lettre d'information sur la repartition annuelle de l'impot. Au niveau communal, régional et national.
- Séparation des territoires en « Landers » ou accorder un pouvoir majeur aux régions pour une meilleure gestion des actions locales et éviter les actions inadaptées d’un contrôle centralisé (comme en Allemagne, pays qui n’est cependant pas à prendre en exemple pour toutes ses actions, je pense aux salariés travaillant 40 heures par semaine pour 400 euros/mois…évitez, s’il vous plait de faire de même). o Une gestion écologique ne peut être homogène sur un territoire comme le nôtre : par exemple, la mise en place de l’hydrolien-marée motrice ne peut être géré de la même manière au niveau des ruisseaux et rivières Alsaciennes ou en mer d’Iroise où le rendement sera tout autre. De même pour l’énergie éolienne et le photovoltaïque. o Les actions sociales suivent le même schéma. Vous n’êtes pas sans savoir que les campagnes se désertifient en matière de services. Chaque région possède ses propres particularités et devrait pouvoir agir en sa propre faveur afin de développer et moderniser son territoire sans passer par la case « Paris ». Chaque région devrait avoir la possibilité de jouer sur ses propres richesses (tourisme, agriculture, pêche, industrie…) afin de pouvoir développer d’autres secteurs (la « mono-activité » est dangereuse sur le long terme), se moderniser et offrir à sa population les services adaptés aux réelles obligations et contraintes locales….Il est plus facile de gérer une population de 3 Millions d’habitants qu’un peuple de 66 Millions hétéroclite sur un même schéma (voir Danemark et ses évolutions concluantes en matière d’écologie et politique sociale) -Pression sur les grandes entreprises qui ont les moyens financiers de se le permettre pour améliorer le quotidien (je pense à Total, Renault…) pour réorienter leurs activités de Recherche et Développement vers des projets cohérents avec la gestion de la crise écologique. L’industrie Automobile fait peine à voir en proposant à la vente des véhicules « prototypes », inadaptés (à savoir, véhicules électriques avec 200km d’autonomie et recharge de 7h, autant dire impossibles à vivre hors centres ville…et franchement lorsqu’on habite en appartement, comment fait-on pour recharger ???). J’ai quelques doutes sur le bien fondé de ses projets…Une histoire d’argent je suppose. Nos ingénieurs sont capables de faire mieux, car je ne mets pas en doute les compétences françaises dans de nombreux secteurs. L’état étant en parti actionnaire de certaines de ces grandes industries (par là même les citoyens), vous avez les moyens de leur faire entendre raison.
Sur le revenu
Stopper la pression fiscale sur les métiers de l’artisanat et PME Je parle par expérience. Mon ex-conjoint, plombier-chauffagiste a créé son entreprise et embauché un salarié et apprenti pour faire face à la demande croissante du marché. Il travaillait du Lundi au Samedi (parfois le dimanche pour les dépannages urgents). Il n’avait pas de façade (boutique d’exposition), le siège étant basé au domicile. Nous avions fait le calcul, chaque année, il devait 30 000 euros à l’état (RSI, URSAFF…), ce qui représentait 2 à 3 mois de chiffre d’affaire. Après ça, il fallait payer : salaires des employés, assurances, fournisseurs, entretien véhicule, prêt bancaire, achat d’outils, comptable. Afin de conserver un semblant de trésorerie (pour pouvoir avancer le prix de la marchandise auprès des fournisseurs), certains mois, il ne se versait que 800 euros de salaire. Pour plus de 75 heures de travail par semaine, c’est difficile à encaisser (Et pour une retraite future de misère). Nous avions eu une discussion avec la comptable qui nous a clairement affirmé que, de nos jours, considérant les taxes, si l’on ne crée pas une entreprise pour faire beaucoup d’argent, on n’y arrive pas. Mr le président, ce ne sont pas les starts up à 2 millions d’euros qui tiennent toujours la route et qui feront vivre la France ; je le sais par expérience (j’ai travaillé pour une start up en Biotech cotée en bourse, elle a tenue 3 ans). Vous le savez, comme moi, l’artisanat fait vivre la France sur le long terme (de même pour les PME des autres secteurs). Je n’appelle pas votre politique basée sur l’ultra profit rapide, du dynamisme pour favoriser l’entreprenariat et, par conséquent, l’embauche sur le long terme (et qui dit salariés sur le long terme, dit impôt sur le long terme)!
