L'organisation actuelle : un état centralisateur et une administration de qualité inégale tant dans son organisation géographique que dans sa qualité de service. Evoluer vers une décentralisation régionale plus adaptée à chaque territoire.
Non
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Non
En zone rurale absence de : Service public de Santé (médecine généraliste, etc.) Police
étendre l'accès au numérique (haut débit) prioritairement dans les zones rurales pour l'utilisation de l'internet et des applications nécessitant le transfert de données
Non
None
None
None
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Oui
Non
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Non
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Oui
Un fonctionnement mieux décentralisé et des formations administratives intégrant une partie comportementale et humaine vis à vis des citoyens.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.
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