Il faut arrêter de se cacher derrière des propos du type "nous avons le meilleur système social au monde", "nous avons le meilleur système médical", etc.. et redevenir un peu plus humbles en prenant le temps de découvrir comment cela fonctionne dans les autres pays européens... Pour améliorer l'information, il faudrait une communication juste et comparative entre l'utilisation des impôts en France et dans d'autres pays comparables (Europe de l'Ouest et du Nord notamment). Des faits: les fonctionnaires sont généralement moins payés en France, les retraites sont basses, le chômage est élevé, le niveau des élèves est de plus en plus faible selon l'enquête PISA, les urgences hospitalières ne parviennent plus à faire face, les services ruraux ferment, les points noirs sur les routes demeurent et les autoroutes sont saturées par les camions notamment, la dette augmente...
Pour que la fiscalité soit juste, il faut que le contribuable puisse en mesurer son effet au quotidien. Tout le monde doit participer à l'impôt même faiblement. Il faut en finir avec toutes les "niches" souvent utilisées par les plus aisés, les journalistes, les politiques, etc... L'impôt doit rester modéré pour les classes moyennes et augmenter de façon exponentielle pour les hauts salaires (supérieurs à 8 SMIC mensuel par exemple). Il doit être total pour tout individu ayant des revenus (salaire + avantages) supérieurs à 40 fois le SMIC, ce qui semble indécent vu de la France d'en bas... Pour une fiscalité juste, il faudrait adapter la loi pour que personne ne puisse y échapper (GAFA, y compris les entreprises du CAC 40...). Comment de grands patrons d' entreprises françaises dont le siège est en France peuvent-ils être résidents à l'étranger sans que personne ne s'en émeuve à Bercy? Par équité, il faudrait créer un échelon supplémentaire à l'impôt sur le revenu pour les personnes qui auraient dû payer l'impôt sur les grandes fortunes.
Taxes sur l'essence. Suppression de la CSG pour les retraités qui ont payé durant toute leur vie professionnelle (à l'exception de ceux qui auraient été concerné par l'impôt sur les grandes fortunes). Ils sont des piliers de la société et aident ascendants, descendants et participent souvent bénévolement au fonctionnement des associations. Impôt sur les revenus pour les classes moyennes qui le supportent trop lourdement. En contre-partie, la TVA, impôt basé sur la consommation (donc modulable pour chacun), peut être augmenté en préservant un taux spécifique pour les produits de première nécessité et en créant un taux supérieur pour les produits de luxe.
Revoir les conditions d'attribution de certaines aides sociales|Création de taxes spécifiques sur les produits fabriqués à l'étranger qui ne respectent pas les contraintes imposées aux entreprises françaises: écologie (transport, taxe carbone), sécurité, travail des enfants... Taxe routière pour les poids-lourds étrangers. Taxe sur les machines (en équivalent postes de travail) ce qui permettrait de diminuer les taxes sur le travail humain.
Allocations familiales: le matériel scolaire pourrait être fourni par l'école (sous conditions de ressources). Allocations logement: adopter le principe hollandais des containers aménagés pour les étudiants et ceux qui en ont besoin.
Les retraites doivent retrouvées leur indexation sur le coût de la vie (à l'exception des retraites par répartition concernant les retraités qui auraient été assujettis à l'impôt sur les grandes fortunes qui devront être plafonnées). Les indemnités de chômage doivent être maintenues (ou plutôt de travail aidé) avec travail partiel des chômeurs dans des entreprises d'Etat (entretien du domaine public: chemins, forêts, villes. Aide éducative et scolaire. Accueil hospitalier. Visites et aides aux personnes âgées. Associations. Et tout ce qui serait utile aux citoyens (présence dans les stations de métro, etc..)
Aucune, il faut que les impôts diminuent sérieusement. Il est temps que l'Etat fasse des économies sur ses propres fonctionnements et dépenses.
