Date de publication : 2019-01-23
Code postal : 22310

Grand débat - fiscalité et dépenses publiques

1. Quelles sont toutes les choses qui pourraient être faites pour améliorer l'information des citoyens sur l'utilisation des impôts ?

lettre d'information sur la repartition annuelle de l'impot. Au niveau communal, régional et national.

2. Que faudrait-il faire pour rendre la fiscalité plus juste et plus efficace ?

- Séparation des territoires en « Landers » ou accorder un pouvoir majeur aux régions pour une meilleure gestion des actions locales et éviter les actions inadaptées d’un contrôle centralisé (comme en Allemagne, pays qui n’est cependant pas à prendre en exemple pour toutes ses actions, je pense aux salariés travaillant 40 heures par semaine pour 400 euros/mois…évitez, s’il vous plait de faire de même). o Une gestion écologique ne peut être homogène sur un territoire comme le nôtre : par exemple, la mise en place de l’hydrolien-marée motrice ne peut être géré de la même manière au niveau des ruisseaux et rivières Alsaciennes ou en mer d’Iroise où le rendement sera tout autre. De même pour l’énergie éolienne et le photovoltaïque. o Les actions sociales suivent le même schéma. Vous n’êtes pas sans savoir que les campagnes se désertifient en matière de services. Chaque région possède ses propres particularités et devrait pouvoir agir en sa propre faveur afin de développer et moderniser son territoire sans passer par la case « Paris ». Chaque région devrait avoir la possibilité de jouer sur ses propres richesses (tourisme, agriculture, pêche, industrie…) afin de pouvoir développer d’autres secteurs (la « mono-activité » est dangereuse sur le long terme), se moderniser et offrir à sa population les services adaptés aux réelles obligations et contraintes locales….Il est plus facile de gérer une population de 3 Millions d’habitants qu’un peuple de 66 Millions hétéroclite sur un même schéma (voir Danemark et ses évolutions concluantes en matière d’écologie et politique sociale) -Pression sur les grandes entreprises qui ont les moyens financiers de se le permettre pour améliorer le quotidien (je pense à Total, Renault…) pour réorienter leurs activités de Recherche et Développement vers des projets cohérents avec la gestion de la crise écologique. L’industrie Automobile fait peine à voir en proposant à la vente des véhicules « prototypes », inadaptés (à savoir, véhicules électriques avec 200km d’autonomie et recharge de 7h, autant dire impossibles à vivre hors centres ville…et franchement lorsqu’on habite en appartement, comment fait-on pour recharger ???). J’ai quelques doutes sur le bien fondé de ses projets…Une histoire d’argent je suppose. Nos ingénieurs sont capables de faire mieux, car je ne mets pas en doute les compétences françaises dans de nombreux secteurs. L’état étant en parti actionnaire de certaines de ces grandes industries (par là même les citoyens), vous avez les moyens de leur faire entendre raison.