-Actions contre la délinquance et le non respect du bien vivre en commun: stopper les allocations familiales attribuées aux familles concernées. - Plus de contrôles, par exemple, ces familles polygames dont le patriarche engrange les revenus sociaux. -Favoriser les aides (toutes aides confondues) à l'instant T, se baser sur les revenus N-2 est une gageure. On peut sombrer dans la précarité en peu de temps.
la Santé, la pauvreté (logement décent, alimentation), sécurité
Sécurité et santé
-Encadrer de près les dépenses et frais de fonctionnement des parlementaires, sénateurs et collaborateurs (comme cela se fait dans toute entreprise). -Il resterait aussi à nommer toutes ces entreprises qui se refusent de payer leurs impôts en France et par là-même sont à la limite du non-respect du droit commun…mais là, je pense qu’il faut une loi de niveau international. -Pression sur les lobbies qui détiennent actuellement le pouvoir. Baisser le coût de la vie. J’ai comme le sentiment inquiétant que l’état est impuissant (ou accepte volontiers les dessous de table) face aux grands industriels de tous secteurs qui dictent leurs lois. Vous n’êtes pas sans savoir (je l’espère du moins), que depuis le passage à l’euro (je précise, je suis européenne avant tout et pour la monnaie unique), les citoyens français ont connu une inflation des plus remarquable. Le calcul est simple : 100 francs se sont transformés en 100 euros (vous me direz, c’est plus simple pour le calcul mental). Conséquence : multiplication des prix, dans tous les secteurs, par 6 : secteur Alimentaire, Energies, Automobile et j’en passe. Par exemple, avant 2002, j’étais étudiante, je vivais avec une bourse de thèse d’une valeur rapportée à l’euros de 700 euros. Je pouvais tout gérer (loyer, EDF, eau, téléphone, taxe habitation, alimentation, véhicule ou transports en commun, shopping, voyages (j’ai effectué des stages à l’étranger) - ce qu’on appelle, nous autres, le quotidien. Aujourd’hui, cela serait impossible. Avec 700 euros, c’est de la survie. Les grands acteurs de notre quotidien se sont bien rincés lors du passage à l’euro et aucun contrôle n’a été, ne serait-ce qu’anticipé. Une hausse des salaires, des pensions et autres… peut être envisagée pour palier à cette certitude mais pas seulement : le coût de la vie est beaucoup trop élevé. Je ne suis pas économiste (mais biologiste), à chacun ses fonctions et connaissances ; beaucoup d’intermédiaires, je pense, en ont bien profité, laissant producteurs et consommateurs dans l’embarras avec le sentiment d'être trop taxés.
None
None
None
None
Une bonne chose
Lorsque l'on veut vraiment s'investir dans une demarche, on ne peut pas tout gérer à la fois. Un peu de serieux.
None
Oui
députés et senateurs
Les gens ont le sentiment que quoiqu'il advienne, leurs volontés ne seront pas respectées. Une perte de confiance avec l'etat souverain. Il faut regagner cette confiance.
Oui
en cas de majorite de blanc, relancer un debat pour de nouveaux representants.
Donner plus de pouvoir aux regions pour regrouper les arguments des citoyens.
Oui
A la seule condition: bien informer le public sur les tenants et aboutissants. Exemple du Brexit, les anglais se rendent maintenant compte qu'ils n'etaient pas informés des consequences....malheureusement.
Oui, par l'intermediaire des regions.
None
Oui
Plus de pouvoir d'autonomie aux regions qui connaissent les specificités et les besoins de leur territoire. Elles rendront compte de leurs projets aux institutions parisiennes.
La religion a sa place dans le milieu privé, pas dans le domaine public. En France, nous sommes pour la mixité, mais dans le respect sans signes ostentatoire. Lorsque je vais dans un pays musulman, je ne porte ni shorts, ni T shirts, les hommes ne me parlent pas mais s'adressent à mon conjoint, je supporte car je ne suis pas chez moi. En France, je tolère tout juste le port du voile qui est une atteinte à la féminité...et qui n'est pas défini dans le Coran d'ailleurs...Je ne veux pas que ce rapport de force Etat-Religion s'installe en France avec d'autres religions. Nous avons deja effectué nos revolutions en ce qui concerne la religion catholique.