Malgré tous les efforts financiers déployés à partir des impôts (par l'Etat, les collectivités, les associations), le nombre d'immigrés semble avoir atteint la limite d'accueil dans des conditions décentes (en témoignent leur nombre sans abris, le taux de chômage les affectant, la déception voire la haine vis à vis du pays d'accueil qui ne répond pas à leur attentes). Il conviendrait de marquer un temps d'arrêt à la politique d'accueil des immigrés pour se concentrer sur l'accueil de ceux déjà présents sur territoire et sur l'aide à leur intégration pour éviter une fracture irréversible de la société.
J'ai confiance à la majorité citoyenne. Je pense que les citoyens français doivent être consultés sur toutes les décisions affectant la société que ce soit au niveau du territoire national ou communal (principe des votations en Suisse). Les gouvernants méprisent trop souvent les électeurs (la "France d'en bas", les "sans dents"...). Les citoyens sont souvent considérés comme inaptes à comprendre les grands problèmes de société réservés à des élites qui pensent pour eux en pensant qu'il faut les éduquer... Nos députés ne sont pas indépendants (ils votent comme un seul homme en fonction de la ligne d'un parti (pire ils sont souvent exclus s'ils s'avisent à voter différemment! Quelle leçon de démocratie donnent de tels fonctionnements?). Les élus européens, souvent inconnus du grand public, ne rendent aucun compte aux citoyens. Les conseillers régionaux (et généraux qui existent encore!) discutent entre eux et sont bien loin des attentes des citoyens qu'ils ne consultent que très rarement. Seuls quelques maires, quand ils ne créent pas des syndicats ou des communautés de communes pour diluer les responsabilités et ne pas avoir à répondre aux attentes des citoyens, méritent la confiance de leurs administrés.
Non
Elles ont déjà un rôle spécifique qu'il leur faut renforcer.
Les citoyens veulent faire de la politique au sens noble du terme. C'est plutôt encourageant. Il faut qu'ils puissent se prononcer sur les orientations nationales et locales et ne pas s'entendre dire "j'ai été élu pour ça" car il y a bien longtemps que celui qui est élu ne représente pas la majorité des électeurs... Les citoyens doivent donc être consultés pour recréer de la confiance. Il faut en finir avec ce qui ressemble à s'y tromper à une comédie entre Assemblée et Sénat. Une élection à la proportionnelle comme cela fonctionne ailleurs, apporterait de véritables débats, pas gagnés ou perdus d'avance, et nécessiterait de créer une majorité sur chaque thème. Le vote à bulletin secret à l'Assemblée nationale serait une garantie démocratique rassurante pour les citoyens. Pour rétablir la confiance, il faudrait tendre vers une responsabilité politique des élus (évaluation de l'action de chacun) et vers une éthique exemplaire de nos représentants.
Une bonne chose
Il semble impossible d'être présent au four et au moulin (en témoigne le nombre de présents au parlement européen par exemple ou à l'Assemblée certains jours). Il devrait être généralisé aux Maires et Conseillers généraux ou régionaux.
Election à la proportionnelle.
Oui
Cette question pourrait entrer dans le chapitre "réduction des impôts"... Suppression de l'un ou l'autre des Conseils régionaux ou généraux (dans tous les cas, il faut que le citoyen puisse voter pour un homme et non pour une liste ce qui renforce la responsabilité politique des élus). Suppression des communautés de communes et mairies pour créer des mairies de canton où chaque commune du canton pourrait être représentée par un adjoint. En résumé, depuis qu'on en entend parler, il est temps de réduire les couches du mille-feuilles au lieu de les complexifier toujours un peu plus. Compte tenu des fonctionnements, Premier Ministre et Président jouent le même rôle. L'une de ces deux fonctions apparaît donc comme un doublon. Un fonctionnement avec un seul de ces deux représentants responsable du gouvernement (comme c'est le cas dans d'autres pays), serait appréciable.
En recréant la relation de confiance qui s'est détériorée au fil du temps. En faisant participer les citoyens à la vie politique et pas seulement aux élections ("votations" régulières comme en Suisse ou RIC et RIP). En limitant les querelles politiciennes affligeantes au profit d'analyses techniques et construites.