3. Quels sont selon vous les impôts qu'il faut baisser en priorité ?

Sur le revenu

4. Afin de financer les dépenses sociales, faut-il selon vous...

Stopper la pression fiscale sur les métiers de l’artisanat et PME Je parle par expérience. Mon ex-conjoint, plombier-chauffagiste a créé son entreprise et embauché un salarié et apprenti pour faire face à la demande croissante du marché. Il travaillait du Lundi au Samedi (parfois le dimanche pour les dépannages urgents). Il n’avait pas de façade (boutique d’exposition), le siège étant basé au domicile. Nous avions fait le calcul, chaque année, il devait 30 000 euros à l’état (RSI, URSAFF…), ce qui représentait 2 à 3 mois de chiffre d’affaire. Après ça, il fallait payer : salaires des employés, assurances, fournisseurs, entretien véhicule, prêt bancaire, achat d’outils, comptable. Afin de conserver un semblant de trésorerie (pour pouvoir avancer le prix de la marchandise auprès des fournisseurs), certains mois, il ne se versait que 800 euros de salaire. Pour plus de 75 heures de travail par semaine, c’est difficile à encaisser (Et pour une retraite future de misère). Nous avions eu une discussion avec la comptable qui nous a clairement affirmé que, de nos jours, considérant les taxes, si l’on ne crée pas une entreprise pour faire beaucoup d’argent, on n’y arrive pas. Mr le président, ce ne sont pas les starts up à 2 millions d’euros qui tiennent toujours la route et qui feront vivre la France ; je le sais par expérience (j’ai travaillé pour une start up en Biotech cotée en bourse, elle a tenue 3 ans). Vous le savez, comme moi, l’artisanat fait vivre la France sur le long terme (de même pour les PME des autres secteurs). Je n’appelle pas votre politique basée sur l’ultra profit rapide, du dynamisme pour favoriser l’entreprenariat et, par conséquent, l’embauche sur le long terme (et qui dit salariés sur le long terme, dit impôt sur le long terme)!

5. S'il faut selon vous revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales, lesquelles doivent être concernées ?

-Actions contre la délinquance et le non respect du bien vivre en commun: stopper les allocations familiales attribuées aux familles concernées. - Plus de contrôles, par exemple, ces familles polygames dont le patriarche engrange les revenus sociaux. -Favoriser les aides (toutes aides confondues) à l'instant T, se baser sur les revenus N-2 est une gageure. On peut sombrer dans la précarité en peu de temps.

6. Quels sont les domaines prioritaires où notre protection sociale doit être renforcée ?

la Santé, la pauvreté (logement décent, alimentation), sécurité

7. Pour quelle(s) politique(s) publique(s) ou pour quels domaines d'action publique, seriez-vous prêts à payer plus d'impôts ?

Sécurité et santé

8. Y a-t-il d'autres points sur les impôts et les dépenses sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

-Encadrer de près les dépenses et frais de fonctionnement des parlementaires, sénateurs et collaborateurs (comme cela se fait dans toute entreprise). -Il resterait aussi à nommer toutes ces entreprises qui se refusent de payer leurs impôts en France et par là-même sont à la limite du non-respect du droit commun…mais là, je pense qu’il faut une loi de niveau international. -Pression sur les lobbies qui détiennent actuellement le pouvoir. Baisser le coût de la vie. J’ai comme le sentiment inquiétant que l’état est impuissant (ou accepte volontiers les dessous de table) face aux grands industriels de tous secteurs qui dictent leurs lois. Vous n’êtes pas sans savoir (je l’espère du moins), que depuis le passage à l’euro (je précise, je suis européenne avant tout et pour la monnaie unique), les citoyens français ont connu une inflation des plus remarquable. Le calcul est simple : 100 francs se sont transformés en 100 euros (vous me direz, c’est plus simple pour le calcul mental). Conséquence : multiplication des prix, dans tous les secteurs, par 6 : secteur Alimentaire, Energies, Automobile et j’en passe. Par exemple, avant 2002, j’étais étudiante, je vivais avec une bourse de thèse d’une valeur rapportée à l’euros de 700 euros. Je pouvais tout gérer (loyer, EDF, eau, téléphone, taxe habitation, alimentation, véhicule ou transports en commun, shopping, voyages (j’ai effectué des stages à l’étranger) - ce qu’on appelle, nous autres, le quotidien. Aujourd’hui, cela serait impossible. Avec 700 euros, c’est de la survie. Les grands acteurs de notre quotidien se sont bien rincés lors du passage à l’euro et aucun contrôle n’a été, ne serait-ce qu’anticipé. Une hausse des salaires, des pensions et autres… peut être envisagée pour palier à cette certitude mais pas seulement : le coût de la vie est beaucoup trop élevé. Je ne suis pas économiste (mais biologiste), à chacun ses fonctions et connaissances ; beaucoup d’intermédiaires, je pense, en ont bien profité, laissant producteurs et consommateurs dans l’embarras avec le sentiment d'être trop taxés.

