les élections, la participation des citoyens est insuffisante. Pour inciter le citoyen à voter, il faudrait pouvoir lui redonner confiance en ses élus. Cette perte de confiance est arrivé à un tel niveau qu'elle en devient parfois injuste. Il faudra beaucoup de pédagogie et de preuves de bonne de foi pour espérer rétablir une certaine confiance. Un des leviers d'action serait de donner de la transparence à toutes nos institutions, au niveau local comme au niveau national. Exemples pour le niveau national (qui pourraient être transposés localement) : 1. Ouvrir - dans une certaine mesure - le parlement aux citoyens : inclure des citoyens dans les commissions parlementaires (plus pertinent que des pétitions et des référendums à tout va qui déstabiliseraient les trajectoires politiques et les projets d'ampleur). 2. Développer le principe « portes ouvertes » au parlement, aujourd’hui limité à certains élus locaux et conjoints de ces élus. 3. Développer la compréhension du fonctionnement de nos institutions Françaises et Européennes, abordé à l'école mais souvent oublié ensuite. Ceci pourrait passer par : 3.1. La création de formations en ligne, accessibles depuis les foyers français et dans les collectivités territoriales. 3.2. La mise en place de lieux publics dédiés à la fois aux échanges sur cette thématique et à la formation / information / prise de connaissance et de conscience. Ces lieux pourraient aussi permettre l'expression constructive qui pérenniserait le Grand Débat National (retour à une forme d'Agora en quelque sorte). La charte signée lors de la création d'un compte utilisateur sur le site du Grand Débat National est une bonne entrée en matière pour régir le fonctionnement d'un tel lieu.
Oui
A étudier en s'assurant que des effets collatéraux négatifs ne sont pas à craindre : si les votes blancs dépassent un seuil - à définir pour ne pas mettre en péril le fonctionnement des institutions - refaire l'élection.
Cf. réponse à la question "Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage".
Non
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Cf. réponse à la question "Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage".
Les rôles actuels sont correctement joués.
Non
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Respecter l'esprit actuel de la république.
Ne pas avoir peur de définir... 1. Ce qu’est la France. La plupart des pays le fait, pourquoi réfléchir à ce sujet nous ferait-il revenir aux « heures sombres de l’histoire » (idée toute faite et tarte à la crème d’un certain discours politique déconnecté de la réalité). Au contraire ! Comment peut-on vivre ensemble si nous ne définissons pas cet "Ensemble". 2. Ce que signifie être français : droits, devoir, histoire et culture millénaires, destin commun, diversité d'origine (avec tout ce que cela comporte : cultures spécifiques, religions...), assimilation
Cf. réponse à la question "Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage".
Cf. réponse à la question "Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage".
Cf. réponse à la question "Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage".
Cf. réponse à la question "Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage".
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Oui
Tout dépend de l'allocation de solidarité concernée. Par exemple : une allocation attribuée à une personne âgée n'a pas de contrepartie, la personne a déjà contribué à la société au cours de sa vie. En revanche, d'autres allocations doivent pouvoir être contrôlées et, si les critères d'attribution ne sont pas ou plus respectés, supprimées.
La politique d'immigration en France n'est pas assez transparente, connue,, expliquée et laisse libre cours à des extrapolations erronées, dans un sens (trop d'immigration) comme dans un autre (la France serait une terre non accueillante). Pas de solution miracle, mais peut-être commencer par exposer la situation sans parti pris, l'expliquer, donner les orientations possibles et les moyens à engager pour chacune des orientations (impacts financiers et sociétaux).
Oui (cf. réponse précédente "Que pensez vous de la situation de l'immigration en France...").
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Veiller à la fois à ce que la France fasse tout pour accompagner dans la durée l'intégration de celui qui s'intègre et que celui qui s'intègre comprenne et accepte les règles de la république française, les droits et les devoirs de chacun.
