Certaines associations à but non lucratif et dédiées à l'entraide. Car l'élection au suffrage universel est dévoyée par la pression des partis et des lobbies.
Oui
Des associations et/ou organisations représentatives des citoyens aux niveaux locaux, régionaux et national, dont le mandat démocratique est vérifié régulièrement de façon transparente pour éviter les dérives.
Que les élus représentent leurs électeurs et non autre chose. C'est absolument essentiel.
Je ne sais pas
Il n'y a pas d'absolu en la matière. L'important n'est pas une règle mais son esprit et celui avec lequel elle est appliquée.
Une dose suffisante de proportionnelle, sinon nombre de citoyens se sentent spoliés de leur vote.
Non
None
Faire en sorte que les votes des électeurs ne soient pas volés par les partis et les lobbies. Que les électeurs puissent relativement facilement remonter des demandes / propositions à leurs élus.
Oui
Au minimum en déclarant leur nombre et pourcentage. Normalement en les déduisant des seuils de représentativité à atteindre par les élus.
Ré-instaurer la confiance des citoyens envers leurs représentants en ne spoliant pas leurs votes.
Je ne sais pas
Une fois encore ce n'est pas le principe qui compte, mais le respect des citoyens.
Rendre plus transparents les comptes publics sous une forme accessible tant en disponibilité qu'en clarté, avec différents niveaux de la synthèse au détail.
Le Sénat, dont la représentation territoriale est essentielle, est un rempart démocratique indispensable à la dérive de la spoliation des votes par l'Assemblée nationale. Le CESE est une pantalonnade, à supprimer.
Non
La représentation territoriale reste la clef de voûte d'un système démocratique que l'excès de centralisme amène à toutes les dérives.
La laïcité ne doit pas se situer au même niveau que les religions, elle doit en garantir l'exercice dans les limites de l'ordre public. Les dérives de la laïcité sont d'en faire un référentiel de substitution alors que ce n'est pas son rôle. Une laïcité toute puissante infantilise, déresponsabilise, suscite la méfiance et crée des tensions.
En évitant à l'état de s'immiscer à outrance comme c'est devenu le cas dans la vie privée des individus. L'état est le premier responsable de la concorde nationale, pour cela il doit cesser de vouloir imposer sa police des moeurs et des consciences ou encore favoriser des idéologies, qui par définition relèvent de la sphère privée (voir délit d'entrave numérique, loi sur les fake news, partialité des interventions policières, justice dépendante, incitation à l'avortement, insertion dans l'espace intime des individus, dans l'éducation des familles, promotion sexuelle dès les petites classes etc.).
Que l'état cesse de se mêler de tout car par définition il ne peut être juste partout.
Les initiatives individuelles ou collectives sincères qui resserrent les relations sociales sans les imposer. Il ne faut pas imposer un égalitarisme qui ne fait que tuer cela par un nivellement par le bas. Respecter l'égalité entre homme et femme en commençant par une reconnaissance de leur différences, sans quoi aucune égalité n'a de sens.
Ne pas imposer un égalitarisme des droits sans tenir compte des différences. La justice commence par la reconnaissance des différences.
Que l'administration soit ouverte et humaine. Eviter le tout internet exaspérant. Eviter l'arbitraire de certains fonctionnaires déresponsabilisés. Nuancer donc pour garder le contact et la confiance.
L'immiscion de l'état dans la sphère des consciences est toujours un grave danger pour les démocraties. Uniformiser les droits, favoriser l'avortement, aligner les mesures de destruction de la famille, détruire la filiation, étendre la protection sociale au remboursement des désirs individuels, marchandiser les personnes, constituent l'une des plus graves violences faites aux individus.
Prendre des mesures pour combattre le fléau de la pornographie, qui avilit les esprits et détruit la relation.
Que chacun agisse selon sa conscience dans le respect des autres et non pour appliquer des consignes ou des idéologies.
Discriminations envers les enfants trisomiques à naître. Discrimination envers les personnes handicapées. Discrimination envers les personnes à faibles revenus. Ghettos sociaux.
Que l'état cesse de se croire au dessus des consciences individuelles et cesse de gouverner par la communication, trop souvent sans action courageuse.
Oui
En tenant compte des possibilités des personnes, les inscrire dans un lien social partagé en contrepartie.
La politique d'immigration doit permettre au minimum l'intégration, normalement l'assimilation. Le nombre et la diversité des accueillis doit tenir compte de cet équilibre.
Une fois encore ce ne sont pas des règles qui apporteront une solution au problème, même si on peut en fixer quelques unes pour des raisons d'organisation du moment qu'elles restent dans l'intérêt général. L'important est qu'un gouvernement ne peut décider que s'il est légitime dans ses actions, i.e. dans une relation de discussion et de confiance avec les élus et les citoyens.
Chaque pays riche devrait parrainer, avec son accord, un ou plusieurs pays source d'immigration, afin que les personnes aient envie de rester dans leur pays et s'y épanouir.
Limiter l'immigration, ne pas getthoiser, favoriser l'assimilation, sinon l'intégration.
L'état doit cesser de favoriser des lobbies et agir pour leur compte en mettant en avant certains cas minoritaires pour imposer des lois qui déconstruisent des racines profondes inscrites dans l'identité des français.
Votre message a bien été envoyé.