Grand débat - démocratie et citoyenneté

1. En qui faites-vous le plus confiance pour vous faire représenter dans la société et pourquoi ?

None

2. En dehors des élus politiques, faut-il donner un rôle plus important aux associations et aux organisations syndicales et professionnelles ?

None

3. Si oui, à quel type d'associations ou d'organisations ? Et avec quel rôle ?

None

4. Que faudrait-il faire pour renouer le lien entre les citoyens et les élus qui les représentent ?

None

5. Le non-cumul des mandats instauré en 2017 pour les parlementaires (députés et sénateurs) est :

Une bonne chose

6. Pourquoi ?

Lorsque l'on veut vraiment s'investir dans une demarche, on ne peut pas tout gérer à la fois. Un peu de serieux.

7. Que faudrait-il faire pour mieux représenter les différentes sensibilités politiques ?

None

8. Pensez-vous qu'il serait souhaitable de réduire le nombre d'élus (hors députés et sénateurs) ?

Oui

9. Si oui, lesquels ?

députés et senateurs

10. Que pensez-vous de la participation des citoyens aux élections et comment les inciter à y participer davantage ?

Les gens ont le sentiment que quoiqu'il advienne, leurs volontés ne seront pas respectées. Une perte de confiance avec l'etat souverain. Il faut regagner cette confiance.

11. Faut-il prendre en compte le vote blanc ?

Oui

12. Si oui, de quelle manière ?

en cas de majorite de blanc, relancer un debat pour de nouveaux representants.

13. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour mieux associer les citoyens aux grandes orientations et à la décision publique ? Comment mettre en place une démocratie plus participative ?

Donner plus de pouvoir aux regions pour regrouper les arguments des citoyens.

14. Faut-il faciliter le déclenchement du référendum d'initiative partagée (le RIP est organisé à l'initiative de membres du Parlement soutenu par une partie du corps électoral) qui est applicable depuis 2015 ?

Oui

15. Si oui, comment ?

A la seule condition: bien informer le public sur les tenants et aboutissants. Exemple du Brexit, les anglais se rendent maintenant compte qu'ils n'etaient pas informés des consequences....malheureusement.

16. Que faudrait-il faire pour consulter plus directement les citoyens sur l'utilisation de l'argent public, par l'Etat et les collectivités ?

Oui, par l'intermediaire des regions.

17. Quel rôle nos assemblées, dont le Sénat et le Conseil économique, social et environnemental, doivent-elles jouer pour représenter nos territoires et la société civile ?

None

18. Faut-il les transformer ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Plus de pouvoir d'autonomie aux regions qui connaissent les specificités et les besoins de leur territoire. Elles rendront compte de leurs projets aux institutions parisiennes.

20. Que proposez-vous pour renforcer les principes de la laïcité dans le rapport entre l'Etat et les religions de notre pays ?

La religion a sa place dans le milieu privé, pas dans le domaine public. En France, nous sommes pour la mixité, mais dans le respect sans signes ostentatoire. Lorsque je vais dans un pays musulman, je ne porte ni shorts, ni T shirts, les hommes ne me parlent pas mais s'adressent à mon conjoint, je supporte car je ne suis pas chez moi. En France, je tolère tout juste le port du voile qui est une atteinte à la féminité...et qui n'est pas défini dans le Coran d'ailleurs...Je ne veux pas que ce rapport de force Etat-Religion s'installe en France avec d'autres religions. Nous avons deja effectué nos revolutions en ce qui concerne la religion catholique.

21. Comment garantir le respect par tous de la compréhension réciproque et des valeurs intangibles de la République ?

None

22. Que faudrait-il faire aujourd'hui pour renforcer l'engagement citoyen dans la société ?

None

23. Quels sont les comportements civiques qu'il faut promouvoir dans notre vie quotidienne ou collective ?

le service civique est une bonne chose, impliquer les jeunes au sein d' organisations de secteurs variés. Il y a beaucoup d'associations en France et de volontaires, trop, l'Etat compte beaucoup trop sur le participatif citoyen . exemple: un pompier aux Etats Unis gagne 5000 euros par mois car il risque sa vie au quotidien/ en France ce sont des benevoles, j'ai honte...