Oui
Nous pourrons ainsi mesurer le degré de confiance dont dispose l'élu par rapport à l'ensemble des suffrages exprimés.
"Votations" et consultations par internet et/ou dans les mairies. Mise en place du RIC et activation régulière du RIP.
Oui
En utilisant un site internet dédié mais il est difficile d'imaginer que le Parlement qui n'a jamais déclenché de RIP le fasse mieux aujourd'hui... Faute de confiance du citoyen en ses parlementaires, la création d'un RIC est une meilleure solution.
Des "votations" ou consultations chaque fois que nécessaire (déclenchement d'un RIP dans le cadre actuel de notre constitution)
Le Sénat ne sera plus une assemblée utile si l'Assemblée Nationale est représentative (proportionnelle et vote des lois à bulletin secret) et si les consultations des citoyens deviennent régulières ("votations" ou RIC et RIP...). Quant au Conseil économique, social et environnemental, ses travaux et avancées gagneraient à être connus pour pouvoir évaluer son utilité. Le pouvoir de la Cour des comptes ne devrait pas être limité à des conseils non suivis d'effet...
Oui
Suppression du Sénat. Assemblée nationale à la proportionnelle avec vote à bulletin secret. Augmenter le pouvoir de la Cour des comptes dont les conseils doivent être pris en compte par les collectivités locales et l'Assemblée dans leurs décisions et lois. Doter le Conseil économique, social et environnemental d'un organe de communication concernant ses avancées concrètes.
Je pense que la laïcité est non négociable et par conséquent que le respect de ses principes par les représentants des religions constitue une obligation.
Il y a par définition une incompréhension entre les valeurs intangibles de l'Islam et celles de la République puisque aucune loi ne peut se substituer à la Charia et aucune aux valeurs de la République. Donc le problème est posé chaque fois qu'une loi républicaine fondamentale entre en contradiction avec une loi de l'Islam. Pour lever cette incompatibilité, il faut que le discours et les actions des représentants du Culte musulman (à tout niveau) soit sans ambiguïté et condamne fermement toute déviance religieuse qui ne s'inscrirait pas dans le cadre de la République. L'Education Nationale est la seule école républicaine et ses programmes et fonctionnements doivent rester indiscutablement laïques et obligatoires pour tous les élèves, sans aucune adaptation. Le financement d'écoles privées sur les deniers de la République (écoles privées sous contrat), sans qu'il soit possible de faire appliquer les mêmes règles de fonctionnement que celles imposées à l'école publique, est une aberration qui fragilise l'école républicaine, qui coûte au contribuable et qui constitue une entrave à la mixité sociale.
En finir avec une éducation individualiste. L'engagement citoyen est collectif et s'inscrit dans le cadre du "vivre ensemble". Apprendre à porter et à défendre des valeurs communes fortes.
Le respect de tous. Le respect des objets et espaces publics. Aide, reconnaissance et intégration des personnes âgées et/ou handicapées dans la société.
Une école encore plus présente sur ce terrain-là. Remise en place d'un service militaire d'une année. Intervention de structures adaptées et professionnelles (composées de citoyens volontaires, d'associations et de professionnels) au moindre dérapage constaté pour aider à éduquer et encadrer la personne qui en a besoin. Mise en place de cadres spécifiques adaptés en cas de manque répétés malgré les aides mises en place. Mise en place de sanctions et/ou peines fermes. Remise en place d'un service militaire d'une année. Pour ce suivi sans faille dès la moindre alerte, il faut que le nombre d'encadrants soit en conformité avec le nombre de personnes concernées.
Développer le travail des jeunes (dès 14 ans) durant les grandes vacances en fonction de leur engagement citoyen, en entreprise, en administration ou en association.
Vol, dégradations, provocations sans fondement, insultes ou bousculades gratuites. Outre promouvoir les comportements civiques, il faudrait que le nombre d'incivilités commises soit en rapport avec le nombre de policiers , gendarmes et juges censés y apporter une réponse pénale et un encadrement, afin de ne rien laisser passer.