None
None
le service civique est une bonne chose, impliquer les jeunes au sein d' organisations de secteurs variés. Il y a beaucoup d'associations en France et de volontaires, trop, l'Etat compte beaucoup trop sur le participatif citoyen . exemple: un pompier aux Etats Unis gagne 5000 euros par mois car il risque sa vie au quotidien/ en France ce sont des benevoles, j'ai honte...
None
None
None
Stages comportementaux en milieux proteges, afin de mettre les personnes concernées face à leurs problèmes de comportement.
Agir en synergie dès qu'un probleme survient. sans faire justice soit meme, mais intervenir le temps de contacter les forces publiques. Et puis, il y a l'éducation des parents...l'école ne peut pas tout faire et se substituer à la famille. A moins de prévoir une heure de cours de citoyennete en primaire et secondaire.
sexisme, meme dans le cadre professionnel...malheureusement
None
Non
None
Règlementation des migrations extérieures : Pour les réfugiés de « guerre » : Mise en place d’un permis de séjour à durée limitée afin de favoriser leur retour dès la fin des conflits afin de les inciter à prendre part à la reconstruction de leur état d’origine. Je prends là aussi l’exemple des migrants libyens qui traversent la méditerranée. Grand nombre d’entre eux, sont des personnes cultivées, ayant un travail dans leur pays, de classes sociales différentes, fuyant uniquement le totalitarisme. Je pense que lorsque l’on a grandi dans une nation, que l’on veut défendre ses convictions propres, ses valeurs, défendre les droits de l’homme qui sont bafoués, défendre son droit à la liberté : on n’a pas le choix. On se bat, on agit. Je veux bien croire que certains sont plus frileux que d’autres dans leur caractère et préfèrent déserter, mais pas tout un peuple, quand même ! Je sais que l’accueil des plus faibles est une obligation morale de la part des pays qui vivent une situation plus sereine (je suis d’accord). Mais lorsqu’on annonce à un migrant (fuyant les bombes, je vous l’accorde) qu’il touchera en France 1200 euros par mois, logement, vêtements fournis gracieusement, je pense qu’il fera vite son calcul. En Syrie (par exemple), le niveau de vie étant inférieur, beaucoup prendront la décision de rester en France (avec ou sans intégration selon la volonté des intéressés). Je suis pour la mixité, c’est ce qui fait la grandeur et la richesse d’une nation, mais je ne suis pas naïve ; l’intégration ne fonctionne pas dans beaucoup de situations (j’ai vécu sur Marseille et Paris, connu beaucoup d’enfants d’immigrés, ou petits enfants…qui vivent toujours dans le rejet et l’instabilité psychologique dans un pays qui est maintenant le leur, la France). Je le sais par expérience (j’ai vécu 10 ans à l’étranger), s’accaparer une autre mentalité et une autre façon de vivre, ou du moins la tolérer, n’est pas à la portée de tous : il faut être intelligent, ouvert d’esprit et ouvert au dialogue pour comprendre l’autre. Et lorsque la religion s’en mêle…n’en parlons pas. Etant une femme, je suis d’autant plus concernée par le jugement d’hommes de confessions différentes (je suis athée mais respectueuse dans la mesure où l’on me respecte aussi), qui considèrent que la femme doit savoir rester à sa place et rester à l’écart de toute prise de décision. Sans parler des regards concupiscents de ces jeunes hommes considérant la femme française comme une femme « facile »… (je cite les propos d’une amie marocaine, prenant de la distance par rapport à sa culture d’origine…par refus d’un mariage imposé). Bien sûr, je sais raison garder, il y a des gens biens, et respectueux de nos façons de vivre.
None
Il faut retourner le probleme. Investissons dans ces pays pour les aider...ces gens n'ont pas forcement envie non plus de venir chez nous...mais n'ont pas le choix.
Des stages d'integration de longue durée pour les ressortissants de pays de coutumes tres differentes des notres.