24. Que faudrait-il faire pour favoriser le développement de ces comportements civiques et par quels engagements concrets chacun peut-il y participer ?

None

25. Que faudrait-il faire pour valoriser l'engagement citoyen dans les parcours de vie, dans les relations avec l'administration et les pouvoirs publics ?

None

26. Quelles sont les incivilités les plus pénibles dans la vie quotidienne et que faudrait-il faire pour lutter contre ces incivilités ?

None

27. Que peuvent et doivent faire les pouvoirs publics pour répondre aux incivilités ?

Stages comportementaux en milieux proteges, afin de mettre les personnes concernées face à leurs problèmes de comportement.

28. Quel pourrait être le rôle de chacun pour faire reculer les incivilités dans la société ?

Agir en synergie dès qu'un probleme survient. sans faire justice soit meme, mais intervenir le temps de contacter les forces publiques. Et puis, il y a l'éducation des parents...l'école ne peut pas tout faire et se substituer à la famille. A moins de prévoir une heure de cours de citoyennete en primaire et secondaire.

29. Quelles sont les discriminations les plus répandues dont vous êtes témoin ou victime ?

sexisme, meme dans le cadre professionnel...malheureusement

30. Que faudrait-il faire pour lutter contre ces discriminations et construire une société plus solidaire et plus tolérante ?

None

31. Pensez-vous qu'il faille instaurer des contreparties aux différentes allocations de solidarité ?

Non

32. Si oui, lesquelles ?

None

33. Que pensez-vous de la situation de l'immigration en France aujourd'hui et de la politique migratoire ? Quelles sont, selon vous, les critères à mettre en place pour définir la politique migratoire ?

Règlementation des migrations extérieures : Pour les réfugiés de « guerre » : Mise en place d’un permis de séjour à durée limitée afin de favoriser leur retour dès la fin des conflits afin de les inciter à prendre part à la reconstruction de leur état d’origine. Je prends là aussi l’exemple des migrants libyens qui traversent la méditerranée. Grand nombre d’entre eux, sont des personnes cultivées, ayant un travail dans leur pays, de classes sociales différentes, fuyant uniquement le totalitarisme. Je pense que lorsque l’on a grandi dans une nation, que l’on veut défendre ses convictions propres, ses valeurs, défendre les droits de l’homme qui sont bafoués, défendre son droit à la liberté : on n’a pas le choix. On se bat, on agit. Je veux bien croire que certains sont plus frileux que d’autres dans leur caractère et préfèrent déserter, mais pas tout un peuple, quand même ! Je sais que l’accueil des plus faibles est une obligation morale de la part des pays qui vivent une situation plus sereine (je suis d’accord). Mais lorsqu’on annonce à un migrant (fuyant les bombes, je vous l’accorde) qu’il touchera en France 1200 euros par mois, logement, vêtements fournis gracieusement, je pense qu’il fera vite son calcul. En Syrie (par exemple), le niveau de vie étant inférieur, beaucoup prendront la décision de rester en France (avec ou sans intégration selon la volonté des intéressés). Je suis pour la mixité, c’est ce qui fait la grandeur et la richesse d’une nation, mais je ne suis pas naïve ; l’intégration ne fonctionne pas dans beaucoup de situations (j’ai vécu sur Marseille et Paris, connu beaucoup d’enfants d’immigrés, ou petits enfants…qui vivent toujours dans le rejet et l’instabilité psychologique dans un pays qui est maintenant le leur, la France). Je le sais par expérience (j’ai vécu 10 ans à l’étranger), s’accaparer une autre mentalité et une autre façon de vivre, ou du moins la tolérer, n’est pas à la portée de tous : il faut être intelligent, ouvert d’esprit et ouvert au dialogue pour comprendre l’autre. Et lorsque la religion s’en mêle…n’en parlons pas. Etant une femme, je suis d’autant plus concernée par le jugement d’hommes de confessions différentes (je suis athée mais respectueuse dans la mesure où l’on me respecte aussi), qui considèrent que la femme doit savoir rester à sa place et rester à l’écart de toute prise de décision. Sans parler des regards concupiscents de ces jeunes hommes considérant la femme française comme une femme « facile »… (je cite les propos d’une amie marocaine, prenant de la distance par rapport à sa culture d’origine…par refus d’un mariage imposé). Bien sûr, je sais raison garder, il y a des gens biens, et respectueux de nos façons de vivre.