Ne pas les banaliser comme c'est le cas aujourd'hui donc y donner systématiquement suite. Il faut que le message soit clair: aide et fermeté.
Éduquer et encadrer ses propres enfants dans le respect des valeurs communes. Ne pas fermer les yeux et signaler une incivilité constatée à la police mais cela supposerait que celle-ci soit à l'écoute et réactive...
La peur des bandes de jeunes des quartiers, souvent d'origine maghrébine ou africaine, exubérants, provocants, s'exprimant dans une langue française déformée ou approximative, traînant dans les lieux publics, est à l'origine de discriminations.
Il faudrait que les familles d'origine immigrées éduquent et encadrent leurs enfants. Pour cela il convient d'une part de soutenir le travail des associations d'aide à la parentalité et d'autre part de prendre des mesures fermes contre les parents des enfants ne respectant pas la société. Ceci permettrait d'éviter l'amalgame entre les familles qui font de véritables efforts éducatifs pour que leurs enfants réussissent dans la société française et celles qui les laissent à la rue mais acceptent volontiers les allocations...
Oui
Allocations de solidarité conditionnées à une présence régulière des enfants à l'école, à un comportement civique de tous les membres composant la cellule familiale.
Pour éviter une fracture irréversible de la société, il faudrait marquer un temps d'arrêt dans l'accueil massif des populations immigrées pour prendre le temps d'accueillir correctement les personnes déjà présentes sur le territoire national, leur laisser le temps de maîtriser la langue, de bien comprendre les valeurs de la République, de trouver un emploi et de pouvoir les accompagner dans ces démarches.
Le droit d'asile ne signifie pas l'obtention de la nationalité française. Il peut être provisoire, reconduit si nécessaire dans l'attente que la situation politique d'un pays se stabilise. L'immigration doit aujourd'hui se limiter à une immigration choisie en fonction des besoins du monde du travail comme dans la plupart des pays aujourd'hui (Australie, Canada, etc..) pour permettre de se concentrer sur l'accueil des populations immigrées présentes sur le territoire national qui nécessitent et consomment l'énergie disponible..
La France a apporté une contribution généreuse en matière d'immigration. Elle ne peut pas accueillir toute la misère du monde sans déstabiliser la société. Il lui faut désormais travailler "le vivre ensemble" et obtenir des résultats tangibles en la matière. Il y a d'autres façons de répondre à ce défit notamment par l'aide et l'accompagnement au développement des pays africains et maghrébins , ce qui pourrait aussi générer de nouvelles dynamiques pour les entreprises françaises.
Pour que les modalités d'intégration soient efficaces et justes, ils faut d'une part prendre le temps nécessaire à l'accueil et à l'accompagnement des immigrés dans ce changement important pour eux et d'autre part éviter tout amalgame entre ceux qui font les efforts attendus et ceux qui les refusent. Cela passe par des sanctions fermes notamment le départ du territoire en cas de comportement inadapté mais aussi par une aide inconditionnelle à l'éducation dans ce qui représente un changement considérable pour ces populations. La nationalité française ne doit pas être automatique. Elle doit s'obtenir à long terme en fonction des efforts et du comportement de chaque membre de chaque famille immigrée. C'est aussi la reconnaissance de ceux qui ont réalisé des efforts sur le long terme pour s'intégrer et devenir des citoyens respectueux de tous et engagés dans la société française.
La double nationalité doit être un privilège des citoyens des pays de l'Union européenne. Si l'obtention de la nationalité française pour tout immigré hors Union Européenne signifiait l'abandon de son ancienne nationalité, la volonté de se projeter dans une nouvelle société serait sans ambiguïté et donc facilitée.