1. A propos des référendums : expliquer les dispositions actuelles de la constitution (art. 11) ; pas de RIC / RIP qui serait un vecteur d’instabilité accrue du pays. 2. Tel qu'il est en l'état et compte tenu du contexte difficile dans lequel il a été signé, la France devrait se désengager du traité dit « de Marrakesh ». Les intentions mentionnées au tout début du texte sont bonnes. Mais, ce texte est trop ambigu, propice aux interprétations et détournements. Et enfin, ce texte est contraignant, sur bien des domaines (il ne suffit pas d’écrire qu’il ne l’est pas pour que ce soit vrai). Il existe plusieurs sens au terme "contraignant", pas uniquement juridique. Par ailleurs, ce traité devait être validé par le parlement avant ratification et engagement de la France. Si cela est possible, il faudrait en renégocier les termes, ce qui permettrait peut-être aux états non signataires de revenir sur leur décision. Sinon, désengagement définitif. 3. Rappeler ce qu’est la langue française et le rôle de l’Académie française : aucune autre institution ou structure ne peut décréter des modifications officielle de notre langue (la plupart du temps non réfléchies, avec de lourds impacts sur la Nation). 4. Le travail est une des composantes essentielles de la vie citoyenne. Afin de faciliter le parcours de vie professionnelle, il faudrait : 4.1. Supprimer le cloisonnement professionnel qui est vivace en France. 4.2. Développer la formation à distance. 4.3. Favoriser encore plus la formation tout au long de la vie (cf. également axe « cloisonnement professionnel » ci-dessus). 4.4. Accroitre l'accompagnement des personnes en situation de handicap.
Trop de strates, trop de complexité générant trop d'inertie (malgré des efforts qui ont portés leur fruits, bien qu'insuffisants), de malaises pour les agents travaillant dans les administrations et de frustration pour les usagers. Il faut refondre l'organisation actuelle, revoir les stratégies et le management de toutes les entités composant l'Etat, les collectivités territoriales et l'Administration en général. Cf. également notre réponse à la dernière question "Y a-t-il d’autres points sur l’organisation de l’Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?"
Non
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Oui
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Direction Générale des Finances Publiques. Sécurité Sociale, toutes branches.
Tout les services publics hors DGFIP et Sécurité Sociale évoquées dans la réponse à la précédente question.
Oui
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Oui
Cf. notre réponse transverse à plusieurs sujets à la dernière question "Y a-t-il d’autres points sur l’organisation de l’Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?"
Cf. notre réponse transverse à plusieurs sujets à la dernière question "Y a-t-il d’autres points sur l’organisation de l’Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?"
Il est encore trop difficile en France de changer de secteur d'activité et de réorienter sa vie professionnelle en accédant par exemple à une formation qui n'est pas dans le droit fil de son cursus initial. La formation devrait être plus accessible, les cursus plus flexibles afin de mieux prendre en compte : toute erreur d'orientation initiale, accident de la vie, secteur / entreprise en crise.
Ecole primaire, collège, lycée, études supérieures... même si tout n'est pas parfait, l'Education Nationale et l'Enseignement Supérieur en France sont de bonne qualité. En revanche, les procédures sont parfois obscures, mal pensées, lourdes (ex : remplissage chaque année de formulaires dans lesquels nous remettons les mêmes informations) , sans recul, sans se mettre à la place de l'usager. Par ailleurs, les améliorations concernant les enfants en situation de handicap doivent se poursuivre.
Il est encore trop difficile en France de changer de secteur d'activité et de réorienter sa vie professionnelle en accédant par exemple à une formation qui n'est pas dans le droit fil de son cursus initial. La vision des interlocuteurs de l'administration est encore trop cloisonnée. Par exemple, à Pôle Emploi.
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L'Assurance Maladie s'est grandement améliorée depuis les dernières années. La dématérialisation des procédures y est pour beaucoup. Il semble qu'elle sait aussi prendre en charge et communiquer avec les personnes qui n'ont pas accès à cette dématérialisation (ex : accueil physique) dans les centres urbains. Situation améliorable dans les petites villes et villages excentrés.