34. En matière d'immigration, une fois nos obligations d'asile remplies, souhaitez-vous que nous puissions nous fixer des objectifs annuels définis par le Parlement ?

None

35. Que proposez-vous afin de répondre à ce défi qui va durer ?

Il faut retourner le probleme. Investissons dans ces pays pour les aider...ces gens n'ont pas forcement envie non plus de venir chez nous...mais n'ont pas le choix.

36. Quelles sont, selon vous, les modalités d'intégration les plus efficaces et les plus justes à mettre en place aujourd'hui dans la société ?

Des stages d'integration de longue durée pour les ressortissants de pays de coutumes tres differentes des notres.

37. Y a-t-il d'autres points sur la démocratie et la citoyenneté sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

- L’Europe : Harmonisation des administrations et des niveaux de vie (vaste projet). Selon moi, la monnaie unique a été mise ne place beaucoup trop vite sans anticipation des conséquences. Des pays présentant des diversités économiques trop flagrantes ont été mis en relation trop rapidement. Je parle par expérience, j’ai vécu 10 ans en Italie et j’ai fait le tour de l’Europe. Il a déjà fallu commencer par faire valider mes diplômes universitaires français : un an de procédure entre consulats, traducteurs agrées, certificats, validations de crédits et un coût de 3000 euros. Un peu cher et long pour un pays quand même bien proche de nous, l’Italie. Je ne vous parle pas des procédures futures qu’il va falloir que j’engage pour faire valoir mes droits à la retraite dans mon ancien pays d’accueil, dès que je serai en âge de prendre la prendre. Migrations importantes des citoyens venant des pays les plus pauvres (Roumanie…) pensant trouver l’eldorado en France, considérant leur niveau de vie et leur salaire moyen. Je suis pour la mixité, mais dans ce cas ce n’est plus de l’harmonisation culturelle, mais une fuite en avant des plus pauvres vers les plus riches et plus dotés en matière de prestations sociales. Avant d’accepter l’entrée en Europe de tels pays devant se remettre de désastres récents et se reconstruire, si telle était la démarche envisagée, il aurait fallu commencer par les aider à remonter la pente avant toute intégration. Tout à été fait à l’envers. Ne refaite pas la même erreur avec de potentiels pays demandeurs. Mettre en place un pacte de non-concurrence abusive au sein de l’union et harmonisation des normes en matière de production agro-alimentaire: Je prends pour exemple les élevages porcins. L’Allemagne, possédant des infrastructures de taille inhumaine, mettant en péril la maitrise du bien-être animal (là, une petite action écologique s’impose aussi), payant leurs salariés, souvent étrangers, 400 euros par mois (ce qui intervient nettement dans la baisse de la courbe du chômage), peuvent par ces méthodes abusives baisser nettement leurs coûts de production. Ceci met en péril les éleveurs français (bretons entre autres), qui respectent de plus en plus les normes de production écologiques en réduisant les élevages intensifs afin de répondre aux demandes du marché, et payant leurs salariés correctement. Sur nos étales, du coup : du porc allemand, peu cher, peu sain connaissant leur alimentation à bas coût ; et des agriculteurs français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Trouvez-vous normal, qu’au sein d’une union établie, il y ait ce droit de concurrence déloyale et de non-respect du droit commun par un des états ? (il y a aussi les fruits et légumes espagnols, sensément bio, qui sont loin de l’être...je ne citerai pas toutes les incohérences)

Grand débat - organisation de l'Etat et des services publics

1. Que pensez-vous de l'organisation de l'Etat et des administrations en France ? De quelle manière cette organisation devrait-elle évoluer ?