- L’Europe : Harmonisation des administrations et des niveaux de vie (vaste projet). Selon moi, la monnaie unique a été mise ne place beaucoup trop vite sans anticipation des conséquences. Des pays présentant des diversités économiques trop flagrantes ont été mis en relation trop rapidement. Je parle par expérience, j’ai vécu 10 ans en Italie et j’ai fait le tour de l’Europe. Il a déjà fallu commencer par faire valider mes diplômes universitaires français : un an de procédure entre consulats, traducteurs agrées, certificats, validations de crédits et un coût de 3000 euros. Un peu cher et long pour un pays quand même bien proche de nous, l’Italie. Je ne vous parle pas des procédures futures qu’il va falloir que j’engage pour faire valoir mes droits à la retraite dans mon ancien pays d’accueil, dès que je serai en âge de prendre la prendre. Migrations importantes des citoyens venant des pays les plus pauvres (Roumanie…) pensant trouver l’eldorado en France, considérant leur niveau de vie et leur salaire moyen. Je suis pour la mixité, mais dans ce cas ce n’est plus de l’harmonisation culturelle, mais une fuite en avant des plus pauvres vers les plus riches et plus dotés en matière de prestations sociales. Avant d’accepter l’entrée en Europe de tels pays devant se remettre de désastres récents et se reconstruire, si telle était la démarche envisagée, il aurait fallu commencer par les aider à remonter la pente avant toute intégration. Tout à été fait à l’envers. Ne refaite pas la même erreur avec de potentiels pays demandeurs. Mettre en place un pacte de non-concurrence abusive au sein de l’union et harmonisation des normes en matière de production agro-alimentaire: Je prends pour exemple les élevages porcins. L’Allemagne, possédant des infrastructures de taille inhumaine, mettant en péril la maitrise du bien-être animal (là, une petite action écologique s’impose aussi), payant leurs salariés, souvent étrangers, 400 euros par mois (ce qui intervient nettement dans la baisse de la courbe du chômage), peuvent par ces méthodes abusives baisser nettement leurs coûts de production. Ceci met en péril les éleveurs français (bretons entre autres), qui respectent de plus en plus les normes de production écologiques en réduisant les élevages intensifs afin de répondre aux demandes du marché, et payant leurs salariés correctement. Sur nos étales, du coup : du porc allemand, peu cher, peu sain connaissant leur alimentation à bas coût ; et des agriculteurs français qui vivent sous le seuil de pauvreté. Trouvez-vous normal, qu’au sein d’une union établie, il y ait ce droit de concurrence déloyale et de non-respect du droit commun par un des états ? (il y a aussi les fruits et légumes espagnols, sensément bio, qui sont loin de l’être...je ne citerai pas toutes les incohérences)
Séparation des territoires en « Landers » ou accorder un pouvoir majeur aux régions pour une meilleure gestion des actions locales et éviter les actions inadaptées d’un contrôle centralisé (comme en Allemagne, pays qui n’est cependant pas à prendre en exemple pour toutes ses actions, je pense aux salariés travaillant 40 heures par semaine pour 400 euros/mois…évitez, s’il vous plait de faire de même). o Une gestion écologique ne peut être homogène sur un territoire comme le nôtre : par exemple, la mise en place de l’hydrolien-marée motrice ne peut être géré de la même manière au niveau des ruisseaux et rivières Alsaciennes ou en mer d’Iroise où le rendement sera tout autre. De même pour l’énergie éolienne et le photovoltaïque. o Les actions sociales suivent le même schéma. Vous n’êtes pas sans savoir que les campagnes se désertifient en matière de services. Chaque région possède ses propres particularités et devrait pouvoir agir en sa propre faveur afin de développer et moderniser son territoire sans passer par la case « Paris ». Chaque région devrait avoir la possibilité de jouer sur ses propres richesses (tourisme, agriculture, pêche, industrie…) afin de pouvoir développer d’autres secteurs (la « mono-activité » est dangereuse sur le long terme), se moderniser et offrir à sa population les services adaptés aux réelles obligations et contraintes locales….Il est plus facile de gérer une population de 3 Millions d’habitants qu’un peuple de 66 Millions hétéroclite sur un même schéma (voir Danemark et ses évolutions concluantes en matière d’écologie et politique sociale)
Oui
Tous les domaines qui les concernent. Elles rendront compte à l'etat par la suite de leurs actions.
Non
le transport
None
Oui
Oui
None
Aides à la personne, assistance dans les demarches pour les plus demunis en matiere de connection Internet.
La securite , la santé
Oui
Non
None
les declarations de revenus N-2 ou N-1 qui ne sont pas le reflet de la situation presente.
