Aux maires, ils sont aux plus près des citoyens et les mieux placés pour connaitre leurs besoins, leurs envies, leurs angoisses... les mieux placés aussi pour adapter les solutions aux problèmes locaux, les plus accessibles.
Oui
Les politiques doivent consulter davantage les association (d'usagés et de consommateurs en particulier), les syndicats, les organisations professionnelles et les associer aux décisions (groupes de travail). La liste des organismes consultés doit être rendue publique ainsi que les "lobby" (et leurs représentants) qui sont intervenus.
Renouer le lien me semble impossible sans revoir totalement l'organisation de L’État. L'élaboration d'une nouvelle Constitution adaptée à ce siècle me parait nécessaire. Cette constitution doit davantage impliquer les citoyens et les territoires.
Une mauvaise chose
La situation du non-cumul produit des parlementaires hors-sols déconnectés des réalités. Un mandat de parlementaire devraient pouvoir se cumuler avec un mandat de maire d'une petite commune ou maire-adjoint d'une grande ville. Par contre il faudrait conserver le non cumul pour les maires des grandes villes (plus de 50 000 habitant par exemple).
Élection d'une chambre des députés sur la base de la proportionnelle intégrale, par moitié tous les 2 ans + élection d'une chambre des sénateurs sur la base d'une représentation territoriale (comme maintenant). Les deux chambres délibèrent séparément mais fusionnent leurs voix au moment du vote des lois (plus de navette). Mise en place d'un système similaire au niveau régional.
Oui
Suppression des conseils départementaux, fusion départements et régions.
Établir le droit de vote à partir de 16 ans.
Oui
Dans le cas d'un vote à deux tours, si le vote blanc est majoritaire au deuxième tour, la durée du mandat est réduite de moitié. Dans le cas d'un vote à un tour (scrutin de listes), si le vote blanc est majoritaire un nouveau vote est organisé (dans les deux mois par exemple), renouvelable une fois seulement.
Mettre en place une VOTATION ANNUELLE (ou bisannuelle ?) sur le base d'un questionnaire multiple. Les questions pourraient être à caractère nationale ou régionale (voir locale). Les questions émaneraient soit du Gouvernement, soit du Parlement, soit du "processus RIP", soit d'une Assemblée Régionale (questions locales). Les questions dites "référendaires" émaneraient uniquement du "processus RIP" ou du Gouvernement.
Oui
Réduire le quota d'électeurs nécessaire au déclenchement du RIP à 1/5 du corps électoral et le nombre de parlementaires à 80 députés + 80 sénateurs. Ces référendums auraient lieu lors de la VOTATION ANNUELLE (voir ci-dessus).
Le vote des budgets doit rester du ressort des élus. Le mandat de ces élus devrait être réduit à une durée de 4 ans (sauf sénateurs) renouvelable par moitié tous les deux ans.
Le meilleur moyen de représenter les territoires est de leurs transférer une partie du pouvoir actuel de l’État central par une véritable DÉCENTRALISATION (des compétences et des moyens). Les branches professionnelles, les syndicats, les associations doivent participer au fonctionnement de l’État à travers des groupes de travail (commissions), pour une durée et un budget limité.
Oui
Élection d'une chambre des députés sur la base de la proportionnelle intégrale, par moitié tous les 2 ans + élection d'une chambre des sénateurs sur la base d'une représentation territoriale (comme maintenant). Les deux chambres délibèrent séparément mais fusionnent leurs voix au moment du vote des lois (plus de navette). Réduire le nombre de parlementaires, par exemple 250 députés et 250 sénateurs. Quant au CESE, le remplacer par une Cours des "Commissions ? " (une dizaine de personnes), nommées par les sénateurs, les députés et le Gouvernement. Cette Cours serait la seule habilitée à nommer (sur demande et suivant besoin du Gouvernement ou du Parlement) les membres des commissions issus de la société civile. Elle aurait le contrôle total du fonctionnement des commissions, en particulier sur la durées des missions et sur les budgets alloués. Elle s'assure du bon déroulement des travaux, elle reçoit et valide les rapports, elle rend compte au Parlement et à la Cours des Comptes.
Pas de changement de la loi actuelle sur la laïcité mais elle doit être expliquée dans les écoles. Apprendre à vivre ensemble avec nos différences, en mettant en place des cours d'Histoire des religions et des "modes de pensée" à l'école primaire et dans les collèges. Mieux contrôler les différentes formes d’intolérance diffusées par les réseaux sociaux.
LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ sont nos valeurs communes, non "négociables". Mais L’État doit admettre que l’Égalité concerne uniquement l'égalité des droits et des devoirs. Pour son "confort" il a trop souvent confondu égalité et uniformité, créant ainsi beaucoup d'incompréhension et de divisions inutiles. L’Éducation doit nous apprendre à respecter l'identité de l'autre et à considérer sa différence comme une richesse, à condition de l'accepter. Notre devise nous donne toutes les clés pour "le bien vivre" ensemble, mais il nous faut l'expliquer et la ré-expliquer et toujours et partout. Je suis beaucoup plus réservé sur les paroles de notre hymne national...