Séparation des territoires en « Landers » ou accorder un pouvoir majeur aux régions pour une meilleure gestion des actions locales et éviter les actions inadaptées d’un contrôle centralisé (comme en Allemagne, pays qui n’est cependant pas à prendre en exemple pour toutes ses actions, je pense aux salariés travaillant 40 heures par semaine pour 400 euros/mois…évitez, s’il vous plait de faire de même). o Une gestion écologique ne peut être homogène sur un territoire comme le nôtre : par exemple, la mise en place de l’hydrolien-marée motrice ne peut être géré de la même manière au niveau des ruisseaux et rivières Alsaciennes ou en mer d’Iroise où le rendement sera tout autre. De même pour l’énergie éolienne et le photovoltaïque. o Les actions sociales suivent le même schéma. Vous n’êtes pas sans savoir que les campagnes se désertifient en matière de services. Chaque région possède ses propres particularités et devrait pouvoir agir en sa propre faveur afin de développer et moderniser son territoire sans passer par la case « Paris ». Chaque région devrait avoir la possibilité de jouer sur ses propres richesses (tourisme, agriculture, pêche, industrie…) afin de pouvoir développer d’autres secteurs (la « mono-activité » est dangereuse sur le long terme), se moderniser et offrir à sa population les services adaptés aux réelles obligations et contraintes locales….Il est plus facile de gérer une population de 3 Millions d’habitants qu’un peuple de 66 Millions hétéroclite sur un même schéma (voir Danemark et ses évolutions concluantes en matière d’écologie et politique sociale)

2. Selon vous, l'Etat doit-il aujourd'hui transférer de nouvelles missions aux collectivités territoriales ?

Oui

3. Si oui, lesquelles ?

Tous les domaines qui les concernent. Elles rendront compte à l'etat par la suite de leurs actions.

4. Estimez-vous avoir accès aux services publics dont vous avez besoin ?

Non

5. Si non, quels types de services publics vous manquent dans votre territoire et qu'il est nécessaire de renforcer ?

le transport

6. Quels nouveaux services ou quelles démarches souhaitez-vous voir développées sur Internet en priorité ?

None

7. Avez-vous déjà utilisé certaines de ces nouvelles formes de services publics ?

Oui

8. Si oui, en avez-vous été satisfait ?

Oui

9. Quelles améliorations préconiseriez-vous ?

None

10. Quand vous pensez à l'évolution des services publics au cours des dernières années, quels sont ceux qui ont évolué de manière positive ?

Aides à la personne, assistance dans les demarches pour les plus demunis en matiere de connection Internet.

11. Quels sont les services publics qui doivent le plus évoluer selon vous ?

La securite , la santé

12. Connaissez-vous le "droit à l'erreur", c'est-à-dire le droit d'affirmer votre bonne foi lorsque vous faites un erreur dans vos déclarations ?

Oui

13. Si oui, avez-vous déjà utilisé ce droit à l'erreur ?

Non

14. Si oui, à quelle occasion en avez-vous fait usage ?

None

15. Pouvez-vous identifier des règles que l'administration vous a déjà demandé d'appliquer et que vous avez jugées inutiles ou trop complexes ?

les declarations de revenus N-2 ou N-1 qui ne sont pas le reflet de la situation presente.