L'organisation est trop centralisée pour prendre en compte les spécificités régionales. C'est une organisation et des préoccupations parisiennes qui s'appliquent sur le territoire national. Il faudrait décentraliser sans retenue et doter les régions d'un véritable pouvoir économique et politique. Chaque région devrait être dirigée par un représentant élu et une assemblée régionale. L'impôt sur les revenus devrait revenir à la région et non pas à l'Etat.
Oui
L'aménagement du territoire notamment en termes de répartition des services, d'habitat, d'établissements scolaires, d'équipement, de sécurité, d'imposition, etc.. L'Etat ne devrait avoir à gérer que quelques sujets: la cohésion des territoires, l'Armée, les affaires étrangères et européennes, la dette, les grandes orientations nationales...
Oui
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Certains cours universitaires. Des tutoriels de formation continue.
Non
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Pratiquement l'ensemble des services administratifs utilisant Internet.
L'Education nationale et les urgences hospitalières, plus généralement la prise en charge hospitalière.
Oui
Non
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La complexité des déclarations d'impôts
Oui
En donnant plus de pouvoir aux personnels encadrants et en leur permettant de recruter leur équipe sur projet. En responsabilisant chaque fonctionnaire de terrain (évaluation sérieuse de la qualité du travail effectué notamment) sans leur garantir leur travail à vie quel que soit la qualité de l'investissement.
Oui
Une formation davantage technique et moins théorique avec des stages réguliers (un par trimestre) et de plus en plus longs (immersion en milieu professionnel et la découverte de véritables outils professionnels. Une formation sérieuse à l'accueil des administrés. Il faut également pouvoir recruter des personnels remplaçants qui ont démontré leur investissement aux postes qu'ils ont occupés, par d'autres voies que celles des concours traditionnels.
En étant présents dans ces territoires: - Des services publics pour les territoires ruraux - Une mixité sociale pour les banlieues: tous les logements de fonction des fonctionnaires, hauts fonctionnaires, députés, sénateurs, représentants politiques, etc.., devraient se trouver dans les banlieues difficiles. De même les casernes permettant l'accueil des jeunes durant leur service militaire, les universités, les centres administratifs, les ministères, les entreprises publiques, etc.. devraient s'y trouver.
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Le tiers payant n'est pas pratiqué systématique par les hôpitaux. Il faut qu'une convention soit établie avec la mutuelle et même en mettant les deux partis en rapport, la mauvaise volonté est flagrante lorsqu'il s'agit d'une petite mutuelle notamment.
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J'ai été amené à recruter des professeurs contractuels dans le cadre de l'Education nationale afin de faire face à des absences de titulaires d'une durée de trois semaines à plusieurs mois et années. Le métier d'enseignant demande un gros investissement personnel, une motivation exemplaire pour les élèves et des compétences et aptitudes professionnelles pour être en réussite . Il conviendrait que ces personnels puissent bénéficier d'une formation initiale minimale (durant les périodes de vacances immédiates au recrutement par exemple) et d'un encadrement par des conseillers pédagogiques durant les premières semaines pour faciliter leur efficacité pédagogique auprès des élèves. Enfin, si l'on peut comprendre que le statut de fonctionnaire ne soit pas forcément indispensable dans ce cas, leur salaire (aujourd'hui le SMIC) devrait être en rapport avec les salaires du privé pour un niveau d'études équivalent, d'autant plus que certains d'entre eux se trouvent en réussite là où des personnels titulaires sont en échec (la formation des enseignants titulaires reste donc à parfaire).
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La pollution de l'air dans les grandes agglomérations
Transports en commun adaptés (fréquence des passages adaptée au nombre d'usagers, parkings aux entrées des villes adaptés au nombre de véhicules), voies réservées aux véhicules transportant plusieurs personnes (covoiturage), véhicules non polluants en CO2 et particules lourdes (véhicules essence et diesel interdits à la fabrication pour permettre leur renouvellement progressif sans taxes supplémentaires pour le citoyen), exemple montré par l'ensemble des administrations (Etat, collectivités locales, hôpitaux), pistes cyclables partout en France, zones industrielles éloignées des villes. Les marchandises devraient être livrées en camion électrique ce qui signifierait la présence de quais de déchargement des camions diesel et essence aux entrées des villes puis un transport à l'intérieur des villes par camions électriques plus petits. Il conviendrait aussi de transporter les marchandises à l'entrée des villes par voie ferroviaire. Les poids lourds essence ou diesel n'assureraient alors que les trajets intermédiaires des gares jusqu'aux entrées des villes.