Oui
None
Oui
Amélioration de la formation de nos gouvernants…je me permets si vous le voulez bien. Je pense aux Enarques, bien renseignés en matière d’histoire, de politique, de géopolitique… (formation que je ne remets pas en cause, le savoir est indispensable pour une meilleure appréhension de la vie), mais coupés du monde réel. Je propose, en fin de cursus, un stage d’un an, en entreprise, sur le terrain, en tant que manœuvre (j’entends : travail à la chaine, dans l’artisanat ou l’agriculture) afin de comprendre et d’intégrer les réelles difficultés de terrain concernant une population qui : soit n’a pas eu la volonté de faire de longues études (chacun ses projets de vie), n’en a pas eu les moyens, a pris la suite d’une activité familiale ou s’est adaptée au marché de l’emploi malgré ses diplômes. Population qui a cependant la volonté et le courage de s’en sortir sans pistons et cuillères en argents dans la bouche. Tout le monde n’a pas la même chance dans la vie, et chacun fait ses propres choix. Le respect des différences inerrantes à chacun, des différentes classes sociales sont indissociables d’une fonction présidentielle de qualité Monsieur le Président.
-evaluer les problematiques sur zone - evaluer le potentiel (en matiere d'ecologie, energies, tourisme, industriel permettant de realiser un certain profit, ou permettre une certaine autonomie) -Soutenir les projets coherents permettant l'evolution locale
Pole emploi, une usine à gaz en matiere de formations... AFPA, idem, on passe plus de temps à rechercher un stage qu'à avancer.
None
None
None
None
None
Creation d'une auto entreprise. Tres simple. Creation d'une entreprise individuelle (mon conjoint): droit à l'erreur lors d'une premiere liquidation judiciaire tres appréciable. Nous avions anticipé le surendettement mais il restait quelques dettes effacées par la suite (ça permet de rebondir sans trop de difficultés).
Un comptable est necessaire et indispensable. Organismes de formation pour apprentis tres reactifs.
None
Comptable essentiel.
mandataire judiciaire peu reactif. Des comptes bancaires non clôturés encore en cours même après liquidation, des assurances (n'etant plus d'actualitées) toujours prelevées sur ces comptes... procédures longues et lourdes pour un non initié.
None
None
La biodiversité et la disparition de certaines espèces
Séparation des territoires en « Landers » ou accorder un pouvoir majeur aux régions pour une meilleure gestion des actions locales et éviter les actions inadaptées d’un contrôle centralisé (comme en Allemagne, pays qui n’est cependant pas à prendre en exemple pour toutes ses actions, je pense aux salariés travaillant 40 heures par semaine pour 400 euros/mois…évitez, s’il vous plait de faire de même). Une gestion écologique ne peut être homogène sur un territoire comme le nôtre : par exemple, la mise en place de l’hydrolien-marée motrice ne peut être géré de la même manière au niveau des ruisseaux et rivières Alsaciennes ou en mer d’Iroise où le rendement sera tout autre. De même pour l’énergie éolienne et le photovoltaïque. Pression sur les grandes entreprises qui ont les moyens financiers de se le permettre pour améliorer le quotidien (je pense à Total, Renault…) pour réorienter leurs activités de Recherche et Développement vers des projets cohérents avec la gestion de la crise écologique. L’industrie Automobile fait peine à voir en proposant à la vente des véhicules « prototypes », inadaptés (à savoir, véhicules électriques avec 200km d’autonomie et recharge de 7h, autant dire impossibles à vivre hors centres ville…et franchement lorsqu’on habite en appartement, comment fait-on pour recharger ???). J’ai quelques doutes sur le bien fondé de ses projets…Une histoire d’argent je suppose. Nos ingénieurs sont capables de faire mieux, car je ne mets pas en doute les compétences françaises dans de nombreux secteurs. L’état étant en parti actionnaire de certaines de ces grandes industries, vous avez les moyens de leur faire entendre raison.
Non
None
Oui
Tri selectif Vivant dans une residence, il est difficile d'imposer le photovoltaique, mais pourquoi pas engager une politique en ce sens...equiper les immeubles de structures ecologiques pour plus d'autonomie energetique. Je fais du benevolat dans une association pour la protection des oiseaux. Covoiturage quand cela est possible
je vis à la campagne, rien n'est prevu pour un tel changement. Des navettes regulieres pour les centres villes peut etre. Mais ce serait un cout, non negligeable pour une petite commune. Je régule le chauffage au mieux (baisses la nuit).
None
Oui
Inciter la pose de photovoltaique sur immeubles et residences communes et murs vegetaux pour absorption du CO2 et isolation.
Non
None
Le transport à la demande
Les regions, en fonctions de leurs possibilités et richesses en matiere de potentiel energetique.
s'unir avec les pays deja bien en avance (scandinaves) et proposer des conferences de sensibilisation.
None
Votre message a bien été envoyé.