16. Faut-il donner plus d'autonomie aux fonctionnaires de terrain ?

Oui

17. Si oui, comment ?

None

18. Faut-il revoir le fonctionnement et la formation de l'administration ?

Oui

19. Si oui, comment ?

Amélioration de la formation de nos gouvernants…je me permets si vous le voulez bien. Je pense aux Enarques, bien renseignés en matière d’histoire, de politique, de géopolitique… (formation que je ne remets pas en cause, le savoir est indispensable pour une meilleure appréhension de la vie), mais coupés du monde réel. Je propose, en fin de cursus, un stage d’un an, en entreprise, sur le terrain, en tant que manœuvre (j’entends : travail à la chaine, dans l’artisanat ou l’agriculture) afin de comprendre et d’intégrer les réelles difficultés de terrain concernant une population qui : soit n’a pas eu la volonté de faire de longues études (chacun ses projets de vie), n’en a pas eu les moyens, a pris la suite d’une activité familiale ou s’est adaptée au marché de l’emploi malgré ses diplômes. Population qui a cependant la volonté et le courage de s’en sortir sans pistons et cuillères en argents dans la bouche. Tout le monde n’a pas la même chance dans la vie, et chacun fait ses propres choix. Le respect des différences inerrantes à chacun, des différentes classes sociales sont indissociables d’une fonction présidentielle de qualité Monsieur le Président.

20. Comment l'Etat et les collectivités territoriales peuvent-ils s'améliorer pour mieux répondre aux défis de nos territoires les plus en difficulté ?

-evaluer les problematiques sur zone - evaluer le potentiel (en matiere d'ecologie, energies, tourisme, industriel permettant de realiser un certain profit, ou permettre une certaine autonomie) -Soutenir les projets coherents permettant l'evolution locale

21. Si vous avez été amené à chercher une formation, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Pole emploi, une usine à gaz en matiere de formations... AFPA, idem, on passe plus de temps à rechercher un stage qu'à avancer.

22. Si vous avez été amené à scolariser votre enfant, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

23. Si vous avez été amené à chercher un emploi, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

24. Si vous avez été amené à préparer votre retraite, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

25. Si vous avez été amené à demander un remboursement de soins de santé, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

26. Si vous avez été amené à faire une demande d'aide pour une situation de handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

27. Si vous avez été amené à créer une entreprise, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Creation d'une auto entreprise. Tres simple. Creation d'une entreprise individuelle (mon conjoint): droit à l'erreur lors d'une premiere liquidation judiciaire tres appréciable. Nous avions anticipé le surendettement mais il restait quelques dettes effacées par la suite (ça permet de rebondir sans trop de difficultés).

28. Si vous avez été amené à recruter du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Un comptable est necessaire et indispensable. Organismes de formation pour apprentis tres reactifs.

29. Si vous avez été amené à former du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

30. Si vous avez été amené à rémunérer du personnel, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

Comptable essentiel.

31. Si vous avez été amené à mettre fin à votre activité, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

mandataire judiciaire peu reactif. Des comptes bancaires non clôturés encore en cours même après liquidation, des assurances (n'etant plus d'actualitées) toujours prelevées sur ces comptes... procédures longues et lourdes pour un non initié.

32. Si vous avez été amené à recruter une personne portant un handicap, pouvez-vous indiquer les éléments de satisfaction et/ou les difficultés rencontrés en précisant, pour chaque point, l'administration concernée :

None

33. Y a-t-il d'autres points sur l'organisation de l'Etat et des services publics sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None