Oui
Air pollué (difficultés respiratoires perceptibles chez les enfants et les personnes âgées. Effets climatiques importants (vents violents, canicules, etc..)
Oui
J'évite la surconsommation génératrice d'une fabrication intensive polluante (par exemple: mieux réparer que jeter). Je pratique le tri sélectif. Je limite mes déplacements en voiture. Lorsque je devrai renouveler mon véhicule ou ma chaudière, je choisirai des énergies moins polluantes mais je déplore les méthodes contraignantes qui placent les gens dans la difficulté (taxes sur les carburants alors que ces véhicules polluants continuent d'être fabriqués par les constructeurs!)
Des pistes cyclables en ville et le long des routes départementales. Une relation de confiance avec l'Etat établie sur le long terme (il est dommageable qu'un gouvernement encourage les gens à opter pour le diesel et que le suivant fasse volte-face et préconise l'électrique (à terme que faire des batteries compte tenu de leur recyclage difficile?).
Les changements écologiques doivent s'opérer à la fabrication des objets et les besoins des consommateurs suivront dans la foulée. L'augmentation du pouvoir d'achat de tous les français (et aussi des retraités qui aident ascendants, descendants et associations) reste la meilleure solution pour accélérer l'évolution des comportements et des changements. L'Ecole doit aussi amener les élèves à la prise de conscience nécessaire.
Oui
Des aides importantes (30% à 50%) seraient de nature à créer une dynamique et à compenser les coûts élevés relatifs à un changement de chaudière.
Non
Des pistes cyclables en milieu rural + aide significative à l'achat de vélos électriques.
Le vélo
Etat et/ou collectivités locales
Taxer les poids-lourds étrangers qui traversent la France en la polluant et en ne participant pas à l'entretien du réseau routier. Créer une taxe "carbone" sur le transport des marchandises en provenance hors Europe + une taxe "pollution" sur les objets fabriqués dans des pays qui ne respectent pas les normes françaises de protection de l'environnement. Enfin, créer un réseau ferré obligatoire pour le transport des camions de marchandises qui traversent tout ou parties du pays.
L'abandon des énergies fossiles nécessitent le remplacement par des énergies renouvelables (l'éolien, l'énergie maréemotrice, le solaire, le moteur à hydrogène). Le retard de la France dans ce domaine interroge et nécessite une explication claire. Il implique le maintien voire le développement d'une énergie nucléaire fiable dans l'attente que ce retard soit comblé. Toute politique de régulation par des taxes affectant le citoyen français déjà surimposé, serait vouée à l'échec puisqu'elle diminuerait le pouvoir d'achat, élément principal pour envisager tout investissement écologique. Il est important que les gouvernants représentent un modèle pour les citoyens. Voir les ministres, les députés et les élus se déplacer en transport en commun ou en vélo comme c'est le cas dans d'autres pays, serait une motivation supplémentaire pour le citoyen. Enfin, réfléchir sur l'écologie ne peut aller sans évoquer le respect global de la nature. La pratique de la chasse est très discutable et doit être pour le moins réglementée. Établir des zones réservées à la chasse (sortes de réserves pour les chasseurs et non pour les animaux...), loin de tout habitat et des chemins de randonnée, serait une solution plus acceptable. Le coût du permis de chasse devant être dissuasif. L'utilisation de pesticides en agriculture devrait être prohibée sans aucun délai ce qui est possible si, au lieu de subventionner une agriculture intensive, on encourage uniquement une agriculture raisonnée qui fait le choix d'élever les animaux dans les champs et s'oriente vers des variétés de céréales, de fruits et légumes, plus rustiques et moins productives...
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