Les détenteurs du pouvoir ont l’opportunité, compte tenu des troubles actuels, de proposer AVEC AUDACE un nouveau cadre dans lequel chaque citoyen trouve sa place, en particulier par l'élaboration d'une nouvelle Constitution. Cette Constitution doit permettre une plus large délégation de pouvoirs. Dans son idée elle doit être transposable aux autres pays d'Europe. Le Service National Universel pour les jeunes est un encouragement à l'engagement citoyen. Notre Gouvernement doit œuvrer pour en faire progressivement un Service Européen de la Jeunesse avec les autres pays qui le voudraient bien.
Le respect de l'identité de l'autre.
Je pense que les médias et les réseaux sociaux exacerbent les divisions et les polémiques. Si les réseaux sociaux sont difficiles à maitriser, les médias "officiels" quant à eux devraient comprendre que dans l’intérêt de tous, et d'abord d'eux même, ils doivent cesser "d'alimenter la bête". Mais c'est à nous consommateurs d'infos de fuir ces médias.
De la même façon que ci-dessus je pense que le Service National Universel pour les jeunes doit être mis à profit pour mettre en place des échanges avec les différents corps de l’État, police, justice, santé, secours, armée, administration... . Dès les collèges des démarches similaires devraient être mises en place.
Le non respect du bien commun est symptomatique d'une exclusion de la société, réelle ou ressentie, choisie ou non. Si cette exclusion s'installe chez les jeunes elle risque de perdurer et d'en aggraver les conséquences. C'est encore une fois à l'éducation de détecter très rapidement ces comportements et de tenter de les corriger. Les médias ne devraient pas en faire la publicité mais plutôt mettre en avant les comportements les plus "vertueux".
Le personnel de L’État doit avoir un comportement exemplaire.
Avoir soi-même un comportement exemplaire, ... ça c'est facile à écrire....
Témoins de propos qui tendent à viser de façon négative les "différences", de races, de classes sociales, d'orientation sexuelle.
Répondre (le plus intelligemment possible) aux paroles discriminantes que nous entendons au quotidien autour de nous pour ne pas laisser se banaliser ces comportements. Les médias devraient nous aider à trouver les réponses les plus adaptées pour y répondre au lieu d'en faire uniquement la "publicité". La diffusion de propos discriminants sur les réseaux sociaux doit être contrôlée et supprimée. Apprendre aux utilisateurs des réseaux sociaux (en particulier les jeunes) à "faire le trie" dans les informations qui y circulent.
Oui
Demander aux bénéficiaires ce qu'ils sont prêts à faire en contrepartie des aides et adapter les allocations à leurs réponses. Je pense que seuls les collectivités locales et certaines administrations peuvent encadrer ce "travail".
Fixer un quota de migrants (hors droit d'asile) et les répartir dans des structures d'accueils sur l'ensemble du territoire. Éviter les concentrations. Continuer à essayer convaincre tous nos partenaires européens de faire la même chose. Accueillir de préférence les migrants susceptibles de mieux s'intégrer, culture comparable, même langue, formation professionnelle compatible ...
Oui, des quotas doivent être fixés pour assurer un accueil "convenable" des migrants. Pour cela demander à chaque municipalité de France (35 300) le nombre de migrants qu'elle est prête à accueillir sur sa commune.
Participer au développement des zones d'émigration. Aider au retour quand c'est possible. Lutter efficacement contre les passeurs qui encouragent et profitent de l'aubaine. Informer les populations des pays d'émigration que l'Europe n’est pas "l'Eldorado" qu'on cherche à leur vendre. Dans l’intérêt de tous être doublement exigeant sur le comportement des immigrés (même si cela peut-paraitre injuste). Sur la base du quota, donner aux accueillis les informations utiles sur nos modes de vie (usages, droits et devoirs), leur permettre de travailler, leur proposer une formation professionnelle si nécessaire, leur enseigner (si utile) notre langue, scolariser les jeunes. Dans le cas d'une reconduite dans leurs pays le faire de façon humaine.
Scolariser les mineurs. Dans un premier temps, demander une compensation aux accueillis (travaux d’intérêt général par exemple) contre une allocation de solidarité.
Au risque d'être hors sujet, je prêche pour une CITOYENNETÉ EUROPÉENNE dans une Europe unie, démocratique et décentralisée. Cette Europe nous est vitale pour résister aux défis mondiaux qui deviennent de plus en plus pressants; l'hégémonie des superpuissances (USA, Russie, Chine ...), le dérèglement climatique, la guerre numérique, la mise à mal des accords internationaux, les guerres commerciales, le terrorisme, la montée des intolérances, les diffusions internet hors contrôles, les migrations de masse .. etc. Divisés nous ne pourront pas résister.