Grand débat - transition écologique

1. Quel est aujourd'hui pour vous le problème concret le plus important dans le domaine de l'environnement ?

La biodiversité et la disparition de certaines espèces

2. Que faudrait-il faire selon vous pour apporter des réponses à ce problème ?

Séparation des territoires en « Landers » ou accorder un pouvoir majeur aux régions pour une meilleure gestion des actions locales et éviter les actions inadaptées d’un contrôle centralisé (comme en Allemagne, pays qui n’est cependant pas à prendre en exemple pour toutes ses actions, je pense aux salariés travaillant 40 heures par semaine pour 400 euros/mois…évitez, s’il vous plait de faire de même). Une gestion écologique ne peut être homogène sur un territoire comme le nôtre : par exemple, la mise en place de l’hydrolien-marée motrice ne peut être géré de la même manière au niveau des ruisseaux et rivières Alsaciennes ou en mer d’Iroise où le rendement sera tout autre. De même pour l’énergie éolienne et le photovoltaïque. Pression sur les grandes entreprises qui ont les moyens financiers de se le permettre pour améliorer le quotidien (je pense à Total, Renault…) pour réorienter leurs activités de Recherche et Développement vers des projets cohérents avec la gestion de la crise écologique. L’industrie Automobile fait peine à voir en proposant à la vente des véhicules « prototypes », inadaptés (à savoir, véhicules électriques avec 200km d’autonomie et recharge de 7h, autant dire impossibles à vivre hors centres ville…et franchement lorsqu’on habite en appartement, comment fait-on pour recharger ???). J’ai quelques doutes sur le bien fondé de ses projets…Une histoire d’argent je suppose. Nos ingénieurs sont capables de faire mieux, car je ne mets pas en doute les compétences françaises dans de nombreux secteurs. L’état étant en parti actionnaire de certaines de ces grandes industries, vous avez les moyens de leur faire entendre raison.

3. Diriez-vous que votre vie quotidienne est aujourd'hui touchée par le changement climatique ?

Non

4. Si oui, de quelle manière votre vie quotidienne est-elle touchée par le changement climatique ?

None

5. À titre personnel, pensez-vous pouvoir contribuer à protéger l'environnement ?

Oui

6. Si oui, que faites-vous aujourd'hui pour protéger l'environnement et/ou que pourriez-vous faire ?

Tri selectif Vivant dans une residence, il est difficile d'imposer le photovoltaique, mais pourquoi pas engager une politique en ce sens...equiper les immeubles de structures ecologiques pour plus d'autonomie energetique. Je fais du benevolat dans une association pour la protection des oiseaux. Covoiturage quand cela est possible

7. Qu'est-ce qui pourrait vous inciter à changer vos comportements comme par exemple mieux entretenir et régler votre chauffage, modifier votre manière de conduire ou renoncer à prendre votre véhicule pour de très petites distances ?

je vis à la campagne, rien n'est prevu pour un tel changement. Des navettes regulieres pour les centres villes peut etre. Mais ce serait un cout, non negligeable pour une petite commune. Je régule le chauffage au mieux (baisses la nuit).

8. Quelles seraient pour vous les solutions les plus simples et les plus supportables sur un plan financier pour vous inciter à changer vos comportements ?

None

9. Par rapport à votre mode de chauffage actuel, pensez-vous qu'il existe des solutions alternatives plus écologiques ?

Oui

10. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à changer de mode de chauffage ?

Inciter la pose de photovoltaique sur immeubles et residences communes et murs vegetaux pour absorption du CO2 et isolation.

11. Avez-vous pour vos déplacements quotidiens la possibilité de recourir à des solutions de mobilité alternatives à la voiture individuelle comme les transports en commun, le covoiturage, l'auto-partage, le transport à la demande, le vélo, etc. ?

Non

12. Si oui, que faudrait-il faire pour vous convaincre ou vous aider à utiliser ces solutions alternatives ?

None

13. Si non, quelles sont les solutions de mobilité alternatives que vous souhaiteriez pouvoir utiliser ?

Le transport à la demande

14. Et qui doit selon vous se charger de vous proposer ce type de solutions alternatives ?

Les regions, en fonctions de leurs possibilités et richesses en matiere de potentiel energetique.

15. Que pourrait faire la France pour faire partager ses choix en matière d'environnement au niveau européen et international ?

s'unir avec les pays deja bien en avance (scandinaves) et proposer des conferences de sensibilisation.

16. Y a-t-il d'autres points sur la transition écologique sur lesquels vous souhaiteriez vous exprimer ?

None