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Idées d'améliorations... 1. INSTITUTIONS / NIVEAU NATIONAL 1.1. Réduire le nombre de parlementaires. 1.2. Réduire le nombre de personnels travaillant dans ces institutions. 1.3. Réformer le régime de sécurité sociale spécifique. 1.4. Un fonctionnaire élu ne peut redevenir fonctionnaire à la fin de son mandat, au moins pendant 10 ans, voire à vie. 2. INSTITUTIONS "PARA-ETATIQUES" (Exemples : CSA, HCE, CNC, toutes entités similaires (à recenser dans l’audit évoqué dans l’axe "Baisser la dette de la France" de notre réponse au thème "Fiscalité et dépenses publiques"). 2.1. Travers actuels : 2.1.1. Tendance à croire que leur mission est de faire la police de la pensée. 2.1.2. Impartialité perdue de vue : mauvaise foi avérée dans leur démarches, tordent la réalité et les chiffres pour les faire correspondre à leurs vues, deviennent in fine des organes de propagandes pilotés par des lobbies. 2.1.3. Leur principal objectif devient leur propre survie et celles des entreprises privées qui en dépendent : s’auto-alimentent, sans contrôle externe véritable, financent les entreprises privées pour des études orientées (cf. axe « Impartialité perdue de vue »), créent des tensions dans la société, alors qu’ils devraient aider à les diminuer. 2.2. Actions proposées 2.2.1. Recadrer ou supprimer, selon l’utilité. 2.2.2. Limiter leur durée de vie dès leur création. 2.2.3. Prévoir une évaluation régulière de leur pertinence : par le parlement, par des citoyens (plus pertinent que des pétitions et des référendums à tout va). 3. COLLECTIVITES TERRITORIALES 3.1. Régions 3.1.1. Supprimer les régions : trop lourdes, ingouvernables et la réforme / loi Nº 2015-29 du 16 janvier 2015 a fait empirer la situation ; propices à la mégalomanie de certains élus. 3.1.2. Augmenter les prérogatives et étendre le périmètre d’action des préfets de région 3.2. Départements et métropoles 3.2.1. Supprimer les métropoles : trop lourdes car notamment issues d'une fusion d'entités sous-jacentes, trop « mille feuilles », ingérables ; propices à la mégalomanie de certains élus. 3.2.2. Augmenter les prérogatives et étendre le périmètre d’action des préfets de départements. 3.2.3. Maintenir et renforcer le périmètre de responsabilités des départements. 3.3. Supprimer tous les organismes privés ou semi privés créés en doublon par les collectivités. 3.3. Ne surtout pas revenir au cumul de mandats. Au contraire, l’étendre à tous les mandats. 3.4. Baisser le nombre d’élus locaux dans les collectivités qui resteraient. 4. JUSTICE 4.1. Respecter la présomption d’innocence : renforcer les contrôles et les sanctions en cas de violation du secret de l’instruction ; sanctionner toute personne physique ou morale qui ne la respecte pas, y compris les médias 4.2. Revoir la logique pénitentiaire 4.2.1. Désengorger les prisons : limiter l’emprisonnement à des cas spécifiques ; développer les contributions des condamnés à la société 4.2.2. Améliorer les conditions de détention (cf. également axe "désengorger les prisons"). 4.2.3. Favoriser les chances de réinsertion, lorsqu’elle est possible (hors cas spécifiques - voir ci-dessus) : formation, tutorat... 4.3. Moderniser les outils de la justice (dont système d'information). 5. PROTECTION SOCIALE 5.1. Renforcer l’hôpital et entités connexes. 5.2. Améliorer la prise en charge et leur maintien dans la vie collective des personnes âgées et dépendantes. 5.3. Revoir les aides (sujet déjà traité dans le thème "Fiscalité et dépenses publiques"). 6. EUROPE 6.1. Projet et objectifs formidables au départ, à conserver bien sûr (paix, collaborations multi-domaines...), mais... 6.2. Revenir à une Europe des nations, respecter l’identité de chaque nation, la nation européenne n’existe pas. 6.3. Réorienter le système 6.3.1. Stopper la logique illogique "L’Europe ne fonctionne pas, il faut plus d’Europe". 6.3.2. Revoir le système de gouvernance et de gestion 6.3.2.1. Réinitialiser sa vocation : ce système existe pour servir les états / nations membre, pas pour assurer sa survie et grossir (en coûtant de plus en plus cher pour moins d’efficacité et d’efficience). 6.3.2.2. Endiguer l’inflation du système 6.3.3. Etats membres : figer définitivement leur nombre ; proposer une sortie facilitée aux pays qui veulent quitter l’Union. 6.3.4. Soutenir les entreprises européennes : les soutenir dans la concurrence internationale ; les protéger au lieux de les brider, les contraindre sous des normes trop nombreuses, redondantes, parfois inadaptées. 6.3.5. Limiter les domaines de compétences de l’Union 6.3.6. Limiter au maximum l’ingérence de l’Union dans la Loi des états.
La pollution de l'air
1. Imposer le ferroutage : 1.1. Pour tous les camions traversant le territoire métropolitain. 1.2. Pour tous les camions devant parcourir plus de 400 Km à l’intérieur du territoire métropolitain. 2. Développer les transports en communs... 2.1. Dans les villes 2.2. Entre les villes 2.2.1. Axes longues distances : Nord / Sud ; Est / Ouest ; Diagonales 2.2.2. Déplacements de proximité, entre : Métropoles et villes de plus petites tailles, villages
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Recyclage. Economie d'eau et d'énergie (électricité, transports).
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Les transports en commun|Le transport à la demande|Le vélo
L'état et les collectivités territoriales.
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Définir un grand programme pour développer l’industrie écologique française, avec des partenariats ponctuels et maîtrisés avec d’autres états de l’Union. Exemples : - Énergie marémotrice - Nucléaire nouvelle génération - Hydrogène - Libérer les projets bloqués par les lobbies
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