Date de publication : 2019-01-27
Code postal : 33240

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

L'organisation actuelle : un état centralisateur et une administration de qualité inégale tant dans son organisation géographique que dans sa qualité de service. Evoluer vers une décentralisation régionale plus adaptée à chaque territoire.

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Non

3. Si oui, lesquelles ?

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

En zone rurale absence de : Service public de Santé (médecine généraliste, etc.) Police

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

étendre l'accès au numérique (haut débit) prioritairement dans les zones rurales pour l'utilisation de l'internet et des applications nécessitant le transfert de données

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Non

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

None

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

None

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

None

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Non

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Un fonctionnement mieux décentralisé et des formations administratives intégrant une partie comportementale et humaine vis à vis des citoyens.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Concernant la lutte contre les déserts médicaux , l'Etat doit organiser, en contrepartie du faible coût des études de médecine en France, la répartition de l'offre de santé médicale (cabinets médicaux et/ou paramédicaux par exemple) en zone rurale ou en zone urbaine défavorisée. Cette répartition devra passer par une obligation d'installation et/ou un non conventionnement de la sécurité sociale en cas d'installation dans un secteur médicalement surpeuplé. Création d'un classement national par spécialités médicales et instauration d'une période d'installation temporaire ne pouvant être inférieure à la moitié du temps d'études de médecine. A l'issue de ses études, le jeune diplômé en médecine devra en fonction de son classement faire un choix d'installation dans telle ou telle zone régionale déterminée comme prioritaire par l'Etat. A l'instar de ce qui existe pour un certain nombre de professions ou en application des régles de restrictions d'installation des pharmaciens par exemple. Le faible coût de la scolarité des étudiants en médecine - même si celle-ci n'est pas totalement gratuite - doit conduire l'Etat à repenser totalement l'organisation du système de santé en France notamment en intégrant l'évolution de l'ensemble des territoires notamment ruraux. La santé des citoyens est un bien collectif que l'Etat doit faire respecter et organiser. L'exercice de la médecine ne peut se résumer à un simple service marchand pour ceux qui le pratique.