Date de publication : 2019-01-22
Code postal : 63720

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La pollution par les produits chimiques utilisés en agriculture

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

L'interdiction des pesticides immédiatement serait une mesure de santé publique. Les alternatives aux pesticides existent en adaptant le système de production au milieu. Les agriculteurs doivent redevenir de vrais agriculteurs et non des agrochimistes.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Oui

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

Par l'augmentation des températures et par les tempêtes.

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

En ayant une voiture de faible cylindrée; en prenant mon vélo le plus souvent possible; en m'habillant chaudement l'hiver à la maison et donc en chauffant le moins possible; en mangeant des produits issus de l'agriculture biologique le plus souvent possible; en ne prenant pas l'avion pour aller en vacance à l'autre bout de la planète; en triant mes déchets; en prenant du bon temps grâce au jardinage, à la randonnée, en faisant partie d'associations.

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

Oui, tout ceci est évident. Mais faire des efforts alors que nous vendons des Airbus qui sillonnent la planète m'interroge. Soyons cohérent en matière de développement.

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

Taxer les carburants pour les avions et les bateaux. Taxer les produits de traitement pour les agriculteurs.

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Non

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

None

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Oui

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

Un service de transport en commun plus développé. Le développement des pistes cyclables.

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Les transports en commun|Le covoiturage|L'auto partage|Le vélo

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Le développement des pistes cyclables est à la charge des collectivités territoriales avec des aides de l'état.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

La France devrait imposer aux produits importés les mêmes règles qu'elle impose aux produits Français concernant les pesticides, sinon il y aura toujours des distorsions de concurrence et des produits traités dangereux sur le marché Français.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

Le production de produits agricoles sans pesticides est possible, cela a été démontré depuis des dizaines d'années par de nombreux producteurs. La baisse de la production sans ces pesticides est un faux argument si on produit autrement. Pour s'en convaincre, imaginons ce que produit une terre en maraichage bio ou un jardin potager, et nous comprendrons que nous serons loin de mourir de faim sans pesticides.