La Constitution actuelle ne donne pas à l’État la réactivité nécessaire pour s'adapter à un monde en constante évolution. Nous devons mettre en place une nouvelle Constitution qui permettent aux administrations de répondre très rapidement aux nouvelles contraintes de ce siècle et d'oublier celles qui n'ont plus cours. Cette nouvelle Constitution doit en particulier permettre la réduction du nombre de strates administratives, les instances départementales doivent être intégrées à celles des régions. Cette constitution devra aussi s'intégrer dans un cadre européen. Pour ma part je souhaite un transfert de compétence aux territoires pour ce qui les concernent directement (et uniquement) et aussi un transfert de compétence vers des instances européennes ÉLUES pour ce qui concerne les domaines du droit sociale, de la défense et de la fiscalité.
Oui
L’État doit transférer aux territoires de nouvelles compétences en prenant en compte leurs spécificités dans les domaines de la recherche, l’innovation, la culture, le transport, l'agriculture, la pêche, la protection de l'environnement, le tourisme, les infrastructures, ... il doit accepter des expérimentions locales, accepter aussi des règles spécifiques à certains territoires. Cependant l’État central doit conserver toutes ses compétences dans les domaines liés au respect des droits et devoirs de chaque individu. Les transferts de missions confiés aux territoires doivent bien sûr aussi intégrer le transfert des moyens budgétaires.
Oui
None
Une porte unique qui nous oriente rapidement vers la bonne administration ou service. Implantation de "maisons des services publiques" dans les zones mal desservies en transports avec possibilité de visioconférences avec des interlocuteurs des administrations.
Oui
Oui
Une meilleure réactivité des administrations. Elles ne doivent pas attendre systématiquement le délais maximum (moins quelques jours) pour donner une réponse qui d'emblée était évidente.
Les services fiscaux
Caisse de retraite, CARSAT
Oui
Non
None
Obligation de monter des dossiers que l'Administration dispose déjà.
Oui
Donner la possibilité à une "commission" de quelques fonctionnaires de terrain d'adapter une règlementation à une contrainte spécifique locale ou individuelle.
Oui
Faire en sorte que les Administrations "fonctionnent" entre elles en s’échangeant leurs données. Qu'elles numérisent leurs dossiers et les conservent un temps raisonnable pour éviter de monter plusieurs fois un même dossier.
Dans le cadre de la Constitution actuelle les améliorations ne seraient que "bricolages" et ne ferait qu'ajouter de la complexité. Une nouvelle Constitution doit être élaborée, elle doit en particulier permettre la redistribution des centres de décision au plus près des territoires. Les régions doivent être dotées d'un budget propre qui permettent de répondre à leurs décisions. Ces budgets doivent évidemment venir en déduction du budget de l’État.
None
None
None
En 2012, la CARSAT Bretagne m'a demandé de monter un dossier pour justifier un changement d'adresse d'une entreprise dans laquelle j'avais travaillé 20 ans plutôt en Normandie. Cela m'a couté plusieurs mois de recherches et de démarches auprès des Chambres de commerces et divers administrations. Ce dossier avait déjà été constitué pour le même besoin par la CARSAT Normandie. Si les différentes caisses régionales avaient communiqué entre elles tout le monde y aurait gagné.
Services rapides et efficaces
None
None
None
None
None
None
None
Une idée qui circule beaucoup est la réduction du nombre de fonctionnaires, mais de combien ? Des chiffres sont souvent avancés mais sans justification autres que budgétaire. Revoyons d'abord totalement, profondément et tranquillement le fonctionnement de l’État, réduisons les strates administratives redondantes, redéployons différemment les services publics, supprimons les procédures superflues, soyons imaginatifs en matière de réductions de coûts. Le nombre de personnes qui sera alors nécessaire et suffisant pour assurer un même service public de qualité à tous les citoyens (où qu'ils soient) et administrer efficacement le pays découlera de cette nouvelle organisation.
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Éducation au respect de notre environnement, par l'école, les associations, les médias ...
Oui
Étés plus chauds. Appauvrissement de la biodiversité
Oui
Tri des déchets, compostage, jardinage bio, achats de produits locaux et de saisons, si possible biologiques.
Favoriser l'implantation d'épiceries de village ou de quartier.
Je suis prêt à payer plus cher mes achats dans une épicerie de quartier. A payer plus d'impôts LOCAUX pour la mise en place de maisons des services publiques, sous la responsabilité de la municipalité.
Oui
Je me chauffe partiellement au bois (poêle à haut rendement), je souhaiterai le faire davantage. Le bois serait moins cher si la filière bois était mieux organisée, trop de bois est gaspillé. Il faudrait aussi favoriser le reboiser pour renouveler la biomasse.
Oui
Création de VÉRITABLES pistes cyclables séparées des voitures, éviter les pistes marquées à la peinture qui sont très dangereuses.
None
Municipalités, régions
La France doit montrer l'exemple, à commencer par les services de L’État.
Réduire au maximum les entraves administratives inutiles qui bloquent ou freinent le développement des initiatives locales en matière de production d'énergétique (éolien, hydrolien, solaire, méthanisation ...). L'agriculture biologique doit être encouragée. Les administrations (fonctionnaires) doivent avoir l'obligation de rendre public toutes les pressions qu'elles subissent de la part des lobbies ou de leurs "représentants", élus ou non.
Votre message a bien été envoyé.